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"Si vous entendez ce message, c'est que vous êtes la résistance."

International Civil Liberties

About

The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

13 novembre 2007 2 13 /11 /novembre /2007 23:52
Voici la Newsletter de LibertyVox :


 Bonjour,

Voici les MP3 des entretiens de la semaine sur RocKIK.com:

André Arthur du 9 novembre 2007
http://www.libertyvox.com/files/RocKIK_AndreArthur_071109.mp3

Claude Reichman du 9 novembre 2007
http://www.libertyvox.com/files/RocKIK_ClaudeReichman_071109.mp3

Du lundi au vendredi, écoutez Wake-Up ! de 12h00 à 16h00 (06h00 à 10h00 au Québec) sur le http://www.rockik.com

Bonne écoute !

LibertyVox


Parlons de la France

Par Michel Poirier 16/11/07

De la SFIO au PS d’aujourd’hui, Michel Poirier, pour ce premier article sur LibertyVox, nous décrit la lente fabrication d’une coquille vide.







Blocages

Par Qahir Ezzalam 12/11/07

Rapport du jeune Qahir Ezzalam à son oncle, le second vizir du Royaume du Qoranistan







Phobocratie française

Par André Dufour 05/11/07

Recul devant l’islam, antiracisme dévoyé, effets pervers de lois perverses, c’est le bloc-notes d’André ...




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13 novembre 2007 2 13 /11 /novembre /2007 23:51
 L'éditorial de Claude Reichman du 12 Novembre 2007 :

Claude Reichman nous livre son éditorial à la veille de ce que je nomme l'épreuve de farces : d'un côté, une gauche folle qui veut nous faire croire qu'il n'y a pas lieu de réformer, et de l'autre, une droite molle qui veut nous faire croire que ses réformettes seront suffisantes.

Emission du 9 octobre  2007

Tests ADN : un leurre brandi de concert par la droite et la gauche pour détourner l'attention des Français des vrais problèmes du pays.

Cliquer ici
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... en ce moment sur REICHMANTV (Le fait du jour du 16 octobre 2007).

Emission du 23 octobre 2007

L'éternel combat de la liberté contre la servitude. Il n'y a de vraie
solidarité que librement consentie

avec Yves Roucaute, philosophe, écrivain.

Cliquer ici

Emission du 25 octobre 2007

Six décennies d'imprégnation communiste depuis 1945 ont fait de
la France un pays fâché avec l'économie, l'argent et les réalités.
Seule une révolution des mentalités peut réconcilier notre pays
avec le monde moderne

avec  Eric Brunet, auteur d'"Etre riche, un tabou français"



Cliquer ici

Emission du 5 novembre 2007

Sarkozy abandonne dix otages au Tchad !

Cliquer ici


Le fait du jour : 13 novembre 2007
Georges Clément :"Je ne compte plus sur la
politique pour résoudre les problèmes de la
France."


Cliquer ici

Emission du 6 novembre 2007

"Des clignotants s'allument ci et là. Ils soulignent le sursaut d'un
peuple longtemps démoralisé. La nation suicidaire peut être
sauvée. Pour cela, il nous faut redevenir français."

avec Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro.

Cliquer ici

Emission du 15 novembre 2007

Le véritable but des écologistes est de détruire l'économie des pays
développés.


avec Christian Gerondeau, auteur de "Ecologie, la grande arnaque"
(Albin Michel).


Cliquer ici
REICHMANTV.jpg
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12 novembre 2007 1 12 /11 /novembre /2007 23:52

De FFI (Faith Freedom International)

Chers amis,

 

La plupart des Musulmans pensent : « l’Islam ne défendrait jamais le meurtre d’innocents. Allah du Saint Coran n’a jamais prescrit le meurtre. Tout ceci est l’œuvre de quelques désaxés aux marges de la société. Le véritable Islam est consacré contre la violence. Nous dénonçons toute violence. L’Islam signifie la paix. L’Islam signifie la tolérance. » 

Mais est-ce vrai ? L’Islam enseigne-t-il vraiment la paix, la tolérance et la non-violence ? Ces Musulmans qui commettent des crimes au nom d’Allah pensent différemment. Ils pensent que ce qu’ils font est un Jihad. Ils disent que le meurtre d’innocents est obligatoire pour tout Musulman. Ils ne tuent pas en croyant enfreindre les règles divines, mais en croyant au contraire que c’est ce qu’un vrai Musulman ferait. Ces gens qui font exploser leur propre corps pour tuer encore plus d’innocents le font parce qu’ils pensent qu’ils seront récompensés au Paradis. Ils espèrent être bénis par Allah, manger des nourritures célestes, boire du vin pur et profiter de l’agréable compagnie de leurs consœurs divines. 

Sont-ils complètement dans l’erreur ? Où ont-ils trouvé cette idée ordue ? Comment en sont-ils arrivés à croire que le meurtre d’innocents plaît à Dieu ? 

Ou bien sommes-nous qui sommes dans l’erreur ? L’Islam prêche-t-il la violence ? Appelle-t-il les croyants à tuer les incroyants ? Nous dénonçons ceux qui commettent des actes de violence et les qualifions d’extrémistes. Mais sont-ils vraiment extrémistes ou bien font-ils simplement ce que le Saint Coran leur ordonne de faire ? Qu’est-ce le Coran enseigne réellement ? Avons-nous lu le Coran ? Savons-nous quelles sortes d’enseignements s’y trouvent ? Examinons certains d’entre eux et regardons de plus près à ce que nous dit Allah. 

Ce que le Coran enseigne : 

Le Coran nous dit de «ne point prendre pour amis les Juifs et les Chrétiens » (5.51) et de les combattre « jusqu’à ce qu’ils paient le tribut après s’être humiliés » (9,29), « tuez-les partout où vous les rencontrez » (2,191), de les tuer et de les raiter « avec dureté » (9,123) : « tuez les polythéistes, partout où vous les trouverez. Capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades » (9,5). 

Selon le Coran, tous les mécréants vont en enfer (5,10), ils sont impurs (9,28). Le Coran nous ordonne de battre les infidèles jusqu’à ce qu’il ne reste aucune autre religion que l’Islam (2,193). Il interdit à tout Musulman d’être l’ami d’un infidèle, même si cet infidèle est le père ou le frère d’un Musulman (9,23 ; 3,28). 

Il dit que tout infidèle va en enfer où «il sera abreuvé d’eau bouillante » (14,16-17).  Ils seront «tués ou crucifiés, ou leur main droite et leur pied gauche seront coupés, ils seront expulsés du pays … ». « Un terrible châtiment les attend » dans l’au-delà (9,33). Et il nous dit aussi que «pour eux (les infidèles) des vêtements de feu seront taillés. On versera sur leurs têtes de l’eau bouillante qui brûlera leurs entrailles et leur peau, et ils seront châtiés avec des fouets de fer » (22,19-20-21) et qu’ils ne seront pas seulement les objets d’une «opprobre » de leur vivant, puisque «  le jour du Jugement, Il leur fera goûter le châtiment du feu ». (22,9) 

Le Coran dit que «ceux qui invoquent une divinité autre que Dieu » verront leur châtiment doublé le jour du jugement (9,68-69). 

Quant à celui qui ne croit pas en l’Islam le Prophète prévoit ce sort après la mort : « Saisissez-le ! Qu’on lui mette un carcan ! Jetez-le dans la fournaise et liez-le avec une chaîne de soixante-dix coudées. Il ne croyait pas en Dieu le Très Haut. Et n’encourageait personne à nourrir les indigents ! Ainsi n’a-t-il plus d’ami en ce Jour, ni d’autre nourriture que des eaux fétides, dont seuls les pécheurs se nourrissent. » (69,30-37) . 

Le Prophète nous prescrit le combat même si nous ne l’aimons pas car « Dieu sait, et vous, vous ne savez pas » (2,216). Ensuite il nous conseille de «frapper les infidèles à la tête », et après les avoir abattus, de «lier fermement » les captifs (47,4). Notre Dieu a promis de «jeter l’effroi dans les cœurs des infidèles »(8,12). 

IL fait du Jihad un acte obligatoire et nous prévient que « si vous ne vous ne lancez pas au combat, Dieu vous châtiera « d’une peine douloureuse et vous remplacera » (9,39). Dieu parle à notre Saint Prophète et dit « O prophète ! Combats les infidèles et les hypocrites, et sois dur envers eux. Leur abri est l’enfer, un refuge détestable ! » (9,73) 

IL nous promet que le combat pour Sa cause, que nous soyons bourreaux ou victimes, nous conduira au Paradis (9,111).Au Paradis se trouveront des houris (56,54) et Dieu nous unira à des houris aux grands et beaux yeux. Là-bas on nous promet de boire et manger toutes les bonnes choses que nous voulons (56, 19). Et de faire l’amour avec des «garçons comme des perles cachées » (56, 17, des éphèbes), «immortels » (76, 19). 

Comme vous le voyez, Dieu a promis toutes sortes de récompenses, la gloutonnerie et le sexe sans limites aux Musulmans qui tuent les infidèles en son nom, sans oublier ceux qui ont des inclinations pédophiles. Nous serons admis au Paradis. 

En Occident nous jouissons de la liberté de conscience, mais nous ne sommes pas censés donner une telle liberté à qui que ce soit car il est écrit que «Si quiconque désire une religion autre que la soumission à Dieu, il ne sera jamais accepté ; et dans la vie future il comptera parmi ceux qui ont tout perdu. » (3,85) 

Quant aux femmes, le livre d’Allah dit qu’elles sont inférieures aux hommes et que leurs maris ont le droit de les battre si elles font preuve de désobéissance : « frappez-les. » (4,34) lL conseille de prendre une branche verte, parce qu’une branche verte est plus flexible et fait plus mal.. (38,44) Il enseigne que les femmes iront en enfer si elles sont désobéissantes envers leurs maris (66,10). IL affirme que les Hommes ont autorité sur les femmes (2,228). Il ne se contente pas de dénier aux femmes des droits égaux, il décrète que leur témoignage n’est pas admissible dans un tribunal.(2,282). Cela signifie qu’une femme qui est violée ne peut pas accuser son violeur à moins qu’elle ne produise le témoignage d’un homme. Notre Saint Prophète nous autorise à épouser jusqu’à quatre femmes et nous permet de coucher avec nos esclaves et autant de femmes « captives » que nous pourrions avoir (4,3) même si ces femmes sont déjà mariées. Lui-même a agi ainsi.  

[Un mot d’avertissement pour ceux qui pourraient découvrir que leur version du Coran est traduite différemment de ce qui apparaît dans cet article : presque tous les traducteurs du Coran ont délibérément essayé d’adoucir le Coran. Yusufali (traduction en anglais) surtout se surpasse pour contourner la signification des mots et cacher la dureté du texte. Par exemple, la traduction du verset  38,44 qui dit  "prend une branche verte et frappe ta femme" devient "prend une petite herbe verte bats-la avec". La version de Masson (traduction en français) ransforme la branche verte en…touffe d’herbe ! Ou quand Yusufali raduit le verset (4,34) qui dit "frappez-les" il ne peut rien faire, sauf ajouter le mot « légèrement » entre parenthèses.)  

Chers frères et sœurs musulmans : est-ce l’Islam auquel vous croyez ? Est-ce là le Très Miséricordieux, Très Compatissant Allah que vous priez chaque jour? Dieu pourrait-il nous inciter à tuer d’autres personnes? Comprenez qu’il n’y a pas de gène erroriste, mais qu’il pourrait y avoir une tournure d’esprit erroriste. Cette tournure d’esprit trouve sont terrain le plus fertile dans les principes de l’Islam.  

Le nier et présenter l’Islam au grand public comme une religion de paix similaire au bouddhisme est une entreprise de contrevérité. L’Histoire de l’Islam entre les 7ème et 14ème siècles est traversée de violences fratricides et de guerres d’agression, qui commencent à la mort du Prophète et continuent pendant le califat orthodoxe, soi-disant « pur ». Et Mohamed lui-même a hissé l’étalon du meurtre, du pillage, des massacres et du sang versé. Comment pouvons-nous nier l’histoire toute entière ? Le comportement de notre Saint Prophète tel qu’il est inscrit dans les sources islamiques authentiques est quelque peu douteux d’un point de vue moderne. Le prophète était un homme charismatique mais il avait peu de vertus. L’imiter dans tous les aspects de la vie (suivre la Sunna) est premièrement impossible et deuxièmement dangereux au 21ème siècle. Pourquoi sommes-nous si désespérément dans le déni de cette simple évidence?  

Quand le prophète était à la Mecque et qu’il n’était pas encore assez puissant, il appelait à la tolérance. Il a dit "A vous votre religion, à moi ma religion" (109,6). Cette fameuse phrase est souvent mal utilisée pour prouver que le principe général du Coran est la tolérance. Il conseillait au disciple de parler en bien des hommes (2,83), l’exhortait à la patience (20,103) et disait qu’il n’y avait "point d’obligation en religion" (2,256). Mais tout cela a changé drastiquement quand il est arrivé au pouvoir. A ce moment-là, tuer et assassiner les infidèles a été justifié dans d’innombrables versets, avec dureté et sans pitié. Les versets cités pour prouver la tolérance de l’Islam, le sont dans l’ignorance  de bien d’autres versets qui ne comportent aucune trace de tolérance ou de pardon. Est-il normal qu’un livre révélé par Dieu comporte autant de contradictions sérieuses ?  

Le prophète lui-même a montré l’exemple d’une violence débridée en envahissant les habitations juives, rompant les traités qu’il avait signés avec eux, bannissant certains d’entre eux après avoir confisqué leurs biens, en massacrant d’autres et prenant leurs femmes et enfants pour esclaves. Il passait les plus jeunes à l’inspection, pour massacrer ensuite tous ceux qui avaient des poils pubiens, avec les hommes, et il prit les jeunes pour esclaves. Il distribua les prisonnières ainsi capturées à ses soldats, en gardant les plus jolies pour lui. (33,50). Il fit des avances sexuelles à Safiah, une fille juive, le jour- même où il avait pris sa ville, Kheibar, et ua son père, son mari, et beaucoup de ses autres parents. Reyhana était une autre femme juive de Bani Quraiza qu’il utilisa comme esclave sexuelle après avoir tué tous ses parents masculins. Durant les dix dernières années de sa vie il accumula nombre d’épouses, de concubines et d’esclaves sexuelles, incluant la jeune Aicha, âgée de 9 ans.  

Ce ne sont pas histoires, mais des faits rapportés par l’histoire islamique authentique et les Hadiths. On objectera que ces comportements n’étaient ni inconnus ni inhabituels pour des conquérants et chefs du monde médiéval, mais ce ne sont pas des activités correspondant à celles d’un Saint paisible, et certainement pas à quelqu’un qui se revendiquait de la miséricorde de Dieu. 

Des meurtres connus d’adversaires sont rapportés au temps du Prophète, qui ont été commis sur son ordre. Parmi ceux-ci, il y avait un homme de 120 ans, Abu Afak, dont le seul crime était de composer une satire lyrique du Prophète (Kitab al Tabaqat al Kabir, Volume 2, par Bin Sa'd, page 32) Puis quand une poétesse, une mère de 5 petits enfants, 'Asma' Bint Marwan, écrivit une poésie critiquant les Arabes pour avoir laissé Mohamed assassiner un vieil homme, notre saint prophète ordonna qu’elle fût tuée elle aussi, en pleine nuit ; l’ordre fut exécuté alors qu’elle donnait la tétée à son plus jeune enfant.  (Sirat Rasul Allah, traduction anglaise de A. Guilaume : The Life of Muhammad pages 675, 676). 

Chers Musulmans consciencieux : interrogez-vous : n’est-ce pas ce dogme compulsif, qui consiste à suivre un homme qui a vécu voilà 1400 ans, qui nous conduit à l’échec dans ce monde changeant? Qui avons-nous? Regardez notre Oumma : elle a coulé dans la pauvreté, et comment nous traînons derrière le reste du monde. N’est-ce parce que nous suivons une religion dépassée et impraticable ? A ce moment crucial de l’histoire, quand une catastrophe extraordinaire comme le 11 septembre s’est abattue sur nous, et qu’une autre bien pire nous attend, ne devrions-nous pas nous réveiller de 1400 ans de sommeil et regarder ce qui a cloché?  

La haine remplit l’atmosphère et le monde se prépare à des jours sombres. NE devons-nous pas nous interroger : en quoi avons-nous contribué, sans le vouloir, à la tragédie terroriste ? Pouvons-nous arrêter le désastre à venir ? 

Malheureusement la réponse à cette question est oui. Oui, nous avons contribué à la montée du fondamentalisme simplement en affirmant que l’Islam est une religion de paix, simplement en étant un Musulman et en disant notre Shahada. Par la Shahada nous avons reconnu Mohamed comme le véritable messager de Dieu et son livre comme la parole de Dieu. Mais comme vous l’avez vu, cette parole n’a rien de divin. Elle appelle au meurtre, elle prescrit la haine et fomente l’intolérance. ET quand les ignorants parmi nous lisent ces versets chargés de haine, ils agissent en les respectant à la lettre et le résultat est le terrorisme partout : le 11 septembre, les bombes humaines en Israël, les massacres au Timor Oriental et au Bengladesh, les enlèvements et les meurtres aux Philippines, l’esclavage et le génocide au Soudan, les crimes d’honneur au Pakistan et en Jordanie, la torture en Iran, la lapidation et les mutilations en Afghanistan et en Iran, la violence en Algérie, le errorisme en Palestine et la misère, la mort, dans tous les pays musulmans. Nous sommes responsables parce que nous avons appuyé l’Islam et l’avons salué comme religion de Dieu. Et nous sommes tout autant coupables que ceux qui mettent les enseignements du Coran en application, out comme nous en sommes ironiquement les premières victimes. 

Si nous ne sommes pas terroristes, si nous aimons la paix, si nous pleurons avec le reste du monde pour ce qui est arrivé à New York ou ailleurs, alors pourquoi défendons-nous le Coran qui prêche le meurtre, qui prescrit la guerre sainte, qui appelle au meurtre des non-Musulmans ? Ce ne sont pas les extrémistes qui comprennent mal l’Islam. Ils font littéralement ce que le Coran leur dit de faire. C’est nous qui ne comprenons pas l’Islam. Nous sommes les désorientés. Nous sommes ceux qui supposons à tort que l’Islam est une religion de paix. L’Islam n’est pas une religion de paix. Dans sa forme soi-disant pure, il peut très bien être compris comme une doctrine de haine. C’est tout simplement ce que font les terroristes et nous les intellectuels, apologistes de l’Islam, le justifions. 

Nous pouvons arrêter cette folie. Oui nous pouvons éviter le désastre qui plane sur nos têtes. Oui nous pouvons dénoncer les doctrines qui promeuvent la haine. Oui nous pouvons embrasser le reste de l’humanité avec amour. Oui, nous pouvons prendre part à un monde unifié, membres d’une seule famille humaine, fleurs d’un seul jardin. Nous pouvons lâcher le dogme de l’infaillibilité de notre Livre et l’héritage douteux de notre Prophète. 

Chers amis, nous n’avons pas de temps à perdre. Mettons fin à ce mensonge. Ne nous mentons pas à nous-mêmes. L’Islam n’est pas une religion de paix, de tolérance, d’égalité ou d’unité de l’humanité. Lisons le Coran. Faisons face à la réalité même si cela nous fait mal. Tant que nous maintenons ce mensonge en vie, tant que nous cachons nos têtes dans le sable d’Arabie, nous nourrissons le terrorisme. Tant que vous et moi continuons d’appeler le Coran le livre infaillible de Dieu, nous ne pouvons pas blâmer ceux qui en suivent les enseignements. Tant que nous payons nos Khums et Zakat, notre argent va à la promotion de l’expansionnisme islamiste qui signifie terrorisme, Jihad et guerre. 

L’Islam divise le monde en deux parties : Darul Harb (terre de guerre) et Darul Islam (terre d’Islam). Darul Harb est la terre des infidèles, aux Musulmans il est demandé d’infiltrer ces terres, de faire du prosélytisme et de procréer, jusqu’à ce que notre nombre augmente, et de commencer la guerre, combattre et tuer les gens, et imposer la religion de l’Islam, pour convertir cette terre en Darul Islam. 

EN toute sincérité nous dénonçons cette trahison. Ceci est un abus de confiance. Comment pouvons-nous faire la guerre dans des pays qui nous accueillent ? Comment pouvons-nous tuer ceux qui sont devenus nos amis ? Pourtant, volontairement ou non, nous sommes devenus les pions de cet impérialisme. Si cela vous semble exécrable, nous vous demandons : comment pouvez-vous soutenir une doctrine si trompeuse, si rusée, si cruelle ? Lisons ce que les grands lettrés musulmans ont dit à ce propos :

 

Docteur KHAN, traducteur de Sahih Bukhari et du Coran en Anglais a écrit :

« Allah a révélé dans Le Repentir (IX) l’ordre d’abandonner (toutes) les obligations (accords, etc.), et a commandé aux Musulmans de combattre contre tous les païens aussi bien que les gens du Livre (Juifs et Chrétiens) s’ils n’embrassaient pas l’Islam, jusqu’à ce qu’ils paient la Jeziya par soumission volontaire et qu’ils se sentent humiliés. Ainsi les Musulmans n’avaient pas le droit d’abandonner le combat contre eux (païens, Juifs et Chrétiens) et de se réconcilier avec eux et de suspendre les hostilités à leur encontre pour une période indéterminée ant qu’ils étaient FORTS et avaient la capacité de combattre contre eux. Donc au début le « combat » était interdit, puis il a été autorisé, et après cela il a été rendu obligatoire. »

(Introduction à Bukhari, p.xxiv) 

Docteur Sobhy as-Saleh, un académicien contemporain de l’Islam, citant l’imam Syuti (auteur de Itqan Fi’Ulum al-Quran) a écrit :

« L’ordre de combattre les infidèles a été REPOUSSE JUSQU'A CE QUE LES MUSULMANS DEVIENNENT FORTS mais quand ils étaient faibles, on leur ordonnait d’endurer et d’être patients. »

(Sobhy as-Saleh, Mabaheth Fi’ Ulum al-Quran, Dar al-‘Ilm Lel-Malayeen, Beyrouth, 1983, p.269) 

Le docteur Sobhy, dans une note de bas de page, recommande l’opinion d’un lettré nommé Zarakashi qui a dit :

« Allah est le très haut dans sa sagesse révéla à Mohamed dans sa faible condition ce qui était adapté à la situation, en raison de sa compassion pour lui et ses disciples. Car s’il leur avait donné l’ordre de combattre tant qu’ils étaient faibles cela aurait été embarrassant et de la plus grande difficulté, mais quand le Très Haut rendit l’Islam victorieux Il lui recommanda ce qui était adapté à la situation, c’est-à-dire demander aux gens du livre de devenir Musulmans ou de payer le tribut, et aux infidèles de devenir Musulmans ou d’affronter la mort. Ces deux options, se battre ou être en paix reviennent selon la force ou la faiblesse des Musulmans. » (Ibid. P270). 

D’autres lettrés musulmans (Ibn Hazm al-Andalusi, Ga’far ar-Razi, Rabi’ Ibn ‘Ons, ‘Abil ‘Aliyah, Abd ar-Rahman Ibn Zayd Ibn ‘Aslam, etc.) s’accordent sur le verset « tuez les idolâtres où que vous les rouviez », en ce qu’il annule les versets antérieurs qui appelaient à la tolérance dans le Coran et qui ont été révélés quand l’Islam était faible. 

Pouvez-vous toujours dire que l’Islam est une religion de paix ?

 

Conclusion :

Nous ne savons que trop bien qu’il n’est pas facile de dénoncer notre foi, en ce que cela signifie dénoncer une partie de nous-mêmes. Nous sommes un groupe de libres penseurs et d’humanistes avec des racines musulmanes. La découverte de la vérité, et l’abandon de la religion  de pères et de nos aïeux a été une douloureuse expérience. Mais après avoir après ce que défendait l’Islam, nous n’avions pas d’autre choix que de la quitter. Après nous être familiarisés avec le Coran, le choix est devenu clair : c’est l’Islam ou l’humanité. Que l’Islam prospère, et l’humanité meurt. Nous avons décidé de nous ranger du côté de l’humanité. Nous sommes toujours musulmans culturellement mais nous ne croyons plus que l’Islam est la religion vraie. Nous sommes des humanistes. Nous aimons l’humanité. Nous consacrons nos efforts à l’unité du genre humain. Nous travaillons à l’égalité entre les hommes et les femmes. Nous luttons pour la laïcisation des pays musulmans, pour la démocratie et la liberté de pensée, de croyance et d’expression. Nous avons décidé de ne plus vivre dans le mensonge à soi-même mais d’embrasser l’humanité, d’entrer dans le nouveau millénaire main dans la main avec des hommes d’autres cultures et croyances en amitié et en paix. Nous dénonçons la violence, portée au pinacle par le Coran en tant que Jihad. Nous condamnons le meurtre au nom de Dieu. Nous croyons au caractère sacré de la vie humaine, non à l’inviolabilité des croyances et des religions. ET nous vous invitons à nous rejoindre, avec le reste de l’humanité, et à prendre part à la famille du genre humain avec amour, camaraderie et paix.

 

 

Fondation Faith Freedom. 

Ce message a été envoyé par Faith Freedom Foundation à différents journaux pour la publication. Faith Freedom Foundation est une organisation de Musulmans libres penseurs et d’individus laïcs qui défendent l’idée d’un humanisme laïc. 

Important : Ce message a été écrit par Faith Freedom Foundation et envoyé à plusieurs médias pour être diffusé. Cependant beaucoup de sites Internet on fait paraître celui-ci sans en préciser la source. Nous sommes heureux de voir ce message circuler à travers le web mais sans signature il perd son impact. IL est important de noter qui fait l’appel. Si vous tombez sur ce message sur d’autres sites, sans référence à la source, s’il vous plaît demandez au webmestre de rectifier l’oubli et faites-le nous savoir.

 

Merci de votre coopération.

 


Une pétition à relayer

voile.jpg


Face à l’offensive islamiste qui passe par la multiplication des foulards politiques dans tous les lieux de notre République, des citoyens français décident de réagir publiquement.

Ils lancent une pétition « Halte au voile » adressée au Président de la République, certes modeste, mais qui réunit des anciens ministres, des élus, des militants associatifs et des Français de tous les bords politiques. Vous la trouverez sur le site :


http://www.halteauvoile.fr


Au-delà de nos divergences idéologiques et philosophiques, il me paraît important que ce combat contre l’islamisme conquérant soit le plus large possible. C’est pourquoi je vous invite personnellement à signer cette pétition, à la faire connaître par vos sites, vos blogs, vos listes de diffusion et vos médias, et à la transmettre à vos connaissances.

FPB
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12 novembre 2007 1 12 /11 /novembre /2007 23:50

Aidons Horia Demiati à se trouver des défenseurs après les accusations du Cochon Hallal
par Muezzin Baravin

SITA France Horia DemiatiSuite à notre campagne contre l'islamofasciste d'Evry, nous nous sommes dit qu'il serait dommage que les MRAP, LDH et Licra de l'Essonne ne soient pas au courant des courriers de blâme que reçoit Horia Demiati : les Demiati ne doivent pas être abandonnés par leurs amis et se retrouver seuls face à tous les amis de la liberté qui nous lisent.

Aidons les Demiati à se défendre et mettons leur les trois bâtons... euh... organismes de défense de la Barbarie dans les babouches.

En outre, le hasard veut que Nasser, le bien-aimé époux tendre et dévoué de la pieuse Horia, soit président d'une association de laveurs de cerveaux ( http://www.groupeclaris.org/ ). Ce serait là encore vraiment dommage que les membres de la dite association ne soient pas non plus au courant car ils ne pourraient pas spontanément apporter leur soutien à leur président.

Informons tous ceux qui sont susceptibles d'aider Horia Demiati : envoyons leur un exemplaire de la lettre destinée à Horia Demiati disponible sur http//grouik-grouik.org/8/2007/10/affaire-truchelut-horia-demiati-ne.html

On trouve plus ou moins aisément sur internet les adresses des aides potentiels. Pour vous simplifier la tâche, les voici :

1.
Ligue des droits de l'Homme
BP22
91600 SAVIGNY-SUR-ORGE


2.
MRAP
Maison de la citoyenneté et de la vie associative
62-64 avenue René Cassin
91390 Morsang sur Orge


3.
LICRA
Hurepoix
9, boulevard Montfaucon
91150 Etampes



Pour les membres de l'association ( http://www.groupeclaris.org/ ), la liste est sur http://90plan.ovh.net/~groupecl/membres.html. En cliquant sur les noms, nous avons droit aux statuts de ces personnes.Il vous suffit donc de cliquer sur les liens des organismes pour retrouver les adresses complètes et envoyer vos missives de courte, moyenne ou longue portée à destination de vos cibles.


4.
Manuel Boucher,sociologue, chargé de recherche à L'institut du Développement Social et militant de l'éducation populaire, Directeur du Laboratoire d'Etudes et de Recherche Sociales (LERS) de l'Institut du Développement Social (IDS), membre associé du Centre d'intervention et d'analyse sociologiques (CADIS/EHESS)


5.
Christophe Daadouch
Secrétaire général du GISTI (Groupe d'information et de soutien des immigrés) président de la fédération départementale des centres sociaux des Hauts-de-Seine


***
Nasser DEMIATI (lui, il est déjà au courant...)

6.


***
Roger KENTCHUAING
(adresse introuvable)


7.
Yazid KHERFI
consultant en prévention urbaine, Association Pouvoir d'Agir


8.
Véronique Le GOAZIOU
Sociologue et ethnologue, chercheur associé au Cevipof


9.
Marwan MOHAMMED
président-fondateur de l'association C'noues à Villiers sur Marne(94)


10.
Laurent MUCCHIELLI Chargé de recherches au CNRS, il travaille au CESDIP (Centre de recherches sociologiques sur le Droit et les Institutions Pénales). Il enseigne à l’Université de Versailles-Saint-Quentin en Yvelines ainsi qu’au centre de formation de la Protection Judiciaire de la Jeunesse.


11.
Laurent OTT
enseignant, docteur en philosophie et formateur de travailleurs sociaux Membre de l'ICEM/ Pédagogie Freinet, Membre du CA de Défense des Enfants International (DEI- France)


Une fois vos missives envoyées, vous pouvez les comptabiliser au Sitathon


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samedi 3 novembre 2007

Pour la kamarade Marie Perret de l'UFAL, le Blog du Cochon Hallal est un site d'estrême droate katholique intégriss
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jeudi 1 novembre 2007

Voilée par peur et battue, violée, soumise au nom d'Allah
par Imam Grouik-Grouik

Samia Shariff est l'anti Horia Demiati. Alors que la première a été contrainte de fuir l'Algérie pour se protéger elle, et surtout ses enfants, des prescriptions du coran que lui imposait son barbare de mari, la seconde a choisi librement de venir s'installer dans un pays libre afin d'y imposer ses débiles croyances qui font le malheur de son peuple, de son sexe et depuis quelques temps de la France, de l'Europe et in fine de l'humanité entière.

Alors que la première a décidé de combattre l'islam en rédigeant son ouvrage Voilée par peur, la seconde a décidé de se voiler pour faire peur et d'agir à la manière du premier terroriste venu : se saisissant d'une cible prise au hasard, elle a fait exploser à la figure de sa victime une procédure judiciaire digne des pires cauchemars de Kafka. Nombreux ont été les gogos à être trompés, jusque dans notre camp, et à prendre Horia pour une simple victime du "racisme ordinaire", pour reprendre les mots de la grotesque plaidoierie de Maître Tubiana. Et ils sont encore nombreux à être trompés et à ne pas comprendre que nous sommes dans une logique de terrorisme, certes modérée, dont on peut par ailleurs se demander s'il demeurera aussi modéré chez la descendance halal de la folle du barreau d'Epinal.

Et certes, on peut dire que l'embâchée d'Evry est victime de sa propre idéologie bédouine, mais justement, nous au Blog, nous avons décidé de lui ouvrir les yeux afin de tenter de l'intégrer à la société française, avant que les Français ne finissent pas se fâcher tout rouge.

Soyons rousseauistes pour une fois : le philosophe français pensait à juste titre que ce qui caractérise l'homme, c'est sa perfectibilité. Il y a là nous semble-t-il une grande différence entre nous et certains insectes dont les cafards font partie. A Horia de choisir si elle préfère ramper sous les ordres du pédoprophète et ne vivre qu'au rythme des réflexes conditionnés du halal et du haram en passant sa vie à enquiquiner autrui ou si elle veut redresser la tête, aérer sa chevelure, prendre son destin en main, cesser d'emmerder le peuple pour rejoindre la communauté nationale où nous saurons l'accueillir. Car en dépit de ce que nous affirmons dans notre opération SITA sous le coup d'un léger agacement, nous saurons pardonner les fautes du passé - nous ne pouvons pas nous en empêcher : c'est une des grandes différences entre notre civilisation et leur barbarie.

Mais assez parler des lavés du cerveau d'Evry pour le moment : place à une vraie femme libre, qui semble directement s'adresser par delà les océans à son ancienne "sœur" de religion.

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mercredi 31 octobre 2007

Affaires Horia Demiati / UFAL : petite leçon de lecture

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mardi 30 octobre 2007

Camarades, soutenons sans faiblir notre Camarade Suprême le Petit Tepère des Peuples

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Tentative de meurtre sur le chef et des membres de SIOE / SIAD Danemark
 
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samedi 27 octobre 2007

L’affaire du gîte des Vosges révèle une crise dans l’Union des Familles Laïques (UFAL)
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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 23:58
 
Un article de Frontpage magazine revient sur un sujet souvent occulté par les médias, les intellectuels et les politiques parce qu’islamiquement incorrect : le viol des femmes non musulmanes par des musulmans en Occident.

Les motivations des criminels sont claires : comme ils l’expliquent eux-mêmes, le choix de leurs victimes relève de raisons ethniques. En Australie, en Norvège, en Suède et d'autres nations occidentales ces viols racistes sont en progression et soutenus par des hautes autorités islamiques : le cheik libanais Faiz Mohammed excuse le viol des Australiennes provocatrices habillées de façon « indécente », tandis que le mufti et le disciple islamique, Shahid Mehdi expliquait que les femmes danoises violées l’avaient cherché puisqu’elles ne portaient pas le foulard islamique !

Pour le cheik égyptien Al-Qaradawi , les femmes violées « provocatrices parce que non habillées « décemment » devraient être punies. Il a ajouté, "pour qu'elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite."


En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d'une épidémie de viol. Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fruit des immigrés musulmans et 80 pour cent des victimes sont des femmes norvégiennes.

En Suède, selon Ali Dashti, "Les viols collectifs, habituellement faisant participer les mâles immigrés musulmans et les filles suédoises indigènes, sont devenus banals." Il y a quelques semaines cinq Kurdes ont brutalement violé une suédoise de 13 ans".

En France, Samira Bellil est sortie de  son silence - après avoir supporté des années des viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des musulmans - et a écrit un livre, "dans l'enfer des tournantes". Décrivant comment le viol collectif est effréné dans les banlieues , elle a expliqué au Temps que, "n'importe quelle fille de voisinage qui fume, emploie le maquillage ou porte les vêtements attrayants est une putain."

Malheureusement, les femmes occidentales ne sont pas les seules victimes de cette épidémie. En Indonésie, en 1998, les groupes de droits de l'homme ont rapporté le témoignage de plus de 100 femmes chinoises violées pendant les émeutes qui ont précédé la chute du Président Suharto. Bon nombre des violeurs ont dit : "vous devez être violées, parce que vous êtes chinoises et des non-Musulmanes."

En avril 2005, une fillette  pakistanaise de neuf ans a été violemment violée par ses voisins musulmans ; elle était infidèle et chrétienne et devait payer pour l’intervention des Américains en Irak…

Au Soudan - où les musulmans arabes abattent les musulmans noirs et les Soudanais chrétiens dans un génocide continu - l'ancien esclave soudanais et maintenant activiste des droits de l'homme Simon Deng* explique qu'il était témoin des filles et des femmes violées et que le régime arabe de Khartoum envoie ses soldats pour commettre ces crimes. Dans d'autres rapports, des femmes qui sont capturées par des forces gouvernementales sont interrogées : "êtes vous chrétienne ou musulmanes?" et celles qui répondent chrétiennes, sont  violées, leurs seins coupés.

Ce phénomène de violences sexuelles islamiques contre des femmes non-musulmanes occidentales devrait être traité comme une épidémie pressante, violente, répressive. Au lieu de cela, les journalistes, les intellectuels, et les politiciens l'ignorent, le rationalisent, ou diabolisent ceux qui osent en parler.

En Australie,  quand le journaliste Paul Sheehan a rendu compte honnêtement des viols collectifs de Sydney, il a été traité de raciste et a été accusé d’entretenir  la haine contre les musulmans. Keysar Trad, vice-président de l'association musulmane libanaise australienne a indiqué que les viols collectifs étaient un crime "honteux" mais se plaignait que l'appartenance ethnique des violeurs avait été rapportée. D’ailleurs pendant le jugement l’appartenance ethnique des violeurs n’a pas été évoquée… Les policiers responsables des enquêtes ont été violemment menacés par les libanais musulmans : menaces de mort à leur encontre et menaces de viols envers leurs petites amies…La police a fini par laisser tomber leurs poursuites contre des violeurs libanais…

En France, dans les banlieues,  le viol collectif est maintenant connu simplement comme tournantes où les victimes savent que la police ne les protégera pas. S'ils se plaignent, Samir Bellil dit, ils savent qu'eux et leurs familles seront menacés. Dans la plupart des poursuites françaises, les violeurs musulmans déclarent qu'ils ne croient pas qu'ils ont commis un crime. Et dans un parallèle effrayant avec les violeurs en Australie, ils disent que la victime doit se blâmer elle-même et l’accuse d'être une"salope" ou une "putain."

Selon le Guardian , pendant les émeutes françaises récentes, un prince saoudien avec des parts à News Corporation a revendiqué à une conférence à Dubaï qu'il avait téléphoné à Rupert Murdoch et s'était plaint au sujet des nouvelles de Fox News décrivant les perturbations en tant qu "émeutes musulmanes." Dans la demi-heure qui a suivie, le terme a été changé en "émeutes civiles."

À Malmö, la troisième plus grande ville en Suède, la police a admis qu'elle ne commande plus la ville. "Elle est efficacement dirigée par les troupes violentes des immigrés musulmans." Le personnel d'ambulance est régulièrement attaqué et refuse maintenant d'aider jusqu'à ce qu'une escorte de police arrive. La police a trop peur pour investir des parties de la ville sans protection.

Début 2005, les journaux norvégiens ont signalé qu'Oslo avait enregistré le nombre le plus élevé de cas de viols en douze mois précédents. Cependant, Fjordman explique que les statistiques officielles ne contenaient aucune donnée concernant "la surreprésentation des immigrés dans les auteurs de viols", et les médias demeurent étrangement silencieux. Le professeur d'Oslo d'anthropologie, Unni Wikan, a dit que les femmes norvégiennes doivent prendre la responsabilité du fait que les hommes musulmans trouvent leur façon de s’habiller provocatrice. Et puisque ces hommes croient que les femmes sont responsables du viol,  les femmes doivent s'adapter à la société multiculturelle ! [NDRL : Au lieu d’agir, de punir sévèrement les criminels, de prévenir les femmes non musulmane du danger, on demande tout simplement aux femmes occidentales d’avoir une attitude de dhimmi ! Lamentable !]

Le BBC a fait un documentaire programmé en 2004, avant que la police en Grande-Bretagne ait averti qu'il pourrait augmenter la tension raciale. "Dans ces circonstances exceptionnelles... A Channel 4, l'animateur responsable a accédé à la demande de la police... " Le documentaire devait montrer comment les Pakistanais et d'autres hommes musulmans ont sexuellement maltraité des jeunes filles anglaises blanches aussi jeunes que 11 ans.

Le nombre de viols commis par des hommes musulmans contre des femmes dans la dernière décennie est tellement incroyablement haut qu'il ne peut pas être regardé autrement qu’un comportement culturellement implicite. Il est manifestement renforcé et encouragé par les chefs religieux musulmans qui blâment les victimes et excusent les violeurs.

En trois décennies d'immigration dans les pays occidentaux, l'Islam a causé des bouleversements et des ravages sociaux dans chacun de ses pays d'accueil. Aucun autre programme d'immigration n'a rencontré les problèmes de non-assimilation et d'ambiguïté religieuse.


*
http://www.occidentalis.com/article.php?sid=2738

Ainsi donc les musulmans n’hésitent plus à utiliser l’arme de guerre qu’est le viol en Occident. Parce que nous sommes en guerre et c’est l’islam qui nous l’a déclarée. Ne pas l’admettre, claironner à droite et à gauche le contraire ne retire pas la réalité des faits. Et cette horrible réalité qui prend forme par le viol  des femmes occidentales non-musulmanes est une réalité qui s’amplifie et devant laquelle les lâches censés nous alerter et nous protéger se cachent derrière une inacceptable dhimmitude !

Pourtant cet autre élément barbare du djihad qu’est le viol est d’une extrême gravité et d’une grande importance : les femmes ainsi traitées, souillées, insultées et torturées auront du mal à vivre dans la société et à fonder une famille. Et c’est exactement ce que veulent les musulmans : on prend la femme de l’ennemi légalement ou on la détruit par le viol. Et c’est ainsi que l’ennemi finira à la longue par être diminué parce que  moins nombreux !

Le pire dans tout cela c’est la complicité abjecte de TOUS ces salopards qui ne veulent surtout pas entendre parler de la vérité ni la voir éclater au grand jour (ce qui nous permettrait de nous protéger!), pour qui ces faits sont insignifiants en fin de compte : on ne va pas sacrifier « la paix » pour si peu ! Et c’est ainsi que les fils d’Allah tissent leur toile partout en Occident, et de faits "insignifiants" en faits "insignifiants", appliquent leur projet qui est d’islamiser le monde.

Marianne


Conformément au Coran, l'Islam permet aux musulmans de violer une non-musulmane

M. Zakaria admet que l'Islam permet aux jihadistes d'avoir des relations sexuelles avec leurs captifs féminins. Sa première réclamation est que ceci ne constitue pas une approbation de viol.

Sa réclamation n'est pas acceptable pour une raison simple : Il suppose que la femme captive de non-Musulmans s'engagerait volontairement sexuellement avec les hommes musulmans qui venaient juste d'abattre des êtres chers (son mari, et/ou d'autres membres de famille, des amis etc.),  environ un mois après ce massacre.

L'impossibilité et l'improbabilité  de cette prétention, comparés à la probabilité accablante que le sexe dans de telles conditions était obligatoire (c.-à-d., viol), devraient être assez claires pour prouver que Zakaria ment.


Néanmoins, pour ceux de vous qui voudrait voir la longue réponse, et avoir connaissance  de la politique islamique sur le viol des captives et des esclaves féminins, et  des réclamations incroyables de M. Zakaria, lisez svp dessus. Les raisons de faire une réfutation si étendue, à ce qui semble être une lettre occasionnel-écrite d'un apologiste islamiste, sont deux : D'abord, la réfutation prolongée fournit la documentation de référence complète au sujet du viol et de l'abus des femmes, particulièrement des femmes de non-Musulmans, dans l'Islam. En second lieu, la réfutation expose les genres de mensonges, les moitié-vérités, et les rapports fallacieux qui viennent typiquement des auteurs islamistes.


Comme sera montré dans cette réfutation étendue, l'Islam permet aux mâles musulmans de contraindre les captifs féminins de non-Musulmans pour avoir des rapports sexuels. Ceci est autorisé une fois qu'on s'est assuré le que la femelle n'est pas enceinte. Dans ce contexte, les rapports sexuels sont contraints. Le captif féminin est forcé d'avoir des relations sexuelles contre sa volonté, et cela se conforme exactement à la définition standard du viol. M. Zakaria ne nie pas que les hommes ont été autorisés d'avoir des relations sexuelles avec ces captifs féminins. La défense de M. Zakaria de l'Islam sur cette question est semblable à celle  faite par un imam qui est l'auteur d'un site Web islamique populaire appelé l'"ask-imam." Voici un extrait de la réponse étendue des imams à la question d'un lecteur au sujet de la politique générale de l'Islam dans le respect à la reproduction avec les femelles de non-Musulmans prises le captif dans la guerre ("filles slaves") :

"L'Islam s'est assuré que les fonctions slaves de la fille n'ont pas été limitées simplement aux corvées domestiques mais ont également donné sa permission principale de copuler avec elle. Cette concession a créé une atmosphère de l'amour et de l'harmonie entre la fille slave et son maître. l'Islam a de ce fait soulevé le statut des captif-demoiselles de guerre près des épouses. C'était un traitement psychologique à son coeur peiné, étant privé de sa famille et jeté dans les mains d'une société étrange.(!!)"

Un site Web populaire semblable, l'Islam Q et A, passe en revue plusieurs avis savants islamiques et conclut : 

"le livre d'Allaah indique que les rapports sexuels qui sont autorisés sont seulement de deux types, mariage ou ceux (des esclaves de femmes) que sa main droite possède.
Al-Umm, 5/43.
L'épouse n'a aucun droit de s'opposer à son mari possédant les esclaves femelles ou à son avoir des rapports avec elles.
Et Allaah sait mieux."

Comme ce sera montré, ces réponses sont entièrement conformes à Coran et au hadith. Ce qui est le plus saisissant dans les réponses ci-dessus est le manque choquant d'empathie. Elles -- M.. Zakaria, les imams qui ont écrit les réponses a cité en haut, et Mohammad --  semblent pas  saisir le crime du viol de la perspective de la victime.

C'est-à-dire,
elles ne peuvent pas sembler se permettre de voir que c'est un crime affreux, qui aurait un impact dévastateur sur la victime. Cette absence d'empathie est remarquable, donne l'importance du crime, et donne les circonstances dans lesquelles il a été commis. Le contexte a été provoqué par les incursions et les guerres islamiques conquérantes qui ont été lancées pour acquérir la terre, la propriété, la richesse, et les esclaves.

Ces campagnes ont été effectuées dans le grand  but d'établir et de propager l'Islam ;
l'acquisition de la terre, du matériel, et des personnes était, censément, pour le service de l'Islam, et pas pour l'avarice, la convoitise, et autre des motifs d'humain de base. Soutenu par la force de ce contexte établi délibéremment , les hommes musulmans ont alors contraint les captifs féminins traumatisés par le viol. Ces femmes ont été forcées d'avoir des relations sexuelles avec ces hommes qui avaient auparavant, dans beaucoup de cas, tué leurs maris, pères, frères, fils, etc En même temps, sans compter  leur propre douleur, ces femmes devraient faire face au fait que leurs soeurs, mères, filles, amis, et d'autres membres des leurs souffraient également la torture psychologique de l'esclavage et du viol institutionalisés de masse.

Seulement quelqu'un privé de l'empathie, manquant  de compréhension compatissante dans l'esprit humain et les émotions peut croire vraiment que les captifs féminins auraient désirées des relations sexuelles avec ces hommes dans ces conditions. Ceci place le contexte pour notre réfutation de lettre de M. Zakaria.

Lire la suite ici :

http://www.islam-watch.org/Archemedez/RebutMuslimRape.htm

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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 23:51
11 novembre 1918 : l'armistice est signé, la Première Guerre Mondiale est enfin terminée !


Aujourd’hui, c’est le 11 novembre, une petite pensée pour les victimes de cette ignoble boucherie qui a décimé une génération, gueules cassées, poumons gazés, destins brisés. Chacun d’entre nous a très certainement un aïeul tombé dans les tranchées de Verdun, dans les mornes plaines de la Somme, ou dans les lointaines Dardanelles...


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Sur le site suivant sont mis en ligne les papiers militaires des hommes morts durant le conflit 1914/18 : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/


Orages d'acier.
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« Un cercle d’allemands et d’anglais nous entourait, nous invitant à jeter nos armes. Il régnait la même confusion que sur un navire qui sombre. J’exhortais d’une voix faible mes voisins à poursuivre leur résistance. Ils tiraient sur nos adversaires et sur les notres. Un guirlande de figures hurlantes ou muettes se refermait autour de notre petite troupe ; A gauche deux colosses anglais fourrageaient à coups de baïonnettes dans un bout de tranchée d’ou s ‘élevaient des mains implorantes. Parmi nous, on entendait aussi des voix stridentes : « cela n’a plus de sens ! Jetez vos fusils ! Ne tirez pas camarades ! » Je lançais un coup d’œil aux deux officiers, debout à coté de moi dans la tranchée. Ils me répondirent d’un sourire, d’un haussement d’épaules, et laissèrent glisser à terre leur ceinturons. Il ne me restai plus que le choix entre la captivité ou une balle ; (…) Deux anglais qui ramenaient un groupe de prisonniers du 99éme vers leurs lignes, me barrèrent la route. Je plaquai mon pistolet sur le corps de l’un deux et appuyai sur la détente; l’autre déchargea son fusil sur moi sans m’atteindre ; Ces efforts violents chassaient le sang de mes poumons en spasmes clairs. Je pus respirer plus librement et continuai à courir le long du bout de tranchée. Derrière une traverse, le lieutenant Schläger était accroupi au milieu d’un groupe de tireurs. Ils se joignirent à moi. Quelques anglais, qui traversaient le terrain, s’arrêtèrent, mirent un fusil-mitrailleur en batterie et tirèrent sur nous. Sauf moi-même, Schläger et deux de nos compagnons, tous tombèrent; (…) rien ne m’inquiétait, que la perspective de m’écrouler trop tôt… »

 

Ces quelques lignes sont tirées d’« Orages d’aciers », livre extraordinaire dans lequel Ernst Jünger relate son expérience de soldat puis d’officier dans les troupes de choc lors de la première guerre mondiale.Qui a lu Barbusse ou Genevoix sait la réalité -l’horreur absolue- de ce conflit. Mais le témoignage d’Ernst Jünger dépasse, à mon avis, le simple récit de guerre et atteint une dimension quasi Homérique, tant l ‘engagement, le courage physique et la fascination sont totales. Jünger fut blessé quatorze fois et fut décoré avant la fin de la guerre de la Blauer Max, la plus haute décoration militaire Allemande. Bien qu’anti-nazi et sympathisant des militaires qui organisèrent l’attentat raté contre Hitler, il sera défendu par celui-ci (qui avait connu aussi l’enfer des tranchées comme simple soldat), en souvenir de sa conduite héroïque durant la première guerre mondiale.

 

De Jünger, Julien Gracq disait : « L’émail dur et lisse qui semble protéger cette prose contre un toucher trop familier nous semblerait peut-être un peu glacé, si nous ne savions et si nous ne perdions jamais le sentiment au cours de notre lecture, qu’il a été obtenu à l’épreuve du feu. »

 

Jünger reste une énigme. Né le 28 mars 1895, il s’enfuit à 17 ans de la maison familiale pour s’engager dans la Légion étrangère : « J’avais acquis un jour la certitude que l’Eden perdu se trouvait quelque part dans les ramifications du Nil supérieur et du Congo. » écrit-il dans Jeux Africains. Récupéré par son père à Sidi-bel-abbès, il est engagé volontaire dés le début de la Grande Guerre.Viennent aprés des études de philosophie et de zoologie à Leipzig et à Naples et la publication de ses premiers livres, dont Orages d’aciers, (« Le plus beau livre de guerre que j’ai lu » dit Gide) et Les falaises de marbre, dans lequel il dénonce la barbarie Nazie. Jünger refuse les propositions du parti Nazi en 1933, préférant se consacrer à ses recherches d’entomologistes et à l’écriture. Il participe à la seconde guerre mondiale comme attaché à l’état-major parisien et consacre son temps libre à rédiger son Journal Parisien, de 1939 à 1945. Jünger aime profondément Paris et la France ; on le rencontre à l’hôtel Raphaël ou il loge, au Ritz, à la Tour d’Argent…Il déjeune ou dîne avec Jouhandeau, Morand, Guitry, Arletty, Cocteau, Picasso, Braque…Il lit Melville, Giono et surtout Léon Bloy. Il va au théâtre, se promène à travers Paris. Mais il est témoin aussi d’atrocités et d’horreurs.

 

 « Paris le 7 décembre 1941 ; L’après-midi, à l’Institut Allemand, rue Saint Dominique. Là, entre autres personnes, Merline (Céline), grand, osseux, robuste, un peu lourdaud, mais alerte dans la discussion, ou plutôt dans le monologue. Il y a chez lui, ce regard des maniaques, tourné en dedans qui brille comme au fond d’un trou. (…) Il dit combien il est stupéfait, que nous, soldats, nous ne fusillions pas, ne pendions pas, n’exterminions pas les juifs- il est stupéfait que quelqu’un disposant d’une baïonnette n’en fasse pas un usage illimité. « Si les bolcheviks étaient à Paris, ils vous feraient voir comment on s’y prend ; ils vous montreraient comment on épure la population, quartier par quartier, maison par maison. Si je portais la baïonnette, je saurais ce que j’ai à faire ! » »

 

« Paris le 7 janvier 1942 ; Reçu une lettre de mon frère Wolfgang qui, de nous quatre a été appelé le dernier sous les drapeaux ; il dirige maintenant, avec le grade de caporal, un camp prisonnier à Zullichau ; les prisonniers ne seront pas mal avec lui. Il me raconte ceci, pour la bizarrerie de la chose : «  Hier, je me suis rendu pour raison de service à Sorau en Lusace, ou j’avais à conduire un prisonnier à l’hôpital. Là, il m’a fallut également faire une visite à l’asile d’aliénés. J’y ai vu une femme dont la seule manie était de marmonner sans arrêt : « Heil Hitler ! » Quand même, voilà une folie qui est bien de notre époque. »

 

 

 

Au delà de la description factuelle et érudite de sa vie Parisienne, Jünger révèle au lecteur sa haine de Hitler et de ses partisans (qu’il désigne sous le nom de lémures), son horreur de ce qui s’est emparé de l’Allemagne , mais aussi son impuissance et sa prescience du désastre à venir.

 

Lors de l’épuration, bien que farouche nationaliste et homme de droite en un certain sens, Jünger sera défendu par Brecht au moment ou son œuvre se voit mise à l’index.

 

Viennent ensuite des années de voyages, d’études entomologistes et d’écriture qui font de cet homme inclassable un être manifestant dans ses écrits un besoin d’absolu et une exigence de sincérité bien rares.

 

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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 23:50


par Daniel Pipes
Jerusalem Post, 24 octobre 2007
VO: http://www.danielpipes.org/article/5044

Je prévois que la nouvelle série de négociations diplomatiques israélo-arabes que l’administration Bush prévoit de tenir le 26 novembre prochain compromettra sérieusement les intérêts américains et israéliens.

D’une manière générale, les négociations ne réussissent que sur la base d’un objectif commun. Dans les négociations entre le patronat et les syndicats, par exemple, les deux parties souhaitent la reprise du travail. En l’absence d’un tel fondement partagé, les négociations tendent non seulement à échouer, mais encore à faire plus de mal que de bien. Et c’est le cas des discussions prévues à Annapolis, dans le Maryland. L’une des parties (Israël) aspire à une coexistence pacifique alors que l’autre (les Arabes) souhaite éliminer son partenaire de négociation, comme le prouvent ses actions violentes, ses votes majoritaires, ses réactions aux sondages, sa rhétorique politique, ses messages médiatiques, ses manuels scolaires, ses sermons dans les mosquées, les graffitis sur ses murs et bien d’autres choses encore.

Il faut donc s’attendre à des dégâts si le gouvernement israélien fait de «douloureuses concessions» en échange d’une paix froide ou de vaines promesses, comme cela a toujours été le cas depuis 1979. Une telle issue stimulerait encore l’enthousiasme et la détermination arabes à éliminer l’État juif.

Par ailleurs, si les Israéliens résistent devant une position commune aux États-Unis et aux Palestiniens, il faut craindre l’apparition d’une crise sans précédent dans les relations entre les États-Unis et Israël – pire encore qu’en 1975 et même qu’en 1957. Ceci notamment en raison de l’importance exceptionnelle des enjeux. La secrétaire d’État Condoleezza Rice a déclaré que «les États-Unis considèrent l’instauration d’un État palestinien, d’une solution à deux États, comme absolument essentielle pour l’avenir non seulement des Palestiniens et des Israéliens, mais bien du Moyen-Orient tout entier ainsi que des intérêts américains.» Si un État palestinien est «absolument essentiel (…) pour les intérêts américains», quiconque s’y opposera paiera sans doute le prix fort. Comme je le soutiens depuis novembre 2004, les relations entre les États-Unis et Israël ne tiennent qu’à un fil. Annapolis les rend encore plus vulnérables.

Au-delà de ces problèmes aussi graves qu’inévitables, les discussions affrontent deux défis d’ordre pratique: du côté palestinien, Mahmoud Abbas, «l’homme du paille du Fatah» (pour reprendre l’expression de l’éditorialiste du Jerusalem Post Caroline Glick) est extrêmement peu fiable. Comme le relève Hirsh Goodman, du Jerusalem Report, «il n’existe aucun organe responsable palestinien qui soit en mesure de livrer un quotidien à l’heure le matin. Inutile de parler d’un accord de paix qui passerait l’épreuve du temps.»

Du côté israélien, le ministère d’Ehud Olmert pourrait s’écrouler si ses partenaires ombrageux décidaient de quitter la coalition au pouvoir. Les partis Shas et Yisrael Beiteinu ont fait connaître leur ferme opposition à une partition de Jerusalem, entre autres mesures. Ehud Barak, le chef du Parti travailliste, devrait rejeter tout plan réduisant la liberté de mouvement des Forces de défense israéliennes en Cisjordanie. La ministre des affaires étrangères Tzipi Livni pourrait tout lâcher si le «droit au retour» palestinien n’est pas abandonné. Le fait qu’un récent sondage indique que 77% des Israéliens estiment que leur gouvernement est «trop faible pour signer un accord de paix avec les Palestiniens au nom d’Israël» augmente encore les chances de défection.

Devant ces sombres perspectives, on se demande bien quelle mouche a piqué l’administration Bush pour relancer l’idée de négociations israélo-palestiniennes après s’en être tenu à distance pendant près de sept ans? Quelques facteurs possibles:

  • La menace iranienne. Rice distingue une ouverture pour la diplomatie américaine dans le réalignement de la politique moyen-orientale résultant de l’agression iranienne, tant actuelle (Hezbollah, Hamas) que future (armes nucléaires).
  • L’inaction serait pire. Si rien n’est fait, la position déjà très précaire de Kadima dans les sondages s’aggraverait encore et l’emprise fragile du Fatah sur la Cisjordanie s’effriterait. La perspective de voir le Likoud et le Hamas succéder à Olmert et Abbas ne plaît pas plus à l’administration Bush qu’à ces deux hommes.
  • Legs: Zbigniew Brzezinski a fait part des espoirs placés dans Annapolis par l’establishment de la politique extérieure et de sa piètre opinion de Rice: «Elle réalise que son legs est extrêmement mince. Si elle peut mener cette affaire à bien, elle passera pour une figure historique.»
  • Droits civils. Rice croit à une sorte d’analogie bizarre entre les Palestiniens de Cisjordanie et les Noirs du Sud.
  • Messianisme. Tant George W. Bush que Rice semblent s’estimer destinés à clore les hostilités israélo-arabes. Un de ses interlocuteurs indique qu’«elle croit le temps venu de mettre un terme au conflit israélo-arabe».

Le commentaire de Rice fait écho à la déclaration prononcée par George H.W. Bush en 1991 selon laquelle «l’heure est venue de mettre fin au conflit israélo-arabe» ainsi qu’à l’intention du premier ministre israélien Ariel Sharon, annoncée en 2005, de «résoudre ce problème une fois pour toutes». Mais, comme l’a si bien observé Irving Kristol: «Lorsque les Dieux veulent détruire quelqu’un, ils commencent par le tenter de résoudre le conflit israélo-arabe.»
 


Les pays arabes envisagent l’expulsion de millions d’étrangers. Motif ? Érosion inacceptable de la culture locale !

dubai1Point de bascule

Article de Annie Lessard publié le 10 novembre 2007

Les Québécois ne sont pas les seuls à s’interroger sur l’impact social et culturel de l’immigration et sur la capacité d’intégration d’immigrants dont la culture est aux antipodes de la culture locale.

Les pays arabo-musulmans, qui ont une importante population de travailleurs migrants venus principalement d’Asie, se posent les mêmes questions. Mais alors que les Québécois, qui ont entamé un débat démocratique et serein sur la question, se font accuser de fascisme, de xénophobie, de racisme et d’islamophobie — en particulier par les musulmans — les pays du Golfe, eux, envisagent l’expulsion massive de millions d’étrangers ! Au lieu de diaboliser les Québécois, les musulmans d’ici feraient bien d’apprécier un peuple dont la culture rendrait impensable le recours à des mesures aussi draconiennes.

Menace identitaire dans les pays du Golfe

Dans une chronique récente , Tarik Al Maeena de Arab News traite de l’inquiétude des pays arabes face à la menace identitaire que fait peser sur eux la présence d’un trop grand nombre de travailleurs étrangers sur leur territoire. Selon le ministre du travail du Bahreïn, « Dans certaines régions du Golfe, vous ne savez plus si vous êtes dans un pays arabo-musulman ou dans une région asiatique. On ne peut pas parler ici de « diversité ». Aucune nation sur la planète ne peut accepter une érosion de sa culture sur son propre territoire. »

Selon le chroniqueur Al Meena, le ministre du travail du Bahreïn a annoncé que son pays proposerait l’introduction d’un plafond de 6 mois aux permis de travail délivrés aux étrangers travaillant dans les monarchies du Golfe. Cette proposition sera présentée au sommet du Conseil de coopération du Golfe (le « CCG », comprenant le Bahreïn, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, Oman, le Qatar et le Koweït) qui se tiendra à Doha en décembre. Le ministre du travail s’est dit confiant qu’elle sera acceptée.

Le Bahreïn soumet cette proposition dans le contexte d’une grande préoccupation face à l’érosion graduelle des mœurs sociales et de la culture locales. Selon le ministre du travail du royaume, « la majorité des travailleurs étrangers proviennent de milieux culturels et sociaux qui ne peuvent pas s’assimiler ou s’adapter aux cultures locales ».

Le Bahreïn estime aussi que les travailleurs migrants s’accaparent les emplois dont la main-d’œuvre locale aurait grandement besoin. Avec plus de 14 millions de travailleurs migrants dans la région, le ministre du travail des Émirats arabes unis, Ali Bin Abdullah Al Ka’aBi, a indiqué que cette question figure en tête de liste de l’ordre du jour du sommet du CCG. Les Émirats, dit-il, partagent les préoccupations du Bahreïn.

Selon Arab News, ce projet pourrait se traduire par l’expulsion de millions de personnes. Malgré que l’économie des riches monarchies du Golfe soit largement tributaire des travailleurs migrants, qu’il s’agisse de travailleurs manuels ou de cadres supérieurs, il y a une préoccupation grandissante face au chômage des citoyens des pays du CCG. Une étude de l’Université Sharjah publiée l’année dernière révèle que 32,6% des hommes et 47,7% des femmes des pays du Golfe sont en recherche d’emploi.

Selon les statistiques de l’AFP, environ 35 millions de personnes résident dans les 6 monarchies du Golfe et 40% d’entre elles sont des étrangers. Le chroniqueur de Arab News commente que « vu l’ampleur du chômage et compte tenu de l’explosion démographique dans la région, les pays du Golfe peuvent être excusés de mettre en place des mesures drastiques visant les migrants ».

Outre l’expulsion des étrangers, d’autres mesures sont envisagées. On réduirait les prestations sociales aux chômeurs qui refuseront les mesures d’aide au retour à l’emploi, de manière à les motiver à travailler plus fort et plus longtemps. On réviserait aussi les programmes d’enseignement en vue de donner aux travailleurs locaux la formation leur permettant d’occuper les emplois laissés vacants par les migrants. Le chroniqueur Al Meena conclut ainsi : « La proposition du Bahreïn, si elle devait être acceptée, enverrait aux 14 millions de migrants qui vivent présentement dans les pays du CCG un message clair qu’il est maintenant temps pour eux d’envisager d’autres options. Pour certains d’entre eux, ce scénario sera douloureux puisqu’ils ont amené leur famille dans un pays du Golfe et qu’ils en ont fait leur foyer d’adoption ».

Source :   Expatriates’ Impact on Gulf’s Labor, Social Situation par Tarik Al Maeena, 27 octobre 2007, http://www.arabview.com/articles.asp ?article=921

 

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Economie: les fonds islamiques fleurissent - un rapport du Sénat




Un rapport récemment présenté en France par une commission du Sénat évoque le développement des fonds souverains au Moyen-Orient. Leur croissance est de 15% par an. La place financière londonienne en aurait largement tiré profit, selon les analyses françaises.

© Photographe: Vladimir Melnik | Agency: Dreamstime.com
Réunie le mercredi 17 octobre 2007, sous la présidence de Jean Arthuis, la Commission des finances du Sénat a entendu un compte rendu du déplacement effectué du 25 mars au 1er avril 2007 par une délégation de la commission dans trois Etats du Golfe persique: Emirats arabes unis (EAU), Bahreïn et Arabie Saoudite.

Jean Arthuis a notamment détaillé le phénomène de finance islamique, qui rend compatible la finance avec l'éthique musulmane et se définit comme un ensemble de produits financiers conformes à la charia. Il a constaté qu'il s'agissait d'un marché à très fort potentiel de développement, en croissance de 15% par an. vis-à-vis duquel la City disposait déjà de plusieurs années d'expérience. Et de plusieurs longueurs d'avance.

Dans le rapport du Sénat [1], on peut lire sur le sujet des fonds islamiques les développements suivants, qui présentent les spécificités de la technique de la "banque islamique" (les paragraphes suivants sont des extraits du document):

1. Conformer la finance aux principes de l'Islam

L'ensemble des règles de conduite régissant la vie privée et publique des musulmans est codifié par la charia, ou loi islamique. Afin de rendre compatible la finance avec l'éthique musulmane, la "finance islamique" a vu le jour dans les années 1970. Celle-ci se définit donc comme un ensemble de produits financiers conformes à la charia.

Ainsi, ne peuvent pas être investis dans des opérations associées à l'alcool, au tabac, à la pornographie et aux paris.
Tous les produits financiers islamiques doivent être approuvés par des ulemas, spécialistes de la charia, habilités à se prononcer sur la conformité d'un produit financier avec la loi islamique. Ainsi cette dernière réprouve la riba (l'usure) à savoir le fait de "rémunérer l'argent" lui-même (versets 275 et 276 de la 2ème sourate du Coran [2]). Le mécanisme juridique consiste donc à trouver un "bien réel intermédiaire", actif non monétaire, qui constitue le véhicule porteur des produits financiers islamiques. Pour l'achat d'un bien immobilier, c'est la banque qui achète le bien et le loue à son client (ijara ou crédit bail) et/ou le lui revend en différé (murabaha).

Cette technique est éprouvée et n'engendre qu'un faible coût supplémentaire d'intermédiation, qui ne semble pas constituer un frein, surtout au regard de l'importance du marché ouvert aux établissements financiers devenus charia compliants, marché sur lequel les banques anglo-saxonnes sont particulièrement présentes et qu'il convient donc de ne pas délaisser.

2. Un marché en plein essor

Les données chiffrées concernant la finance islamique restent très partielles et sont donc sujettes à caution. Les actifs gérés par les banques islamiques, à ce jour, seraient limités à 265 milliards de dollars. La DGTPE les estime à 500 milliards de dollars, soit dix fois plus qu'il y a vingt ans. Les investissements financiers sont évalués à plus de 350 milliards de dollars par Standard & Poor's (dont 300 milliards de dollars au Moyen-Orient). Le stock d'obligations islamiques (sukuks) a atteint 47 milliards de dollars en 2006. Ce montant a été multiplié par 6 en quatre ans selon le FMI, même s'il reste encore faible au regard des 4.700 milliards de dollars d'émissions obligataires d'entreprises dans le monde. Le DIFC estime, quant à lui, qu'ils ont atteint 70 milliards de dollars.

En revanche, il s'agit d'un marché à très fort potentiel de développement, en croissance de 15 % par an. La recherche statistique sur la finance islamique est néanmoins peu développée et il est, là encore, difficile de vérifier ces chiffres.

Ce marché est très suivi par les grandes banques internationales (au premier rang desquelles HSBC, Deutsche Bank, Citigroup) qui ont bien perçu le potentiel que représente une population musulmane en forte croissance (1,5 milliard de personnes aujourd'hui, 2,5 milliards de personnes en 2020), notamment en Asie.

Il y a là, à l'évidence, matière à réflexion, pour les acteurs européens continentaux et notamment français, la City disposant déjà de plusieurs années d'expérience. En effet, depuis 2004, le Royaume Uni est le seul pays occidental dans lequel la finance islamique est significativement implantée, le gouvernement ayant modifié sa législation [3] afin de développer ce secteur et de faire de Londres "le portail occidental et le centre mondial de la finance islamique" [4]. L'Institut de la bourse britannique, en partenariat avec l'Ecole supérieure des affaires libanaise, a créé en octobre 2006 le premier diplôme mondial de finance islamique, l'Islamic Finance Qualification. Une qualification attractive dans la mesure où les professionnels de la finance islamique sont de plus en plus recherchés.

[Du côté des banques françaises] le Crédit Agricole et BNP Paribas disposent déjà de départements spécialisés dans leurs établissements du Golfe (à Bahreïn), tandis que la filiale de la Société générale SGAM AI a annoncé, en juillet 2007, le lancement de produits financiers conformes à la Charia.


Notes

[1] Rapport d'information n° 33 (2007-2008) de MM. Jean ARTHUIS, Philippe MARINI, Aymeri de MONTESQUIOU, Philippe ADNOT, Michel MOREIGNE et Philippe DALLIER, fait au nom de la Commission des finances, déposé le 17 octobre 2007.

[2] Ceux qui se nourrissent de l'usure ne se dresseront au Jugement dernier, que comme se dresse celui que le Démon a violemment frappé.
Il en sera ainsi, parce qu'ils disent: "La vente est semblable à l'usure". Mais Dieu a permis la vente et il a interdit l'usure.
Celui qui renonce au profit de l'usure, dès qu'une exhortation de son Seigneur lui parvient, gardera ce qu'il a gagné. Son cas relève de Dieu.
Mais ceux qui retournent à l'usure seront les hôtes du Feu où ils demeureront immortels.
Dieu anéantira les profits de l'usure et il fera fructifier l'aumône. Il n'aime pas l'incrédule, le pécheur.


[3] Suppression du double droit de timbre des prêts immobiliers, la banque islamique achetant le bien puis le revendant au client à échéance du prêt.


[4] Déclaration de M. Gordon Brown, alors Chancelier de l'échiquier, le 13 juin 2006.


source : http://www.observatoiredesreligions.fr/
ck
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10 novembre 2007 6 10 /11 /novembre /2007 23:53



Hollywood commence à comprendre que tous les films anti-guerre depuis 2005 échouent au box-office, et accepte de miser sur des longs-métrages illustrant la réalité de la Guerre contre la Terreur.

"The Kingdom" (le Royaume) est à ce titre révélateur. Depuis plus de dix ans, le réalisateur Peter Berg souhaitait tourner un film retraçant les péripéties d'une équipe du FBI envoyée au Moyen Orient pour enquêter sur des attentats terroristes. Berg a longuement étudié ceux des tours de 
Khobar d'Arabie Saoudite, dévastées en 1996. 

Produit par Michael Mann, "the Kingdom" raconte donc l'histoire d'une équipe d'experts fédéraux traquant un islamiste expert en bombes, Abu Hamza, en plein coeur de l'Arabie Saoudite.  Ne reculant devant aucune question dérangeante (l'ambiguïté des Saoudiens, la place de la femme dans la société musulmane), soutenu par une musique réussie, Berg réalise le premier film - ultra réaliste - sur la Guerre contre le Terrorisme menée au Moyen Orient.

Rien que le générique du début retabilise déjà le ticket de cinéma ! Loin des scènes larmoyantes ou malhonnêtes (la fin de Syriana, qui fait l'apologie du terrorisme), Berg présente succintement les enjeux de la guerre en cours à la fin de son film : anéantir l'ennemi islamiste, ou être anéanti.

"The Kingdom", c'est Hollywood qui commence à comprendre la Quatrième Guerre mondiale. Enfin.


Après un attentat terroriste particulièrement sanglant en Arabie Saoudite sur des ressortissants américains, un petit groupe d’agent du FBI obtient le droit d’enquêter sur place….

On peut dire que depuis quelques années,
les démocrates ont pris le pouvoir à Hollywood. Oubliant totalement que leurs leaders ont voté pour les libérations de l’Irak et de l’Afghanistan, les cinéastes « de gauche » nous sortent à la chaîne des Syrania, Dans la vallée d’Elah, Lions et Agneaux (le dernier Redford) sans oublier l’abject Fahrenheit 9/11… L’Amérique bobo cherche à se donner bonne conscience, quitte à manipuler la vérité et à faire l’impasse sur la véritable origine du mal, c’est-à-dire le terrorisme islamiste.

En 2007, 300 a été un premier assaut contre le politiquement correct d’Hollywood,
un film ouvertement néo-conservateur qui lui a d’ailleurs valu la haine de toute la presse cinéma française, elle aussi très à gauche et municharde dans l’âme.

Le Royaume est le deuxième coup de poing dans la façade de cette attitude qui consiste à rendre l’administration Bush responsable de tous les maux.
Réalisé par Peter Berg (à qui on doit Friday Night Lights, un film sur le football universitaire) et produit par Michael Mann, Le Royaume est le premier film à aborder de manière frontale le terrorisme islamisme, sans œillères et surtout, surtout, sans ce ridicule sentiment de culpabilité qui gangrène l’Amérique bobo.

On ne peut que saluer le courage de Jamie Foxx et Jennifer Gardner qui ont osé jouer dans un film ouvertement Républicain,
un film où les héros cherchent non pas à comprendre le terrorisme islamiste en le posant comme une « réponse à l’attitude américaine » mais à le combattre sans état d’âmes. Il est clair que l’Hollywood de gauche va leur faire payer leur engagement, comme elle n’a jamais pardonné à John Wayne d’avoir réalisé Les bérets verts.

Si vous cherchez un film qui dénoncera Guantanamo ou la libération de l’Irak, changez de salles.

D’autant que Le Royaume se place des deux côtés, il montre l’enquête difficile d’agents du FBI dans un pays hostile à la présence américaine mais aussi la préparation minutieuse des attentats, l’endoctrinement des plus jeunes, l’antisémitisme des foules arabes. Une scène insoutenable montre ainsi des gamins jouant à des jeux vidéos où le but est de tuer le maximum de soldats américains. Insoutenable car ferment de haine future.

Brutal, le film l’est. Les attentats ne font pas l’objet de pudiques hors champs, bien au contraire. La sauvagerie des meurtres, le jusqu’au boutisme et la lâcheté qui consistent à tuer le maximum de civils montrent qu’on est bien au-delà de l’habituel discours sur les damnés de la Terre qui tentent de venger leur humiliation.

Peter Berg ne s’embarrasse pas de tabous. Il ose rappeler que 11 terroristes sur 15, le 11 septembre, étaient saoudiens. Il ose montrer un clone d’Osama se servir de ses enfants comme bouclier, il ose montrer des nazislamistes enlever un agent US pour tenter de l’égorger devant une caméra. Il ose montrer comment les terroristes font leur propagande sur le net. Mais surtout, surtout  ,   il ose montrer des agents du FBI agir par esprit de justice.

Mais l’aspect le plus intéressant est la description de la société saoudienne, société pleine de paradoxe où la modernité côtoie les coutumes les plus anciennes de l’Islam. En introduisant le personnage du policier saoudien, un homme intègre, bon musulman et qui ne juge pas les autres à leur religion ou leur couleur de peau, il fait un parallèle évident entre la collaboration en Irak entre l’armée US et la nouvelle armée irakienne. Ici, Jamie Foxx va trouver un « frère d’armes », un homme sur qui il va entièrement laisser reposer sa vie quand il s’agira d’agir contre un nid de terroriste. Le film montre les policiers dans leur vie quotidienne, les montre quelque peu désabusés par la violence de leur congénère. Ces moments permettent certes au film de respirer, mais surtout montrent bien que, face à un ennemi qui n’a pas peur de mourir, seule la solidarité permettra de s’en sortir.

En explorant l’Arabie Saoudite de l’intérieure, et en n’excluant aucun de ses aspects (on passe des palais des Princes aux refuges islamistes surpeuplés, sans oublier les zones pour  occidentaux où une scène stupéfiante montre un homme dont la femme a été tuée par les terroristes se demander publiquement si le Coran autorise le meurtre d’innocents), le film se refuse à tout manichéisme. Il ne juge pas l’Islam le montrant sous toutes ces facettes, ne sous-titre pas à outrance plaçant le spectateur dans la même position que les protagonistes US et surtout se refuse à faire du sentimentalisme déplacé. Ici, les terroristes n’ont pas d’excuses, seule la haine les meut, comme le montre la phrase finale, terrifiante car prononcée par une enfant !!

Le Royaume est un OVNI dans l’Hollywood actuel. Il est également le seul film sur la guerre en cours qui ait à peu près marché aux USA et dans le reste du monde. Mais surtout, il est la preuve qu’un autre discours existe, que tous les cinéastes ne passent pas par les fourches caudines du politiquement correct. Peter Berg, Jamie Foxx, Jennifer Gardner sont, au final, de vrais patriotes, qui osent dire à la face de leurs pays : nous avons raison de combattre le terrorisme !!

On pourrait reprocher à Berg une mise en scène parfois trop "caméra à l'épaule" qui rend peu lisible certaines scènes d'action, ainsi que l'emploi  trop fréquent d'images floues qui se stabilisent. En fait , Berg a voulu insuffler au métrage un côté documentaire et se plie à la nouvelle grammaire filmique en vogue depuis quelques années aux USA. Mais mis à part ce détail (qui rapidement s'estompe, le temps que l'on s'habitue) , Le Royaume est un parfait film sur la 4e guerre mondiale.

Par les temps qui court, c’est suffisamment rare pour être signalé. On attend maintenant le film avec Harrison Ford sur la reprise en main du bastion islamiste irakien de Faloudja en 2004 que l’on nous annonce depuis deux ans désormais !!

unef.gifDécidément, en France, on est vieux de plus en plus jeunes. Témoin, ces hordes d’étudiants encartés à l’UNEF (l’anti-chambre du PS !!) qui veulent bloquer les universités à cause d’une réforme pourtant bien timide. Et qui, soit dit en passant, a déjà fait l’objet de négociations en leur faveur durant le mois de juillet.

Comme tous les staliniens, les méthodes des syndicats étudiants sont classiques : AG bidons où l’on vote à main levée (c’est plus intimidant qu’un bulletin secret), blocage par la force des bibliothèques, des salles de cours (et tant pis pour ceux qui veulent bosser), démagogie à tous les étages dans le discours (ouais, heu, on lutte parce que les étudiants y zont du mal à se loger, et pis, y zont pas de blés)….

Archaïques étudiants !! des vieillards en puissance, des lobotomisés de 20 ans qui parlent comme les abrutis gauchistes de 60 !! L’UNEF refuse tout en bloc, espère un nouveau Mai 68 et n’a qu’une idée simple : prendre la remorque des « mouvements sociaux » et foutre le plus de bordel dans ce pays.

Dur de gouverner un pays de gauchistes !! Les universités en sont un bel exemple. Depuis des années, démagogie des 80% de bacheliers oblige, elles sont devenues de véritables poubelles où s’entassent des zonards incapables d’aligner trois idées sur une copie, à l’orthographe désastreuse, à la culture générale proche du néant. Admirateurs du Che (qu’ils ne connaissent que via leurs coûteux Sweat-shirts) et pourfendeur du « capitalisme sauvage » (qu’ils subventionnent pourtant à grand coup de gadgets hype fabriqués en Chine) , les z-étudiants professionnels de l’UNEF (Souvent à bac +8 mais en 2e année de Deug) n’ont pas supporté la défaite de Royal en mai dernier. Le 3e tour social qu’ils appellent de leurs vœux est une splendide occasion de rappeler au PS qu’ils existent. Après tout, les Municipales approchent et il y a des places à  prendre !!

Les vieux jeunes prennent en otage l’université depuis des années. C’est aux vrais étudiants de ne plus se laisser marcher sur les pieds . Entre plusieurs centaines de jeunes qui veulent bosser et une poignée de vieux jeunes, le rapport de force est évident. A eux de prendre leurs responsabilité et de défoncer les blocages , d’expulser les vieux jeunes.

S’ils veulent manifester, qu’ils aillent rejoindre la horde de nantis de la SNCF ou de la RATP. Mais qu’ils laissent les gens sérieux bosser !!


Munich : toujours d'actualité chez le Ché

Décidément, Chevènement mérite tout à fait sa réputation de munichard de première. Les plus anciens se souviennent de son abandon de poste en pleine guerre du golfe, quand la coalition menaçait de frapper son ami Saddam. Chevènement avait alors démissionné, mettant ainsi son anti-américanisme primaire en accord avec son soutien sans faille au boucher de Bagdad.

Logiquement, un tel acte et de telles amitiés auraient dû, dans un monde normal exclure Chevènement de la vie politique, au minimum.

Mais en France, on aime les gens comme cela, surtout s’il crache sur les USA, pays honnis par 99% de la classe politique.

Voici donc que , après avoir vainement tenté de sauver son ami Saddam par deux fois, que le « Ché » s’intéresse  à l’Iran. Et une fois de plus, il ne fait pas dans la dentelle !!

Dans une tribune publiée dans Le Figaro (qui en passant montre là , une fois de plus, son racisme anti-US forcené) , l’ex maire de Belfort et ex-député du même territoire (battu deux fois on le rappelle, en 2002 et 2007) , nous explique qu’il est contre la « logique de guerre contre l’Iran » et ceux avec des arguments que n’auraient pas renié Chamberlain ou Daladier.

Il commence déjà à déplorer que Nicolas Sarkozy s’aligne sur « les faucons américains et leur aventurisme militaire ». Le Ché ne sait toujours pas qu’il y a eu un 11 septembre.

Pour lui, les menaces ne peuvent que favoriser le camp des durs en Iran. L’argument a déjà été évoqué en 2002-03 sur l’Irak. Les menaces ne pouvaient que favoriser les durs du régime baassiste. Il fallait donc « négocier » si possible sous l’égide de l’ONU. Les mois gagnés par Saddam au nom de cette logique lui ont permis de déménager ses AMD en Syrie. Beau résultat.

Continuer à négocier avec l’Iran, c’est simplement lui laisser le temps de finir son programme nucléaire. Chaque reculade occidentale est une avancée vers la bombe iranienne. Les Mollahs ont bien étudié les années 30 et ils savent que chaque concession des démocraties ont renforcé le nazisme. En digne héritier de la peste brune, ils savent admirablement utiliser les « idiots utiles » comme le Ché.

Histoire de faire bonne mesure, il estime que le règlement israélo-palestinien est dans les mains des USA. Mensonge puisqu’il est dans les mains des palestiniens. Le jour où ils accepteront de faire une véritable paix avec Israël, le conflit s’arrêtera. Mais le Ché ignore ce qu’est le Hamas.

Il parle de radicalisation du monde musulman après la libération de l’Irak. C’est sans doute au nom de cette « radicalisation » que la Libye a laissé tomber son programme d’AMD, que le Pakistan s’est soumis aux exigences de Washington, que la Jordanie coopère avec les USA, que Wallis Jumblat a estimé que , finalement , la chute de Bagdad était une bonne chose… Le Ché vit encore dans un monde où les seuls musulmans audibles sont les dictateurs du golfe.

« La société iranienne est moderne ; la jeunesse, éduquée, aspire au changement. Pour autant, la tentation existe de flatter à des fins de propagande interne le nationalisme iranien, en faisant miroiter l'obtention d'une arme nucléaire. Mais là n'est pas l'intérêt véritable de l'Iran : la prolifération nucléaire qui en résulterait dans la région serait hautement déstabilisatrice. Depuis la fin du régime baasiste à Bagdad, l'Iran n'a pas besoin de l'arme nucléaire pour être la puissance prépondérante de la région. » On nage ici en plein délire. C’est certes vrai que la société jeune iranienne aspire au changement, elle en demande même une intervention US !!

Mais qu’on ne s’y trompe pas. Les Mollahs se foutent de leur jeunesse comme de leur premier poil de barbes. La crise économique qui frappe l’Iran depuis des mois (et qui soit dit en passant est à l’origine de l’échec d’Ahmadinejad lors des municipales) est sciemment entretenue par le régime afin de laisser le peuple dans la misère. Or, un peuple qui est tenu par la faim a moins de ressources pour se révolter.

Le Ché estime que l’Iran ne veut pas se doter d’armes nucléaires. Qui croit-il convaincre à part la gauche, les vieux chiraquiens, les munichards et les autruches françaises ? Pourquoi alors un tel brouillard autour du programme militaire et nucléaire iranien ? Pour dissimuler quoi ? Il ne le dit évidemment pas.

Au passage, il invoque El Baradeï , qui a quelques intérêts chez les Mollahs et qui ne verrait pas d’un mauvais œil une deuxième puissance nucléaire au Moyen Orient. Elbaradeï estime qu’il faudrait 6 à 8 ans à l’Iran pour avoir la bombe. Or, y compris, à l’AIEA d’autres experts estiment que cela pourrait être fait à l’horizon 2009 !!

« La France servirait mieux la paix et ses intérêts à long terme en oeuvrant dans ce sens plutôt qu'en tentant de prendre la tête d'une campagne européenne en vue d'imposer à l'Iran des sanctions en dehors du cadre de l'ONU, pénalisant ainsi ses propres entreprises. Les autres pays européens - Allemagne, Grande-Bretagne - ne jouent pas les boutefeux, à la différence de Bernard Kouchner. Quant à la Russie, on l'a vu avec la visite de Vladimir Poutine en Iran, elle empoche les contrats tout en se payant le luxe de tenir un discours plus équilibré. »

On touche ici le fond !! La France doit donc continuer à se taire comme le fait l’Allemagne. Au mieux, elle pourra comme la Russie du Stalinien Poutine empocher l’argent sale des Mollahs. Belle leçon de civisme de la part de celui qui fut ministre de l’Education Nationale.

En passant, il crache sur Kouchner qui a réussi, lui, à survivre au sarkozysme. Le Ché, chômeur depuis quelques mois en est réduit à mendier une tribune au Figaro pour se faire entendre.

La France se couvrirait nettement moins de ridicule si elle ne laissait pas la parole à de tels abrutis. Comme tous les munichards, Chevènement est dangereux car il ne propose qu’une fuite en avant à un réel affrontement des problèmes.
 

Munich
envoyé par davethesith
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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 23:54
Bouc émissaire, mode d’emploi


Le bloc-notes d’Ivan Rioufol du 9 novembre 2007.

Les Tziganes, boucs émissaires de l’insécurité en Italie. Après le meurtre d’une femme par l’un d’eux, Romano Prodi (centre gauche) veut expulser les «Roms» soupçonnés de délinquance criminelle. L’argument : «Empêcher la bête raciste de sortir de sa cage.» Mais elle montre son front bas quand une ethnie est ainsi désignée comme indésirable. Pourtant, la «gauche morale» française, intarissable contre les tests ADN, reste muette. La Commission européenne a dû rappeler, lundi, que les expulsions collectives d’Européens étaient interdites.

Ce choix de dénoncer une minorité, de surcroît persécutée par les nazis, n’a pas davantage été relevé par ceux, innombrables, qui ont critiqué le vote des Suisses en faveur de Christoph Blocher, dont l’affiche électorale invitait à chasser du pays le mouton noir. Il est vrai que le leader de l’Union démocratique du centre dénonçait là l’emprise de l’islamisme. C’est donc lui le xénophobe, et non Prodi. Ainsi jugent, en effet, les consciences. Plutôt que de combattre une idéologie de soumission dont la femme est la première victime, elles en viennent à cautionner un discours sulfureux contre les «Roumains», dans l’espoir de rassurer l’opinion. C’est en Italie que la Cour de cassation a acquitté un père musulman qui avait frappé sa fille, Fatima, selon les règles de la charia. Hina fut égorgée par papa parce qu’elle portait des minijupes et sortait avec un chrétien. Mardi, Rome a toutefois arrêté une douzaine de djihadistes.

Le fondamentalisme est le vrai fauteur de troubles. Les renseignements britanniques ont révélé lundi qu’al-Qaida formait en Grande-Bretagne des enfants et des adolescents en vue de perpétrer des attentats dans le pays. Vendredi, Le Figaro a dévoilé la violence de la littérature coranique de certaines bibliothèques anglaises : ainsi, la librairie de la mosquée de Regent’s Park propose un ouvrage sur la décapitation des mauvais musulmans.

Or, partout en Europe s’ob-serve une même peur d’affronter l’islam politique, aux dogmes pourtant incompatibles avec la démocratie (Chahdortt Djavann, À mon corps défendant, l’Occident, Flammarion). En France, 17 imams expulsables à cause de leurs prêches sont protégés, notamment par la Mosquée de Paris (nos éditions du 2 novembre). Ce sont eux les indésirables et il n’y a pas de racisme à le dire. Leur impunité risque de faire peser sur le reste de la communauté musulmane un injuste soupçon de connivence.

 

Autres non-dits

D’autres non-dits entourent l’affaire de L’Arche de Zoé, dont une partie des membres reste emprisonnée au Tchad. La violence des propos contre l’ONG, accusée par les Tchadiens d’alimenter des réseaux pédophiles, en fait le bouc émissaire de rancœurs et de défiances qui la dépassent, sans commune mesure avec la sotte tentative d’expatrier 103 enfants faussement présentés comme menacés par le conflit du Darfour. Entendre le ministre de l’Intérieur tchadien dire qu’il fallait que ces «bandits [les humanitaires] goûtent à nos prisons», a pu être perçu comme un défi lancé à l’ancienne puissance tutélaire ; d’autres propos ont laissé voir le désir d’humilier le «Blanc». De ce point de vue, la déclaration de Nicolas Sarkozy assurant mardi qu’il irait «chercher tous ceux qui restent, quoi qu’ils aient fait», a au moins rétabli l’autorité de la France. Mais les commentaires français accusant eux aussi les organisateurs, en dépit de la présomption d’innocence, ont révélé une autre défiance : parce que George Bush a dénoncé un génocide mené au Darfour par le régime islamiste de Khartoum, une opinion antiaméricaine s’emploie à n’y voir qu’une guerre entre Soudanais, n’accordant aucune légitimité à une urgence humanitaire. L’Arche de Zoé complice des Américains ? Certains lyncheurs le pensent tout haut.

 

Nécessaire réconciliation

«Les anti-atlantistes vont-ils se priver de sauver un peuple en danger uniquement parce que l’Amérique est au côté de ce peuple?» Bonne question, posée mardi dans Le Figaro par le professeur Ezra Suleiman. Cet antiaméricanisme aide à comprendre les critiques de Rony Brauman (ex-président de Médecins sans frontières) contre la mobilisation pour les Darfouris soutenue par les États-Unis. Il éclaire aussi ses attaques contre Bernard Kouchner et Bernard-Henri Lévy, qu’il accuse d’être responsables de l’initiative de L’Arche de Zoé.

Or ce rejet des États-Unis, porté de l’extrême droite à l’ex-trême gauche en passant par les souverainistes et les gaullistes, n’a pas de sens, même s’il reste convenu de se féliciter de l’opposition chiraquienne dans le dossier irakien. Cette unanimité a d’ailleurs conduit les médias à oublier de signaler, lundi, que le premier ministre irakien s’était promené pour la première fois dans les rues de Bagdad, à pied et pendant une heure, afin d’illustrer une sécurité qu’il estime en train d’être rétablie. Seul le chaos réjouit les anti-Bush.

Aussi faut-il se féliciter de la réconciliation avec les États-Unis, officialisée par Sarkozy. Reçu par le président américain, mardi, il a dit vouloir «reconquérir le cœur de l’Amérique de façon durable», avant d’assurer devant le Congrès sa détermination à défendre, face à la barbarie terrorisme, «l’avenir de nos valeurs et celui de l’Alliance atlantique». Plus que l’Union méditerranéenne – ce projet présidentiel ambigu –, c’est l’union occidentale qu’il faut consolider, notamment face à un Iran menaçant.

 

Grèves à venir

François Fillon, commentant sur Europe 1 les grèves à venir : «Nous ne reculerons pas !» Quitte à descendre dans la rue ? Des partisans de la rupture y sont prêts.


La France dépressive


Le bloc-notes d’Ivan Rioufol du 2 novembre 2007.

La France est dépressive. Selon une étude du Centre d'analyse stratégique (CAS), publiée lundi, 71 % des sondés voient la mondialisation comme une menace (moyenne européenne : 47 %), 13 % pensent qu'ils pourraient devenir sans-abri (2 % pour les Allemands, 8 % pour les Britanniques), 76 % estiment que la vie de leurs enfants sera « plus difficile » que la leur (moyenne : 64 %). En 2004, les préfets notaient déjà : « Les Français ne croient plus en rien ». En juin 2006, 85 % jugeaient que leur pays allait dans « la mauvaise direction ». Une nation suicidaire serait l'étape ultime. Cette photographie irrite ceux qui croient y déceler la retouche des « déclinologues », accusés d'alimenter le catastrophisme. Il est exact que les sondés se reconnaissent paradoxalement plutôt bien lotis. Mais c'est l'âme qui est atteinte. La perception des faiblesses du modèle social et des lâchetés politiques font redouter l'avenir. Les gens se défient, révèle l'étude, de la justice, de la police, des syndicats, du Parlement. Auraient-ils tort ?
Ce pessimisme montre une lucidité propice au sursaut. Quand Nicolas Sarkozy se confronte physiquement, vendredi dernier, aux cheminots CGT en grève à Saint-Denis pour leur rappeler que la rue n'aura pas le dernier mot, il montre un courage propre à doper les démoralisés. Quand François Fillon donne raison, mardi, au « grand scepticisme » des Français à qui tout aura été promis, il fait comprendre que le gouvernement mesure le désenchantement de la société.
Mais ce mal-être a des effets contradictoires : une même radicalisation est en train de dresser une partie de la population contre l'autre. Le recours aux prises d'otages d'usagers de la SNCF et d'Air France a été vécu comme une provocation. L'annonce, mercredi, d'autres grèves reconductibles dès le 13 novembre risque d'élargir la fracture entre conservateurs (de gauche) et réformistes (de droite). Partout, l'irritation est dans l'air.
Pourtant, l'État s'égare. Le ramdam sur le « Grenelle de l'environnement », qui a consacré l'autorité de l'homme de télévision (Nicolas Hulot) sur le savant, est déjà oublié. La réforme de la Constitution passionne les initiés. La commission Attali (l'homme des nationalisations de 1982) découvre le libéralisme comme d'autres la Lune. Sarkozy, qui choisit ces jours de tensions pour faire augmenter son salaire de 140 %, doit d'abord répondre au mal français.

La perspicacité du peuple
Pour dater le divorce entre les citoyens et leurs représentants, le 29 mai 2005 s'impose : près de 55 % des votants disent non au référendum sur la Constitution européenne, défendue unanimement. Ce rejet n'est pas seulement celui d'électeurs excédés par Jacques Chirac. Il révèle la méconnaissance par les élites de la profondeur des liens unissant un peuple à sa nation. L'échec de la consultation a fait prendre conscience du malaise existentiel des Français. Aussi, le choix de Nicolas Sarkozy de se dispenser de les entendre sur le nouveau traité simplifié est-il porteur d'incompréhensions. D'autant que, si le terme de Constitution a disparu, le nouveau texte (256 pages) reste assez semblable au projet initial. Valéry Giscard d'Estaing, son rédacteur, l'a répété mardi : « Les propositions originelles du traité constitutionnel sont pratiquement inchangées. » En décentralisant le Conseil des ministres - tenu mercredi à Ajaccio - le chef de l'État applique une proximité attendue. Mais elle est contredite par son refus d'appeler les Français à trancher un problème pour lequel ils se sont passionnés. Un sondage CSA, lundi, montre que 61 % déclarent vouloir cette consultation, pour laquelle ils seraient prêts à voter oui à 68 %. Sarkozy ne doit pas redouter la perspicacité du peuple qui l'a choisi.

Embarrassant Kadhafi
Les Français craignent moins l'Europe que ses technocrates. En revanche, il n'est pas dit qu'ils comprennent le projet présidentiel de construire, à l'image de l'Union européenne, une union méditerranéenne dont on ne voit pas bien comment elle éviterait la libre circulation des personnes. Le président libyen Kadhafi, acteur de ce possible rapprochement, tient pour sa part ce discours (10 avril 2006, sur la chaîne al-Jezira) : « Tout le monde doit être musulman [...] Nous avons 50 millions de musulmans en Europe. Il y a des signes qu'Allah accordera la victoire de l'islam en Europe, sans épée, sans fusil, sans conquête [...] ». Reçu à l'Élysée en décembre, il a proposé ses services, mercredi, dans l'affaire des humanitaires français détenus au Tchad. Quand on sait avec quelle indifférence l'ancien leader terroriste a laissé torturer les infirmières bulgares emprisonnées sous de fausses accusations d'empoisonnement d'enfants, on peut douter de ses intentions. La France des droits de l'homme, qui compterait aussi inviter l'Ubu vénézuélien Hugo Chavez, devrait prendre garde à ses fréquentations.
En attendant, cette histoire embrouillée mettant en scène des membres de l'association L'Arche de Zoé, légitimement sensibilisés au drame du Darfour, illustre une indifférence des âmes généreuses pour les déracinements. Ce ministre tchadien a raison quand il dit, parlant de la tentative d'expatriation de 103 enfants que l'organisation croyait menacés : « C'est très grave. On allait leur faire changer de culture, de religion, de famille, de tout. S'ils veulent vraiment aider, ils n'ont pas besoin d'emmener les enfants. »

La sincérité de FO
Hier, sur RTL : Jean-Claude Mailly (FO) se dit « surpris » d'apprendre - secret de Polichinelle - que des syndicalistes auraient accepté en douce de l'argent du patronat de la métallurgie (UIMM). Sa sincérité sonnait faux : à suivre.


Exercices de mémoire

Le bloc-notes d’Ivan Rioufol du 26 octobre.

Honorer le courage d ’un adolescent Fran­çais,fusillé par l’occupant allemand ? Louche. «La meilleure façon de rendre hommage à Guy Môquet c’est de soutenir les sans-papiers», estime un responsable Vert. Marie-Georges Buffet (PCF) embraye sur la résistance contre «les mesures du gouvernement». Le Syndicat des enseignants (SNES) appelle à ne pas lire l’ultime lettre du jeune communiste, pour refuser l’ «instrumentalisation de l’histoire». Ces confusions contribuent à rendre la France migraineuse.

Amalgames, approximations, faux procès : tous ces ingrédients, déjà observés dans l’argumentaire des belles âmes contre l’ADN ­comme preuve de filiation, se retrouvent dans les critiques contre l’initiative de Nicolas Sarkozy de consacrer en Guy Môquet, 17 ans, le symbole d’un comportement exemplaire. La gauche aime les «devoirs de mémoire» quand ils sont repentants, mais les trouve suspects quand ils promeuvent une fierté nationale.

Le dénigrement d’une décision venue de la droite ne suffit pas à expliquer le charivari de cette semaine. L’épisode révèle, plus gravement, l’état d’esprit d’une partie de la gauche et des enseignants, qui rechignent à transmettre la mémoire française. Déjà, en 2005, ils avaient jugé «idéologique» le projet de faire apprendre La Marseillaise en ­pri­maire. Pour eux, le patriotisme est l’expression d’un nationa­lisme. Un raisonnement caricatural.

Quand Xavier Darcos, ministre de l’Éducation, estime que l’école doit renforcer «la cohésion nationale autour d’une histoire, de valeurs et d’as­piration communes», Nicolas Offenstadt (enseignant à Paris 1) y voit, dans Libération, «un inquiétant mouvement de fond» qui vient contrarier l’as­piration à une «école plus ouverte aux histoires plurielles». L’idéologie multiculturaliste, qui imprègne l’École, invite la nation à faire profil bas.

Là est le cœur du problème identitaire que la France doit résoudre. Il est posé à la fois par la nouvelle immigration de peuplement et par la détermination de l’Éducation nationale à faire partager une mémoire commune à travers des valeurs aussi universelles que le courage et l’héroïsme. Ces «profs» qui considèrent comme une «propagande civique et patriotique» l’hommage à Guy Môquet ont renoncé à cette mission. Le corps enseignant saura-t-il les marginaliser ?

 

L’amnésie du PC

 

À dire vrai : il y avait une raison historique de contester ce lundi dédié au «militant communiste engagé contre l’occupant nazi et le régime de Vichy» ( L’Humanité ). Guy Mô­quet, fusillé comme otage le 22 octobre 1941 à Chateau­briant, après l’attentat contre un officier allemand commis deux jours plus tôt à Nantes par trois jeunes communistes répondant à un ordre de Jacques Duclos, n’a lui-même jamais été résistant. Or cet argument n’a pas été soulevé. Quand le PCF accuse le gouvernement de «réviser l’histoire», il parle en orfèvre : une amnésie recouvre l’alliance qu’il défendit, entre Staline et Hitler, d’août 1939 à juin 1941.

Lorsque le lycéen se fait arrêter gare de l’Est par la police française, le 13 octobre 1940, il distribue des tracts dénonçant «des magnats d’industrie» qui «tous, qu’ils soient juifs, catholiques, protestants ou francs-maçons (…) ont trahi notre pays et l’ont contraint à subir l’occupation étrangère (…)». Non seu­lement il n’est pas résistant au nazisme, mais il adhère à la stratégie de collaboration de l’URSS avec l’Allemagne. Le 22 août 1939, Moscou a en effet accueilli le représentant d’Hitler, Ribbentrop, en faisant jouer l’hymne nazi «Horst Wessel lied». De juin 40 à la fin août, le PC a tenté d’obtenir de l’occupant la reparution de L’Hu­manité, en lui faisant valoir qu’il n’a «pas cédé à la dictature du juif Mandel» et en s’enorgueillissant de ses opérations de sabotage de la Défense nationale (bloc-notes du 15/12/2006). Ces trous de mémoire s’ajoutent à l’embrouillamini des esprits.

 

Molles exigences

 

Serait-il honteux d’attendre de ceux qui désirent s’installer durablement en France le respect de sa langue, de ses règles, de son mode de vie ? Le projet de loi sur l’immigration, adopté mardi, surprend par sa timidité : un test de quinze minutes vérifiera « la connaissance rudimentaire du français (500 mots) et des valeurs de la Répu­blique » du candidat au regrou­pement familial. Des clandestins pourront être régularisés s’ils oc­cupent un emploi peu demandé. Alors que l’opinion est priée de se passionner, ces jours-ci, pour un Pacte écologique aux craintes in­certaines, il serait autrement plus utile de bâtir un Pacte républicain, actuellement réduit au minimum.

En fait, ces molles exigences face à la pression migratoire extra-européenne s’emploient à ne pas trop heurter le discours en vogue sur le métissage des cultures. Mais cette utopie impensée du grand brassage contredit le respect de l’identité nationale, ce ressort de l’élection présidentielle. «On se découvre plus vulnérable qu’on ne l’imaginait», a dit Nicolas Hulot, mardi sur Europe 1, parlant de la planète. Une même réflexion pourrait être tenue, parlant de la nation.

C’est d’ailleurs ce que suggère Ayaan Hirsi Ali. L’ex députée ­néerlandaise d’origine somalienne, cible des intégristes, dénonce dans Le Monde l’impossibilité de «parler librement de l’islam» en Europe et demande à la France «de prendre la tête d’un mouvement visant à faire comprendre à tous les Européens que, ce qui se joue, c’est leur socle de valeurs et de principes les plus fondamentaux». Au nom des Lumières dont se réclame Hirsi Ali, la nation s’honorerait de l’accueillir comme citoyenne d’honneur et de lui offrir sa sécurité.

 

Flatter l’islam

 

A Tanger, mardi, Sarkozy a lancé un appel à bâtir, avec la France, l’Union méditerranéenne. Toujours ce besoin de flatter l’islam.
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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 23:52
Aujourd’hui comme hier: Inviter l’ennemi à embrasser l’islam

(Page 36 du P.I.G.)
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Suivant en cela l’exemple du prophète, Oussama Ben Laden a appelé les Américains à se convertir à l’islam dans sa « Lettre au peuple américain » de novembre 2002 (1):

À quoi vous appelons-nous, et que voulons-nous de vous ?1 - La première chose à laquelle nous vous appelons, c’est l’Islam (…) C’est la religion du Jihad dans la voie d’Allah, de sorte que la Parole d’Allah et sa religion règnent en maître (…)

 

Dans cette optique, la «Parole d’Allah et sa religion » ne peuvent « régner en maître » que lorsque la société est soumise à la Loi islamique, prise dans son entièreté. Les théoriciens et les groupes jihadistes ont affirmé leur intention d’unifier les nations islamiques du monde sous un seul leader, le calife. Historiquement, le calife était le successeur du prophète en tant que chef spirituel et politique des musulmans, tout au moins des Sunnites. Le califat a été aboli en 1924, et nombre de jihadistes contemporains font dater les maux du monde islamique de cet événement. Ils désirent rétablir le califat, coaliser le monde islamique derrière lui, et réimposer la loi islamique (charia) dans les pays musulmans. Aujourd’hui, en dehors de l’Arabie Saoudite et de l’Iran, la Charia n’est que partiellement instituée lorsqu’elle l’est. Les guerriers islamiques modernes cherchent aussi à amener la Charia dans les contrées non musulmanes, par la force, sous la bannière du Jihad.

(1) “Full text: bin Laden’s ‘letter to America,’” Observer, November 24, 2002. http://observer.guardian.co.uk/worldview/story/0,11581,845725,00.html


L’islam veut convertir le clergé français!

Lassieur Pierre - dimanche 25 septembre 2005

Cet été, de nombreux prêtres ont reçu une brochure de 24 pages, intitulée « Appel à suivre la voie du salut et de la vérité ». Son éditeur, domicilié à Ankara et à Istanbul, l’a fait parvenir par l’intermédiaire de l’association « La vérité pour tous », dont le siège se trouve à Creil. Il s’agit d’un texte ennuyeux et répétitif, consacré essentiellement à une critique de la Sainte Trinité, critique dont les arguments, archi-banals, traînent depuis bien longtemps dans les pamphlets de propagande islamique. Les personnes qui connaissent un tant soit peu l’islam ont déjà lu cela maintes fois.
Le ton en est très agressif. Ainsi les alinéas de la première page, citant approximativement des éléments de la foi chrétienne, se terminent-ils chacun par un terme de mépris : « Quelle grande absurdité ! Peut-il exister une ignorance plus grande que celle-là ? Quelle grande aberration !»
Au moment où la Turquie sollicite son adhésion à l’Union européenne et où le chef de son gouvernement traite les 25 avec une certaine arrogance, on peut penser qu’il est malhabile d’en rajouter. Il aurait été préférable de se frapper la poitrine en signe de remords du génocide arménien et de se désolidariser des terroristes qui, à travers le monde, et particulièrement en Irak, déshonorent l’islam.
Quant au fond, rien ne permet d’admettre que l’islam soit la religion véridique, ni que Mahomet ait reçu de l’archange Gabriel la parole de Dieu mot à mot, impeccable. En effet, aucune preuve objective, tangible, n’en a jamais été apportée. Rien ne permet d’admettre non plus la prétention selon laquelle Jésus aurait annoncé la venue de Mohammed. Cette prétention résulte d’une interprétation abusive du verset 15/26 de l’Évangile selon saint Jean : « Lorsque viendra le Paraclet, l’esprit de vérité… c’est lui qui témoignera à mon sujet ». Or, le paraclet, du grec parakletos, c’est le consolateur, le Saint-Esprit, mais les musulmans ont confondu (volontairement?) parakletos et periklutos qui signifie illustre, renommé, lequel ne pouvait être à leurs yeux qu’Ahmad (le très glorieux) c’est-à-dire Muhammad.
La Sainte-Trinité est une question beaucoup trop complexe pour être abordée en quelques lignes. Disons seulement que Dieu s’est révélé comme Dieu Créateur, Dieu Sauveur et Dieu Esprit-Saint.
Il aurait été étonnant de ne pas trouver dans la brochure – et on l’y trouve – l’argument indéfiniment répété, selon lequel la Bible aurait été falsifiée par les chrétiens, dans la mesure où elle ne s’accorde pas avec le Coran. Au contraire, elle a été soumise depuis le XVIIe siècle à un examen critique extrêmement sévère qui est une garantie pour son lecteur, alors que rien d’analogue n’a été fait pour le Coran, réputé intouchable et tellement intouchable qu’on ne saurait, paraît-il, le lire valablement dans une autre langue que l’arabe. On n’est pas étonné non plus par les imprécations et les mises en garde comminatoires : « Ceux qui auront prononcé des mensonges concernant Allah et Ses prophètes subiront les châtiments qu’ils méritent » (p. 7), « Qu’on verse sur sa tête de l’eau bouillante comme châtiment » (p. 21) ni par certains propos bassement matériels, telle l’annonce que Jésus viendra « tuer le porc, supprimer l’impôt ».
Manquent cruellement – c’est le cas de le dire – l’amour et la charité, les deux qualités majeures d’un vrai chrétien. Certes le Coran place, en tête de chaque sourate, la mention : « Au nom de Dieu, celui qui fait miséricorde, le miséricordieux », mais la miséricorde en question ne concerne que les musulmans, les autres étant priés d’aller se débrouiller avec les malheurs de la guerre sainte organisée contre eux. La tolérance est donc totalement absente des propos en question. Pourtant, les Turcs, qui ont possédé durant six siècles les Balkans, ont alors montré une certaine tolérance à l’égard des chrétiens. Malheureusement, depuis la fin du XIXe siècle, ils ont parcouru un chemin opposé à celui des autres nations. Nombre de celles-ci se sont mises peu à peu à pratiquer la tolérance – on sait quelle foule de musulmans nous acceptons sur notre sol – tandis que la Turquie est devenue violemment anti-chrétienne, comme l’ont montré, en 1915, les massacres de chrétiens, Arméniens surtout (1 200 000 morts) et Assyro-Chaldéens. Comme le montre aussi le refus obstiné de la Turquie de reconnaître sa responsabilité, et comme le montre enfin la condition inadmissible imposée aujourd’hui au petit reste de chrétiens – moins de 100 000 – qui vivent encore là-bas.


NDLR : L'Islam nie l'Incarnation du Fils de Dieu, la nature divine de Jésus-Christ, sa Crucifixion et sa Résurrection. L'Islam est la négation même du Christianisme.
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