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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

6 juillet 2007 5 06 /07 /juillet /2007 22:53
Les effets d'une gauche naufragée
.Publié le 15 juin 2007


Le bloc-notes d'Ivan Rioufol
 
Oui, c'est trop. L'hégémonie probable de l'UMP sur l'Assemblée, dimanche soir, n'est pas le signe d'une bonne santé démocratique. La gauche a raison de s'inquiéter de ce déséquilibre. Mais la droite n'y est pour rien et n'a pas à s'en excuser. L'absence de proportionnelle, avancée par le PS pour dénoncer le « rouleau compresseur », est une fausse bonne raison. Si les électeurs tournent le dos aux socialistes, c'est qu'ils n'ont plus rien à dire aux Français.
 
L'explication vaut pour François Bayrou, qui se plaint pareillement « d'un mode de scrutin totalement injuste » (RTL, mardi). Son carrosse est devenu citrouille parce qu'il n'a pas voulu comprendre, lui non plus, que la glasnost imposait de tout dire sur l'état de la nation et son déclin. La démocratie d'opinion n'est pas seulement un spectacle : une bonne mine ne suffit pas pour convaincre. Il faut des mots justes et des idées nouvelles. La bien-pensance n'y a plus sa place.
 
La tentative de Ségolène Royal, lundi, de s'amarrer en urgence au MoDem de Bayrou revient à demander de l'aide à un homme qui perd pied. C'est le naufrage de deux « ambitions de petites âmes » (Chamfort) qui se profile. Les médias, qui ont fabriqué ces présidentiables, sont maintenant soupçonnés de vouloir les détruire. Lundi soir, sur France 2, Royal a accusé la chaîne publique de partialité. Bayrou, non plus, ne pratique pas la reconnaissance du ventre.
 
En fait, tous les prétextes sont bons, qui épargnent aux socialistes et aux bayrouistes de s'interroger sur leurs échecs. Les règlements de comptes ont même atteint le couple Hollande-Royal. Lundi, monsieur a reproché à madame d'avoir laissé un message sur le répondeur de l'orgueilleux béarnais. Royal : « Oui, j'attends qu'il me rappelle » ;« Et je ne l'ai pas rappelée... » Des navets ont été sifflés pour moins que ça sur les boulevards.
Bayrou :
 
L'opposition en est encore aux clichés. Ils font réciter à Azouz Begag (MoDem), commentant sa défaite dans le Rhône : « Les Français ne sont pas tout à fait prêts à voter pour des candidats qu'ils considèrent venant d'ailleurs »,« prêchi-prêcha socialistes », renvoie la gauche à sa pensée automatique.
insinuant un racisme des électeurs. Mais n'est-ce pas plutôt sa vision victimaire qui a été rejetée ? La présence, à l'UMP, de Rachida Dati ou de Rama Yade, jeune femme d'origine sénégalaise qui s'en prend aux
 
Vaines coquetteries
 
D'accord, néanmoins, pour compatir aux plaintes de l'opposition (qui s'accommode très bien de détenir 21 des 22 Régions) : il n'est pas sain qu'elle ne puisse équilibrer une droite élargie aux électeurs du FN et aux déçus de la gauche. Encore faudrait-il que les socialistes amorcent une remise en question. Leur appel, cette semaine, à voter « contre la TVA à 25,6 % », à partir d'un projet du gouvernement destiné à financer la protection sociale, illustre le goût pour le slogan d'une gauche qui ne propose rien d'autre.
 
Mardi, sur Europe 1, Dominique Straus-Kahn a déploré que son parti « tire à hue et à dia » et se montre incapable de « s'adapter à un monde qui a changé ». Paroles d'or. Mais s'il admet que le temps est venu de « faire monter la génération des 30-35 ans » au PS, il n'est pas dit que cet effacement des « quinquas » soit du goût de tout le monde. Suivez mon regard. Pourtant, Ségolène Royal devra probablement en passer par là, si le gauche veut retrouver un jour la place qui lui revient.
 
Quant au centrisme que persiste à défendre François Bayrou esseulé, il n'a plus de sens dans la nouvelle bipolarisation. Descendu si bas, le président du MoDem peut bien parler de « moment de fondation ». Néanmoins, son parti risque de devenir une curiosité, s'il devait se maintenir à l'écart du rassemblement qui s'impose à la gauche. Plutôt que d'entendre Mariel de Sarnez, son bras droit, refuser de donner des consignes de vote mais inviter à « la défense du pluralisme », ne serait-il pas plus simple d'en finir avec ces vaines coquetteries ?
 
Limites de l'évitement
 
Ceux qui n'ont eu de cesse de dénoncer le « danger Sarkozy » n'ont pas fini d'avaler leur chapeau. Même à Argenteuil (Val-d'Oise), l'UMP est arrivée en tête au premier tour (41,13 %, contre 25,78 % au PS), alors que la « racaille »,
fustigée ici par l'ex-ministre de l'Intérieur en visite sur la dalle, était le mot supposé l'avoir politiquement anéanti, selon les faiseurs d'opinion. La décrédibilisation de la gauche s'ajoute à son effondrement électoral. Elle place la droite dans une inconfortable position de force.
 
La « vague bleue » oblige, en effet, l'UMP à la mesure. Sa décision de retirer son candidat dans le Béarn pour faciliter la réélection de François Bayrou a été une magnanimité que l'ombrageux bretteur n'a osé refuser. Le choix de Nicolas Sarkozy d'abroger l'apprentissage à 14 ans et le décret Robien qui obligeait certains enseignants à travailler davantage, s'inscrit dans cette stratégie de séduction. Mais les limites de cette politique d'évitement vont être vite atteintes. Déjà, les concessions de Sarkozy aux syndicats d'enseignants ressemblent à des reculades. Or, le souci de plaire à tous et de jouer la modestie se marie mal avec la conduite des réformes. La droite va avoir à sa disposition, par la volonté des Français, les moyens de sortir le pays de la tyrannie des corporations, des communautés et des bonnes consciences. Elle n'a pas le droit de flancher.
 
Responsabilité des juges
 
Des juges aimeraient, dit-on, convoquer Jacques Chirac pour lui demander des comptes, sitôt son immunité tombée, ce dimanche. Mais la responsabilisation des juges, elle, attend toujours.



Réformes : lever les malentendus
. Publié le 29 juin 2007


Le bloc-notes d'Ivan Rioufol  

La gauche est dorlotée. Pour elle, Nicolas Sarkozy a fait supprimer du futur traité européen la référence à la « concurrence libre et non faussée », qui existait dans l'ex-Constitution. Le « rôle essentiel » des services publics y sera rappelé. « Dans la délégation française, je suis le seul qui ne soit pas socialiste », s'amuse le chef de l'État, accompagné à Bruxelles de Bernard Kouchner et de Jean-Pierre Jouyet. La droite tient la chandelle, dans cette opération de séduction.
 
Ceux qui, en 2005, ont rejeté une Europe sans frontières ni âme ne se reconnaissent pas dans ces amabilités aux « nonistes » antilibéraux. Certes, le terme de Constitution disparaît. Mais demeure, au prétexte de respecter « la richesse de la diversité culturelle, religieuse et linguistique » de l'Union, ce même attrait bien-pensant pour le multiculturalisme et ses communautés, qui met en danger l'unité et la stabilité des États-nations.
 
Les extrêmes sont en miettes, le PS est une ombre et Ségolène Royal renie les 35 heures et le smic à 1 500 euros qu'elle défendait hier. Mais c'est la droite qui montre des signes de faiblesse. La gauche se félicite d'avoir obligé Sarkozy à « revenir en arrière » sur sa réforme des universités. Ce recul s'ajoute à celui du ministre de l'Éducation, qui a abrogé le décret Robien sur les décharges horaires et qui autorise à nouveau la désastreuse méthode globale de lecture.
 
Mardi, Patrick Devedjian a comparé Sarkozy à Henri IV, qui sut réconcilier les Français. François Bayrou, avant lui, s'était approprié ce symbole pour justifier son centrisme bonhomme. Cependant, ce n'est pas cette politique que les Français ont choisie en avalisant la rupture. Le chef de l'État n'est pas blâmable de vouloir débloquer le conservatisme de la gauche. Mais la recherche du consensus n'est pas « l'électrochoc » annoncé par François Fillon il y a un mois.
 
Or, l'instauration d'une autonomie des universités s'est pliée à des concessions qui freineront leur renaissance. Après avoir renoncé à imposer la sélection et l'augmentation des droits d'inscription, le gouvernement a même dû transiger, mercredi, sur la non-sélection à l'entrée en master, réclamée par des syndicats d'étudiants à la représentativité contestable. Une ambiguïté est née sur la détermination du pouvoir à appliquer ses réformes. Le malentendu doit être levé.
 
Dati, communautariste ?
 
Rachida Dati, garde des Sceaux, rejoint aussi la gauche quand elle choisit de victimiser les minorités. « Je sais qu'ici les populations sont l'objet de discriminations sociales, économiques et culturelles [...] Je souhaite créer dans tous les parquets un pôle antidiscrimination », a-t-elle annoncé, vendredi dernier, au tribunal de grande instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Tandis que Nicolas Sarkozy dit vouloir en finir avec les repentances et les culpabilisations unilatérales, cette dialectique est reprise par la ministre de la Justice. Son discours, qui suggère que l'exclusion des cités serait due à leur rejet par le pays d'accueil, incite involontairement au repliement des communautés, à leur déresponsabilisation, voire à leur hostilité. Comment s'intégrer à une société soupçonnée de racisme ? Le chef de l'État parle de promouvoir l'identité nationale, mais un communautarisme revendicatif se profile derrière les arguments, passés inaperçus, de Rachida Dati.
 
Cette logique compassionnelle invite à excuser le délinquant. C'est ce que soutient l'association des cités, AC Le Feu, quand elle demande que « la juste considération de l'origine sociale de la délinquance » soit « au centre de la déontologie des pratiques de justice et de police ». La garde des Sceaux semble être sur la même longueur d'onde, quand elle dit : « Je ne veux plus qu'une partie de la population française pense que la justice n'est pas faite pour elle, qu'elle est même faite contre elle. »
 
La référence à la non-discrimination est d'autant plus pernicieuse qu'elle pousse à exiger des exceptions à la règle commune et à la laïcité. Ainsi, la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations) a permis, en juin 2006, le port du voile islamique dans les préfectures lors des naturalisations, décision confirmée par Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur. En mai, elle a autorisé le voile aux parents d'élèves participant « bénévolement au service public de l'éducation nationale ». Là aussi, un malentendu doit être levé.
 
Parole de victime
 
La victimisation des minorités est d'autant plus contestable qu'elle en arrive parfois à négliger de vraies injustices. Marie-Neige Sardin est libraire au Bourget (Seine-Saint-Denis) depuis 1978. Cette femme énergique de 50 ans, rencontrée cette semaine, se dit attachée à sa ville et à son cosmopolitisme. Elle a été agressée vingt et une fois depuis 2004, et a subi un viol. Sa dernière agression remonte au 27 avril : elle a eu la main aspergée d'acide. La douzaine de plaintes qu'elle a déposées s'est soldée par des non-lieux, alors que les délinquants étaient identifiés. Désespérée d'être si peu entendue par la justice, elle a entamé une grève de la faim, qu'elle vient de cesser. « Les autorités font comme s'il ne se passait rien », explique-t-elle. Ses agresseurs ? Une poignée d'adolescents multirécidivistes, dont les parents sont solidaires. « Les grands frères sont dépassés, et il n'y a jamais aucune réponse judiciaire. Beaucoup de victimes n'osent plus s'exprimer. » Elle dit aussi : « Je suis née ici, j'aime mon»93* et je n'en partirai pas. » Qui l'écoute ?
 
La place de François Fillon
 
Un premier ministre est-il encore utile ? La présidentialisation accélérée de la Ve République fait déjà de François Fillon un figurant. Il mérite mieux.



Attentats : les deux islams
.Publié le 06 juillet 2007


Le bloc-notes d'Ivan Rioufol

 
Les trois attentats déjoués en Grande-Bretagne, qui mettent en cause des médecins étrangers, rappellent le défi posé aux sociétés occidentales : se défendre contre les attaques islamistes lancées au nom du Coran, tout en évitant d'incriminer la religion et ses pratiquants. L'issue tragique, espérée des djihadistes, serait d'inciter la majorité des musulmans d'Europe à s'exclure de la démocratie et de la modernité. Encore faut-il, préalablement, accepter de regarder des réalités en face.
 
Qu'on l'admette ou non, l'islam est en guerre. Cela fait 1375 ans que cela dure. Son expansion a commencé dès 632, à la mort de Mahomet, et n'a jamais connu de répit, comme le rappelle Jean-Paul Roux, historien de l'islam, dans un livre passionnant (Un choc de religions, Fayard). Le monde chrétien aussi a pu être violent. Mais il n'a réussi à rechristianiser que l'Espagne, la Sicile et la Crimée. Il perd du terrain. C'est sur ce fond historique qu'il faut replacer les attentats, dont celui du Yémen, lundi, qui a tué six Espagnols. La France, malgré sa politique arabe, est aussi une cible. Or cette obsession de la conquête est occultée. Les commentaires préfèrent parler du sentiment d'humiliation qui pousserait les radicaux. Quand le djihad est mentionné, c'est pour lui trouver des excuses. Ces endormissements sont déjà des redditions.
 
Et voilà ce que l'on ne veut pas entendre : l'amour n'est cité qu'une fois dans le Coran, alors qu'il compte quelque deux cent cinquante versets qui exaltent la guerre sainte. Les fondamentalistes qui ont oeuvré en Grande-Bretagne sont les héritiers de cette lecture littérale. Elle n'est pas « la religion de paix et de tolérance » pratiquée par la majorité des musulmans installés en Europe.
 
Oui, il y a place pour deux islams [ndlr : l'islamiquement correct et le détournement des mots sont des instruments de la mort de la pensée libre et juste].  Mais il faut soulever un faux-semblant : si le théologien Tariq Ramadan a su se faire passer, auprès des naïfs, pour un modéré plaidant pour un islam européen, Jean-Paul Roux rappelle, parlant des deux civilisations : « Elles sont trop différentes pour se fondre l'une dans l'autre. » En réalité, ce sont les musulmans laïcs, qui gardent leur religion pour eux et qui se plient aux règles communes, qu'il faut encourager. Pour cela, la nation ne doit rien céder de ses valeurs. La France a-t-elle encore cette autorité ?
 

 
Les deux options
 
« La France ne se résoudra pas à voir le Liban glisser vers la guerre civile », a prévenu François Fillon, mardi, lors de son discours de politique générale. Mais c'est un processus de libanisation, c'est-à-dire d'éclatement des communautés, que pourrait connaître le pays avant la fin du siècle, si la nation se révélait incapable de faire respecter sa langue, son mode de vie, son peuple. Le Liban se disloque à cause d'un État vulnérable à la pression islamiste. L'enjeu pour la France mériterait une prise de conscience qui tarde à s'exprimer.
 
Certes, parlant de « fermeté » et d'« autorité » pour évoquer les valeurs républicaines, le premier ministre a utilisé les mots nécessaires au respect d'un socle commun, qu'il faudrait d'ailleurs définir. Mais la République cède quand elle permet le port du voile lors des naturalisations en préfecture. Elle cède lorsque personne ne réagit à Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République, qualifiant sur France 3 les Français de souche de « souchiens » (on peut entendre « sous-chiens »).
 
Le problème identitaire, soulevé par Nicolas Sarkozy, reste entier. Quand François Fillon rappelle que l'identité nationale est « fondée sur le droit du sol », il ne veut pas voir que cette nationalité automatique est parfois vécue comme une violence (bloc-notes du 8 juin). Quand Brice Hortefeux, ministre de l'Immigration, explique qu'il faudra maîtriser le français en préalable à tout regroupement familial, il ne peut ignorer que les immigrés d'Afrique et du Maghreb ont déjà, généralement, cette pratique de la langue.
 
La nation est à la croisée des chemins. Un choix reste à faire, entre deux modèles de société. Le discours dominant, qui fait l'apologie de la diversité et du respect des différences, pousse à un multiculturalisme qui est une menace pour la cohésion nationale. L'autre voie, esquissée par Fillon quand il rappelle « l'universalité française », consiste à imposer les valeurs non négociables sur lesquelles s'est construit l'Etat-nation. Actuellement, ces deux options s'entremêlent. Une clarification s'impose.
 

 
« Un Sarkozy pour l'Église »
 
Avouons-le : le contexte n'est pas favorable à une réaffirmation de l'identité nationale, née pour l'essentiel d'un héritage judéo-chrétien qui tend à s'effacer, tandis que la fierté musulmane incite aux premières conversions. L'historien Jean-Paul Roux, catholique, le reconnaît : « Rien dans le contexte actuel ne peut faire croire que les fidèles du Coran acceptent le message de l'Évangile. » Mais le clergé porte une responsabilité dans cet affaiblissement de la chrétienté en France. « Il faudrait à l'Église un Sarkozy », me dit l'abbé Christian Laffargue, curé dans l'Ain (auteur de Pour l'amour de l'Église, Fayard, 1999). Plutôt que d'afficher leurs réticences au choix de Benoît XVI d'autoriser à nouveau la messe en latin selon le rite de saint Pie V, les évêques feraient mieux de se demander pourquoi les fidèles désertent leurs églises.
 

 
La solidarité, jusqu'où ?
 
Question rituelle, reposée hier : comment financer le déficit (12 milliards d'euros) de la Sécurité sociale ? Les assurés paieront encore. Mais il faudra bien, un jour, aborder l'inabordable : où s'arrête l'étendue de la solidarité nationale, dans une société toujours plus ouverte ? En 2005, Tony Blair en avait exclu les demandeurs d'asile déboutés. Choquant ?
 
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commentaires

A
mon avis personnel moi qui suis un cinquantenaire, c'est que la "gauche " d'aujourd'hui ne ressemble en rien à la GAUCHE d'hier, celle qui a permit d'obtenir des congés payés, une assurance sociale , où est t'elle? celle qui en 1968 a paralysée le pays, où est elle?Celle qui se battait contre les abus du pouvoir et de l'argent, où est t'elle? On peut toujours se dire que cette gauche là n'étaient pas toujours bien inspirée, mais au moins elle existait! Elle se battait pour de vrais avancées sociales, pour des salaires plus élevés, pour des primes, et j'en passe...Aujourd'hui qu'est ce qu'il reste de cette gauche....Rien! Elle a plus des idées de droite que de gauche, elle continue a se battre pour les 35h qui n'ont rien apporté aux ouvriers sinon une perte de salaire! elle se bat bêtement contre l'idée des heures sup. alorsque cela permettrait à certain ménage d'améliorer leur quotidien sans compter que cela profiterais à l'économie! La liste pourrait être encore longue ....donc je m'arrête ! 
Répondre
C
En effet, nous avons toujours été convaincu du côté archaïque de la gauche française.

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