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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 11:47
La civilisation, idée moderne

Le bloc-notes d'Ivan Rioufol du 11 janvier.

Donc, Nicolas Sarkozy est amoureux. Mais les Français restent moroses. Les jeunes sont même singulièrement pessimistes, à en croire la Fondation pour l'innovation politique dont une enquête dévoile leur peu d'ambition. Alors que 2008 célébrera le 40e anniversaire de Mai 1968, les 16-29 ans seraient «hyperconformistes». La révolution des idées ne viendra ni de ces résignés ni de la gauche comptable de son abrutissant jeunisme. La modernité s'est installée à droite, y compris dans les transparences sentimentales élyséennes.

L'opposition n'a toujours pas mesuré la faillite d'un modèle social déresponsabilisant ni la crise existentielle qui mine la société. Ces inquiétudes ne se réduisent pas au seul pouvoir d'achat. Il y a un an, je notais ici : «2007 peut être une chance pour la France ankylosée d'entrer dans le XXIe  siècle : celui de la mondialisation et du libre-échange, mais aussi celui des civilisations et des identités». Ces aspirations des gens sont devenues, depuis, les grands axes du discours présidentiel.

La «politique de civilisation» que vient de lancer Sarkozy n'est «fumeuse» que pour la gauche post-marxiste, qui voit encore confusément la culture comme l'instrument de domination de la bourgeoisie. Observer le PS s'accrocher aux 35 heures montre son manque de discernement. Les maigres retraites ne suffisent pas non plus à expliquer la déprime. La déculturation et la défrancisation, portées par une école qui ne sait plus transmettre et une immigration qui veut garder ses codes, sont autrement plus démoralisantes pour la nation.

La France souffre de ne plus savoir qui elle est, d'où elle vient, où elle va. Quand des rapports révèlent que le primaire n'enseigne plus convenablement la langue, l'histoire, l'écriture, se dévoile une indifférence pour la cohésion nationale. Quand la violence extrême devient un mode de revendication usuel, se profile l'ensauvagement. Rien d'anecdotiques dans ces constats, contrairement à ceux qui assurent que la résorption du chômage effacera ces maux.

Pour avoir su identifier les attentes liées à la préservation de l'identité nationale et de la culture occidentale, Sarkozy répond à une amnésie collective sur le passé commun. Elle a sa part dans le fatalisme des jeunes. Mais entendre François Hollande demander, goguenard : «La civilisation, ça rapporte combien en euros ?» rend la gauche désespérante. Est-ce ainsi qu'elle gagnera les municipales en mars ?

 

Les racines de la France

Plutôt que de critiquer la présence du travailliste Tony Blair, demain, au conseil national de l'UMP au côté de Nicolas Sarkozy, le PS devrait s'alarmer du vide qui l'habite. À remarquer : la récente conversion au catholicisme de l'ancien premier ministre britannique a été suivie, le 20 décembre en la basilique Saint-Jean-de-Latran (Rome), d'un discours semblablement inspiré du président français : «Les racines de la France sont essentiellement chrétiennes […] Comme Benoît XVI, je considère qu'une nation qui ignore l'héritage éthique, spirituel, religieux de son histoire commet un crime contre sa culture […]». Oui, que cela plaise ou non, la civilisation française a un passé chrétien.

Or, ce rappel a eu son flot d'indignations de la part de ceux qui n'avaient rien trouvé à redire à la déclaration de Jacques Chirac, en octobre 2003 : «Les racines de l'Europe sont autant musulmanes que chrétiennes». Cette énormité, destinée à satisfaire des groupes de pression exigeant de «revisiter l'histoire ensemble», avait été avalisée par la bien-pensance au nom du métissage des cultures. Aussi est-il troublant d'entendre Sarkozy vouloir inscrire «le respect de la diversité» dans le préambule de la Constitution.

Ce culte de la diversité, comprise par les minorités comme une invitation à conserver leurs particularismes, vient contredire la «politique de civilisation» appuyée sur l'héritage chrétien. Cette pensée unique s'oppose aussi à l'unité et l'indivisibilité de la nation. Le sociologue américain Robert Putnam souligne d'ailleurs la responsabilité de cette idéologie dans l'affaiblissement des sociétés, leur sinistrose et le recroquevillement des communautés (article de Christophe Caldwell, revue Commentaire). Le bon sens l'avait pressenti.

Si le président veut aller au bout de son raisonnement, il devrait plutôt faire rajouter, dans ce préambule de la Constitution, la référence aux racines judéo-chrétiennes et gréco-latines de la nation. Sur ce socle s'est bâtie la société des Lumières, sa laïcité, sa liberté d'expression. C'est le respect de cet universalisme qui devrait être imposé à ceux qui désirent rejoindre la France. La mémoire doit aider à construire la modernité.

 

Réveil religieux

Au fait : pourquoi craindre un réveil religieux en France quand il concerne les chrétiens, alors que la piété musulmane y est, le plus souvent, encouragée ? Dans l'enquête internationale sur les jeunes (voir plus haut), il est tentant de faire un lien entre l'optimisme de la jeunesse américaine et sa religiosité. S'ils sont 70 % à se dire tout à fait d'accord avec l'affirmation : «Je crois en Dieu», seuls 18% des jeunes Français répondent ainsi. Plutôt que de s'égarer dans des querelles politiques et de s'excuser d'être là, l'Église de France ferait mieux de s'intéresser à cette génération sans repères, qui ne sait plus toujours à quoi Noël correspond.

 

Relancer l'immigration ? 

La commission Attali veut relancer l'immigration (Le Figaro d'hier). Elle y voit une source de croissance, sans s'interroger sur les liens intimes qui constituent une nation. Cette vision purement mercantile du libéralisme, qui rejoint la glaciale dialectique de la gauche, est le meilleur moyen de défaire une identité, une civilisation. Tout ce travail pour en arriver là ?


Effets d'une pensée molle

Le bloc-notes d'Ivan Rioufol du 18 janvier.

Pas un mot. Nos humanistes n'ont rien dit, cette semaine, du calvaire qu'ont fait subir les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) à l'enfant de l'otage Clara Rojas, qui a retrouvé son fils, lundi. Cette proche de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt a été libérée la première, après une intervention de Nicolas Sarkozy auprès du geôlier en chef, Manuel Marulanda, dit Tirofijo («Tir dans le mille»). Séparé de sa mère à huit mois, maltraité, atteint de troubles psychomoteurs, Emmanuel, 4 ans, symbolise la barbarie des guérilleros. Mais la pensée molle épargne les salauds.

Contre toute raison, c'est le président colombien, Alvaro Uribe, qui est tenu pour responsable du sort des 780 otages des Farc. Cet homme, deux fois élu depuis 2002 pour délivrer son pays d'une insurrection marxiste qui a assassiné son père et qui s'est perdue dans le trafic de drogue et les enlèvements, a été la cible des critiques. Si la famille Betancourt, tout à son combat personnel, le presse de céder aux ravisseurs, cette semblable attitude d'une partie des faiseurs d'opinion révèle la persistance de l'aveuglement devant les idéologies totalitaires.

En choisissant de s'adresser à «Monsieur Marulanda», le 6 décembre, pour tenter d'obtenir la libération d'Ingrid Betancourt, le président français avait pris le risque de donner une légitimité à un mafieux dont l'organisation est classée comme terroriste. Depuis, la révélation de sa cruauté aurait dû le discréditer. Visiblement, il n'en est rien. Le président vénézuélien Hugo Chavez, coqueluche du «josébovisme», demande même la reconnaissance de «ces forces insurgées».

Quand Olivier Besancenot (LCR), qui supplée le PS anémié dans son rôle d'opposition, cite Che Guevara comme inspirateur du «socialisme du XXI e siècle», à l'instar de Chavez, il rappelle que l'extrémisme français (orphelin, depuis mercredi, du dirigeant trotskiste Pierre Lambert) cousine avec ceux qui partagent sa détestation du libéralisme, des États-Unis, de l'Occident. Dans cette amicale du «grand soir», altermondialistes et islamistes s'autocongratulent.

Or la gauche républicaine n'est plus un rempart contre cette radicalité qui s'installe. Les socialistes, qui trouvent un charme au terroriste italien Cesare Battisti, ont laissé Clara Rojas dénoncer seule le «crime de “lèse-humanité”» qu'est la prise d'otages des Farc. Les droits-de-l'hommistes avaient l'occasion de s'indigner de ces hommes enfermés dans des cages et de ces femmes enchaînées. Leur silence vaut renoncement.

 

Fragile démocratie

 

Le radicalisme qui vient - il a poussé des cheminots à des opérations de sabotage, conduit des habitants de Villiers-le-Bel à tirer à vue sur des policiers, incité, samedi, de jeunes nationalistes corses à incendier des locaux de l'Assemblée territoriale d'Ajaccio - rencontre trop souvent la lâche bienveillance accordée aux mouvements revendicatifs quand ils recourent aux intimidations. C'est une même pensée molle et instrumentalisable qui exonère les bourreaux d'Emmanuel au nom d'un respect qui serait dû aux guérilleros - la France s'est même engagée à en accueillir et qui donne raison aux combats de José Bové contre l'industrie agroalimentaire nord-américaine.

En effet, aucune raison scientifique valable n'étaye la décision du gouvernement de recourir à la clause de sauvegarde sur le maïs transgénique de la firme Monsanto. Les «doutes sérieux» avancés vendredi ont été démentis par quatorze scientifiques membres de la Haute Autorité provisoire sur les OGM, dont l'avis a pourtant conduit à suspendre les semences pour 2008. Comme le déplorent Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale, et les députés UMP avec lui : «Un scientifique (…) sera toujours moins médiatique qu'un “faucheur volontaire”.»

Car José Bové, qui a cessé sa grève de la faim et se fait embrasser comme du bon pain par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État à l'Écologie, est bien le gagnant de ce bras de fer politique. Sa victoire est celle des altermondialistes et de leurs coups de force, qui avaient poussé au suicide un agriculteur victime d'un commando, cet été. Le pouvoir, attentif au principe de précaution pour les OGM, devrait avoir cette même vigilance pour la fragile démocratie.

 

Peur des religions ?

 

Une constatation : la France montre parfois le visage d'une société sans repères, incapable de s'indigner de la barbarie quand elle s'en prend à un enfant, ou de l'ensauvagement qui gagne certains comportements. Il est loisible d'y voir les prémices d'une dé-civilisation. Aussi, le chef de l'État a-t-il mille fois raison d'insister pour replacer le débat sur les valeurs au centre d'un monde matérialiste, amnésique, déraciné. En quoi faudrait-il s'inquiéter de son éloge répété des religions et de leur héritage, qui fait hurler les intégristes de la laïcité ? L'Italie est scandalisée depuis que des enseignants et étudiants ont interdit au Pape de prononcer, mercredi, son discours à la Sapienza, l'université de Rome. «Le sentiment religieux n'est pas plus condamnable à cause du fanatisme que le sentiment national ne l'est à cause du nationalisme», a déclaré Nicolas Sarkozy, lundi, à Riyad (Arabie saoudite). Il pourrait bien avoir touché là au cœur des nombreux Français qui, mêmes laïcs, restent attachés à leur culture chrétienne.

 

«Islam ouvert»

 

L'Arabie saoudite portera-t-elle «l'islam ouvert» espéré par Sarkozy à Riyad ? Le berceau de l'islamisme oppressant en est loin. Si le président a dit vouloir faciliter la construction de mosquées en France, il s'est gardé d'évoquer l'impossibilité de construire là-bas ne serait-ce qu'une chapelle. Ce souci d'épargner des susceptibilités est la première entorse à la réciprocité posée comme principe par le chef de l'État. Effet d'une intimidation ?


Oser repenser l'immigration

Le bloc-notes d'Ivan Rioufol du 25 janvier.

Lucide, Jacques Attali ? Oui, quand il décrit la France immobile, devenue une «société de connivence et de privilèges». Président de la commission pour la libération de la croissance, son rapport, rendu mercredi, décrit bien le mal économique français. Cette remarque : «l'enrichissement n'est pas un scandale, seule l'est la pauvreté». La fougue libérale est même réjouissante, ve­nant de celui qui, en 1982, défendit les nationalisations. Mais l'in­sistance à vouloir relancer l'im­migration affaiblit la crédibilité du diagnostic.

Soutenir l'«urgence à ac­cueil­lir des étrangers, pour combler (des) lacunes démographiques et développer des innovations» re­vient à vouloir ignorer une inquiétude des gens face aux repliements identitaires nés d'une immigration sacralisée. Si la gauche universaliste se flatte d'être insensible à la préservation des civilisations, voir ce même relativisme défendu par un repenti des «110 propositions» socialistes fait douter de sa conversion. Faut-il rappeler qu'un peuple n'est pas interchangeable ?

En fait, ce sont tous les experts de la commission qui ont oublié cette évidence, en accordant la priorité au paiement des retraites et à la croissance. Alors que la question posée, y compris par le chef de l'État, est la consolidation d'une culture partagée permettant de vivre ensemble, l'attrait matérialiste pour la table rase, partagé par une gauche «antiraciste» et un capitalisme hautain, risque de frustrer les Français en quête de destin.

L'indifférence pour ce qui constitue l'âme d'un peuple se retrouve d'ailleurs dans d'autres propositions. La commission suggère ainsi que chaque élève sorte de sixième en maîtrisant le français, la lecture et l'écriture, mais aussi l'anglais, l'économie, l'informatique. Or, elle omet l'histoire et la mémoire commune. Le choix de supprimer les départements, porteurs d'une forte proximité, procède de ce désintérêt.

La vision comptable d'une immigration destinée à équilibrer les comptes sociaux est un non-sens quand elle conduit à fragiliser la solidarité nationale. Qui peut assurer que les immigrés de demain accepteront de payer les retraites de leurs hôtes ? La France court à son éclatement en mettant son identité à l'encan, au prétexte que 50 000 nouvelles entrées par an apporteraient 0,1 % de croissance. Il faut oser penser une autre immigration : celle qui, pour l'essentiel, ne ferait que passer.

 

Faiblesse du diagnostic

La jubilation avec laquelle certains médias ont accueilli la proposition de relancer «l'immigration, inévitable, indispensable» (Le Monde) s'accommode du flou entretenu sur le sujet. Non seulement l'échec de l'intégration des populations extra-européennes est relativisé par une bien-pensance qui n'y voit qu'un effet du chômage, mais les chiffres se prêtent à des contestations qui conduisent à sous-estimer le solde migratoire. Alors que le pays accueille officiellement 200 000 personnes chaque année (clandestins et demandeurs d'asile non compris), le discours convenu qui a trouvé écho auprès d'Attali assure que la France n'est pas un pays d'immigration massive. Comment élaborer une politique dans cette opacité acceptée ?

La faiblesse du diagnostic sur cette question, qui entache la cohérence que revendique la commission pour l'ensemble de ses 316 propositions, se retrouve dans l'élaboration du plan Espoir banlieues, présenté mardi par Fadela Amara. La cacophonie montre le désarroi des politiques devant une réalité mal assumée : le ministre de la Ville a son idée, qui n'est pas celle de sa secrétaire d'État, tandis que le ministre de l'Intérieur en a une autre qui ne semble pas convenir au président de la République, qui présentera lui-même son plan le 8 février…

Ce qui reste indicible est pourtant vérifiable : il existe désormais des Français qui se vivent comme étrangers à la nation. Deux France apparaissent, en dépit des dénégations des «sociologues». Le 11 janvier, à Bruxelles, des institutions musulmanes européennes dont l'UOIF pour la France ont signé une charte qui stipule, concernant les pays d'accueil : «Lorsque les lois en vigueur s'opposent éventuellement aux pratiques et règles islamiques, les musulmans sont en droit (le projet initial disait : «sont tenus») de s'adresser aux autorités pour expliquer leurs points de vue et exprimer leurs besoins et ce dans le but de trouver les solutions les plus adaptées.» Un encouragement à contester les lois.

Il faut répondre à cette fracture occultée et à ce risque de subversion. Même le mouvement d'émancipation Ni putes ni soumises, créé par Fadela Amara, cède la place dans les cités à un «féminisme voilé», tandis que le nombre de quartiers «sensibles» (751) ne cesse de croître. Les solutions ne se résument pas à des rénovations urbaines ou à de nouvelles lignes de bus. L'État doit reprendre pied dans ces territoires autonomes, qu'une constante immigration éloigne toujours davantage. Où voit-on que celle-ci pourrait être le «puissant facteur de croissance» vanté avec tant d'autosatisfaction par Attali ?

 

Parti pris

La France ne peut vivre recroquevillée, et la commission a raison de soutenir que les Européens y ont leur place. Mais pourquoi «supplier» (Attali, hier) les étrangers de venir occuper les 500 000 emplois vacants, alors que le pays compte plus de deux millions de chômeurs, surtout dans les cités ? Laisser croire que ceux-ci seraient inaptes aux métiers du bâtiment, du commerce, de la restauration, de la santé, de l'agriculture témoigne d'un mépris qui s'ajoute au sentiment d'abandon de la jeunesse. «Il faudra se lever le matin, la vie ce n'est pas glander», a expliqué mardi Nicolas Sarkozy, à Sartrouville (Yvelines). Cette politique paraît autrement plus convaincante.

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