La gauche s'est implantée en Europe comme dans aucune autre région du monde développé. A l'image de sa consoeur américaine, elle a fait en sorte de remodeler l'histoire, de revoir les valeurs, de refondre les bases de la société. Elle s'appuie sur des visions tronquées de l'histoire mais largement diffusées par le biais du cinéma, des journaux, des livres bidons.
Il en est ainsi que la Conquête de l'Ouest. Qui ne connaît pas Sitting Bull, Crazy Horse, le général Custer ? Ces personnages sont connus, mais uniquement au travers de certains prismes. Custer, c'est celui de Little Big Man, peu importe que le personnage n'ait jamais massacré d'Indiens ou lancé une attaque insensée à Little Big Horn. L'historiquement correct lui a refait le portrait : Américain, blanc, il était destiné à être le méchant. Le gentil, c'est l'Indien perdu dans sa contemplation du cosmos, rêvant aux troupeaux de bisons, chevauchant nuit et jour dans les Grandes Plaines, parlant avec la nature. Qui ne croit pas à ce portrait d'une naïveté sidérante ?
Dans Danse avec les Loups, l'Occidental naïf en est convaincu : l'Indien avait toutes les qualités, l'arrivant pionnier tous les défauts. Pour la gauche qui hait tant la liberté et le progrès, le message est parfait.. Ajoutons-y l'accusation absurde et totalement fausse de "génocide" contre les Indiens d'Amérique, prétenduement orchestré par l'Etat américain, et vous avez typiquement un sujet "historiquement correct". Et historiquement faux. Un site internet a tenté de proposer une vision autrement plus juste : www.custerwest.org . Une pliée de gauchistes lui est tombé dessus, en vain. Les faits sont têtus et parlent d'eux-mêmes.
Ne nous y trompons pas : cette révision de l'histoire est une preuve de mépris absolu, autant à l'encontre des civilisations que la gauche prétend défendre qu'à l'encontre de celles qu'elle déteste. Les Indiens n'étaient pas une civilisation de paix, et ses membres cultivaient certaines coutumes plus proches de celles, cruelles, des Aztèquzes, que celles de Gandhi. Femmes, vous étiez traité moins bien que le poney. Polygamie, pédophilie, massacres, mutilations des civils, du vieilliard au bébé, voilà la réalité des tribus guerrières de l'Ouest américain. Certes, l'armée américaine a commis des bavures (Wounded Knee, par exemple), mais est-ce pire que les Indiens qui ne faisaient jamais de prisonniers parmi leurs adversaires mâles, si ce n'étaient les petits garçons pour les violer, et emmenaient les femmes pour les faire crever de faim et les torturer des semaines durant dans des tournantes, de villages en villages, avant de les vendre à des proxénètes mexicains ? Vous avez vu cela, dans Danse avec les Loups ? Les pionniers l'ont vu, quand ils ne l'ont pas vécu, voilà seulement un siècle et demi.
"Le progrès et ses ennemis" titrait Guy Sorman dans l'un de ses livres (Fayard, 2001). Qui regrette une telle civilisation indienne, dont 95% de ses membres sont morts d'épidémies, un fléau totalement indépendant de la volonté humaine ? Aurait-il fallu qu'elle gagne face aux colons blancs qui avaient créé la première démocratie du monde et avaient instauré des droits individuels inaliénables, et où les abolitionnistes de l'esclavage montaient en puissance pour anéantir la dernière trace de totalitarisme à l'européenne dans la société américaine ?
La gauche ne se posera jamais de telles questions. Pour tous les amoureux de la pensée libre, je recommande la lecture du livre de David Cornut, "Little Big Horn, autopsie d'une bataille légendaire", éditions Anovi, 2006. Une vision honnête de l'Ouest américain, dans toute sa complexité. Voir ici :
Ne laissons pas la gauche détruire les bases sur lesquelles se construit notre connaissance.
Film “Indigènes” : rétrospective
Publié par spqr sur 1 octobre 2007
Il y a un an était lancé à grand renfort de publicité rédactionnelle et d’éloges dithyrambiques dans les grands médias le film “Indigènes”. Partout en France sera maintenu pendant des mois l’affichage public sur ce film, alors que d’autres furent rapidement tantôt attaqués, tantôt plus habilement “déconseillés” ou minimisés, voire boycottés, tels La Passion du Christ ou Apocalypto de Mel Gibson, tous deux grands succès mondiaux.
L’énorme différence de traitement par les médias français était criante (1).
Un diaporama animé sur ce que fut réellement l’armée qui libéra la France en 1944/45 avec des images qui démontent les mensonges de ce film-propagande, par un qui y était :
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N’hésitez pas à rediffuser ce diaporama.
La vérité sur les “indigènes” qui combattaient pour la France, l’ancien ministre socialiste Jack Lang mouché par l’historien Daniel Lefeuvre (2) :
(L’historien Daniel Lefeuvre sur les troupes coloniales - 2 min 18 s.).
A force de vouloir trop prouver avec des arguments infondés, ceux qui ont monté cette opération de propagande avec le film “Indigènes” se sont exposés à se discréditer eux-mêmes, pire encore pour eux, ils ont suscité un débat - ce qui est très bien - permettant de faire éclater devant le grand public ce qui jusqu’à présent n’était connu que de rares spécialistes de cette période, et en particulier de s’intéresser aux “Indigènes” (au sens qu’ils donnent à ce mot) d’en face ; voivi donc quelques images des musulmans dans la Waffen SS et des noirs dans la Wehrmacht (ici, l’Afrika Korps) sorties de la Boîte de Pandore :
(Musulmans, arabes et noirs dans la Waffen SS et la Wehrmacht - 1 min 12 s.).
Ladite boîte étant ouverte, voici encore plus méchant, images d’une époque où le politiquement correct n’existant pas, un film pouvait évoquer ce sujet ; ici encore quelques réalités peu glorieuses :
(Extrait du film italien “La ciociara” de Vittorio de Sica (1960) - 2 min 56 s.).
En Italie, le film "INDIGENES" a ravivé les souvenirs du poignant film "la CIOCIARA".
Loin des "flons flons", des effervescences et encensements faits autour de ce film, (subventionné par le Maroc à hauteur de 70%), loin des critiques entendues: manichéisme, démagogie, partialité, plagiat du film "il faut sauver le soldat Ryan", je vous invite à découvrir une vérité historique oubliée. Un pan moins glorieux de l'histoire de ces goumiers qui n'étaient pas tous des petits "agneaux gentils". Plongée dans une page d'histoire rarement connue :
Italie, mai 1944, le maréchal Joffre et ses 12.000 goumiers...
Une fois la ligne Gustav percée (et Monte Cassino réduit en miettes), les goumiers se sont lancés dans une hystérie de massacres, de pillages et de vols que l'on n'attendait évidemment de la part de "libérateurs, les livres d'histoire n'en parlent pas. Seul le roman d'Alberto Moravia "la Ciociara" de 1957 en parle. De ce roman, Vittorio De Sica en tirera un film trois ans plus tard, avec Jean-Paul Belmondo et Sophia Loren (qui recevra le Prix d'interprétation féminine au festival de Cannes en 1961).
Les viols et massacres se dérouleront entre le 12 et le 27 mai 1944, mais il y en aura d'autres notamment en Toscane.
L'historien marocain Tahar ben Jelloun explique cela par le fait qu'on avait enrôlé de force des montagnards primitifs pour lesquels "victoire" signifie butin. Ces hommes montaient d'ailleurs au combat en scandant la شهادة (chahada), la profession de foi musulmane. Ils revendaient aux Américains, avides de décorations, les prisonniers allemands 600 francs le troufion mais trois fois plus pour les gradés.
Un rapport anglais parle de viols, de prisonniers sodomisés, d'officiers allemands émasculés...d'italiens égorgés pour avoir voulu défendre l'honneur de leurs femmes, filles et même très jeunes enfants.
Selon l'historien local De Luna, on peut compter environ 3.500 viols et assassinats pour le seule région située au Nord de la ligne Gustav. Le pape écrivit à De Gaulle à ce sujet et les tribunaux militaires français jugèrent 160 cas impliquant 360 goumiers. Des condamnations à mort furent prononcées ainsi que des peines de travaux forcés (impossible de savoir si les exécutions ont eu lieu).
Comment de tels faits ont-ils pu se produire sous le commandement d'officiers français ? On évoque une "carte blanche" du maréchal Juin, mais sans trop de preuves...
Après la guerre, le gouvernement italien proposa une indemnisation aux femmes violées. Une cérémonie d'hommage aux femmes violées eut lieu soixante ans après les faits, le 15 mars 1964, en présence du président de la République italienne...
(Source : journal Père Ubu)
A noter que cette vidéo figurait sur Youtube à l’époque de la sortie du film “Indigènes”, mais a été censurée (3).
A tous ces propagandistes des médias de gauche : avant d’essayer de lancer un boomerang à la figure de vos adversaires politiques, choisissez un modèle qui ne revient pas (4)
(1) : plus récemment, nous avons vu le même type de dénigrement avec 300 de Zack Snyder. Ce n’est pas tant qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises critiques qui est frappant, mais les énormes différences de traitement et la quasi-unanimité suspecte des médias, unanimité d’autant plus ridicule et puérile que le bouche-à-oreille finit par fonctionner et que les spectateurs, moins bêtes que ce pour quoi les médias les prennent, désobéissent à leurs “conseils”.
(2) Daniel Lefeuvre : Pour en finir avec la repentance, Ed. Flammarion
(3) Youtube est coutumier de la censure de certaines vidéos dérangeantes pour le politiquement correct : lire notre mise-au-point à la fin de cet article.
(4) en vente chez les aborigènes d’Australie