Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le Blogue de la Résistance sur Internet
  • : Le WEB Résistant est le seul site francophone présentant toutes les références sur les sites de réinformation. Faites-le connaître autour de vous ! Ne restez pas seul, nous sommes nombreux.
  • Contact

Profil

  • Cyber-Résistant
  • CYBER--LIBERTARIEN
  • CYBER--LIBERTARIEN

En bref

ajouter-favoris.png

Abonnement

Inscription à la newsletter

  

The 910 Group

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

The Counterjihad Calendar 2009
The Counterjihad Calendar 2010

Counterjihad Brussels 2007

Counterjihad Vienna 2008

Counterjihad Copenhagen 2009

Counterjihad Zurich 2010

EU Eurabia Francais

Le Bulletin de Réinformation de Radio Courtoisie

 
FAIRE LE TEST POLITIQUE ?

http://img263.imageshack.us/img263/2081/diagrammenolan.jpg

 

Web Statistics

 
Locations of visitors to this page

Entête

http://www.wikio.fr

"Si vous entendez ce message, c'est que vous êtes la résistance."

International Civil Liberties

About

The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


Rejoindre le forum

 

The Center for Vigilant Freedom

8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 12:09
Mahomet - prophète guerrier

Pourquoi la vie de Mahomet, le prophète de l’islam, a-t-elle de l’importance aujourd’hui? Quatorze siècles se sont écoulés depuis sa naissance. Des millions de Musulmans ont vécu et sont morts depuis lors, et un grand nombre de dirigeants se sont levés pour guider les fidèles, y compris des descendants du prophète lui-même. L’Islam, comme les autres religions, a certainement changé au cours de ces plus de 1400 ans.

Voici pourquoi la vie de Mahomet a de l’importance: contrairement à ce que de nombreux laïques voudraient nous faire croire, les religions ne sont pas entièrement déterminées (ou dénaturées) par les fidèles et le passage du temps. Les actes et les écrits des fondateurs restent essentiels, peu importe à quel lointain passé ils appartiennent. La notion selon laquelle les croyants donnent leur forme aux religions provient bien plutôt de la philosophie du déconstructivisme, à la mode dans les années 1960, et qui enseigne que les mots écrits n’ont pas d’autre signification que celle que leur donne le lecteur. Autre thème central: il s’ensuit que si seul existe le sens trouvé par le lecteur, il ne saurait y avoir de vérité (et certainement pas de vérité religieuse); le discernement d’une personne est de valeur égale à celui d’une autre. Finalement, à en croire le déconstructivisme, nous créons tous notre propre série de «vérités», et aucune n’est meilleure ou pire qu’une autre. 

Mais, pour les hommes et les femmes épris de religion, dans les rues de Chicago, Rome, Jérusalem, Damas, Calcutta ou Bangkok, les paroles de Jésus, Moïse, Mahomet, Krishna et Bouddha possèdent par elles-mêmes une signification beaucoup plus importante que les interprétations de quiconque. Et même des lecteurs qu’on ne saurait qualifier de dévots ne considèrent pas que les paroles des grands guides religieux sont équivalentes entre elles.

C’est pourquoi j’ai placé un encadré «Entre Mahomet et Jésus» en marge de chaque chapitre, afin de mettre en exergue le raisonnement fallacieux de ceux qui prétendent que l’Islam et le Christianisme – et, à cet égard, toutes les autres religions – sont au fond équivalentes dans leur capacité d’inspirer la bienfaisance ou la malfaisance. Ces extraits sont également destinés à souligner le fait que l’Occident, fondé sur le Christianisme, vaut la peine d’être défendu, même si nous vivons aujourd’hui dans une ère soi-disant postchrétienne. En outre, la mise en parallèle des paroles de Mahomet et de Jésus nous permet d’établir une distinction entre les principes fondamentaux guidant les fidèles des fois musulmane et chrétienne. Ces principes sont importants. Les adeptes de Mahomet s’inspirent de ses paroles et imitent ses actes, et cela conduit à une expression de la foi très différente de celle des Chrétiens. Il n’est pas nécessaire d’observer bien longtemps pour se rendre compte que la vie dans un pays islamique est différente de ce qu’elle est aux États-Unis ou en Grande-Bretagne. Cette différence commence avec Mahomet. À notre époque, où tant de gens évoquent les paroles et les actes de Mahomet pour justifier des actions violentes et sanglantes, il est nécessaire de se familiariser avec ce personnage central.

Pour de nombreux Occidentaux, Mahomet reste beaucoup plus mystérieux que d’autres grandes figures religieuses. La plupart des gens savent, par exemple, que Moïse a reçu les Dix Commandements sur le mont Sinaï, que Jésus est mort sur la croix et a ressuscité, et peut-être même que Bouddha s’assit sous un arbre et y reçut l’illumination. Mais on sait peu de choses sur Mahomet, et même ces rares faits sont contestés. Ainsi, ce qui suit sera basé exclusivement sur des textes islamiques.

Premier fait fondamental: Muhammad ibn Abdallah ibn Abd al-Muttalib (570–632), le prophète de l’Islam, fut un homme de guerre. Il dit à ses partisans de se battre pour sa nouvelle religion. Il déclara que leur dieu, Allah, leur avait ordonné de prendre les armes. Et Mahomet, qui n’avait rien d’un général en chambre, prit part à de nombreuses batailles. Ces faits doivent être connus si l’on veut réellement comprendre la cause des croisades des temps passés ou de l’essor du djihad mondial actuel.

Au cours de ces batailles, Mahomet formula de nombreux principes que les Musulmans ont respectés jusqu’à nos jours. Ainsi, il faut rappeler certaines caractéristiques des batailles de Mahomet pouvant apporter un éclairage indispensable sur le contenu des gros titres de la presse d’aujourd’hui – un éclairage qui manque encore, hélas, à de nombreux analystes et experts.

Mahomet l’assaillant

Mahomet avait déjà l’expérience du combat avant d’assumer le rôle de prophète. Il avait participé à deux guerres locales opposant sa tribu de Koreish et leurs voisins rivaux, les Banu Hawazin. Mais ce n’est que plus tard qu’il adoptera son rôle spécifique de prophète guerrier. Après avoir reçu la révélation d’Allah par l’intermédiaire de l’ange Gabriel, en 610, il commença à prêcher dans sa tribu le culte du Dieu unique et sa mission de prophète. Mais il fut accueilli fraîchement par les Mecquois koreishites, qui réagirent avec dédain à sa vocation de prophète et refusèrent de renoncer à leurs dieux. La frustration et la rage de Mahomet grandirent jusqu’à devenir manifestes. Et lorsque même son oncle, Abou Lahab, rejeta son message, Mahomet le maudit, lui et son épouse, en des termes violents qui ont été conservés dans le Coran, le livre saint de l’Islam: «Que périssent les deux mains d’Abou Lahab! Et que lui-même périsse! Ni sa fortune ni ce qu’il a acquis ne lui serviront à rien. Il brûlera dans un feu ardent, de même que sa femme, chargée de bois, une corde autour du cou.» (Coran 111:1–5).

Mahomet allait finalement passer de la parole aux actes, et devenir violent. En 622, il fuit La Mecque, sa ville natale, pour rejoindre une cité voisine, Médine, où une bande de guerriers tribaux l’accepta comme prophète et lui promit sa loyauté. À Médine, ces nouveaux Musulmans commencèrent alors à attaquer les caravanes des Koreishites – des expéditions dont Mahomet prit lui-même la tête à plusieurs reprises. Ces razzias permirent au mouvement musulman naissant de rester solvable et contribuèrent à forger la théologie islamique – comme lors d’un incident resté fameux au cours duquel une bande de Musulmans attaqua une caravane Koreishite à Nakhla, une colonie non loin de La Mecque, pendant le mois sacré de Rajab, c’est-à-dire pendant une période de trêve. Lorsqu’ils retournèrent au camp musulman chargés d’un riche butin, Mahomet refusa de toucher sa part ou d’avoir quoi que ce soit à faire avec eux, disant simplement: «Je ne vous ai point ordonné de combattre pendant le mois sacré.» 

Mais une nouvelle révélation lui vint d’Allah, expliquant que l’opposition des Koreishites contre Mahomet constituait une transgression plus grave que la violation de la trêve du mois sacré. En d’autres termes, la razzia était justifiée. «Ils t’interrogent sur l’acte de guerroyer pendant le mois sacré. – Dis: combattre pendant la trêve est un péché grave, mais il est plus grave encore au regard d’Allah de faire obstacle à la cause d’Allah, d’être impie envers Lui et la Mosquée sacrée, et d’en expulser son peuple. La persécution est plus grave que le meurtre.» (Coran, 2:217). Tous les péchés que les attaquants pouvaient avoir commis à Nakhla n’étaient rien, comparés au rejet de Mahomet par les Koreishites.

Ce fut une révélation d’une importance capitale, car elle allait engendrer un principe islamique qui s’est perpétué à travers les siècles. Le «Bien» était dès lors identifié comme un acte quelconque bénéficiant aux Musulmans, sans considération du fait qu’ait été violées ou non des lois morales ou autres. Les absolus moraux pieusement conservés sous la forme des Dix Commandements et les autres enseignements des grandes religions qui précédèrent l’Islam étaient écartés au profit d’un principe d’opportunisme supérieur.

La bataille de Badr

L’incident de Nakhla précéda de peu la première bataille décisive des Musulmans. Mahomet apprit l’arrivée d’une grande caravane koreishite, lourdement chargée d’argent et de biens, en route depuis la Syrie. «C’est la caravane transportant les biens des Koreishites», dit-il à ses partisans. «Allez, attaquez-les, peut-être Dieu en fera-t-il une proie pour vous.»[3] Il se mit en route en direction de La Mecque afin de diriger le raid. Mais cette fois, les Koreishites étaient prêts à le recevoir et avaient avec eux près d’un millier d’hommes pour affronter les 300 combattants de Mahomet. Il semble que Mahomet ne se soit pas attendu à un tel nombre d’adversaires – il s’écria anxieusement à l’adresse de Dieu: «Ô Dieu, si cette troupe périt aujourd’hui, ton culte ne sera plus rendu.» [4]

En dépit de leur désavantage numérique, les Koreishites furent mis en déroute. Certaines traditions musulmanes affirment que Mahomet participa en personne aux combats, d’autres disent qu’il exhortait ses combattants depuis les flancs. Quoi qu’il en soit, c’était pour lui l’occasion de prendre sa revanche après des années de frustration, de ressentiment et de haine envers son propre peuple, qui l’avait rejeté. Plus tard, l’un de ses partisans se remémora une malédiction lancée par Mahomet contre les dirigeants des Koreishites: «Le prophète dit: ‹Ô Allah! Détruits les chefs des Koreishites. Ô Allah! Détruits Abou Jahl bin Hisham, Utba bin Rabiam Shaiba bion Rabia, Uqba bin Abi Muait, Umaiya bin Khalaf (or Ubai bin Kalaf).›» [5] 

Tous ces hommes furent capturés ou tués pendant la bataille de Badr. L’un des dirigeants koreishites mentionnés dans cette malédiction, Ubqa, demanda grâce: «Mais qui prendra soin de mes enfants, Ô Mahomet?»
«L’enfer», répondit le prophète de l’Islam, avant d’ordonner qu’Ubqa soit tué. [6]
Un autre chef koreishite, Abou Jahl (ce qui signifie «père de l’ignorance», un nom qui lui fut donné par les chroniqueurs musulmans; son vrai nom était Amr ibn Hisham) fut décapité. Le Musulman qui se chargea de cette besogne présenta fièrement son trophée à Mahomet: «Je lui ai coupé la tête et l’ai apportée à l’apôtre, lui disant: ‹Voici la tête de l’ennemi de Dieu – Abou Jahl.›»
Mahomet se montra enchanté: «Par le Dieu unique, vraiment?» s’exclama-t-il puis il rendit grâce à Allah pour la mort de son ennemi. [7]

Les corps de tous les hommes mentionnés dans la malédiction furent jetés dans une fosse. Un témoin oculaire rapporta: «Plus tard, je les vis tous se faire tuer pendant la bataille de Badr puis leur corps furent précipités dans un puits, à l’exception de la dépouille d’Umaiya ou Ubai, car il était très gros et quand on tira son corps, il se démembra avant qu’il ne puisse être jeté dans le puits.»[8] Ensuite, Mahomet les railla, les appelant les «gens de la fosse», et leur posa une question théologique: «Avez-vous eu confirmation des promesses que Dieu vous fit? J’ai, moi, vu se réaliser les promesses de mon Dieu.» Quand on lui demanda pourquoi il parlait ainsi à des cadavres, il répondit: «Ils ne m’entendent pas moins bien que vous; mais ils ne peuvent pas me répondre.» [9]

La victoire de Badr marqua un tournant historique pour les Musulmans. Mahomet prétendit même que des armées d’anges se joignirent aux Musulmans pour frapper les Koreishites, et qu’une telle aide serait accordée également à l’avenir aux Musulmans qui resteraient fidèles à Allah: «Allah vous a soutenus à Badr, alors que vous n’étiez qu’une petite troupe méprisable; craignez donc Allah; témoignez-lui ainsi votre gratitude. Dis aux croyants: ‹Ne vous suffit-il pas qu’Allah vous ait accordé l’aide de trois mille anges, descendus du ciel tout exprès pour vous? Oui, si vous restez fermes et pieux, même si l’ennemi vous assaillait sur le champ, votre Seigneur enverrait cinq mille anges pour leur donner un assaut terrible.›» (Coran, 3:123–125). Une autre révélation d’Allah souligna que c’était la piété, et non la puissance militaire, qui leur avait valu la victoire à Badr: «Il y avait un signe pour vous dans ces deux armées qui s’affrontèrent, l’une pour la cause d’Allah et l’autre s’opposant à Allah; ces derniers crurent les croyants deux fois plus nombreux qu’eux-mêmes. Allah octroie son aide à qui lui plait. C’est-là un avertissement clair à ceux qui ont des yeux pour voir.» (Coran 3:13). Un autre passage coranique affirme que les Musulmans furent de simples instruments passifs à Badr: «Ce n’est pas vous qui les avez tués; c’était Allah.» (Coran 8:17) Et Allah accorderait de telles victoires aux Musulmans quand bien même ils devraient affronter des difficultés bien plus grandes que celles qu’ils avaient surmontées à Badr: «Ô prophète! Appelle les croyants au combat. S’il en est vingt parmi vous armés de patience et de persévérance, ils vaincront deux cent adversaires; s’il s’en trouve cent, ils vaincront un millier des mécréants, car ces gens manquent d’entendement» (Coran 8:65).

Allah récompensa largement ceux à qui il avait accordé la victoire à Badr: le butin était très abondant – si abondant, même, que son partage fit l’objet de disputes. Les choses empirèrent à tel point qu’Allah lui-même s’exprima à ce propos dans un chapitre (sourate) du Coran entièrement consacré à des réflexions sur la bataille de Badr – la 8e sourate, intitulée Al-Anfal, «le Butin». Allah y prévient les Musulmans qu’ils doivent considérer le butin de la bataille de Badr comme appartenant à Mahomet et à personne d’autre: «Ils t’interrogent au sujet du butin. Dis: ‹Le butin appartient à Allah et à son messager.› Craignez Allah et maintenez la concorde entre vous. Obéissez à Allah et à son messager, si vous êtes croyants» (Coran 8:1). Finalement, Mahomet distribua le butin en parts égales entre les Musulmans, mais conserva un cinquième de l’ensemble pour lui: «Et sachez que sur tout butin que vous faites à la guerre, un cinquième appartient à Allah, à son messager, à ses proches, aux orphelins, aux pauvres et aux voyageurs (en détresse), si vous croyez en Allah et en ce que Nous avons révélé sur notre serviteur au Jour du Discernement, lorsque les deux armées se rencontrèrent» (Coran 8:41). Allah souligna qu’il s’agissait là de la récompense de l’obédience à son égard: «Jouissez donc de votre butin, car il est licite et pur. Et craignez Allah. Allah est clément et miséricordieux» (Coran 8:69).[10]

Ainsi, les Musulmans passèrent du statut de petite communauté méprisée à celui de puissance avec laquelle les païens d’Arabie devaient compter – et ils commencèrent à réellement terroriser leurs ennemis. La prétention de Mahomet d’être le dernier prophète du seul vrai Dieu sembla confirmée par une victoire remportée dans des conditions extrêmement défavorables. Cette victoire inspira nombre d’attitudes et de notions qui restent très profondément ancrées dans l’intellect musulman. Par exemple:

– Allah accordera la victoire à ses adeptes contre des adversaires supérieurs en nombre ou en puissance de feu aussi longtemps qu’ils restent soumis à ses ordres.
– Les victoires autorisent par elles-mêmes les Musulmans à s’approprier les biens des vaincus au titre de butin.
– La vengeance sanglante contre ses ennemis est la prérogative non seulement du Seigneur, mais de tous ses serviteurs fidèles sur terre.
– Les gens faits prisonniers dans le cadre d’une bataille contre les Musulmans peuvent être mis à mort selon le bon vouloir des dirigeants musulmans.
– Ceux qui rejettent l’Islam sont «les pires de toutes les créatures» (Coran 98:6) et ne méritent aucune pitié.
– Quiconque insulte ou seulement s’oppose à Mahomet ou à son peuple mérite une mort humiliante – si possible par décapitation, conformément à l’injonction d’Allah qui ordonne de «frapper à la nuque» «ceux qui ont mécru» (Coran 47:4).

La bataille de Badr fut surtout le premier exemple pratique de ce qui allait devenir la doctrine islamique du djihad – une doctrine formant la clé de la compréhension tant des croisades que des conflits actuels.

Assassinat et tromperie

Grisé par la victoire, Mahomet intensifia ses raids. Il durcit également son attitude envers les tribus juives de la région, qui conservaient leur foi et niaient que Mahomet soit un prophète de Dieu. Après ce rejet, les appels prophétiques de Mahomet à l’adresse des Juifs se firent violents et évoquèrent des châtiments terrestres. En arpentant le centre d’un marché des Banu Qaynuqa, une tribu juive avec laquelle il était en trêve, il annonça à la foule: «Ô Juifs, craignez que Dieu ne lance sur vous la vengeance qu’il réserva aux Koreishites et devenez Musulmans. Vous savez que je suis un prophète envoyé par Dieu – vous le verrez dans vos Écritures et dans le Pacte que Dieu a scellé avec vous.»[11] Les Juifs de la tribu Banu Qaynuqa ne furent pas convaincus, et ils frustrèrent davantage encore le prophète. Alors celui-ci les assiégea jusqu’à qu’ils lui offrent leur reddition sans condition.

Mais cela ne suffit pas à apaiser la colère de Mahomet. Il lui trouva alors un autre exutoire en la personne d’un poète juif, K’ab bin Al-Ashraf, qui, à en croire le premier biographe de Mahomet, Ibn Ishaq, «composait des vers galants de nature à offenser les femmes musulmanes». [12] Mahomet demande à ses partisans: «Qui est prêt à tuer K’ab bin Al-Ashraf, qui a insulté Allah et son apôtre?»[13] Il trouva un volontaire, un jeune Musulman nommé Muhammad bin Maslama: «Ô apôtre d’Allah, veux-tu que je le tue?» Après que le prophète lui eut répondit «oui», Muhammad bin Maslama lui demanda la permission de mentir afin de pouvoir tromper K’ab bin Al-Ahraf et l’attirer dans une embuscade.[14] Le prophète lui accorda cette permission et Muhammad bin Maslama trompa et assassina K’ab.[15] 

Après le meurtre de K’ab, Mahomet émit un ordre général: «Tuez tout Juif qui tombe entre vos mains.» Ce n’était pas une instruction militaire: la première victime fut un marchand juif, Ibn Sunayna, qui entretenait «des relations sociales et commerciales» avec les Musulmans. L’assassin, Muhayissa, se fit réprimander pour ce geste par son frère, Huwayissa, qui n’était pas encore musulman. Muhayissa ne regrettait rien. Il dit à son frère: «Si celui qui m’a ordonné de le tuer m’ordonnait de te tuer, je te trancherais la tête.»

Huwayissa fut impressionné: «Par Dieu, une religion qui peut te faire faire cela est miraculeuse!» Et il devint un Musulman.[16] Et le monde est toujours témoin de tels miracles de nos jours.

Vengeance et prétextes

Après leur humiliation à Badr, les Koreishites avaient soif de revanche. Ils rassemblèrent trois mille hommes d’armes qui affrontèrent mille Musulmans à Uhud. Mahomet portait deux cotes de mailles et dirigeait l’assaut des Musulmans, un sabre à la main. Mais cette fois, ils furent défaits. Le prophète lui-même eut le visage maculé de sang et perdit une dent dans l’aventure; des rumeurs de sa mort se répandirent même sur le champ de bataille. Dès qu’il put trouver de l’eau pour se laver la figure, Mahomet jura de se venger. «Le courroux de Dieu est terrible contre celui qui a ensanglanté la face de Son prophète.»[17] Lorsque Abu Sufyan, le chef des Koreishites, railla les Musulmans, Mahomet se montra inflexible et se concentra sur la distinction islamique très nette entre croyants et incroyants. Il dit à son lieutenant Umar de répliquer: «Dieu est sublime, Dieu est glorieux. Nous ne sommes pas égaux. Nos morts sont au paradis; vos morts sont en enfer.»[18]

Mahomet jura une nouvelle fois de se venger lorsqu’il découvrit la dépouille de son oncle Hamza. Hamza avait été tué à Uhud et son corps avait été horriblement mutilé par une femme, Hind bint Utba, qui lui trancha le nez et les oreilles et mangea une partie de son foie. Elle fit cela pour venger la mort de son père, de son frère, de son oncle et de son fils aîné à la bataille de Badr. Le prophète ne fut pas ému le moins du monde par le fait qu’elle ait commis ces actes ignobles pour se venger. «Si Dieu me donne la victoire sur les Koreishites à l’avenir», s’exclama-t-il, «je mutilerai trente de leurs hommes.» Touchés par son chagrin et sa colère, ses partisans prononcèrent un serment analogue: «Par Dieu, si Dieu nous donne la victoire sur eux à l’avenir, nous les mutilerons comme aucun Arabe n’a encore jamais mutilé personne.»[19]

Victoire ou défaite: davantage d’Islam

La défaite de Uhud n’ébranla nullement la foi des Musulmans ni ne calma leur ferveur. Allah leur dit en effet qu’ils auraient remporté une autre victoire s’ils ne lui avaient pas désobéi: «En vérité, Allah a tenu Sa promesse envers vous, et c’est par Sa permission que vous les avez défaits, jusqu’au moment où vous avez manqué de courage, où vous avez discuté les ordres, et désobéi, après pourtant qu’Il vous eut montré la victoire à laquelle vous aspirez!» (Coran 3:152).

À nouveau, une habitude était prise: lorsque les choses tournaient mal pour les Musulmans, c’était pour punir la tiédeur de leur foi en l’Islam. En 1948, Sayyed Qutb, le grand théoricien des Frères musulmans, organisation qui détient le douteux honneur d’avoir été le premier groupe terroriste islamique moderne, déclara ainsi au monde musulman: «Un bref regard suffit pour nous rendre compte que notre situation sociale est au plus bas.» Pourtant, «nous persistons à écarter notre propre héritage spirituel, tous nos dons intellectuels et toutes les solutions qui pourraient se trouver révélées par leur examen; nous écartons nos propres principes fondamentaux, nos propres doctrines, et nous les remplaçons par les préceptes de la démocratie, du socialisme ou du communisme.»[20]

La liaison théologique entre victoire et obéissance d’une part et entre défaite et désobéissance d’autre part fut encore renforcée après la victoire des Musulmans à la bataille du fossé en 627. Mahomet reçut alors une nouvelle révélation attribuant ce succès à l’intervention surnaturelle d’Allah: «Ô croyants! Rappelez-vous la faveur que vous fit Allah lorsque des troupes vous attaquèrent et que nous leur opposâmes un fort vent ainsi que des troupes invisibles à vos yeux.» (Coran 33:9).

Mythe de la rectitude politique:
nous pouvons négocier avec ces gens

Un autre principe islamique essentiel se cristallisa à la suite des événements liés au traité de Hudaybiyya. En 628, Mahomet eut une vision au cours de laquelle il fit un pèlerinage à La Mecque – une coutume païenne dont il voulait faire un élément de l’Islam, sans succès jusqu’alors, cependant, car la ville était sous le contrôle des Koreishites. Il ordonna aux Musulmans de se préparer à faire le pèlerinage de La Mecque et s’approcha de la ville avec 1500 hommes. Les Koreishites le rencontrèrent en dehors de la ville et les deux parties discutèrent les termes d’une trêve (hudna) de dix ans, le traité de Hudaybiyya.

Les Musulmans acceptèrent de rentrer chez eux sans faire leur pèlerinage, et les Koreishites leur permirent de faire le pèlerinage l’année suivante. Mahomet choqua ses hommes en acceptant également d’autres conditions pouvant paraître très désavantageuses pour les Musulmans: les gens qui fuiraient les Koreishites et chercheraient refuge auprès des Musulmans seraient renvoyés aux Koreishites tandis que les gens qui fuiraient les Musulmans et chercheraient refuge auprès des Koreishites ne seraient pas renvoyés aux Musulmans. Le négociateur des Koreshites, Suhayl bin Amr, obligea même Mahomet à ne pas s’identifier comme «Mahomet, l’apôtre de Dieu». Suhayl déclara: «Si j’avais constaté que tu étais l’apôtre de Dieu, je ne t’aurais pas combattu. Écris ton propre nom et le nom de ton père.» À la consternation de ses compagnons, Mahomet s’exécuta.

Puis, contre toute évidence, il affirma que les Musulmans avaient été victorieux, produisant même pour cela une nouvelle révélation d’Allah: «En vérité, nous t’avons accordé une victoire éclatante» (Coran, 48:1). Il promit que ses partisans allaient récolter un riche butin: «Allah a certes béni les croyants lorsqu’ils prêtèrent serment. Il savait ce que contenait leur cœur, et fit descendre sur eux la sérénité, et les récompensa d’une presque victoire, et d’un abondant butin dont ils s’empareront bientôt. Allah est puissant et sage. Allah vous a promis un abondant butin, que vous récolterez, Il vous l’octroya par avance, et empêcha les gens de mettre la main sur vous – il y a là un signe pour les croyants; puisse-t-il vous guider vers la rectitude» (Coran 48:18-20).

Si certains de ses partisans restèrent sceptiques, leurs craintes furent vite dissipées. Une femme des Koreishites, Umm Kulthum, rejoignit les Musulmans à Médine; ses deux frères se rendirent alors auprès de Mahomet, exigeant qu’elle leur soit restituée, «selon les termes de l’accord conclu entre lui et les Koreishites à Hudaybiyya».[22] Mahomet refusa, car Allah l’avait interdit. Allah donna en effet à Mahomet une nouvelle révélation: «Ô croyants! Quand des croyantes cherchent refuge auprès de vous, éprouvez-les. Allah sait parfaitement quelle est leur foi: si vous établissez qu’elles sont croyantes, ne les renvoyez pas aux mécréants» (Coran 60:10).

En refusant de rendre Umm Kulthum aux Koreishites, Mahomet rompit le traité. Les apologistes musulmans ont toujours prétendu que les Koreishites avaient rompu le traité les premiers, mais cette anecdote est antérieure à toute violation du traité par les Koreishites. De plus, le fait de rompre ainsi le traité renforçait le principe selon lequel rien n’était bon sinon ce qui profitait à l’Islam et rien n’était mauvais sinon ce qui l’entravait. Une fois le traité formellement écarté, les juristes islamiques érigèrent en principe que les trêves, d’une manière générale, ne pouvaient pas être conclues pour une durée supérieure à dix ans et ne devaient servir qu’à permettre aux forces musulmanes affaiblies de se reconstituer.

Les événements n’allaient pas tarder à illustrer les sombres implications de ce principe.

NdT: Arafat, par exemple, usa et abusa du principe hérité de l’affaire du traité de Hudaybiyya, comme l’explique Daniel Pipes dans un article de 1999.

* * *

Le chapitre 1 est disponible aussi sous forme de document pdf (voir les notes dans ce document).
The-Politically-Incorrect-Guide-to-Islam--and-the-Crusades-.jpg

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 22:02
Un Juif nommé Mahomet, recto Un Juif nommé Mahomet, verso
"Un Juif nommé Mahomet" a été écrit par Bernard Raquin puis édité à compte d'auteur en 2005 après désistement de tous les éditeurs français contactés. 

Un Juif nommé Mahomet
Mahomet a-t-il existé ?
Enquête sur les monotheismes.

Grâce aux découvertes archéologiques, aux traductions du sumérien, de l'égyptien et de l'araméen, chacun peut enfin découvrir l'origine des « textes sacrés ». Loin d'être parole de « Dieu », les religions révélées recyclent les vieux mythes archaïques. On verra pourquoi elles provoquent tant de massacres, en entraînant leurs fidèles dans le piège de l'ignorance et de la vanité.
Cet ouvrage, très différent des légendes officielles, nous entraîne dans l'une des plus fabuleuses créations humaines : l'invention des mythes et des prophètes. L'auteur vous invite à une passionnantë enquête au cœur des religions monothéistes.
Vous découvrirez que, comme d'autres prophètes bibliques, Mahomet semble l'une des plus fameuses supercheries historiques. Vous saurez aussi pourquoi, à quelle époque et en quelle langue a été écrit le Coran, et dans quel but.
Indispensable pour être humain en quête d'authenticté spirituelle, et aussi pour toute personne souhaitant comprendre les événements contemporains et défendre la liberté d'expression.

Bernard Raquin, psychothérapeute et formateur, a publié de nombreux ouvrages sur la spiritualité et le développement personnel. Suite à l'assassinat de sa sœur par son fils et son mari se réclamant de « l'islam », il a décidé de mettre à jour les falsifications pour éclaircir le chemin spirituel et la vérité historique.

ISBN2-9523703-0-3
23€

  L'existence de Mahomet est  enfin remise en question, suite aux découvertes des archéologues et des érudits. Aucun savant ne peut plus sérieusement affirmer que l'histoire de Mahomet et du Coran se fonde sur des réalités historiques. Grâce aux traductions du sumérien, de l'égyptien et de l'araméen, l'intelligence de nos ancêtres resurgit du néant ! Tout porte à constater que Mahomet n'a jamais existé.
 C'est une bonne nouvelle pour les gens qui aiment l'Esprit : les croyants n'ont aucune raison de se soumettre aux intégristes mécréants.
   Un Juif nommé Mahomet est une passionnante enquête au cœur des religions prophétiques.
  Pourquoi, en quelle langue, à quelle époque, et dans quel but le Coran a-t-il été rédigé ? Comment a été inventé le personnage de Mahomet ? Pourquoi chaque sourate est-elle un emprunt à de vieux textes, des niaiseries, des légendes, des mensonges ou des erreurs historiques ?
  Pourquoi les musulmans s'acharnent-ils à faire une si hideuse carticature de Mahomet ? Pourquoi le Coran contient-il d'innombrables versets sataniques ?
   Les méfaits attribués à Mahomet -assassinats, pillages, barbarie, viols et pédophilie (viol d'Aïcha âgée de 9 ans), parjures, trahisons, incitation à la pédérastie- peuvent enfin être restituées à leurs véritables auteurs.
   Vous saurez pourquoi Omar (deuxième calife) a rédigé la sourate du voile (le voile étant historiquement porté par les prostituées), et comprendrez l'origine de la haine islamiste des femmes.
   Sauf à blasphémer, on ne peut considérer que Dieu recommande le voile, la lapidation, l'amputation, l'esclavage, les sacrifices sanglants, les massacres ou la prostitution. En revanche, les sectes juives archaïques qui ont créé l'islam les revendiquaient, en se basant sur les mythologies et superstitutions mésopotamiennes, et la légende de Moïse.
   Pourquoi les vieux textes prophétiques contiennent-ils tant de textes méchants, racistes, humanophobes, sexistes, ségrégationnistes ? Vous verrez d'une manière historique, spirituelle et scientifique que ces ouvrages ne sont évidemment pas la parole de "Dieu", mais une laborieuse création humaine
étalée sur des siècles, au service de la cupidité, de la conquête territoriale, du pillage et du viol. Il n'est guère étonnant que les satanistes-islamistes contemporains s'insipirent du modèle mahométan.
   Bernard Raquin émet des hypothèses basées sur les recherches des savants depuis un siècle, bien plus crédibles que les légendes officielles diffusées par les ignorants diplômés.
  La spiritualité, dimension essentielle de beaucoup d'entre nous, mérite sans doute quelques heures de lecture ?

Le Coran : Message Divin ? ou... Mensonge Bédouin ? - La réponse

Sommaire :
 
Chapitre 1 : Adieu à une femme aimée, page 9

Chapitre 2 : Comment fabriquer une religion, page 25

Chapitre 3 : Jésus réinterprété par le Coran, page 47

Chapitre 4 : Comment des hérétiques inventèrent l’islam, page 61
La théologie rétrospective, page 64
L’origine d’Allah, page 71
La descente aux enfers : un mythe ancestral, page 72
Le paradis coranique, page 73
La chute du diable dans le Coran, page 76
La chute d’Allah, page 78
Les califes sont les guerriers et non les rabbins, page 80

Chapitre 5 : Reconquérir Jérusalem ! page 83
Reconstruisons le Temple ! page 89
Les mahométans se tournent vers Israël, page 91

Chapitre 6 : Violence divine ou humaine ? page 97
Le sacrifice, page 106
L’esclavage, page 110
Théologie ou superstition ? page 111
La haine de la femme, page 116

Chapitre 7 : Qui a écrit le Coran ? page 125
Chronologie, page 125
Le contexte religieux au 7ème siècle, page 127
Les différents rédacteurs des sourates, page 130
La fiction de l’illettrisme, page 141
Comment fabriquer des sourates, page 147
Pourquoi la langue arabe n’existait pas, page 151
Comment le Coran a-t-il été rédigé ? page 153
Le Coran est-il autre chose qu’une compilation ? page 157
Les superstitions du Coran, page 164
Inimitabilité du Coran ? page 170
Quelques extraits du vrai Coran, page 176

Chapitre 8 : La légende de Mahomet, page 179
Théologie de Gabriel ou élaboration laborieuse ? page 185
La grotte, page 190
La légende des Sept Dormants, page 194
Le voyage céleste de Mahomet, page 195
La légende de La Mecque, page 198
La légende de Médine, page 200
La bataille du Fossé, page 203
La charte de Médine, page 208
L’aggravation de la fiction, page 215
Toutes les religions sont polythéistes, page 223
Aucune trace de Mahomet... page 225
Comment le nom « Mahomet » a été inventé, page 231
Abou Bakr décrète la mort de Mahomet, page 232

Chapitre 9 : La Grande Déesse de la Kaaba, page 237
Le pèlerinage, page 240

Chapitre 10 : Pour que cessent les holocaustes, page 249
Du pardon, page 251
Nostalgie, page 253
Faisons un rêve, page 254
Fatwa, page 257

Annexe 1 : Les livres utilisés pour écrire le Coran, page 261

Annexe 2 : Les rédacteurs du Coran, page 262

Annexe 3 : Comment a été fabriqué le Coran, page 264

Bibliographie, page 267


Extrait : La chute d'Allah
Jamais on ne trouve dans le Coran ou la vie de Mahomet de discussion spirituelle, hormis des slogans assommants. Jamais on ne trouve de préoccupations mystiques, pour s'accorder avec un code moral supérieur à soi-même. Jamais on n'évoque le renoncement aux illusions et aux passions. Jamais on ne s'interroge sur la fin dernière de l'humanité. Le pardon est dispensé selon les caprices d'Allah ; la rémission des péchés ne provient pas d'une transmutation intérieure, mais d'une déclaration de foi mécanique, d'autant plus affirmée qu'elle ne se concrétise pas dans les oeuvres. On n'y trouve que la folle fragilité d'un Allah inquiet que ses sujets osent remercier une divinité subalterne, qu'il a pourtant créée. On n'y clame que le tragique désespoir d'un Dieu unique, tuant ses créatures après leur avoir envoyé Satan pour les faire douter ; obligé de massacrer pour obliger à la prosternation. On n'y constate que la vertigineuse chute d'Allah dans l'absolu néant, en guerre contre sa Création, n'ayant pour satisfaction que des gens serviles, robots sans conscience et sans liberté. On n'y lit que des plaisirs diaboliques, des menaces et des vengeances.

Les droits de la créature humaine sont bafoués, la trahison est sanctifiée ; l'abus de confiance est recommandé ; la cruauté, la bassesse, la possession, la cupidité, sont encouragées ; le mensonge et la dissimulation sont revendiqués.

La psalmodie fait office de piété, les récitations servent de réflexion, les litanies remplacent l'élévation. Et le tout, scandé jusqu'à la transe, pour oublier, l'espace d'une heure, la tragique condamnation pour le péché, non celui d'Adam, mais pire encore, pour le péché de vivre. Car qu'un humain vive insupporte Allah, jaloux de ne pas exister.

Acculé à subir un destin « attaché à son cou » dont il ignore la fin, voilà l'être humain surveillé pour effectuer des rituels vides de sens, pleurer de rage et d'amertume devant ce mépris de la création divine et l'incompréhension ontologique du monde. Qu'elle se soumette, cette engeance toujours prête à entrer en rébellion contre Allah, afin qu'il « envoie des messagers pour les avertir » et éprouver le plaisir de les détruire: « Il n'est de cité que nous ne ferions périr ou tourmenter d'un fort tourment avant le Jour de la Résurrection. Cela était tracé dans l'Ecriture. » (17,58)

L'être se croyait libre : il n'est qu'un étranger sur la terre, esclave prosterné. Mais, dans sa malédiction, il devra aussi se méfier de son meilleur ami, peut-être habité par un djinn ; ou de son fils, qui ne le jugera pas assez croyant et le vouera aux gémonies. Et il devra voir sa mère ou sa soeur humiliée et frappée, elle, la douce et belle, l'aimante, la consolatrice, elle seule qui mérite les beaux noms d'Allah. Comme elle est difficile, l'exigence coranique qui apprend à mépriser la femme ; à transformer la mère, divinité de notre enfance, en créature inférieure, attendant de peupler l'enfer

Et, pour couronner le tout, le fondement même de la spiritualité -la compassion- est absente du Coran. La pitié, l'amour, l'élan du coeur vers celui qui souffre, la sollicitude envers l'âme qui cherche, sont remplacées par des vociférations sinistres. Sans cesse, Allah est appelé miséricordieux ; mais jamais il n'accorde miséricorde. Sous la plume de rédacteurs ignorants, il est devenu un être vaniteux et cruel. Tout au plus consent-il à accepter la servilité comme gage de soumission ; et son pardon ne concerne que les doutes sur son existence, puisque les actes sont secondaires. Enfin, ivre de lui-même, Allah tombe dans le péché suprême d'orgueil, sans aucune compassion pour sa dramatique destinée de roi brûlant. Ainsi aveuglé par sa gloire, Allah remplace Lucifer. Il a dépassé ses semblables, Odin, Kâlî, Shiva, Nergal, Yahvé, Satan, et se retrouve seul au monde.

Le Coran, c'est finalement, sous prétexte de soumission absolue, le meurtre de Dieu, en le rejetant hors de l'humanité.

Ainsi les légendistes ont été les déclencheurs d'innombrables crimes contre Allah. Voilà pourquoi le Coran se reçoit selon la technique du gavage ; la foi n'est pas nécessaire, car la foi est un choix, et seule la soumission est tolérée. On peut noter que la fin du débat théologique dans l'islam, au quatorzième siècle, entraîna une régression durable de cette culture qui avait su, en traduisant les auteurs grecs et perses, atteindre des sommets de civilisation.

L'avis d'un lecteur :
Je viens de finir Un Juif nommé Mahomet. Passionnant. Je ne m'étais pas spécialement penché sur la question de l'existence de Mahomet. Je croyais, à lire quelques biographies du personnage, qu'il n'y avait pas de doutes même si des additions de légendistes avaient forcément pu polluer le récit. Comme cela venait de l'an 600, donc plus jeune que le Christ, je n'avais pas creusé la question. Pour le Christ et la Bible, je savais : pas de preuves concernant Jésus, et des preuves de plagiat pour la Bible. J'avais conclu : Mahomet était un mauvais qui a pondu un livre en copiant la Bible à la sauce arabe.
Erreur.
Je comprends que votre livre ait été refusé. Il y a tant et tant d'arguments que, forcément, l'un ou l'autre va faire mouche sur le lecteur. Et par ricochet, d'ailleurs, porter atteinte au personnage du Christ. Donc problèmes avec les fous dangereux d'Allah et courroux du Vatican.
Dans le genre "comment se faire des ennemis" votre livre est un best-seller potentiel !
Je vais vous dire l'argument qui m'a définitivement convaincu, genre le dernier coup de marteau qui enfonce le clou déjà solidement planté : le fossé de Médine. J'ai participé à des fouilles de villas gallo-romaines, dans un site PLUS ANCIEN que le site potentiel de Médine. Je n'ai rien trouvé de plus que des bouts de poteries dont le plus grand lot formait au mieux un fond de vase. En avion, j'ai vu des vestiges de maisons pouvant remonter jusqu'aux Romains. Je sais qu'il suffit de gratter sous un à deux mètres de terre, parfois plus mais pas tant que ça, pour retrouver des traces remontant à des époques faramineusement lointaines. 2000 ans ce n'est rien. 1400 ans encore moins, surtout pour un personnage qui aurait creusé un fossé suffisamment profond pour être infranchissable à des fantassins, et suffisamment large pour être difficilement franchissable à un cheval. Or, il est TOTALEMENT évident, que ce fameux fossé de la bataille de Médine  devrait toujours exister ! Comblé, certes, mais toujours là. Il est censé avoir été creusé dans la roche par endroits : la roche n'a pas pu se reformer (quoique, Allah est grand...) Et le fossé ne pouvait qu'encercler la ville, plus petite qu'actuellement. Sinon il suffisait de passer par l'endroit où il n'y avait pas de fossé ! Donc on creuse une tranchée depuis l'extérieur de la mosquée vers n'importe quelle direction et, mathématiquement, on coupe le fossé à un moment ou à un autre.
[Note du webmaster : en fait ce fameux fossé se serait situé seulement au nord-ouest de Médine. Les autres directions auraient été fortifiées par des palmiers empêchant les chevaux de passer. Ce détail mis à part, le raisonnement est correct : on devrait effectivement trouver trace de ce fameux fossé, s'il a existé.]
En plus, quand on fait un fossé, on fait un rempart, au minimum un remblai, avec les déblais : or le récit ne parle pas de rempart ni de remblai. Si je me rappelle bien, il y a un duel entre un adepte de Mahomet et un cavalier qui réussit à sauter le fossé, et les combattants sont visibles des deux côtés du fossé, encouragés par leurs armées respectives. Le terrain est donc à découvert des deux côtés du fossé. N'importe quoi. J'avais trouvé le détail bizarre : si un cavalier passe, tous passent ; si on peut voir le duel, on peut tirer des flèches sur les duellistes, or personne ne bouge. Les duels qui se déroulent devant deux armées passives, ça n'existe pas.
[Note du webmaster : selon Savary, le fossé est creusé autour des remparts mais rien n'indique si c'est au pied ou éloigné. Le duel dont il est question, entre Ali et Amrou, se déroule bien devant les deux armées, et il n'est pas question de remblais. Le récit n'est effectivement pas très cohérent tant en ce qui concerne les fortifications qu'en ce qui concerne le déroulement des combats, d'autant qu'en plus Ali descend dans le fossé pour tuer un ennemi. Le problème avec ce détail c'est qu'on est en droit de se demander comment Ali ressort du fossé si ce fossé est infranchissable par les ennemis...]
Dès que l'on se met à réfléchir, ça saute aux yeux, oui mais voilà le "merveilleux" du récit berce l'intelligence qui s'endort, et la grosse couleuvre s'avale comme une cuillère de confiture même quand on n'est pas musulman. Alors ceux qui sont passés par les écoles coraniques, ils ne risquent pas de réfléchir.
C'est évident, comme vous l'écrivez : deux à trois mois de fouilles, et c'est fini, les musulmans sont débarrassés de l'islam.
C'est ahurissant comme c'est simple, et encore plus ahurissant que l'on n'y pense pas. Voilà qui montre à quel point cette manipulation de l'islam est psychologiquement bien conçue. En fait TOUTES les techniques de la manipulation sont utilisées dans l'islam, absolument toutes : le lavage de cerveau par mantras, la démonstration publique de soumission, la pression du groupe, les non-dits, l'intrumentalisation de la sexualité, la paralysie de l'intelligence par la double contrainte etc... Moi qui me targue d'être du genre "on ne me la fait pas !" hé bien  je me suis fait "couillonné" par l' "argument d'autorité" : il existe des livres qui racontent les aventures de Mahomet, donc Mahomet a existé. Ben non : il existe aussi les aventures de Tintin, et il n'a jamais existé !
L'archéologie explique de surcroît cette interdiction faite aux non-musulmans d'aller dans les villes de La Mecque et de Médine. Il faut absolument que les gens allant dans ces endroits soient aveugles,  psychologiquement parlant, donc musulmans convaincus, et ils ne doivent pas avoir le temps de réfléchir quand ils viennent. Donc on leur impose des rituels compliqués, il font ça, et ils repartent. Point. Pas de réflexion, pas de visite des alentours. Surtout pas ! On retrouve un peu la même chose dans le pèlerinage au volcan de Lassolas pour l'histoire de Raël. Et le pèlerinage à Arès, pour la révélation d'Arès du frère Michel Potay.
Je me demande si de simples photos par satellite ne pourraient pas révéler l'absence de ce fameux fossé, en comparant avec des photos de sites similaires connus pour avoir eu des fossés avérés, datant de la même époque, maintenant comblés mais toujours visibles sur des vues aériennes. Alors qu'a Médine, rien.
Il y a juste un point sur lequel votre livre est muet. Vous ne dites absolument rien des reliques de Mahomet. On a son manteau, son turban, ses épées (à Topkapi je crois). Quid de ces reliques ? Certes, il ne doit pas y avoir eu d'études sur le sujet, vu qu'il y a toutes les chances pour que ces objets soient des faux ne datant même pas de l'époque correcte, et même en prouvant que ces reliques sont des faux cela ne changerait rien vu que des études faites sur le suaire de Turin ont démontré qu'il n'avait pas 2000 ans, sans que cela change quoi que ce soit à la superstition. Mais peut-être un paragraphe sur votre site pour évacuer le problème des reliques de Mahomet vous éviterait des critiques sur ce point."
(J.D)

A propos du problème des reliques de (et plus généralement : des preuves de l'existence de) Mahomet, voir l'enquête "Dans les pas de Sherlock Holmes sur les traces de Mahomet"

Radio ICI ET MAINTENANT !

Ecoutez Bernard Raquin parler de son livre.

Extraits de l'émission de David Abbasi
sur la radio ICI & MAINTENANT
Diffusion du jeudi 31 mars 2005


anime-pour-table-mat Table des matières

Les kamikazes de Satan

Violence biblique et coranique

Voile et manipulation

Invention d'Allah et versets sataniques

Origine de l'islam : l'avis des experts

Superstitions et double contrainte dans le Coran

Histoire du prophétisme

drapeau-anglaisEnglish version "A Jew named Muhammad"
Did Muhammad exist ?
Enquiry about monotheisms. 
    

Bernard Raquin is a psychotherapist and a writer : spirituality, humor, laugh, demanipulation. He's one the top experts about natural ans experimental spirituality.
Partager cet article
Repost0
3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 21:34

La gauche s'est implantée en Europe comme dans aucune autre région du monde développé. A l'image de sa consoeur américaine, elle a fait en sorte de remodeler l'histoire, de revoir les valeurs, de refondre les bases de la société. Elle s'appuie sur des visions tronquées de l'histoire mais largement diffusées par le biais du cinéma, des journaux, des livres bidons.

Il en est ainsi que la Conquête de l'Ouest. Qui ne connaît pas Sitting Bull, Crazy Horse, le général Custer ? Ces personnages sont connus, mais uniquement au travers de certains prismes. Custer, c'est celui de Little Big Man, peu importe que le personnage n'ait jamais massacré d'Indiens ou lancé une attaque insensée à Little Big Horn. L'historiquement correct lui a refait le portrait : Américain, blanc, il était destiné à être le méchant. Le gentil, c'est l'Indien perdu dans sa contemplation du cosmos, rêvant aux troupeaux de bisons, chevauchant nuit et jour dans les Grandes Plaines, parlant avec la nature. Qui ne croit pas à ce portrait d'une naïveté sidérante ?

Dans Danse avec les Loups, l'Occidental naïf en est convaincu : l'Indien avait toutes les qualités, l'arrivant pionnier tous les défauts. Pour la gauche qui hait tant la liberté et le progrès, le message est parfait.. Ajoutons-y l'accusation absurde et totalement fausse de "génocide" contre les Indiens d'Amérique, prétenduement orchestré par l'Etat américain, et vous avez typiquement un sujet "historiquement correct". Et historiquement faux. Un site internet a tenté de proposer une vision autrement plus juste : www.custerwest.org . Une pliée de gauchistes lui est tombé dessus, en vain. Les faits sont têtus et parlent d'eux-mêmes.

Ne nous y trompons pas : cette révision de l'histoire est une preuve de mépris absolu, autant à l'encontre des civilisations que la gauche prétend défendre qu'à l'encontre de celles qu'elle déteste. Les Indiens n'étaient pas une civilisation de paix, et ses membres cultivaient certaines coutumes plus proches de celles, cruelles, des Aztèquzes, que celles de Gandhi. Femmes, vous étiez traité moins bien que le poney. Polygamie, pédophilie, massacres,  mutilations des civils, du vieilliard au bébé, voilà la réalité des tribus guerrières de l'Ouest américain. Certes, l'armée américaine a commis des bavures (Wounded Knee, par exemple), mais est-ce pire que les Indiens qui ne faisaient jamais de prisonniers parmi leurs adversaires mâles, si ce n'étaient les petits garçons pour les violer, et emmenaient les femmes pour les faire crever de faim et les torturer des semaines durant dans des tournantes, de villages en villages, avant de les vendre à des proxénètes mexicains ? Vous avez vu cela, dans Danse avec les Loups ? Les pionniers l'ont vu, quand ils ne l'ont pas vécu, voilà seulement un siècle et demi.

"Le progrès et ses ennemis" titrait Guy Sorman dans l'un de ses livres (Fayard, 2001). Qui regrette une telle civilisation indienne, dont 95% de ses membres sont morts d'épidémies, un fléau totalement indépendant de la volonté humaine ? Aurait-il fallu qu'elle gagne face aux colons blancs qui avaient créé la première démocratie du monde et avaient instauré des droits individuels inaliénables, et où les abolitionnistes de l'esclavage montaient en puissance pour anéantir la dernière trace de totalitarisme à l'européenne dans la société américaine ?

La gauche ne se posera jamais de telles questions. Pour tous les amoureux de la pensée libre, je recommande la lecture du livre de David Cornut, "Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire", éditions Anovi, 2006. Une vision honnête de l'Ouest américain, dans toute sa complexité. Voir ici :

Ne laissons pas la gauche détruire les bases sur lesquelles se construit notre connaissance.


Film “Indigènes” : rétrospective

Publié par spqr sur 1 octobre 2007

Il y a un an était lancé à grand renfort de publicité rédactionnelle et d’éloges dithyrambiques dans les grands médias le film “Indigènes”. Partout en France sera maintenu pendant des mois l’affichage public sur ce film, alors que d’autres furent rapidement tantôt attaqués, tantôt plus habilement “déconseillés” ou minimisés, voire boycottés, tels La Passion du Christ ou Apocalypto de Mel Gibson, tous deux grands succès mondiaux.
L’énorme différence de traitement par les médias français était criante (1).

Un diaporama animé sur ce que fut réellement l’armée qui libéra la France en 1944/45 avec des images qui démontent les mensonges de ce film-propagande, par un qui y était :

pps.gifAu format PPS (s’ouvrira avec Open Office ou PowerPoint Viewer)
Cliquez sur “Download file”

diaporama Indigestes Indigenes PDFAu format PDF (s’ouvrira avec Adobe Reader)

N’hésitez pas à rediffuser ce diaporama.

 
La vérité sur les “indigènes” qui combattaient pour la France, l’ancien ministre socialiste Jack Lang mouché par l’historien Daniel Lefeuvre (2) :

(L’historien Daniel Lefeuvre sur les troupes coloniales - 2 min 18 s.).

A force de vouloir trop prouver avec des arguments infondés, ceux qui ont monté cette opération de propagande avec le film “Indigènes” se sont exposés à se discréditer eux-mêmes, pire encore pour eux, ils ont suscité un débat - ce qui est très bien - permettant de faire éclater devant le grand public ce qui jusqu’à présent n’était connu que de rares spécialistes de cette période, et en particulier de s’intéresser aux “Indigènes” (au sens qu’ils donnent à ce mot) d’en face ; voivi donc quelques images des musulmans dans la Waffen SS et des noirs dans la Wehrmacht (ici, l’Afrika Korps) sorties de la Boîte de Pandore :


(Musulmans, arabes et noirs dans la Waffen SS et la Wehrmacht - 1 min 12 s.).

Ladite boîte étant ouverte, voici encore plus méchant, images d’une époque où le politiquement correct n’existant pas, un film pouvait évoquer ce sujet ; ici encore quelques réalités peu glorieuses :


(Extrait du film italien “La ciociara” de Vittorio de Sica (1960) - 2 min 56 s.).


En Italie, le film "INDIGENES" a ravivé les souvenirs du poignant film "la CIOCIARA".

Loin des "flons flons", des effervescences et encensements faits autour de ce film, (subventionné par le Maroc à hauteur de 70%), loin des critiques entendues: manichéisme, démagogie, partialité, plagiat du film "il faut sauver le soldat Ryan", je vous invite à découvrir une vérité historique oubliée. Un pan moins glorieux de l'histoire de ces goumiers qui n'étaient pas tous des petits "agneaux gentils". Plongée dans une page d'histoire rarement connue :

Italie, mai 1944, le maréchal Joffre et ses 12.000 goumiers...

Une fois la ligne Gustav percée (et Monte Cassino réduit en miettes), les goumiers se sont lancés dans une hystérie de massacres, de pillages et de vols que l'on n'attendait évidemment de la part de "libérateurs, les livres d'histoire n'en parlent pas. Seul le roman d'Alberto Moravia "la Ciociara" de 1957 en parle. De ce roman, Vittorio De Sica en tirera un film trois ans plus tard, avec Jean-Paul Belmondo et Sophia Loren (qui recevra le Prix d'interprétation féminine au festival de Cannes en 1961).

Les viols et massacres se dérouleront entre le 12 et le 27 mai 1944, mais il y en aura d'autres notamment en Toscane.
L'historien marocain Tahar ben Jelloun explique cela par le fait qu'on avait enrôlé de force des montagnards primitifs pour lesquels "victoire" signifie butin. Ces hommes montaient d'ailleurs au combat en scandant la شهادة (chahada), la profession de foi musulmane. Ils revendaient aux Américains, avides de décorations, les prisonniers allemands 600 francs le troufion mais trois fois plus pour les gradés.

Un rapport anglais parle de viols, de prisonniers sodomisés, d'officiers allemands émasculés...d'italiens égorgés pour avoir voulu défendre l'honneur de leurs femmes, filles et même très jeunes enfants.

Selon l'historien local De Luna, on peut compter environ 3.500 viols et assassinats pour le seule région située au Nord de la ligne Gustav. Le pape écrivit à De Gaulle à ce sujet et les tribunaux militaires français jugèrent 160 cas impliquant 360 goumiers. Des condamnations à mort furent prononcées ainsi que des peines de travaux forcés (impossible de savoir si les exécutions ont eu lieu).

Comment de tels faits ont-ils pu se produire sous le commandement d'officiers français ? On évoque une "carte blanche" du maréchal Juin, mais sans trop de preuves...
Après la guerre, le gouvernement italien proposa une indemnisation aux femmes violées. Une cérémonie d'hommage aux femmes violées eut lieu soixante ans après les faits, le 15 mars 1964, en présence du président de la République italienne...


(Source : journal Père Ubu)

 


A noter que cette vidéo figurait sur Youtube à l’époque de la sortie du film “Indigènes”, mais a été censurée (3).

A tous ces propagandistes des médias de gauche : avant d’essayer de lancer un boomerang à la figure de vos adversaires politiques, choisissez un modèle qui ne revient pas (4) :mrgreen:

film 300(1) : plus récemment, nous avons vu le même type de dénigrement avec 300 de Zack Snyder. Ce n’est pas tant qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises critiques qui est frappant, mais les énormes différences de traitement et la quasi-unanimité suspecte des médias, unanimité d’autant plus ridicule et puérile que le bouche-à-oreille finit par fonctionner et que les spectateurs, moins bêtes que ce pour quoi les médias les prennent, désobéissent à leurs “conseils”.

 
 
 
(2) Daniel Lefeuvre : Pour en finir avec la repentance, Ed. Flammarion

(3) Youtube est coutumier de la censure de certaines vidéos dérangeantes pour le politiquement correct : lire notre mise-au-point à la fin de cet article.

(4) en vente chez les aborigènes d’Australie :-)

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2007 7 30 /09 /septembre /2007 22:54
Voici le film qui pulvérise les thèses d’Al Gore : “The great global warming swindle” (La grande arnaque du réchauffement global), sous-titré en francais:


(La grande arnaque du réchauffement global - 1 h 16 min - en V.O. sous-titrée en français).


Ce film démonte, à l’aide d’éminents spécialistes, climatologues, écologues, glaciologues, océanographes, chapitre par chapitre, la thèse du fameux film d’Al Gore : Une vérité qui dérange (An inconvenient truth)
Téléchargement : je vous le conseille ; cela vous permettra de le visionner tranquillement sans dépendre du débit Internet et surtout en plus grande dimension : sa qualité autorise un visionnage correct, avec fenêtre beaucoup plus grande ou en plein écran d’ordinateur, avec des sous-titres incrustés bien plus lisibles.

telechargezvideo
Avec sous-titres français ; .flv, qualité moyenne ; attention : 218 Mo

Vous pouvez aussi le visionner directement sur : Google Video et également le télécharger avec le bouton Download (en .mp4, 240 Mo, mais SANS les sous-titres cette-fois-ci ! Attention !)

Au-delà de ces tailles d’images, je vous recommande de vous procurer le DVD ici , ou là (disponible depuis fin Juillet 2007, en dépit des énormes pressions des partisans de la théorie du réchauffement global pour empêcher sa sortie).

Documentaire de la chaine indépendante Channel4 :
Réalisation : Martin Durkin.

Un documentaire en réponse aux mensonges et à la déformation de certains événements faite par Al Gore dans “Une vérité qui dérange” la version francaise de An Inconvenient Truth, film servant de support à Al Gore lors des conférences qu’il présente un peu partout dans le monde.

Voilà, vous avez toute la fin de semaine pour voir et commenter ce film. A bientôt.

Publié par spqr le 28 Septembre 2007.
Liens utiles :
The Great Global Warming Swindle
The Great Global Warming Swindle from Channel4

Autres articles sur le même sujet :
Une vérité qui dérange : un maladroit mensonge
Réchauffement global : les chiffres truqués
Réchauffement global : Non au catastrophisme médiatique
Ça se réchauffe encore

N.B. : si vous souhaitez écrire un commentaire , sachez que l’e-mail est facultatif

Changement de climat : l'origine humaine du réchauffement est-elle certaine ?

 

Aujourd’hui, mettre en cause l’origine humaine du réchauffement climatique est devenu intégriste, émettre des doutes, comme Claude Allègre, est politiquement incorrect et expose à une diabolisation médiatique. L’hystérie est telle que l'on accuse de négationnisme climatique, ceux qui ne se plient pas au pseudo consensus du GIEC. Liberté Chérie défend la liberté des scientifiques d'émettre des doutes et entend combattre le dogmatisme et les idéologies.

Le documentaire ci-dessus de la chaîne anglaise Channel 4 (sous-titré en Français) diffusé le 8 mars 2007 expose bien le problème.

Le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) --
en anglais Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) -- a été créé en 1988, à la demande du G7, par deux organismes de l'ONU : l'organisation météorologique mondiale (OMM) et le programme des nations unies pour l'environnement (PNUE). Il a pour rôle "d'évaluer l'information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique provoqué par l'homme". Le GIEC est ouvert à tous les pays membres de ces deux organismes et compte des centaines d'experts du monde entier, issus des universités, des centres de recherche, des entreprises, des associations de défense de l'environnement ou d'autres organismes -- ce n'est donc pas un organisme scientifique, mais un groupe d'experts à vocation politique. Depuis sa création, le GIEC a produit une série de rapports qui font maintenant référence, de plus en plus utilisés par les décideurs, les scientifiques, les étudiants et d'autres spécialistes. En fait c'est devenu le rôle principal du GIEC -- non d'évaluer la situation les plus sereinement possible -- mais de prouver que sa théorie est une vérité inévitable. Ces rapports influent les politiques environnementales de nombreux gouvernements. Or, ces rapports se basent sur des estimations invérifiables et loin d'être prouvées -- mais le problème c'est que le GIEC au lieu d'accepter les incertitudes et de promouvoir la recherche en conservant une attitude objective, a au contraire adopté une attitude catastrophiste et risquée, mettant en péril nos sociétés.

Il est coutumier de lire dans la presse ou d'entendre répéter dans les médias que les quelques rares chercheurs -- ils sont quand même plusieurs milliers -- qui contestent que l'effet de serre provoqué par l'homme serait le responsable du réchauffement climatique, sont de simples déviants, incompétents, mal informés, voir financés par les lobbies pétroliers ou encore des flat-earthers (comme disent les américains : ceux qui croient encore que la terre est plate), et même, des négationnistes (comme ceux qui nient la Shoah). Il est donc nécessaire de donner un aperçu de ce que pensent ces dissidents. Le professeur Richard Lindzen du Massachussets Institute of Technology (MIT), sommité de la climatologie, unanimement respectée, bardé de médailles et de prix prestigieux, membre de l'académie des sciences américaine et ex-représentant auprès du GIEC, a écrit dans le Wall Street Journal (11 juin 2001), "La science est communément utilisée, auprès du grand public, comme source d'autorité avec laquelle on peut réduire au silence ses opposants politiques et mettre en place une propagande auprès de nos concitoyens peu informés. C'est ce qui a été fait avec les rapports du GIEC et de l'académie des sciences. C'est une pratique répréhensible qui détruit notre capacité à prendre des décisions raisonnables. Une vision de la science plus équilibrée montrera qu'il existe encore une très grande marge d'incertitude, bien plus grande que celle que voudraient nous faire croire les supporters du traité de Kyoto". En outre il rappelle les mises à l’écart de Henk Tennekes (Pays-Bas), d’Aksel Winn-Nielsen (OMM), d’Alfonso Sutera et Antonio Speranza (Italie)… tous climatologues respectés mais tous coupables d’avoir émis de sérieux doutes sur le nouveau catéchisme du réchauffement. En Juin 2005, Yury Izrael, directeur de l'institut de l'écologie et du climat du globe de l'académie des sciences russe et vice-président du GIEC, contredit la position officielle de ce groupe d’experts -- qui affirme que la tendance du climat du globe peut être attribuée à des causes résultant de l'activité humaine. A la veille du sommet du G8 de 2005, il a déclaré ceci : "Le lien entre l'activité humaine et le réchauffement global n'est pas prouvé. La température du globe a augmenté pendant les années 1940 puis a décliné dans les années 1970 avant de se remettre à augmenter depuis lors. Le réchauffement global actuel ressemble à celui qui s'est produit pendant les années 40 quand les navires pouvaient facilement naviguer à travers l'arctique, alors qu'à cette époque, l'impact de l'activité humaine était bien moins important qu'il ne l'est à présent. Une expédition Russe qui revient d'une étude dans la partie centrale de l'antarctique déclare que les températures ont commencé à s'abaisser. Ces découvertes sensationnelles ne sont rien d'autre qu'une des surprises que nous réserve Mère Nature". Autre expert reconnu, qui est une sommité dans la sphère des spécialistes du climat de la planète, le professeur Wallace Broecker titulaire de toutes les médailles possibles et, en particulier du prix Craaford 2006 (attribué en Suède, l'équivalent du prix Nobel pour les sciences de la Terre) -- tout comme Claude Allègre d'ailleurs qui, lui, fut récompensé en 1986. Voici ce qu'il déclarait récemment : "Ma vie entière consacrée à l'étude du climat de la Terre m'a rempli d'humilité. Je suis convaincu que nous avons grandement sous-estimé la complexité de ce système. En définitive, les prédictions sur le changement du climat du globe relèvent essentiellement de la masturbation intellectuelle". Pour terminer ces citations qui sont loin d'être exhaustives, on peut citer Khabiboullo Abdoussamatov, chef du Laboratoire d'études spatiales de l'observatoire principal (de Poulkovo) de l'académie des sciences russe et directeur du projet d'astrométrie de la station spatiale internationale pour la Russie, et qui déclare : "C'est le Soleil qui est responsable du réchauffement climatique global, le gaz carbonique n'influant pratiquement pas sur ce processus". On voit donc que le consensus n’existe pas au niveau scientifique.

Le documentaire nous apprend que le thème du réchauffement climatique fut très pratique pour certains usages politiques. Margaret Thatcher, à la fin des années 80, aurait alors débloqué de gros budgets pour que les climatologues britanniques prouvent que le charbon était dangereux (car sa combustion dégage beaucoup de CO2 et de fumées toxiques) -- elle était alors en lutte avec les mineurs pour fermer les mines de charbon anglaises. Aux Etats-Unis, la NASA a utilisé le thème pour gonfler ses budgets d'études, des millions de dollars ont été débloqués pour financer des dizaines de satellites et des centaines de scientifiques qui bénéficiaient ainsi des recherches sur les changements climatiques. La peur entretenue par une partie des médias débloquait des financements publics de plus en plus importants. On entrait ainsi dans un cercle vicieux qui prend toutes ses dimensions aujourd'hui. A l'heure actuelle les milliards de dollars coulent à flot pour financer ceux qui doivent faire face à la nouvelle apocalypse. Or on doit revenir au bon sens. Vu les sommes qui sont en jeux, vu les intérêts, ne peut-on pas se demander si la nature des fonds de recherche n'induisent pas un biais dans les résultats ? Comment peut-on assurer que les résultats ne surestiment pas les risques ? Les changements prévus n'auront jamais lieux avant plusieurs générations, donc sont invérifiables empiriquement, cela autorise toutes les "libertés" dans l'interprétation des prévisions.  

Le réchauffement climatique est donc avant tout une histoire de gros sous et d'utilisation politique, mais ces gros budgets font vivre beaucoup de gens. Aujourd'hui, parmi les écologistes, on voit principalement sur le devant de la scène ceux qui se soucient plus de la destruction de l'économie de marché que de celle de la planète sont sur le devant de la scène -- c'est assez amusant de savoir que ces écologistes défendent une thèse instrumentalisée par Margaret Thatcher, qu'ils détestent pourtant par ailleurs. Ils dénoncent aussi les études privées qui -- selon eux -- seraient biaisées du fait de leur financement par des entreprises commerciales ; alors que la plus grande étude publique actuelle, avec des financements extraordinaires, est clairement détournée de son objectif premier -- à savoir protéger les populations d'un risque -- pour devenir l'instrument d'une extrême-gauche à l'idéologie périmée, en effet le gros des effectifs des écologistes sont des gauchistes, ils sont contre le capitalisme et l’économie de marché, ils sont contre la liberté économique et pour un plus grande intervention de l’Etat -- or il n’y a pas besoin de démontrer que ces solutions ont échoués, en laissant des dizaines de millions de morts et une pollution incroyable. Une certaine élite, composée d'hommes politiques et de hauts fonctionnaires, est toujours prête à financer les théories qui vont lui permettre de renforcer son pouvoir, aujourd'hui c'est le réchauffement climatique, demain ce sera autre chose, la seule parade à ces dérive étatiste est le maintien de l'attention des citoyens. Comme le disait déjà Thomas Jefferson : "le prix de la liberté, c'est la vigilance éternelle" .

Les solutions proposées par le GIEC -- inspirateur des accords de Kyoto -- sont toutes basées sur une idéologie étatiste et collectiviste. On utilise tous les subterfuges possibles pour empirer la situation et faire croire aux populations des pays industrialisés qu'elle est désespérée et qu'elle est le résultat de l'ingérence d'un monde libéral… Or les données sont faussées au départ. Le GIEC n'est pas un groupe scientifique, c'est un groupe d'experts politiques multinationaux dont l'objectif est "d'expertiser l'information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique provoqué par l'homme". Ses rapports et ses simulations, présentés comme des certitudes, sont en fait volontairement catastrophistes en prenant en compte des paramètres qui scientifiquement sont très improbables. Au sein du GIEC il n'y a pas de consensus, mais le message catastrophiste délivré par le groupe est devenu la ligne politique officielle, et les scientifiques ou les experts qui le dénoncent s'expose à l'exclusion du groupe -- donc à la perte de leur emploi -- et à une diabolisation -- ces deux risques sont très dissuasifs. Les Etats financent des recherches dont le but est de légitimer l’action étatique, c’est-à-dire à terme la prise de contrôle de la vie des individus. Les recherches sont donc biaisées dès le départ, si un chercheur ne trouve pas de résultat allant dans le sens de la cause humaine d’un réchauffement, il perdra ses crédits, de même il lui sera plus facile d’avoir des crédits sur n’importe quel sujet si il y fait mention du rapport au réchauffement climatique. Comme le rapporte un intervenant du documentaire de Channel 4, si par exemple un scientifique veut faire une étude sur les castors de Scandinavie, il augmentera ses chances d’avoir des crédits étatiques si son sujet est "influence du réchauffement climatique sur les castors de Scandinavie". On est donc bien en présence d’une idéologie étatiste à tendance totalisante, visant à contrôler tous les moments de la vie des individus de la naissance à la mort, cela rappelle Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley.

Les scientifiques interviewés dans le documentaire soutiennent que les problèmes climatiques sont liés à des causes multiples. La Terre et sa position par rapport au Soleil, l'activité de celui-ci (1), les rayonnements cosmiques, les gaz à effet de serre et le fonctionnement de l'atmosphère, les océans, l'activité humaine, les différents cycles de l'eau, du carbone, de l'oxygène, pour faire n'en citer que quelques uns. Or il est du plus pur bon sens de chercher à comprendre les mécanismes des changements actuels, si ils sont prouvés, et de ne pas retenir une seule solution -- qui si elle est mauvaise pourrait se révéler pire que le problème. Jean-Paul Croizé, journaliste expert en météorologie et climatologie, dénonçait en 2004 l'ambiance catastrophiste qui a empiré depuis, dans son livre Climat. La fausse menace ? Il y rappelait quelques vérités certaines, contrairement aux catastrophes supposées (2). Par exemple que les changements climatiques ont toujours existés, et sont rapportés dans nombre d'écrits célèbres depuis l'invention de l'écriture ; ou encore, que les carottes glaciaires (3) montrent que la variation du taux de CO2 dans l'air et les variations de température ne sont pas forcément liés selon la relation défendus par les partisans du réchauffement climatique à cause d'émission de CO2. Il expliquait aussi que l'accumulation de gaz dit à effet de serre, comme les gaz d'échappement ou les diverses fumées, en obscurcissant l'atmosphère et en faisant écran aux rayons du soleil devrait provoquer un refroidissement, et non un réchauffement… Il rappelait que les éruptions volcaniques envoient dans l'atmosphère beaucoup plus de gaz à effet de serre que l'activité humaine, et qu'on sait qu'il y a eu des époques dans l'histoire de la Terre où l'activité des volcans était beaucoup plus importante, et pourtant l'homme a toujours su s'adapter, grâce à son génie, aux changements climatiques.

La propagande écologiste en vient parfois à assimiler le CO2 à un polluant. Mais le CO2, c'est, faut-il le rappeler, le gaz que nous rejetons en respirant ; c'est aussi le gaz consommé par les arbres pour grandir. De là, l'objectif

Les grands objectifs du GIEC sont en fait loin d'être justifiés. En voulant réduire l'activité humaine et le développement des populations les plus pauvres, c'est à de grandes hécatombes humaines que l'on se prépare en cas de catastrophe de grande ampleur (4), car sans moyens technologiques, la réponse des hommes ne sera rendue que plus difficile. On dénonce les Américains qui ne respectent pas les accords de Kyoto, pourtant les paroles de George W Bush devrait être méditées par nos agitateurs irresponsables, quand il déclare : "mon approche reconnaît que la croissance économique est la solution, pas le problème. Car une nation dont l’économie progresse est une nation qui peut se permettre de faire des investissements dans les nouvelles technologies". C'est en effet ce qu'il faut réaffirmer avec force et détermination : le progrès est la solution, pas le problème ! L’application des propositions du GIEC aurait un coût énorme pour les sociétés industrialisées, elles mettraient un frein au progrès -- prôner la décroissance signifie l’arrêt du progrès, la croissance n’étant que la traduction économique du progrès humain -- or une société qui s’arrête est une société qui meurt…  Brider le progrès empêchera de développer les technologies qui permettront de relever les défis du futur, qui permettront aux 3 milliards d’hommes qui vivent encore dans le sous-développement de rejoindre nos standards, qui permettront à l’humanité d’accueillir les quelques milliards d’individus supplémentaires qui viendront peupler la Terre avant que la transition démographique ne soit achevée (5).

Le consensus scientifique scientifique n'existe donc pas et les voix dissidentes sont de plus en plus nombreuses pour dire qu'il est trop tôt pour établir des certitudes et aucun scénario n'est a écarter a priori, il se pourrait même que ce soit un refroidissement qui menace la planète dans les siècles prochains -- en effet les périodes glaciaires sont cycliques et normalement la prochaine ère glaciaire est programmée pour bientôt (6). Le GIEC en ne retenant qu'une seule hypothèse, présentée comme certaine, a donc outrepassé son mandat qui était de rendre compte des différents points de vue et des incertitudes, tout en dégageant clairement les éléments qui relèvent d'un consensus de la communauté scientifique. Les publications officielles du GIEC étaient censées proposer une synthèse des connaissances scientifiques, elles devaient inclure uniquement les publications qui font l'unanimité. Or cela n'est pas le cas. Le débat scientifique est empêché, les informations qui contredisent la thèse défendue par le GIEC sont dissimulées et les incertitudes sont balayées. La démarche du groupe de l'ONU est devenue le cheval de bataille d'une politique et présente de très grands dangers pour les hommes, au nom d'une catastrophe improbable on est en train de vouer des millions de gens à une mort certaine et des milliards d'autres à la misère.

La conclusion qui s'impose est la suivante : il est urgent d'attendre plutôt que de dépenser encore des milliards en projets dont l'utilité est loin d'être prouvée et de risquer la vie de millions de gens sur l'hôtel d'une idéologie périmée qui donne aux instances étatiques un rôle qu'elles ne peuvent remplir qu'au détriment de la population…



- Par Eric Cunat


Notes :

(1) Il semblerait que l'influence de l'activité solaire ait été grandement sous-estimée dans les variations du climat terrestre.
(1) Jean-Paul Croizé, Climat. La fausse menace ?, Paris, Carnot, 2004.
(2) Une carotte glaciaire est un échantillon de glace prélevé dans les calottes glaciaires, Il est formé par compression de couches de neiges successives, année après année. L'air ambiant y a été emprisonné sous forme de bulles dans la glace, on dispose donc d'un historique précis du climat, actuellement on arrive à remonter jusqu'à 700'000 ans en arrière.
(3) Climatique ou autre, causé par l'homme ou autre, les exemples se compte par centaine chaque année, tremblements de terre, ouragans, tsunamis, incendies de forêt, inondations, sécheresses, attentats, accidents, guerres.
(4) La transition démographique c’est le passage du régime démographique traditionnel (espérance de vie faible, taux de mortalité élevés, nombre d’enfants élevé) au régime moderne (espérance de vie élevée, taux de mortalité faibles, nombre d’enfants faible), les progrès, notamment ceux de la médecine, permettent de réduire la mortalité, alors que les sociétés en transition ont encore beaucoup d’enfant, provoquant une augmentation forte de la population. Quand la transition est terminée l’effectif de la population se stabilise. On estime que la population devrait se stabiliser sur Terre autour de 12 milliards d’habitants vers 2100.  
(5) Même si bientôt à l'échelle de la terre c'est avec une incertitude de quelques centaines d'années. On peut noter au passage que le consensus scientifique des années ’70 était celui d’un refroidissement inéluctable.

Pour plus d'informations :

- La tribune de Claude Allègre, parue dans Le Monde (26 octobre 2006) : http://www.fahayek.org/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=1196
- Un site web français répertoriant les arguments des "sceptiques" : http://www.climat-sceptique.com/
- Les scientifiques qui sont contre le consensus, ici les Américains (liste des signataires en colonne de gauche), http://www.oism.org/pproject/s33p36.htm, ici les Canadiens, http://www.friendsofscience.org/index.php?ide=11
- Bravo au site Skyfall pour le sous-titrage en français du documentaire de Channel 4 : http://skyfall.free.fr/?p=87

L'image “http://www.liberte-cherie.com/images/logo_liberte_cherie.gif” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
Partager cet article
Repost0
29 septembre 2007 6 29 /09 /septembre /2007 03:48


par Daniel Pipes
Jerusalem Post, 26 septembre 2007

VO: http://www.danielpipes.org/article/4973

Sans que le monde extérieur en prenne vraiment conscience, une quantité d’argent importante et en croissance rapide est gérée aujourd’hui en accord avec la loi islamique, la charia. Selon une étude, «à la fin 2005, plus de 300 institutions de plus de 65 juridictions géraient des actifs d’une valeur globale de l’ordre de 700 milliards à un billion de dollars d’une manière compatible avec la charia».

L’économie islamique prend une ampleur de plus en plus incontournable grâce à une profusion de portefeuilles d’exportateurs de pétrole et une multiplication d’instruments financiers islamiques (tels que des emprunts sans intérêts et des obligations sukuk). Mais à quoi rime tout cela? Les instruments conformes à la charia peuvent-ils concurrencer l’ordre financier international? L’instauration d’un régime économique islamique va-t-il vraiment de pair, comme l’affirme un enthousiaste, avec la fin de l’injustice grâce à «l’intervention de l’État pour le bien de tous»?

Pour comprendre ce système, le meilleur point de départ est Islam and Mammon, un brillant ouvrage que Timur Kuran a écrit alors qu’il occupait (paradoxalement, vu le soutien saoudien à l’économie islamique) la chaire «King Faisal Professor of Islamic Thought and Culture» (pensée et culture islamiques) de l’université de Californie du Sud.

Kuran, qui enseigne actuellement à Duke University, estime que l’économie islamique ne remonte pas à Mahomet, qu’elle est une «tradition inventée» qui a émergé en Inde, dans les années 1940. La notion de discipline des sciences économiques «qui serait clairement et ouvertement islamique est très récente». Il y a encore un siècle, même les plus savants des Musulmans auraient été interloqués par l’«économie islamique».

L’idée a été forgée à l’origine par un intellectuel islamiste, Abul Ala Maududi (1903-79), pour qui l’économie islamique servait de moyen vers de nombreuses fins: minimiser les relations avec les non-Musulmans, renforcer le sentiment collectif d’identité musulmane, étendre l’Islam dans un nouveau domaine d’activité humaine et moderniser sans occidentaliser.

Les sciences économiques islamiques ont pris leur essor en tant que discipline universitaire vers la moitié des années 1960. Elles ont bénéficié d’un élan institutionnel pendant le boom pétrolier des années 1970, lorsque les Saoudiens et d’autres Musulmans exportateurs de pétrole, qui entraient alors pour la première fois en possession de fortes sommes d’argent, ont apporté un «vaste soutien» au projet.

Les partisans de l’économie islamique avancent deux propositions fondamentales: que le système capitaliste a échoué et que l’Islam fournit la solution. Pour évaluer cette dernière assertion, Kuran se penche avec beaucoup d’attention sur le fonctionnement concret de l’économie islamique et sur ses trois principales affirmations, à savoir qu’elle abolit l’intérêt sur l’argent, qu’elle engendre l’égalité économique et qu’elle établit une éthique commerciale supérieure. Sa conclusion est qu’elle échoue totalement à ces trois niveaux.

  • «Nulle part l’intérêt n’a disparu des transactions économiques et l’islamisation économique ne bénéficie nulle part d’un soutien massif.» Les opérations exotiques et complexes de participation aux pertes et profits comme ijara, mudaraba, murabaha et musharaka font toutes intervenir des paiements d’intérêts déguisés. En fait, les banques qui se prétendent islamiques «ressemblent davantage aux autres instituts financiers modernes qu’à un quelconque héritage de l’Islam». Bref, il n’y a pratiquement rien d’islamique dans les pratiques bancaires islamiques – ce qui explique en grande partie pourquoi Citibank et d’autres grandes banques occidentales détiennent des dépôts conformes à l’Islam beaucoup plus considérables que les banques spécifiquement islamiques.
  • L’ambition de réduire les inégalités en imposant la zakat n’a réussi «nulle part». Kuran estime que cet impôt «ne génère pas nécessairement un transfert de ressources vers les pauvres et peut même en fait conduire à un transfert de ressources négatif pour eux». Pire encore, en Malaisie, l’imposition de la zakat, supposée aider les pauvres, semble plutôt servir de «prétexte fort commode pour promouvoir des objectifs islamiques et pour enrichir les responsables religieux».
  • «Le nouvel accent porté sur la morale économique n’a eu aucun impact sensible sur les comportements économiques.» Ceci en raison du fait que, comme dans le socialisme, «certains éléments du programme économique islamique sont contraires à la nature humaine».

Kuran rejette la notion même de sciences économiques islamiques. «Il n’existe pas de manière spécifiquement islamique de construire un bateau, de défendre un territoire, de guérir une épidémie ou de faire des prévisions météorologiques», alors pourquoi l’argent? Il conclut que l’importance de l’économie islamique réside non pas dans l’économie, mais dans l’identité et la religion. Ce projet «a promu la propagation de courants de pensées antimodernes (…) dans l’ensemble du monde islamique. Il a aussi favorisé la formation d’un milieu encourageant le militantisme islamiste.»

En fait, l’économie islamique contribue à l’instabilité économique mondiale en «empêchant les réformes sociales et institutionnelles nécessaires à un développement économique sain». Ainsi, si les Musulmans avaient bel et bien l’interdiction de verser et de facturer des intérêts, ils seraient relégués «dans la marge de l’économie internationale».

Bref, l’économie islamique ne fournit qu’une contribution insignifiante aux sciences économiques, mais elle constitue un important et pernicieux danger politique.

* * *

Voir aussi:
Lettre ouverte à la Commission fédérale des banques
Le vrai sens du djihad intérieur


L'image “http://img514.imageshack.us/img514/5350/ajm472ah9.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
La prière de Mahmoud aux Nations Unies
 

Sans commentaire.

Excellent site citoyen canadien francophone

Contre l’islamisme, hors parti, hors confession, sans prétentions, plein de bonne volonté et de bonnes idées, cherche des contributeurs, titre fort bien choisi. Tout simplement un must:

Partager cet article
Repost0
25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 22:46

Yuri Bezmenov : idiots utiles du socialisme et manipulation de l’opinion

Nous vous présentons aujourd’hui une interview-clé sous-titrée par nos soins. Telle que vous la verrez, la vidéo est constituée de divers morceaux épars, retrouvés sur Internet et remontés. Ceci explique les différences de qualité d’image ou de son suivant les passages.

 
Note de traduction : Nous avons souhaité garder le terme “Démoralisation” en l’encadrant de guillemets dans les sous-titres. Il faut bien entendu comprendre : perte de la morale, perte des valeurs.

Yuri Bezmenov


Le texte complet de la vidéo est disponible ici


Bien que datant de 1985, cette interviewest d’une rare actualité. Yuri Bezmenov, ex-agent du KGB passé à l’Ouest dans les années 1970 raconte par le menu les techniques de déstabilisation et de manipulation de l’opinion. Il révèle ainsi comment le bloc socialo-communiste :


• a sciemment mis en œuvre une politique globale de manipulation de l’opinion et des élites au niveau mondial.
• a conditionné les écoliers et étudiants occidentaux aux idéaux socialistes sur au moins trois générations. Cette tâche représentait selon lui 85% de l’activité du KGB.
- a systématiquement recruté tous les faiseurs d’opinion à l’ouest pour influencer et déstabiliser le monde non-communiste.
• a conditionné et “dé-moralisé” (perte des valeurs) des pans entiers de la société, devenus les “idiots utiles” du socialisme.

Cet entretien permet de comprendre pourquoi, en 2007, nous devons encore composer avec une gauche lunaire, pourquoi autant de profs formatés continuent de saper des générations d’écoliers et d’étudiants et pourquoi la lutte contre le socialisme marxiste, malgré toutes les preuves de sa nocivité, est toujours à l’ordre du jour. La culture “égalitariste”, l’anti-racisme idéologique, les problèmes liés à l’immigration par exemple, sont très étroitement liés à l’intense désinformation socialiste-marxiste qui a saturé les esprits jusque dans les années 90. Nous en récoltons les indigestes fruits aujourd’hui.

Dans une conférence dont il reste des traces sur Internet, Yuri Bezmenov – alias Thomas Schuman – a donné d’autres indications sur les techniques destinées à déstabiliser les nations occidentales. Parmi ces stratégies de déstabilisation, il cite entre autres :

 

• le sabotage des unités nationales (ethniques, raciales, religieuses, linguistiques) 
• la ridiculisation du sentiment patriotique en le dégradant au rang d’une maladie mentale (psychotic) 
• l’encouragement de l’agitation politique dans le monde du travail en politisant les syndicats. 

 

Nous avons donc bien toujours les deux pieds dedans et nous n’avons pas changé de monde : nous sommes toujours les héritiers de la guerre froide. C’est aujourd’hui de l’intérieur que la maladie tente de se répandre. Et les “idiots utiles” sont toujours aussi actifs. 

 

Notes :

• À notre connaissance, cette interview n’a jamais été traduite en français.
• il n’existe sur internet aucune version complète de l’interview originale de 2 heures. Les références en sont : “Soviet Subversion of the Free World Press” [A conversation with Yuri Bezmenov] American Media, Westlake Village, CA.
• Nous vous encourageons à télécharger, copier et diffuser ce document.
• Ceux qui le souhaitent peuvent nous demander les fichiers vidéo source (non sous-titré) et le fichier de sous-titres séparé (en vue de la traduction en d’autres langues).
• La vidéo semble également l’objet d’une chasse régulière de la part de Youtube et de Google Vidéo, peut-être pour des raisons de droit, peut-être pour motifs idéologiques [exemple de liens morts].
• en cherchant sur Youtube ou Google video, vous trouverez malgré tout des extraits, qui ont tous été uploadés il y moins de 5 mois et qui n’ont pas encore été effacés. Ils le seront surement prochainement.


    

Transcription complète :

 

Texte de l’interview de Yuri Bezmenov


 

Septembre 26th, 2006 — John Doe



Nous interviewons aujourd’hui Yuri Alexandrovitch Bezmenov. Youri Bezmenov est né en 1939 dans la banlieue de Moscou. Il est le fils d’un officier de haut rang de l’armée soviétique. Il est issu des écoles de l’élite du système soviétique, et il est devenu un expert de la culture et des langues de l’Inde. Il a fait une carrière exceptionnelle au sein de Novosti, qui était, et est encore, l’agence de presse du régime soviétique, agence qui servait également de paravent pour le KGB.

Il est passé à l’Ouest en 1970 après été avoir été totalement dégouté du système soviétique, et il l’a fait au péril de sa vie. C’est certainement l’un des plus grands experts mondiaux en matière de propagande soviétique, de désinformation et de manipulation. Quand les soviétiques parlent de subversion idéologique , qu’entendent-ils par là ?

 

La subversion idéologique, c’est un processus qui n’a rien d’illégal ou de caché. C’est une action menée au grand jour. Il suffit pour s’en rendre compte de se déboucher les oreilles, d’ouvrir les yeux, et cela devient évident. Il n’y a aucun mystère. Cela n’a rien à voir avec l’espionnage. Je sais que travailler dans le renseignement, cela fait plus romantique, c’est plus vendeur auprès du public. C’est sûrement pour ça que les producteurs d’Hollywood aiment tant les films du genre James Bond.

Mais en réalité, l’action principale du KGB n’est pas du tout de faire du renseignement. Selon moi, et selon l’avis de beaucoup d’autres transfuges qui ont le même profil que moi, seuls 15% du temps, de l’argent et des effectifs sont consacrés à l’espionnage en tant que tel. Les 85% restants sont consacrés à un processus très lent, que l’on appelle soit subversion idéologique ou manipulation de l’opinion, - xxxxxxxxxxx dans le langage du KGB - ou guerre psychologique . Cela signifie essentiellement : changer la perception de la réalité de tous les américains, au point que malgré la profusion d’information, plus personne n’est plus capable de tenir un raisonnement correct afin de défendre ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté, ou de son pays. C’est un processus de lavage de cerveau généralisé, qui va très lentement, et qui comprend 4 phases.

La première phase est celle de la démoralisation . Cela prend entre 15 et 20 ans pour démoraliser un pays. Pourquoi tant d’années ? Parce que c’est le nombre d’années minimum requis pour éduquer une génération d’étudiants du pays visé, et pour l’exposer à l’idéologie adverse. En d’autres termes, l’idéologie marxiste-léniniste est actuellement injectée dans les esprits malléables d’au moins 3 générations de jeunes américains, sans rencontrer de résistance, sans être contre-balancée par les valeurs de base de l’Amérique ou par un patriotisme américain.

L’essentiel de l’activité du département était de compiler d’énormes quantités d’information sur des personnes qui étaient ensuite instrumentalisés pour influencer l’opinion publique. Éditeurs, écrivains, journalistes, acteurs, éducateurs, profs de sciences politiques, députés, hommes d’affaires… La plupart de ces gens étaient divisés en deux groupes : ceux qui soutenaient la politique du régime soviétique étaient promus à des postes de pouvoir. grâce à la manipulation de l’opinion et des média. Ceux qui refusaient l’influence du communisme dans leur pays, leur réputation était ruinée. Ou ils étaient exécutés. Physiquement. Révolution oblige.

Ainsi, dans une petite ville du Sud-Vietnam, plusieurs milliers de Vietnamiens ont été exécutés en une seule nuit, après que la ville ait été prise par les Viet-Cong, au bout de seulement deux jours. Et la CIA n’a jamais compris comment les communistes avaient pu aller si vite, pour repérer chacun d’entre eux, connaître leurs domiciles là où les trouver, les arrêter, tout cela en une seule nuit. en à peine quelques heures, avant le lever du jour, et les embarquer dans des camions, les conduire hors de la ville et les exécuter.

La réponse est très simple : bien avant que les communistes occupent la ville, il existait un réseau complet d’informateurs, des vietnamiens habitant la région, qui savaient absolument tout des personnes en mesure d’influencer l’opinion publique, jusqu’aux simples barbiers ou aux chauffeurs de taxi. Tout ceux qui étaient favorables aux États-Unis ont été exécutés. Même chose à Hanoï [Vietnam], pilotée par l’ambassade soviétique. et je faisais la même chose à New-Dehli. À ma grande horreur, j’ai découvert, dans les dossiers des personnes qui allaient être exécutées, le nom de journalistes pro-soviétiques qui étaient mes amis personnels

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img5/Thomas_David_missing.pngPro-soviétiques !?
Oui, absolument ! Ils défendaient un idéal communiste, ils avaient fait plusieurs voyages en URSS. Et pourtant, le KGB avait décidé que, révolution oblige, pour mener à bien les changements politiques drastiques de l’Inde, il fallait les éliminer. - Pourquoi cela ? Parce qu’ils en savaient trop… Simplement parce que les idiots utiles, les gens de gauche qui sont idéalistes, qui croient en la beauté du système soviétique, communiste, socialiste… quand ils ouvrent les yeux sur la réalité, ils deviennent les pires ennemis du système.

C’est pourquoi mes instructeurs, au KGB, insistaient tout particulièrement sur ce point : Ne vous préoccupez jamais des gauchistes. Oubliez ces prostitués politiques. Visez plus haut. Telles étaient mes instructions. Essayez de pénétrer les média conservateurs bien établis, essayez d’atteindre les producteurs de films riches à millions les intellectuels, les milieux soit-disant académiques, entrez en contact avec les cyniques, les égo-centriques qui peuvent vous mentir d’un air angélique en vous regardant droit dans les yeux. Voilà les gens qu’il fallait recruter : ceux qui n’avaient plus aucuns principes moraux, les gens avides de pouvoir, ceux qui se prennent pour quelqu’un, ou qui se croient très importants. Voilà les profils que le KGB cherchait à recruter .

Mais pour éliminer les autres, ne sont-ils pas utiles ?
Non, ils ne sont utiles que dans la phase de déstabilisation du pays. Par exemple, tous les gens de gauche ici, tous ces professeurs, et ces magnifiques défenseurs des droits à l’égalité, sont instrumentalisés dans ce processus de subversion, et ce uniquement pour déstabiliser le pays. Quand cette étape sera achevée, ils ne seront plus nécessaires. Ils en savent trop. Quand leurs illusions tomberont, une fois un pouvoir marxiste en place, ils seront bien évidemment scandalisés, car ils s’imaginent que ce sont eux qui vont prendre le pouvoir. Cela n’arrivera jamais bien sur. Ils seront alignés contre un mur et exécutés. Ils seraient les adversaires les plus acharnés d’un régime marxiste-léniniste.

C’est ce qui s’est passé au Nicaragua : vous vous souvenez quand la plupart des anciens communistes ont été jetés en prison, ou quand l’un d’entre eux a changé de camp pour s’opposer aux sandinistes. C’est aussi arrivé à Grenade, quand Maurice Bishop, du parti marxiste, a été exécuté par un autre, plus marxiste que lui. Même chose en Afghanistan quand Taraki a été assassiné par Amin, lui même assassiné par Karmal avec l’aide du KGB. Même chose au Bangladesh, avec Mujibur Rahman, un leader de gauche très pro-soviétique, assassiné par ses propres amis communistes de l’armée. Le mécanisme se répète chaque fois à l’identique. Une fois qu’ils ont servi, les idiots utiles sont soit exécutés jusqu’au dernier - je parle des idéalistes marxistes - ou exilés, ou jetés en prison, comme à Cuba, ou beaucoup d’anciens marxistes sont en prison.

Fondamentalement, l’Amérique est coincée par cette démoralisation . Si vous commenciez maintenant, à la minute même, à former une nouvelle génération d’américains, cela prendra quand même de 15 à 20 ans pour inverser la tendance, pour inverser cette perception idéologique de la réalité, et revenir à la normale et aux idées patriotiques.

Le résultat ? Vous pouvez observer le résultat. La plupart de ceux qui ont fait leurs études dans les années 60, de ceux qui ont quitté l’école, et la plupart des pseudo- intellectuels occupent à l’heure actuelle des postes de pouvoir au gouvernement, dans l’administration, dans les affaires, les médias, ou dans le système éducatif. Vous êtes coincés avec eux. Et vous ne pouvez pas vous en débarrasser. Ils sont contaminés. Ils sont programmés pour penser et réagir à certains stimulus d’une façon déterminée. Vous ne pouvez pas changer leur façon de voir, même si vous leur présentez des informations véridiques. Même si vous leur démontrez que blanc, c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur perception de base et leur logique de comportement.

En d’autres termes, chez ces gens, le processus de «démoralisation» est total et irréversible. Pour débarrasser la société de ces personnes, il faut de nouveau attendre 15 à 20 ans, pour éduquer une nouvelle génération d’étudiants, leur inculquer des idéaux patriotiques et en faire des gens de bon sens, qui agissent dans l’intérêt de la société américaine. Et ces personnes qui ont été programmées , et qui sont en place, favorables aux idéaux communistes, ce sont ces mêmes personnes qui seraient voués à être massacrés dans un tel système. La plupart d’entre eux, oui. Simplement parce que avec le choc psychologique qu’ils éprouveraient en découvrant ce qu’est VRAIMENT leur magnifique société d’égalité et de justice , ils se révolteraient, c’est bien évident. Ils seraient extrêmement mécontents, frustrés. Et un régime marxiste-léniniste ne peut tolérer ce genre de personnes. Ils rejoindraient à coup sûr le camp des dissidents et des opposants. Et à la différence des États-Unis actuels, il n’y a pas de place pour les dissidents dans un régime marxiste-léniniste. Ici, vous pouvez devenir très célèbre, comme Daniel Ellsberg, ou démesurément riche comme Jane Fonda, en répandant des opinions dissidentes ou en critiquant la politique du Pentagone. Dans un système marxiste, ces gens seraient simplement pfft’, écrasés comme des cafards. Ils n’obtiendraient rien en retour de leurs belles et nobles idées d’égalité. Ça, ils ne le comprennent pas. Ce serait un shock terrible pour eux.

Aux États-Unis, le processus de démoralisation est en fait terminé. Et cela depuis 25 ans. Il dépasse même toutes les espérances : la démoralisation atteint désormais une telle ampleur que même Andropov et tous ses experts n’auraient jamais rêvé d’un tel succès. Pour la plupart, elle est maintenant effectuée par les américains eux-mêmes sur d’autres américains, grâce à la disparition des repères moraux. Comme je l’ai dit auparavant, dire la vérité [sur les régimes marxistes] n’a plus aucune d’importance. Une personne démoralisée n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel, cela ne l’atteint plus. Même si je la bombardais d’information, de preuves authentiques, de documents, de photos, même si je l’emmenais de force en URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait de le croire, jusqu’à ce qu’il reçoive un bon coup de pied au derrière. C’est seulement quand la botte militaire s’abattra qu’alors il comprendra. Mais pas avant. C’est ça le tragique de la démoralisation.

L’étape suivante est la déstabilisation : dans ce cas, les révolutionnaires ne se soucient plus de vos idées ou de votre façon de vivre. Tout ça ne compte plus. Cela prend seulement 2 à 5 ans pour déstabiliser un pays, et ce qui compte, ce sont les fondamentaux : économie, relations étrangères, défense. Et l’on peut voir clairement que, dans certains domaines, dans des domaines aussi sensibles que la défense ou l’économie, l’influence des idées marxistes-léninistes est absolument prodigieuse. Je n’en croyais pas mes yeux, il y a 14 ans, quand je suis arrivé ici, je ne pensais pas que le processus irait aussi vite.

L’étape suivante est l’insurrection. Cela prend environ 6 semaines pour amener un pays au bord de la crise, comme vous pouvez le voir en Amérique Centrale actuellement.

Après la crise, à la suite des violents changements de régime, de structure et d’économie, arrive ce que l’on appelle la phase de normalisation, qui peut durer indéfiniment. La normalisation est une expression d’un grand cynisme, issue de la propagande soviétique. Quand les chars ont envahi la Tchécoslovaquie en 1968, Brejnev a déclaré : Maintenant, la situation en Tchécoslovaquie est normalisée.
Et c’est ce qui arrivera aux États-Unis si vous laissez tous ces abrutis amener le pays à la crise, si vous les laissez promettre aux gens monts-et-merveilles et le paradis sur terre , si vous les laissez déstabiliser votre économie, éliminer l’économie de libre-échange, et mettre un gouvernement Big-Brother à Washington, avec des dictateurs bienveillants du genre Walter Mondale qui vous promettront tout ce que voulez, peu importe que ces promesses sont tenues ou non. Il ira ensuite à Moscou baiser les pieds de la nouvelle génération de criminels communistes. Il donnera l’illusion d’avoir les choses bien en main et qu’il contrôle la situation.

Mais la situation n’est PAS sous contrôle. Elle est même épouvantablement hors de tout contrôle, La plupart des politiciens américains, la plupart des médias, et le système éducatif forment une génération de gens qui croient vivre une période de paix. C’est faux. Les États-Unis sont en guerre. Une guerre non déclarée et totale, contre les principes et les fondements même de ce système. Et l’initiateur de cette guerre, ce n’est pas Andropov, bien sur, c’est une guerre contre le système communiste mondial, aussi ridicule que cela paraisse. ou contre la conspiration communiste mondiale, que cela fasse peur aux gens ou non, je m’en fiche. Et si vous n’avez pas peur maintenant, rien ne vous fera peur… Il ne faut pas devenir paranoïaque à ce sujet. A vrai dire, ce qui se passe actuellement, c’est que contrairement à moi, vous avez encore plusieurs années à vivre, - à moins que l’Amérique ne se réveille - avec cette bombe à retardement. Et le désastre approche chaque seconde un peu plus. Et contrairement à moi, vous n’aurez nulle part où vous réfugier. A moins d’aller en Antarctique, avec les pingouins. Ici, c’est le dernier pays de libertés, où tout reste possible.

Et que faire alors ? Que recommandez-vous aux Américains ?
La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’il faut un effort national de grande ampleur pour éduquer les gens dans le sens des valeurs patriotiques, et ensuite expliquer le réel danger du système socialiste, communiste, quel que soit son nom, le danger de l’état providence, du système Big Brother . Si les gens ne réussissent pas à saisir l’imminence de ce danger et de cette évolution, rien n’aidera les Etats-Unis. Vous pouvez dire au revoir à vos libertés. à la liberté des homosexuels, aux droits des détenus etc… Toutes vos libertés disparaitront, elles seront carbonisées en quelques secondes. Et vos précieuses vies avec. Deuxièmement, au moins une partie de la population est convaincue que le danger est réel. Ils doivent FORCER le gouvernement, - et je ne parle pas d’envoyer des lettres, des pétitions, ou d’autres nobles et belles activités de ce genre - , je parle bien de forcer le gouvernement à arrêter d’aider le communisme.


Partager cet article
Repost0
17 septembre 2007 1 17 /09 /septembre /2007 23:03

 

L'apostasie en islam est le rejet de l'islam par un musulman.

Il n'existe pas de définition et d'attitudes punitives homogènes à travers le monde islamique : on trouve ainsi de grandes différences selon les orientations politiques et l'époque.

D'une manière générale, kâfir désigne le mécréant, l'apostat et l'athée. Il peut aussi désigner l'hérétique et toutes sortes de dissidents politiques Le takfîr représente la déclaration d'apostasie.

Voir la suite :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Apostasie_dans_l'islam [ndrl : l'islam est une secte qui condamne à mort ceux qui la quitte.]

L’APOSTASIE EN ISLAM.

L’apostasie c’est l’abandon de la religion. Souvent c’est lié à la conversion à une autre religion. "On change de crèmerie"comme on dit vulgairement. Mais le concept d’apostasie est plus vaste en islam . Il englobe ceux qui abandonnent l’islam mais aussi ceux qui ont une conception divergente de cette religion, en d’autres termes, les hérétiques et ceux dont le comportement ou les écrits laissent supposer qu’ils ont abandonné l’islam et sont devenus mécréants. C’est le cas des musulmans athées ou agnostiques.

En arabe l’apostasie se traduit par « ridda » dont le sens indique un retour en arrière. . On trouve aussi le verbe–irtadda ‘an qui signifie « s’éloigner de , revenir en arrière. »

Or en islam il est interdit de quitter la religion SOUS PEINE DE MORT...
Pourquoi Salman Rushdie a-t-il été condamné à mort pour son ouvrage « les versets sataniques » ? Parce qu’en s’attaquant au Coran et à Mahomet il a commis le crime d’apostasie passible de la peine de mort. Il est considéré comme étant sorti de l’islam.
Depuis la fatwa de l’imam Khomeini, il vit caché , sous haute protection , changeant fréquemment de domicile, abandonné de sa femme qui a divorcé. L’affaire Rushdie, c’est une histoire d’apostasie. .

Or, paradoxalement, il est très facile d’entrer dans l’islam. L’islam encourage les conversions- Liberté d’entrer MAIS PEINE DE MORT POUR TOUTE PERSONNE QUI QUITTE LA RELIGION..
Car la liberté est une liberté à sens unique , un peu à la manière des prisons : liberté d’entrer. Interdiction de sortir. CELUI QUI EST MUSULMAN UNE FOIS DOIT LE RESTER POUR TOUJOURS.
Il est dit dans un hadîth : « celui qui change de religion, tuez-le »

Dans le droit musulman, le musulman peut tuer un autre musulman dans les trois cas suivants :*
-l’apostasie ( la mécréance après la foi musulmane) !
- l’adultère après le mariage
- l’homicide sans motifs

Le concept d’apostasie ,comme nous l’avons dit plus haut, est large . Sont coupables d’apostasie , ceux qui se convertissent à une autre religion mais aussi ceux qui ne le pratiquent plus l'islam.

L’apostasie a des conséquences énormes : l’apostat est un paria .
Sur le plan civil , il perd tout droit : ; il perd le droit de se marier à une musulmane. S’il est marié le divorce est immédiat, ses enfants lui sont retirés , ses biens sont confisqués
Les conséquences sur le plan pénal sont effroyables quand le droit musulman est appliqué dans le pays. c’est tout simplement la peine de mort.

Le code soudanais de 1991 a prévu un article 126 « Commet le délit d’apostasie tout musulman qui fait de la propagande pour la sortie de la nation de l’islam ou qui manifeste ouvertement sa propre sortie par un dire explicite ou par un acte ayant un sens absolument clair ». Ainsi Mahmûd Taha (1916-1985) a été pendu pour apostasie le 11 janvier 1985 au Soudan . Pourtant dans le code pénal de 1983 il n’y avait pas le délit d’apostasie.

INSULTER DIEU, LE CORAN ET MAHOMET CELA CONSTITUE LE DELIT D’APOSTASIE.

Mais ce qui est moins connu c’est L’ACTION POPULAIRE CONTRE L’APOSTAT.
Chaque individu a le droit de saisir les tribunaux pour juger un apostat . Chaque musulman a le droit et même le devoir de punir l’apostat . C’est le devoir d’interdire le mal . C’est dit dans le Coran :, sourate 3, verset 110 « Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah ».
. Ordonner le convenable et interdire le blâmable , c’est le devoir de tout bon musulman, et c’est pourquoi il s’occupe OBLIGATOIREMENT des affaires des autres musulmans . « Accrochez vous tous à la corde d’Allah » dit un hadîth. Soyez tous unis , c’est le mot d’ordre de l’islam.

DEUX POIDS, DEUX MESURES.
- Quand les chrétiens se convertissent à l’islam , c’est la joie chez les musulmans
- Quand les musulmans se convertissent au christianisme, c’est l’horreur
- Quand les musulmans écrivent un livre en faveur de l’islam, c’est normal
- Quand un livre est écrit contre l’islam , c’est le scandale. . Tempête et menaces de mort

POURQUOI ?
Parce que les musulmans considèrent que leur religion est parfaite.
L’islam existait déjà bien avant que le premier homme Adam ne soit créé.

Il est du devoir de TOUS d’entrer dans l’islam et d’y demeurer à jamais !!!
Tout musulman doit protéger son islam et protéger celui des autres musulmans car le musulman est le frère du musulman ( al muslim akhû al muslim)
Or ce qui annule et menace la communauté toute entière c’est l’apostasie.
Les musulmans ne peuvent comprendre, ne peuvent admettre qu’un musulman quitte l’islam, la religion la plus parfaite aux yeux d’Allah.

On entre facilement , très facilement en islam. La conversion est plus que facile, une simple formule. Mais on ne peut pas en sortir. Sans parler des flammes de l’enfer, celui qui ose renier l’islam se renie lui-même, se nie en tant que créature de Dieu . Il ne mérite pas de vivre.

Il n’est licite de verser le sang d’un musulman que dans trois cas :
• pour l’apostasie
• pour l’adultère
• pour le talion

Pourquoi l’équivalence entre ces trois crimes ?
CE SONT DES ACTES TRANSGRESSEURS QUI MENACENT L’ORDRE DE LA COMMUNAUTE , DES ACTES QUI FONT SORTIR DE L’ORDRE NORMATIF.
EN TUANT LES COUPABLES ON FAIT DISPARAITRE LA FAUTE.
Dans le cas de la femme adultère on efface la femme par lapidation , on la rend invisible ainsi que sa faute , et ce, pour l’éternité.
Pour l’apostat il faut le supprimer pour que la communauté retrouve son unité et sa sérénité.
Sa survie EST UNE MENACE POUR L’ORDRE RELIGIEUX MUSULMAN.


Anne-Marie  Delcambre sur Liberty Vox
Partager cet article
Repost0
15 septembre 2007 6 15 /09 /septembre /2007 23:02

L'image “http://dessins.de.konk.free.fr/25000_riches/chaque_annee.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.Les sociétés occidentales développées sont gouvernées par la primauté de l’économique sur le politique ; leur réussite se mesure à l’aune de la croissance de leurs richesses ; elles ont en partage l’idéologie du libre-échangisme mondial qui repose sur le principe de la liberté de circulation des capitaux, des marchandises et des hommes, dans le but d’obtenir la meilleure allocation des ressources possible.

Dans cette perspective, l’immigration est souvent présentée comme une nécessité pour permettre l’expansion des économies locales et faire face aux différents besoins de main-d’œuvre des entreprises. De façon plus globale encore, certaines études – de l’ONU notamment – justifient les migrations vers les pays développés par la nécessité de compenser le vieillissement de leur population et de maintenir un ratio actifs/inactifs suffisamment élevé.

Enfin le travail est présenté comme l’un des éléments de la réussite de l’intégration des immigrés à leur société d’accueil.

Néanmoins, cette vision majorative de l’immigration économique se heurte à la réalité des faits, comme le montrent les études sur les taux de chômage différentiels par origine, à travers les exemples français et britannique.

Explications :

1/ Chômage étranger en France : trois fois celui des nationaux

Beaucoup de résidents étrangers et de Français d’origine immigrée (nés de parents étrangers) participent au processus de production ; toutefois, la proportion de chômeurs parmi ces catégories reste significativement plus élevée que pour le reste de la population française.

Taux de chômage en France selon la nationalité
——————————————————————–

– Français 8,30%

– Etrangers de l’Union européenne 7,40%

– Etrangers hors Union européenne 25,10%

(Source : INSEE. Enquête emploi‑2002)

Ainsi le taux de chômage des étrangers hors Union européenne est trois fois supérieur à celui des Français.

L’analyse détaillée par nationalité montre des écarts encore plus forts.

Taux de chômage par groupe de nationalité
pour les 30/39 ans

—————————————————————————-

– Europe du Sud
(Espagnols, Italiens, Portugais)* : 13,00%

– Maghreb
(Algériens, Marocains, Tunisiens)* : 36,20%

– Autres nationalités d’Afrique
(ex Colonies françaises) 36,80%

– Turcs : 31,60%

– Vietnamiens, Laotiens, Cambodgiens : 26,40%

* Moyenne des moyennes de chaque pays.
(Source : INSEE. Recensement de la population 1999.)

Ainsi il apparaît que le taux de chômage est trois fois plus fort pour les ressortissants du Maghreb et de l’Afrique que pour les ressortissants du sud de l’Europe.

2/ La 2e génération immigrée connaît le même surchômage que la 1re

Ce surchômage de la première génération se reproduit à la seconde génération puisque le taux de chômage des jeunes dont les parents viennent du Maghreb est deux fois supérieur à celui des jeunes Européens.

Taux de chômage au bout de cinq ans de vie active
des jeunes*

——————————————————————–

– « Natifs » (Les deux parents sont nés en France) 10,40%

– Un des parents né en Europe du Sud : 12,60%

– Un des parents né au Maghreb : 21,10%

* Jeunes entrés dans la vie active en 1998.
(Source CEREQ. Enquête génération 1992 et 1998.)

3. Une intégration économique de moins en moins bonne des populations étrangères et d’origine étrangère non européenne

Un processus d’intégration doit s’analyser dans la durée. Or les statistiques révèlent que plus le temps passe moins l’intégration économique fonctionne.

Taux de chômage comparé
(Chômeurs en % de la population active)

————————————————————————–
1975 1982 2002 2003

– Français « Natifs » : 3,80% 8,40% 8,30% 10,40%

– Etrangers issus de l’Europe du Sud
(« Nés d’un parent né en
Europe du Sud ») : 3,30% 8,80% 13,00% 12,60%

– Etrangers issus du Maghreb
(« Nés d’un parent né
au Maghreb ») : 5,60% 18,40% 36,00% 21,10%

(Source : Pour 1975 et 1982 recensements. Moyenne des moyennes par nationalité. Pour 2002 et 2003 Tableaux précédents.)

L’évolution dans le temps de la situation du groupe Français et de « natifs » (nés en France de parents nés en France) et des Européens du Sud est strictement comparable.

En revanche, la situation économique des étrangers originaires du Maghreb se dégrade. Par rapport à la situation des Français leur taux de chômage est une fois et demie supérieur en 1975, deux fois plus fort en 1982, quatre fois plus élevé en 2002.

Et vingt ans plus tard, la situation de la deuxième génération issue d’un parent maghrébin reproduit strictement celle de la première : son taux de chômage est deux fois plus élevé que celui des jeunes Européens, de la même façon que celui de ses parents était deux fois plus élevé que celui des Français au début des années 1980.

Il y a donc une logique systémique d’échec de l’intégration économique des immigrés hors Union européenne, et singulièrement d’origine africaine ou maghrébine.

Ces faits sont incontestables, même si les interprétations susceptibles d’en être données peuvent diverger. Il est ainsi possible d’évoquer :

l’attitude discriminatoire des employeurs français ; explication la plus couramment avancée ;
la moindre adaptation de certaines populations immigrées aux emplois proposés, voire leur moindre productivité moyenne ; à cet égard, on ne peut passer sous silence le fait que l’Algérie, qui cumule fort chômage et émigration massive, ait recruté 40.000 travailleurs chinois (payés quatre fois plus que les travailleurs algériens) pour réaliser son programme de construction de logements financé par ses ressources pétrolières ;
un arbitrage différent selon les populations entre participation à l’économie de production et jouissance de l’économie de rente.

Toutefois il serait injuste d’imputer exclusivement la responsabilité de cette situation à l’attitude et au comportement des Français, pas plus qu’on ne pourrait l’imputer à leur modèle social d’intégration ou à leur modèle économique d’Etat Providence, puisque des phénomènes comparables sont observables en Grande-Bretagne : à la différence de la France, ce pays a adopté clairement une logique communautariste de gestion de ses minorités et pratique un libéralisme économique sans complexe.

4/ Grande-Bretagne : surchômage des Bengalis, des Pakistanais et des Noirs

A la différence de la France, la Grande-Bretagne publie des statistiques ethniques. Celles-ci font apparaître, au regard du chômage, de fortes différences de situation selon les minorités concernées.

Taux de chômage par groupe ethnique
en Grande-Bretagne en 2005

——————————————————————–

– Blancs d’origine : 4,40%

– Indiens d’origine : 6,80%

– Pakistanais et Bengalis d’origine : 15,00%

(Source : National statistics. Hommes et femmes. Décembre 2004 à novembre 2005.)

Les Pakistanais et les Bengalis ont un taux de chômage plus de trois fois supérieur à celui des Blancs.

Les Indiens ont aussi un taux de chômage supérieur à celui des Blancs, mais l’écart de l’ordre de 50% est beaucoup plus faible.

Taux de chômage des jeunes hommes de moins de 25 ans
——————————————————————-
– Blancs : 12,00%

– Africains noirs, Noirs des Caraïbes,
Pakistanais et métis : de 25% à 31%

– Bengalis : 40,00%

(Source : National statistics. Décembre 2003 à novembre 2004.)

Le modèle britannique et le modèle français sont très différents. Et pourtant on observe les mêmes problèmes d’intégration économique des immigrés. L’intégration des Noirs et des musulmans se faisant mal dans les deux cas, à la différence des immigrés de l’Europe du Sud en France et d’Inde en Grande-Bretagne. Dans les deux pays la situation est particulièrement critique s’agissant des jeunes immigrés noirs ou musulmans dont plus du tiers se trouve sans emploi.

Jean-Yves Ménébrez
© Polémia
30/08/07


Article de sacrilege
du 3 septembre 2007

L'image “http://www.telegraph.co.uk/news/graphics/2007/08/31/nbrum131.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.La population anglaise blanche en passe de devenir minoritaire dans de nombreuses villes d'Angleterre d'ici 20 ans ? C'est en tout cas ce que semble affirmer des démographes de l'université de Manchester.

Selon eux, Birmingham, considérée comme la deuxième plus grande ville du pays en nombre d'habitants, pourrait voir sa majorité blanche actuelle devenir minoritaire d'ici 2027. Ces récentes déclarations interviennent alors que plus de 35 villes anglaises possèdent déjà un ou plusieurs secteurs avec une population blanche minoritaire.

Plusieurs experts prévoient que Leceister (localisée dans le centre-est du pays) sera la première ville anglaise où la population blanche deviendra minoritaire, "d'ici quatre ans tout au plus", précise t-on.

Les chercheurs ont alerté plusieurs officiels à ce sujet, dont le politicien et ancien journaliste politique Trevor Phillips(labour party au pouvoir), l'un des spécialistes des relations entre les différentes ethnies qui peuplent le Royaume-Uni. Selon lui, ces changements démographiques pourraient entraîner une "fracture et des méfiances" et exacerber les tensions entre les différentes communautés du pays.

Ludi Simpson, un statisticien de l'Université de Manchester, spécialisé dans l'étude des populations, estime quant à lui que la population anglaise originaire du Pakistan doublerait d'ici 2026 dans la ville de Birmingham.

Selon lui, le principal facteur de cette accroissement démographique sera du au jeune âge de la population d'origine pakistanaise déjà présente, plutôt qu'aux flux migratoires en eux-mêmes.

Le Dr Simpson ajoute que "la grande tendance est à un taux de fécondité assez fort, couplé à une immigration principalement constituée de jeunes époux."

Il a mis en garde contre l'idée que différents groupes ethniques puissent trouver une identité commune, en la qualifiant de "dangereusement utopique" et "complètement irréaliste", selon le Daily Telegraph.

"La crise du logement et le manque de loyers abordables, l'environnement social pauvre et les comportements anti-sociaux sont les pricipaux problèmes" selon lui, "et non la composition ethnique ou la ségrégation en elle-même."



(Petite traduction de certains passages de l'article suivant du Daily Telegraph : ils en parlent aussi ici sur le DailyMail )

Les régularisations massives en Grande-Bretagne nous concernent Suggérer par mail
 
Société   |   05-09-2007
Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Après la régularisation de près d’1,5 million de clandestins par les gouvernements italien et espagnol, le gouvernement britannique annonce qu’il va en régulariser entre 300.000 et 400.000 dans les quatre prochaines années. Et il est précisé qu’ils auront dès lors droit à un logement, et au regroupement familial.

Le « ministre de l’Intérieur » du shadow cabinet de l’opposition souligne à juste titre que le premier effet de cette mesure sera d’encourager de nombreux autres candidats à l’immigration à tenter de venir dans le pays.

Cette décision fait grand bruit en Grande-Bretagne. Elle est quasiment occultée en France. Or, gouverner, c’est prévoir. En l’occurrence, c’est prévoir que d’innombrables candidats à l’immigration en Grande-Bretagne vont déferler en France pour se masser du côté de Sangatte. Le premier pays touché par les conséquences de cette décision va être le nôtre. Il est urgent que le ministre Hortefeux nous dise ce qu’il compte faire.
Partager cet article
Repost0
13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 22:09
Nous republions notre article de 2006, qui ne semble pas prêt d’être périmé…

Avez-vous déjà pratiqué un jeûne ? Un jeûne ayant de réelles vertus thérapeutiques, dépuratives, voire, selon vos croyances, spirituelles ? Si oui, vous savez déjà que le Ramadan n’est pas un jeûne. C’est même exactement l’inverse…

Quelle que soit la façon de considérer la question, qu’elle soit spirituelle, médicale ou physiologique, le Ramadan auquel se livrent le musulman n’est pas un jeûne. C’est au mieux, d’un simple point de vue technique, une privation quotidienne d’eau et de nourriture pendant 12 à 15 heures,  privation essentiellement placée sous le signe de l’impatience et de l’hypoglycémie agacée.

 

De la "pénitence" du jeûne véritable, du bénéfice escompté même d’une simple diète, il ne demeure en effet dans le Ramadan que l’attente crispée d’une libération à courte échéance, celle qui autorise, dès le soir venu, tous les débordements, tous les excès et, en fait de jeûne, la goinfrerie la plus absolue.

«Le ramadan, c’est la période fastueuse où on s’éclate en cuisine. Dès la rupture du jeûne,  le festin, commence» dit cette musulmane qui n’a pas sa langue dans sa poche (tiré de Libération).

Dans beaucoup de pays musulmans, le mois de Ramadan est donc paradoxalement devenu synonyme de consommation à outrance : les gens y mangent beaucoup plus qu’à n’importe quelle autre époque de l’année, et la période est marquée par la fièvre consommatrice qui frappe les ménagères en prévision des repas particulièrement riches des nuits ramadanesques. 

"Le ramadan est l’occasion pour beaucoup d’une prise de poids notoire et de la multiplication de festivités nocturnes." (afrik.com)

"Pendant le Ramadan, le seul Dieu, c’est la bouffe : ce mois de discipline religieuse est devenu un mois d’auto-complaisance absolu et d’hédonisme vorace " (north-of-africa.com)

Ce paradoxe majeur d’un "jeûne" vécu sur l’alternance rapide entre privation et gloutonnerie se renforce d’une deuxième hypocrisie soigneusement entretenue : la stoïque restriction d’eau et de nourriture de la journée est pour une large part une orgueilleuse façade qui se lézarde au moindre examen.

"Je trouve qu’il y a beaucoup d’hypocrisie" témoigne Akimath, (Sénégal), "la plupart des gens ne font pas le ramadan avec sérieux ! Les gens se cachent pour manger et font semblant de jeûner en public… On dirait que faire le ramadan est plutôt une question d’honneur. Personnellement, je ne suis pas surprise quand je vois des gens manger. Je préfère ça aux cachotteries"

 A ce sujet, on lit également avec un intérêt tout particulier le témoignage de ce professeur français au Maroc :

A Ramadan, des collègues [marocains] venaient souvent le matin prendre un petit déjeuner consistant. Ou dans l’après midi, un en-cas, du café et des œufs au plat, chez moi ou chez une autre collègue française, car ils n’osaient le faire chez eux. Mes amies françaises et moi (…) étions peinées de voir des adultes devoir se cacher comme des enfants mangeant un pot de confiture. 

Au fur et à mesure de mes années passées au Maroc, les changements sont devenus très perceptibles. En 1973, mes élèves mangeaient en se cachant à peine dans les toilettes, ceux de 1995 arrivaient dès le premier jour, faussement épuisés de la première nuit précédant le premier jeûne, en se traînant avec un jeu de cartes dans les mains. Tout au long de ma carrière, j’ai du affronter l’immense paresse, le fallacieux prétexte de Ramadan, transformé par tous en un mois supplémentaire de vacances qui cachent leur nom.

On fait semblant de travailler, on fait semblant de jeûner, on ne travaille plus, on dort, on n’écoute plus, on geint, on saute les cours de fin de journée, mais on veille , on joue aux cartes, on se promène tard en ville (…)

Moi-même je jeûnais pour montrer que si l’on veut le faire, on le fait sans ce battage despotique ! (…). Je rappelais à mes élèves que les chrétiens avaient le carême. Et ceux qui voulaient le faire le faisaient dans la plus grande discrétion, sans cette ostentation.

 Je suggérais que ceux qui faisaient Ramadan en renâclant ou en pleurnichant, n’avaient pas à le faire puisqu’ils témoignaient par leur attitude qu’ils n’en avaient aucune envie. Les élèves poussaient des hauts cris : comment ? Eux marocains, musulmans n’avaient pas envie de faire Ramadan ! Mais je me fourvoyais !

Qu’il était dur de les faire se regarder avec vérité, avec lucidité : ils étaient comme la société, toujours en train de se mentir à eux-mêmes, de porter le masque, de refuser de se poser des questions, de savoir qui ils étaient, ce qu’ils voulaient, d’affronter leur propre réalité : ils étaient musulmans sans discuter, sans réfléchir à ce que cela les engageait, ils étaient musulmans comme on est grand, petit, frisé ou châtain ! Il y avait, comme chez certains de mes amis marocains de faculté, le même aveuglement.

Je me rappelle de l’un d’entre eux qui dormait toute la journée et à qui nous passions les cours pour qu’il les recopie pendant la nuit : je lui dis, sous le sceau du bon sens me semblait-il :
"mais en fait tu as juste inversé ton rythme de vie ; je ne vois aucune différence, ni d’épreuve du jeûne là dedans !"
… Je l’avais offusqué !

Les singeries du ramadan actuel n’ayant donc rien à voir avec une quelconque spiritualité - fut elle de mauvaise aloi -, c’est sous un angle purement "culturel", celui d’une affirmation identitaire, qu’il faut envisager cette pratique.

"Pour une grande majorité de gens, c’est un rite identificatoire", estime la sociologue Leila Babes. "Le ramadan marque davantage une appartenance culturelle et affective à une communauté" ajoute-t-elle.

Cette affirmation identitaire, qu’en bonne logique on aurait espéré voir se résorber au fil des années (et au fil de l’"intégration"), cette affirmation, donc, ne fait d’ailleurs que croître. Les prescriptions religieuses sont maintenant un enjeu dès l’école : 

Le mois de carême musulman est une occasion de tension dans beaucoup d’écoles, de collèges et de lycées. Massivement suivie, pratiquée par des enfants de plus en plus jeunes (depuis le cours préparatoire), l’observance du jeûne est manifestement l’objet de surenchères entre organisations religieuses, qui aboutissent à l’émergence puis à la diffusion de prescriptions de plus en plus draconiennes. (Rapport Obin, 2004)

Il faut donc bien dire que la permanence des traditions musulmanes, leur conservation farouche, en notre "très chrétienne" Europe, par des populations présentes sur notre sol depuis au moins trois générations, signe d’évidence et au minimum un divorce. Mieux, un refus.

"Non, ils ne veulent pas s’assimiler. Ni s’intégrer, ni s’associer. Ils veulent les droits sans les devoirs. Les papiers sans l’identité. Ils veulent pour eux les avantages de notre société et pour nous les obligations et interdits de leur coutume. Ils ne sont pas des hôtes mais des occupants." (Libre Journal de la France courtoise)


Le saviez-vous ?


Le rythme du (faux) jeûne du Ramadan est à ce point a-diététique, désorganise tant la plupart des rythmes biologiques, et crée tant de désordre que le ramadan a donné son nom à un synonyme de chaos: “Ramdam”

RAMDAM, subst. masc.

A. − Manifestation bruyante et déplacée; grand bruit, vacarme. Synon. barouf, boucan, chambard, potin, raffut. Faire du ramdam. Au fig. Scandale. ,,Faire du ramdam. Rouspéter.
B. − Ensemble de faits créant une situation perturbante, désagréable. Synon. affaire, bazar.

Etymologie : Emprunté à l’arabe ramadan. Le sens du mot en français vient du fait que l’aspect le plus caractéristique du ramadan, aux yeux de nombreux non-musulmans, soit l’intense et bruyante activité nocturne qui suit les journées de jeûne durant ce mois. ->


Début du Ramadan

 

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2007 2 11 /09 /septembre /2007 22:22

Le faux-prophète

Image Hosted by ImageShack.us

Le dieu Allah de l’Islam est-il le même que la Sainte Trinité des Chrétiens ?

* Pour commencer, "celui qui prétend être le prophète d’Allah, Mahomet, devrait avoir des lettres de créances", c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie...

"Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterres, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu !"

* Prophète ? "Il n’a même pas su deviner qu’on jour le poison lui serait servi par des mains soumises."

* Et les miracles ? "Mahomet répète jusqu’à satiété que Moïse, Jésus-Christ et les autres prophètes ont fait des miracles, témoignage précieux pour notre foi, mais que lui n’est pas chargé d’en faire: il n’est chargé que de la prédication ; voilà la confession de son impuissance et par conséquent de son imposture et de son erreur." Par ailleurs, dit Monseigneur, "j’ai lu le récit de ses 18 miracles, d’après les auteurs arabes. Ce sont des phénomènes sans raison d’être, des contes puérils ou tout au plus des tours de sorcellerie qui feraient rire de pitié nos fameux prestidigitateurs... Tantôt ce sont des arbres qui se promènent, des pierres qui parlent et autres niaiseries que nous avons honte de rapporter ici. Voilà tout son bagage de thaumaturge !" Et manque d’arguments et de miracles, Mahomet fait croire que "le miracle des miracles, c’est le Coran, prodige qui dépasserait en beauté toutes les formes humaines..."

* "4 ou 5 chapitres du Coran sont assez agréablement tournés, j’en conviens ; mais... qu’est-ce que peuvent faire 5 chapitres pour racheter les prodigieuses niaiseries, les maximes jetées sans ordre, les hiéroglyphes bizarres, les non-sens habituels et les flagrantes contradictions qui remplissent les 114 chapitres de ce tome indigeste ?"

* "Dans le Coran je n’ai rien trouvé de bien neuf. Presque tout, excepté les infamies, y est emprunté et contrefait. Ce qui est vrai se trouve dans le Pentateuque et dans l’Évangile ; ce qui est faux, dans le Talmud, dans les légendes arabes ou sabéennes, dans les évangiles apocryphes... Or, on voudrait faire descendre fraîchement du Ciel ce qui est déjà vieux sur la terre, et ce que je rencontre au fond de la boue !"

*"Le sabre n’est point un argument pour l’intelligence humaine".

* "Parce que Jésus s’était choisi 12 apôtres parmi les fidèles, Mahomet en choisit 12 parmi ses sectateurs, ce qui l’a fait appeler par un écrivain du Moyen Age le ’copieur de Dieu’."... "À la place de la simplicité, de la douceur, de la bénignité, de l’esprit de paix et de pardon, de la pauvreté volontaire, de l’humilité, de l’amour des souffrances de Jésus, vous voyez éclater dans Mahomet la duplicité, la cruauté, la soif des jouissances, du butin, de la domination, de la vengeance et de l’orgueil, à leur paroxysme le plus élevé."

* "Pourquoi suis-je obligé, poursuit Monseigneur Pavy, de taire ses 21 épouses qu’il se donne après s’être engagé à n’en avoir que 4, sans compter ses 4 concubines, et cette infâme loi qui lui accorde toute femme musulmane dont le coeur se sentira incliné vers lui", fût-ce une fillette de 8 ans ?... "Donc, il n’est pas l’envoyé de Dieu".

* "Le Coran exprime, en de pompeuses paroles, les grandes idées des vertus naturelles, et lâche en même temps ouvertement la bride aux penchants les plus violents et les plus sulfureux... Il supprime les remords en introduisant le fatalisme... Mahomet, vaincu par la chair, accepte comme une loi divine sa domination absolue", par ses instincts les plus indignes.

* "Mahomet emprunte à chacune des religions existant à son époque une portion de ses doctrines, et de cet amalgame incohérent qui prétend ménager le Chrétien, le juif, le sabéen, l’idolâtre, il forme son symbole et lui donne pour suprême couronnement son aphorisme: ’Il n’y a de Dieu que Dieu, et Mahomet est son prophète’... Il se fonde sur l’amalgame des doctrines, et se couronne par l’orgueil de la personne"... "Mais la vérité n’est pas une propriété dont on puisse abandonner même une parcelle, dans l’intérêt prétendu de la paix".

* "Le Coran nie la divinité de Jésus-Christ".

* "Est-ce le Dieu véritable que le dieu de Mahomet ? Non ! Le faux prophète a donc fait un dieu nouveau ? Pas davantage. Il a fait de son dieu ce qu’il a fait de tout le reste, un bizarre assemblage des qualités les plus opposées ; il l’a arrangé à sa façon."

* "Son dieu unique, mes frères, est si faible qu’il n’ose jurer par lui-même !... Son dieu unique est le plus cruel des tyrans, puisqu’il fait lui-même tout dans l’homme, jusqu’au péché, puisqu’il ordonne à tous de croire à la nouvelle révélation du Coran, et déclare en même temps qu’il ne veut pas que les infidèles puissent y croire. Son dieu unique est un dieu sans cœur ; il n’aime pas, et il ne demande pas qu’on l’aime !"

* Le dieu de Mahomet "change l’éternelle beauté du ciel en un lieu de prostitution, dont les orgies dépassent en lubricité multiple et stérile tout ce que l’idolâtrie elle-même, dans ses conceptions les plus abjectes, avait pu rêver. Le dieu de l’islam, c’est un être tellement immonde, en sa complaisante faiblesse, que si l’autorité chargée de la garde des moeurs rencontrait dans nos rues quelque chose de semblable, elle devrait à l’instant l’arrêter et le dérober aux yeux d’un public, hélas, pourtant si facile ! Et se serait là le vrai Dieu ?"

* "Oh, non, non, ce n’est pas là le vrai Dieu du ciel et de la terre, le Dieu des nations, le Dieu des prophètes, le Dieu de Moïse, le Dieu de Jésus-Christ. Ce n’est pas Vous, ô Sainte Trinité, que cet homme a violemment combattue. Ce n’est pas Vous, ô Père saint, ô Verbe éternel, ô Esprit de lumière et de charité ! Ce n’est pas Vous, Jésus, le salut et la vie de mon âme... Cet homme, Mahomet, ne vous a pas connu, il n’a pas su vous aimer, lui. Pardon, Seigneur, si, pour la défense de votre nom, j’ai parlé d’un autre dieu que vous !"

* "L’islam est une prétendue religion que certains Français entourent encore de tant de respect.... Quelle morale est-ce donc, mes frères, que celle dont votre évêque n’ose pas exposer les principes, même pour les flétrir ?"

* La morale de l’islam ? "L’association du sang à la volupté, la guerre à l’infidèle, guerre permanente, guerre qui doit durer jusqu’à leur entière extermination ou soumission au tribut."

* "En lisant l’Evangile, j’ai appris à prier ; en lisant le Coran, je n’ai rien appris, et le musulman, j’en suis sûr, n’y apprend, lui, qu’à répéter de creuses et de vides formules. Je serais tenté de dire qu’une telle prière est un outrage, puisqu’elle s’adresse à un dieu qui n’existe pas, ou qui existe avec des attributs tout opposés à ceux que lui prête la doctrine du musulman."

* Et la science ? "Elle a paru, chez eux, comme un météore ; elle est restée, chez nous, comme un soleil dont les feux alimentent sans cesse l’activité de l’intelligence humaine... Quel progrès ont-ils fait dans l’agriculture ? Aucun ; et, tandis que nos moines défrichaient l’Europe, les musulmans ont abandonné à la stérilité ces belles provinces de la Syrie et de l’Afrique, si fertiles et si peuplées à l’époque où l’islamisme s’abattit sur elles."

* "Et la famille ? L’époux y est un capricieux despote, la femme une esclave ; point d’instruction, même élémentaire, pour elle ; point de mosquées où elle puisse prier avant l’âge de la vieillesse."

* Les conseils de Mgr , pour convertir les musulmans qui nous entourent ? "Y porter non la guerre, mais la paix ; non la licence du toit domestique, mais la pureté et l’inviolabilité du mariage chrétien ; non la vengeance, mais le pardon ; non ce fatalisme désespérant, qui compromet autant la puissance de Dieu et sa miséricorde que la liberté humaine, mais cette douce résignation qui lui fait compter les larmes comme autant de perles précieuses et les épines de la douleur comme autant de fleurons ajoutés à la Couronne du Christ. Amen."


Extraits du sermon prononcé par Monseigneur Louis Pavy, évêque d’Alger, en la cathédrale d’Alger pendant le Carême de 1853

Partager cet article
Repost0

Jumelage

Voir les articles

INDEX

 

 READ THIS BLOG IN ENGLISH WITH GOOGLE Click here

Ni totalitarisme nazi, ni totalitarisme communiste, ni totalitarisme islamiqueL'image “http://img57.imageshack.us/img57/3474/bouton3sitany0.gif” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »

George Orwell


DOSSIER

LE LIBERTARIANISME

Informez-vous sur la philosophie politique libertarienne


« Les faits sont têtus; quels que soient nos souhaits, nos inclinations ou les voeux de nos passions, ils ne peuvent changer l'état de fait et la preuve. »     John Adams

DOSSIER

LE WEB RESISTANT 

lewebresistant.gif

Informez-vous sur la cyber-résistance

 

« Les religions chrétiennes furent sanglantes et meurtrières en s'éloignant de leurs textes tandis que l'islam le fut en se rapprochant des siens. »                                                      Eric Conan



DOSSIER

FONDAMENTALISME, DJIHADISME, TERRORISME

L’ISLAMISME EST UN TOTALITARISME

img80/3421/poing1bjr1.jpg

Ce qu’il faut savoir sur l’une des plus grandes menaces politiques et religieuses du XXIème siècle

 


« Le socialisme cherche à abattre la richesse, le libéralisme à suprimer la pauvreté »                                                   Winston Churchill

 

DOSSIER

LISEZ LE rapport SUR LE SOCIALISME

Plus de 20 articles du blog C.R pour vous réinformer sur le socialisme


« Le Communisme est l'Islam du XXème siècle. »                                                   Jules Monnerot


DOSSIER

LISEZ LE rapport SUR LE COMMUNISME

Plus de 20 articles du blog C.R pour vous réinformer sur le communisme

 

« La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à gouter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée.  »                            Carl Gustav Jung

 

DOSSIER

LISEZ LE rapport SUR LE NAZISME

Plus de 20 articles du blog C.R pour vous réinformer sur le nazisme


« Ils ignorent que les épées sont données pour que personne ne soit esclave. »                                                                                        Lucain

Partenaire :