Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le Blogue de la Résistance sur Internet
  • : Le WEB Résistant est le seul site francophone présentant toutes les références sur les sites de réinformation. Faites-le connaître autour de vous ! Ne restez pas seul, nous sommes nombreux.
  • Contact

Profil

  • Cyber-Résistant
  • CYBER--LIBERTARIEN
  • CYBER--LIBERTARIEN

En bref

ajouter-favoris.png

Abonnement

Inscription à la newsletter

  

The 910 Group

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

The Counterjihad Calendar 2009
The Counterjihad Calendar 2010

Counterjihad Brussels 2007

Counterjihad Vienna 2008

Counterjihad Copenhagen 2009

Counterjihad Zurich 2010

EU Eurabia Francais

Le Bulletin de Réinformation de Radio Courtoisie

 
FAIRE LE TEST POLITIQUE ?

http://img263.imageshack.us/img263/2081/diagrammenolan.jpg

 

Web Statistics

 
Locations of visitors to this page

Entête

http://www.wikio.fr

"Si vous entendez ce message, c'est que vous êtes la résistance."

International Civil Liberties

About

The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


Rejoindre le forum

 

The Center for Vigilant Freedom

30 septembre 2007 7 30 /09 /septembre /2007 22:54
Voici le film qui pulvérise les thèses d’Al Gore : “The great global warming swindle” (La grande arnaque du réchauffement global), sous-titré en francais:


(La grande arnaque du réchauffement global - 1 h 16 min - en V.O. sous-titrée en français).


Ce film démonte, à l’aide d’éminents spécialistes, climatologues, écologues, glaciologues, océanographes, chapitre par chapitre, la thèse du fameux film d’Al Gore : Une vérité qui dérange (An inconvenient truth)
Téléchargement : je vous le conseille ; cela vous permettra de le visionner tranquillement sans dépendre du débit Internet et surtout en plus grande dimension : sa qualité autorise un visionnage correct, avec fenêtre beaucoup plus grande ou en plein écran d’ordinateur, avec des sous-titres incrustés bien plus lisibles.

telechargezvideo
Avec sous-titres français ; .flv, qualité moyenne ; attention : 218 Mo

Vous pouvez aussi le visionner directement sur : Google Video et également le télécharger avec le bouton Download (en .mp4, 240 Mo, mais SANS les sous-titres cette-fois-ci ! Attention !)

Au-delà de ces tailles d’images, je vous recommande de vous procurer le DVD ici , ou là (disponible depuis fin Juillet 2007, en dépit des énormes pressions des partisans de la théorie du réchauffement global pour empêcher sa sortie).

Documentaire de la chaine indépendante Channel4 :
Réalisation : Martin Durkin.

Un documentaire en réponse aux mensonges et à la déformation de certains événements faite par Al Gore dans “Une vérité qui dérange” la version francaise de An Inconvenient Truth, film servant de support à Al Gore lors des conférences qu’il présente un peu partout dans le monde.

Voilà, vous avez toute la fin de semaine pour voir et commenter ce film. A bientôt.

Publié par spqr le 28 Septembre 2007.
Liens utiles :
The Great Global Warming Swindle
The Great Global Warming Swindle from Channel4

Autres articles sur le même sujet :
Une vérité qui dérange : un maladroit mensonge
Réchauffement global : les chiffres truqués
Réchauffement global : Non au catastrophisme médiatique
Ça se réchauffe encore

N.B. : si vous souhaitez écrire un commentaire , sachez que l’e-mail est facultatif

Changement de climat : l'origine humaine du réchauffement est-elle certaine ?

 

Aujourd’hui, mettre en cause l’origine humaine du réchauffement climatique est devenu intégriste, émettre des doutes, comme Claude Allègre, est politiquement incorrect et expose à une diabolisation médiatique. L’hystérie est telle que l'on accuse de négationnisme climatique, ceux qui ne se plient pas au pseudo consensus du GIEC. Liberté Chérie défend la liberté des scientifiques d'émettre des doutes et entend combattre le dogmatisme et les idéologies.

Le documentaire ci-dessus de la chaîne anglaise Channel 4 (sous-titré en Français) diffusé le 8 mars 2007 expose bien le problème.

Le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) --
en anglais Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) -- a été créé en 1988, à la demande du G7, par deux organismes de l'ONU : l'organisation météorologique mondiale (OMM) et le programme des nations unies pour l'environnement (PNUE). Il a pour rôle "d'évaluer l'information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique provoqué par l'homme". Le GIEC est ouvert à tous les pays membres de ces deux organismes et compte des centaines d'experts du monde entier, issus des universités, des centres de recherche, des entreprises, des associations de défense de l'environnement ou d'autres organismes -- ce n'est donc pas un organisme scientifique, mais un groupe d'experts à vocation politique. Depuis sa création, le GIEC a produit une série de rapports qui font maintenant référence, de plus en plus utilisés par les décideurs, les scientifiques, les étudiants et d'autres spécialistes. En fait c'est devenu le rôle principal du GIEC -- non d'évaluer la situation les plus sereinement possible -- mais de prouver que sa théorie est une vérité inévitable. Ces rapports influent les politiques environnementales de nombreux gouvernements. Or, ces rapports se basent sur des estimations invérifiables et loin d'être prouvées -- mais le problème c'est que le GIEC au lieu d'accepter les incertitudes et de promouvoir la recherche en conservant une attitude objective, a au contraire adopté une attitude catastrophiste et risquée, mettant en péril nos sociétés.

Il est coutumier de lire dans la presse ou d'entendre répéter dans les médias que les quelques rares chercheurs -- ils sont quand même plusieurs milliers -- qui contestent que l'effet de serre provoqué par l'homme serait le responsable du réchauffement climatique, sont de simples déviants, incompétents, mal informés, voir financés par les lobbies pétroliers ou encore des flat-earthers (comme disent les américains : ceux qui croient encore que la terre est plate), et même, des négationnistes (comme ceux qui nient la Shoah). Il est donc nécessaire de donner un aperçu de ce que pensent ces dissidents. Le professeur Richard Lindzen du Massachussets Institute of Technology (MIT), sommité de la climatologie, unanimement respectée, bardé de médailles et de prix prestigieux, membre de l'académie des sciences américaine et ex-représentant auprès du GIEC, a écrit dans le Wall Street Journal (11 juin 2001), "La science est communément utilisée, auprès du grand public, comme source d'autorité avec laquelle on peut réduire au silence ses opposants politiques et mettre en place une propagande auprès de nos concitoyens peu informés. C'est ce qui a été fait avec les rapports du GIEC et de l'académie des sciences. C'est une pratique répréhensible qui détruit notre capacité à prendre des décisions raisonnables. Une vision de la science plus équilibrée montrera qu'il existe encore une très grande marge d'incertitude, bien plus grande que celle que voudraient nous faire croire les supporters du traité de Kyoto". En outre il rappelle les mises à l’écart de Henk Tennekes (Pays-Bas), d’Aksel Winn-Nielsen (OMM), d’Alfonso Sutera et Antonio Speranza (Italie)… tous climatologues respectés mais tous coupables d’avoir émis de sérieux doutes sur le nouveau catéchisme du réchauffement. En Juin 2005, Yury Izrael, directeur de l'institut de l'écologie et du climat du globe de l'académie des sciences russe et vice-président du GIEC, contredit la position officielle de ce groupe d’experts -- qui affirme que la tendance du climat du globe peut être attribuée à des causes résultant de l'activité humaine. A la veille du sommet du G8 de 2005, il a déclaré ceci : "Le lien entre l'activité humaine et le réchauffement global n'est pas prouvé. La température du globe a augmenté pendant les années 1940 puis a décliné dans les années 1970 avant de se remettre à augmenter depuis lors. Le réchauffement global actuel ressemble à celui qui s'est produit pendant les années 40 quand les navires pouvaient facilement naviguer à travers l'arctique, alors qu'à cette époque, l'impact de l'activité humaine était bien moins important qu'il ne l'est à présent. Une expédition Russe qui revient d'une étude dans la partie centrale de l'antarctique déclare que les températures ont commencé à s'abaisser. Ces découvertes sensationnelles ne sont rien d'autre qu'une des surprises que nous réserve Mère Nature". Autre expert reconnu, qui est une sommité dans la sphère des spécialistes du climat de la planète, le professeur Wallace Broecker titulaire de toutes les médailles possibles et, en particulier du prix Craaford 2006 (attribué en Suède, l'équivalent du prix Nobel pour les sciences de la Terre) -- tout comme Claude Allègre d'ailleurs qui, lui, fut récompensé en 1986. Voici ce qu'il déclarait récemment : "Ma vie entière consacrée à l'étude du climat de la Terre m'a rempli d'humilité. Je suis convaincu que nous avons grandement sous-estimé la complexité de ce système. En définitive, les prédictions sur le changement du climat du globe relèvent essentiellement de la masturbation intellectuelle". Pour terminer ces citations qui sont loin d'être exhaustives, on peut citer Khabiboullo Abdoussamatov, chef du Laboratoire d'études spatiales de l'observatoire principal (de Poulkovo) de l'académie des sciences russe et directeur du projet d'astrométrie de la station spatiale internationale pour la Russie, et qui déclare : "C'est le Soleil qui est responsable du réchauffement climatique global, le gaz carbonique n'influant pratiquement pas sur ce processus". On voit donc que le consensus n’existe pas au niveau scientifique.

Le documentaire nous apprend que le thème du réchauffement climatique fut très pratique pour certains usages politiques. Margaret Thatcher, à la fin des années 80, aurait alors débloqué de gros budgets pour que les climatologues britanniques prouvent que le charbon était dangereux (car sa combustion dégage beaucoup de CO2 et de fumées toxiques) -- elle était alors en lutte avec les mineurs pour fermer les mines de charbon anglaises. Aux Etats-Unis, la NASA a utilisé le thème pour gonfler ses budgets d'études, des millions de dollars ont été débloqués pour financer des dizaines de satellites et des centaines de scientifiques qui bénéficiaient ainsi des recherches sur les changements climatiques. La peur entretenue par une partie des médias débloquait des financements publics de plus en plus importants. On entrait ainsi dans un cercle vicieux qui prend toutes ses dimensions aujourd'hui. A l'heure actuelle les milliards de dollars coulent à flot pour financer ceux qui doivent faire face à la nouvelle apocalypse. Or on doit revenir au bon sens. Vu les sommes qui sont en jeux, vu les intérêts, ne peut-on pas se demander si la nature des fonds de recherche n'induisent pas un biais dans les résultats ? Comment peut-on assurer que les résultats ne surestiment pas les risques ? Les changements prévus n'auront jamais lieux avant plusieurs générations, donc sont invérifiables empiriquement, cela autorise toutes les "libertés" dans l'interprétation des prévisions.  

Le réchauffement climatique est donc avant tout une histoire de gros sous et d'utilisation politique, mais ces gros budgets font vivre beaucoup de gens. Aujourd'hui, parmi les écologistes, on voit principalement sur le devant de la scène ceux qui se soucient plus de la destruction de l'économie de marché que de celle de la planète sont sur le devant de la scène -- c'est assez amusant de savoir que ces écologistes défendent une thèse instrumentalisée par Margaret Thatcher, qu'ils détestent pourtant par ailleurs. Ils dénoncent aussi les études privées qui -- selon eux -- seraient biaisées du fait de leur financement par des entreprises commerciales ; alors que la plus grande étude publique actuelle, avec des financements extraordinaires, est clairement détournée de son objectif premier -- à savoir protéger les populations d'un risque -- pour devenir l'instrument d'une extrême-gauche à l'idéologie périmée, en effet le gros des effectifs des écologistes sont des gauchistes, ils sont contre le capitalisme et l’économie de marché, ils sont contre la liberté économique et pour un plus grande intervention de l’Etat -- or il n’y a pas besoin de démontrer que ces solutions ont échoués, en laissant des dizaines de millions de morts et une pollution incroyable. Une certaine élite, composée d'hommes politiques et de hauts fonctionnaires, est toujours prête à financer les théories qui vont lui permettre de renforcer son pouvoir, aujourd'hui c'est le réchauffement climatique, demain ce sera autre chose, la seule parade à ces dérive étatiste est le maintien de l'attention des citoyens. Comme le disait déjà Thomas Jefferson : "le prix de la liberté, c'est la vigilance éternelle" .

Les solutions proposées par le GIEC -- inspirateur des accords de Kyoto -- sont toutes basées sur une idéologie étatiste et collectiviste. On utilise tous les subterfuges possibles pour empirer la situation et faire croire aux populations des pays industrialisés qu'elle est désespérée et qu'elle est le résultat de l'ingérence d'un monde libéral… Or les données sont faussées au départ. Le GIEC n'est pas un groupe scientifique, c'est un groupe d'experts politiques multinationaux dont l'objectif est "d'expertiser l'information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique provoqué par l'homme". Ses rapports et ses simulations, présentés comme des certitudes, sont en fait volontairement catastrophistes en prenant en compte des paramètres qui scientifiquement sont très improbables. Au sein du GIEC il n'y a pas de consensus, mais le message catastrophiste délivré par le groupe est devenu la ligne politique officielle, et les scientifiques ou les experts qui le dénoncent s'expose à l'exclusion du groupe -- donc à la perte de leur emploi -- et à une diabolisation -- ces deux risques sont très dissuasifs. Les Etats financent des recherches dont le but est de légitimer l’action étatique, c’est-à-dire à terme la prise de contrôle de la vie des individus. Les recherches sont donc biaisées dès le départ, si un chercheur ne trouve pas de résultat allant dans le sens de la cause humaine d’un réchauffement, il perdra ses crédits, de même il lui sera plus facile d’avoir des crédits sur n’importe quel sujet si il y fait mention du rapport au réchauffement climatique. Comme le rapporte un intervenant du documentaire de Channel 4, si par exemple un scientifique veut faire une étude sur les castors de Scandinavie, il augmentera ses chances d’avoir des crédits étatiques si son sujet est "influence du réchauffement climatique sur les castors de Scandinavie". On est donc bien en présence d’une idéologie étatiste à tendance totalisante, visant à contrôler tous les moments de la vie des individus de la naissance à la mort, cela rappelle Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley.

Les scientifiques interviewés dans le documentaire soutiennent que les problèmes climatiques sont liés à des causes multiples. La Terre et sa position par rapport au Soleil, l'activité de celui-ci (1), les rayonnements cosmiques, les gaz à effet de serre et le fonctionnement de l'atmosphère, les océans, l'activité humaine, les différents cycles de l'eau, du carbone, de l'oxygène, pour faire n'en citer que quelques uns. Or il est du plus pur bon sens de chercher à comprendre les mécanismes des changements actuels, si ils sont prouvés, et de ne pas retenir une seule solution -- qui si elle est mauvaise pourrait se révéler pire que le problème. Jean-Paul Croizé, journaliste expert en météorologie et climatologie, dénonçait en 2004 l'ambiance catastrophiste qui a empiré depuis, dans son livre Climat. La fausse menace ? Il y rappelait quelques vérités certaines, contrairement aux catastrophes supposées (2). Par exemple que les changements climatiques ont toujours existés, et sont rapportés dans nombre d'écrits célèbres depuis l'invention de l'écriture ; ou encore, que les carottes glaciaires (3) montrent que la variation du taux de CO2 dans l'air et les variations de température ne sont pas forcément liés selon la relation défendus par les partisans du réchauffement climatique à cause d'émission de CO2. Il expliquait aussi que l'accumulation de gaz dit à effet de serre, comme les gaz d'échappement ou les diverses fumées, en obscurcissant l'atmosphère et en faisant écran aux rayons du soleil devrait provoquer un refroidissement, et non un réchauffement… Il rappelait que les éruptions volcaniques envoient dans l'atmosphère beaucoup plus de gaz à effet de serre que l'activité humaine, et qu'on sait qu'il y a eu des époques dans l'histoire de la Terre où l'activité des volcans était beaucoup plus importante, et pourtant l'homme a toujours su s'adapter, grâce à son génie, aux changements climatiques.

La propagande écologiste en vient parfois à assimiler le CO2 à un polluant. Mais le CO2, c'est, faut-il le rappeler, le gaz que nous rejetons en respirant ; c'est aussi le gaz consommé par les arbres pour grandir. De là, l'objectif

Les grands objectifs du GIEC sont en fait loin d'être justifiés. En voulant réduire l'activité humaine et le développement des populations les plus pauvres, c'est à de grandes hécatombes humaines que l'on se prépare en cas de catastrophe de grande ampleur (4), car sans moyens technologiques, la réponse des hommes ne sera rendue que plus difficile. On dénonce les Américains qui ne respectent pas les accords de Kyoto, pourtant les paroles de George W Bush devrait être méditées par nos agitateurs irresponsables, quand il déclare : "mon approche reconnaît que la croissance économique est la solution, pas le problème. Car une nation dont l’économie progresse est une nation qui peut se permettre de faire des investissements dans les nouvelles technologies". C'est en effet ce qu'il faut réaffirmer avec force et détermination : le progrès est la solution, pas le problème ! L’application des propositions du GIEC aurait un coût énorme pour les sociétés industrialisées, elles mettraient un frein au progrès -- prôner la décroissance signifie l’arrêt du progrès, la croissance n’étant que la traduction économique du progrès humain -- or une société qui s’arrête est une société qui meurt…  Brider le progrès empêchera de développer les technologies qui permettront de relever les défis du futur, qui permettront aux 3 milliards d’hommes qui vivent encore dans le sous-développement de rejoindre nos standards, qui permettront à l’humanité d’accueillir les quelques milliards d’individus supplémentaires qui viendront peupler la Terre avant que la transition démographique ne soit achevée (5).

Le consensus scientifique scientifique n'existe donc pas et les voix dissidentes sont de plus en plus nombreuses pour dire qu'il est trop tôt pour établir des certitudes et aucun scénario n'est a écarter a priori, il se pourrait même que ce soit un refroidissement qui menace la planète dans les siècles prochains -- en effet les périodes glaciaires sont cycliques et normalement la prochaine ère glaciaire est programmée pour bientôt (6). Le GIEC en ne retenant qu'une seule hypothèse, présentée comme certaine, a donc outrepassé son mandat qui était de rendre compte des différents points de vue et des incertitudes, tout en dégageant clairement les éléments qui relèvent d'un consensus de la communauté scientifique. Les publications officielles du GIEC étaient censées proposer une synthèse des connaissances scientifiques, elles devaient inclure uniquement les publications qui font l'unanimité. Or cela n'est pas le cas. Le débat scientifique est empêché, les informations qui contredisent la thèse défendue par le GIEC sont dissimulées et les incertitudes sont balayées. La démarche du groupe de l'ONU est devenue le cheval de bataille d'une politique et présente de très grands dangers pour les hommes, au nom d'une catastrophe improbable on est en train de vouer des millions de gens à une mort certaine et des milliards d'autres à la misère.

La conclusion qui s'impose est la suivante : il est urgent d'attendre plutôt que de dépenser encore des milliards en projets dont l'utilité est loin d'être prouvée et de risquer la vie de millions de gens sur l'hôtel d'une idéologie périmée qui donne aux instances étatiques un rôle qu'elles ne peuvent remplir qu'au détriment de la population…



- Par Eric Cunat


Notes :

(1) Il semblerait que l'influence de l'activité solaire ait été grandement sous-estimée dans les variations du climat terrestre.
(1) Jean-Paul Croizé, Climat. La fausse menace ?, Paris, Carnot, 2004.
(2) Une carotte glaciaire est un échantillon de glace prélevé dans les calottes glaciaires, Il est formé par compression de couches de neiges successives, année après année. L'air ambiant y a été emprisonné sous forme de bulles dans la glace, on dispose donc d'un historique précis du climat, actuellement on arrive à remonter jusqu'à 700'000 ans en arrière.
(3) Climatique ou autre, causé par l'homme ou autre, les exemples se compte par centaine chaque année, tremblements de terre, ouragans, tsunamis, incendies de forêt, inondations, sécheresses, attentats, accidents, guerres.
(4) La transition démographique c’est le passage du régime démographique traditionnel (espérance de vie faible, taux de mortalité élevés, nombre d’enfants élevé) au régime moderne (espérance de vie élevée, taux de mortalité faibles, nombre d’enfants faible), les progrès, notamment ceux de la médecine, permettent de réduire la mortalité, alors que les sociétés en transition ont encore beaucoup d’enfant, provoquant une augmentation forte de la population. Quand la transition est terminée l’effectif de la population se stabilise. On estime que la population devrait se stabiliser sur Terre autour de 12 milliards d’habitants vers 2100.  
(5) Même si bientôt à l'échelle de la terre c'est avec une incertitude de quelques centaines d'années. On peut noter au passage que le consensus scientifique des années ’70 était celui d’un refroidissement inéluctable.

Pour plus d'informations :

- La tribune de Claude Allègre, parue dans Le Monde (26 octobre 2006) : http://www.fahayek.org/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=1196
- Un site web français répertoriant les arguments des "sceptiques" : http://www.climat-sceptique.com/
- Les scientifiques qui sont contre le consensus, ici les Américains (liste des signataires en colonne de gauche), http://www.oism.org/pproject/s33p36.htm, ici les Canadiens, http://www.friendsofscience.org/index.php?ide=11
- Bravo au site Skyfall pour le sous-titrage en français du documentaire de Channel 4 : http://skyfall.free.fr/?p=87

L'image “http://www.liberte-cherie.com/images/logo_liberte_cherie.gif” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
Partager cet article
Repost0

commentaires

Jumelage

Voir les articles

INDEX

 

 READ THIS BLOG IN ENGLISH WITH GOOGLE Click here

Ni totalitarisme nazi, ni totalitarisme communiste, ni totalitarisme islamiqueL'image “http://img57.imageshack.us/img57/3474/bouton3sitany0.gif” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »

George Orwell


DOSSIER

LE LIBERTARIANISME

Informez-vous sur la philosophie politique libertarienne


« Les faits sont têtus; quels que soient nos souhaits, nos inclinations ou les voeux de nos passions, ils ne peuvent changer l'état de fait et la preuve. »     John Adams

DOSSIER

LE WEB RESISTANT 

lewebresistant.gif

Informez-vous sur la cyber-résistance

 

« Les religions chrétiennes furent sanglantes et meurtrières en s'éloignant de leurs textes tandis que l'islam le fut en se rapprochant des siens. »                                                      Eric Conan



DOSSIER

FONDAMENTALISME, DJIHADISME, TERRORISME

L’ISLAMISME EST UN TOTALITARISME

img80/3421/poing1bjr1.jpg

Ce qu’il faut savoir sur l’une des plus grandes menaces politiques et religieuses du XXIème siècle

 


« Le socialisme cherche à abattre la richesse, le libéralisme à suprimer la pauvreté »                                                   Winston Churchill

 

DOSSIER

LISEZ LE rapport SUR LE SOCIALISME

Plus de 20 articles du blog C.R pour vous réinformer sur le socialisme


« Le Communisme est l'Islam du XXème siècle. »                                                   Jules Monnerot


DOSSIER

LISEZ LE rapport SUR LE COMMUNISME

Plus de 20 articles du blog C.R pour vous réinformer sur le communisme

 

« La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à gouter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée.  »                            Carl Gustav Jung

 

DOSSIER

LISEZ LE rapport SUR LE NAZISME

Plus de 20 articles du blog C.R pour vous réinformer sur le nazisme


« Ils ignorent que les épées sont données pour que personne ne soit esclave. »                                                                                        Lucain

Partenaire :