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We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

28 septembre 2007 5 28 /09 /septembre /2007 21:09
Gerbes d'orties, recto Gerbes d'orties, verso

"Gerbes d'orties" a été écrit Aymeric de Bainville et fortement déconseillé à la publication en 2001.
Il est disponible en téléchargement au format .pdf (348 Ko)

 

Et puis, il faut le dire parce que la loi islamique a déjà réussi à interdire de le maudire en France: Muhammad, l'homme parfait choisi par Allah pour clore le cycle des révélations, initiées par Moïse et continuées par Issa (Jésus)...

Muhammad le sceau des prophètes. La prédication ultime. La vérité définitive jusqu'à la fin des temps.

L'exemple à suivre...

N'était en réalité qu'un escroc égrillard. Un jouisseur drogué et alcoolique comme Salman Rushdie en a si bien brossé le portrait. Un guru de pacotille qui a dupé des gens simples grâce à sa maîtrise du verbe, et peut-être aussi son art de conditionner les foules en les hypnotisant. Un précurseur d'Hitler en quelque sorte. En plus nocif, car il dure encore.

En étudiant la vie édifiante d'En' Nebbi (le prophète) dit aussi Al Rasoul (le messager), on découvre un individu fantasque, malhonnête, violent, roublard. Une canaille dotée d'un certain charisme et d'une aptitude réelle à manipuler ses contemporains. Toutes les qualités requises pour réussir dans le métier de guru-fondateur de secte. Voire de messie cosmo-planétaire...

Le drame est que des milliards d'hommes l'ont pris au sérieux. Et, le moins qu'on puisse dire, ils suivent sans état d'âme son "bon exemple", ses préceptes et ses prétextes.

Muhammad (= l'homme choisi, ou "Désiré" en français, indécente coïncidence!) nait en 570 de notre ère, à La Mecque, d'Abdallah (= esclave de Dieu) et d'Amina (= la sainte femme). Un crobard magistralement dessiné dans le style prédestiné, rewrité à l'usage des niais. Car à cette époque, dans l'Arabie païenne, l'idée du Dieu unique (Allah) avait déjà fait son chemin. Juifs et chrétiens avaient diffusé leur message avant lui. On n'avait pas attendu Muhammad!

Ses parents, cousins germains, appartiennent à la tribu des Kourayshes, nomades pillards et rançonneurs, inspirant une juste terreur à tous les caravaniers. A moins d'accepter leur très chère protection, comme dans la région de Médine tombée sous leur coupe.

Plutôt chétif de nature, guère porté aux exercices physiques, assez pleutre de caractère, Muhammad n'aurait sûrement pas survécu en ces temps farouches sans le "prestige" de son clan, réputé particulièrement sanguinaire. Une protection fort utile.

Mais en 586, alors que le futur prophète a seize ans, une guerrilla entre pillards dégénère. Ses parents disparaissent. Enfuis? Tués? Emmenés en esclavage? Muhammad n'en parlera jamais. Il s'est sauvé au début de l'échauffourée sur un chameau harnaché pour une longue traversée. Bref, le jeune adolescent se retrouve livré à lui même. Avec pour seule arme son immense débrouillardise. Car, en dépit des leçons de maniement du sabre courbe, de l'arc tendu et du poignard à double tranchant, données par son père et ses frères, Muhammad est un froussard. Jamais il ne versera une goutte de sang de sa main. En situation délicate, soit il s'enfuira comme un lâche, soit il chargera ses sbires subjugués d'assassiner à sa place.

La Mecque redevenant, provisoirement, un carrefour de caravanes relativement sûr, le jeune Muhammad, totalement illettré et inapte au combat, se lance dans le commerce. Quoi faire d'autre pour assurer sa subsistance? Promettant monts et merveilles, sur des routes fabuleuses qui n'existent que dans son imagination fertile, il trouve des associés, ou plutôt des commanditaires, qu'il arnaque assez aisément.

Déjà, le don du verbe, propre à entretenir l'illusion que tout ce qui est dit et décrit dans un conte fabuleux, est comme réalisé. Et, en cas de mauvaise fortune, pas de coupable puisque seul le ciel est responsable... De toute manière, "tout est écrit", n'est-ce pas? Mektoub!

Fidèle à une habitude qui ne le quittera jamais, il envoie de pauvres bougres se perdre à sa place dans le désert, en quête de chimères imaginaires.

Les tumultueuses tornades de sable, le coutelas effilé des pirates dunaires, le venin des serpents, le dard des scorpions, la deshydratation ou les mares d'eau putride, les puits empoisonnés, les sources taries, les maladies incurables, ce n'est pas pour lui!

Lui, il préfère le confort sédentaire dans l'oasis de La Mecque, où il conserve la plus grande partie du capital mis à sa disposition, échafaude des projets mirifiques et tire des plans sur la comète... Et, pour se distraire, se saoule aux vins capiteux, fume du chanvre et découvre combien les femmes, même les rouées danseuses du ventre et les rapaces pensionnaires des bordels, sont encore plus facile à duper que les hommes.

De promesses fallacieuses en prouesses amoureuses, il parvient à tenir quatre ans de la sorte. Il a de la chance au début. Certaines affaires foireuses se révèlent fructueuses par pur hasard. Des informations qu'il tient de ses parents sont encore utilisables. Et monnayables. Sa baraka renforce son baratin. Quand elle l'abandonne, il paie ses dettes en se donnant de nouveaux créanciers. Des traites de cavalerie (de chamellerie?) avant l'heure.

Sur sa réputation, il cède à des Juifs des parts d'affaires éphémères sur des commerces inconsistants avec des contrées oniriques... Un sursis. Jusqu'à ce que ses pigeons exigent des comptes.

Il s'en souviendra plus tard, lorsqu'il dictera le coran, en interdisant le prêt à intérêt. Et en stipulant, sans détour, que "Les Juifs sont condamnés à souffrir jusqu'à la fin des temps, pour expier toutes leurs fautes!"

Car le bon temps n'a qu'un temps. Menacé de sérieux ennuis, main coupée pour vol et tête au pilori pour mensonges, préludes aux chaînes en un temps où les débiteurs insolvables deviennent les esclaves de leurs créanciers, il doit s'enfuir nuitamment de La Mecque en 590. Une "hégire" moins glorieuse que celle de 622, et dont les musulmans préfèrent ne pas parler. Même et surtout les docteurs de la foi qui, bien évidemment, n'ignorent rien de ces tribulations inavouables.

Fait historique avéré: Le fugitif trouve alors refuge dans un couvent nestorien! Lieu sacré (et bien défendu) à la porte duquel ses poursuivants doivent rebrousser chemin.

Les nestoriens avaient importé en Arabie un christianisme simple des premiers âges, basé sur le rite chaldéen, implanté alors dans tout le Proche et Moyen Orient.

A cette époque là, Mahomet se dit chrétien! Pour complaire à ses nouveaux amis?

En tout cas, il passe deux ans dans un couvent accueillant, s'initie aux rudiments de la liturgie et du dogme, mais... Ne renonçant pas à ses bonnes habitudes, il engrosse les servantes, et vole ses bienfaiteurs. Lesquels finissent par lui suggérer avec insistance d'aller exercer ses talents ailleurs. Après une sévère correction, où il préfère faire le mort plutôt que de se défendre, il prend la poudre d'escampette.

Il erre quelque temps comme colporteur, ou conteur, se prétend guide ou mieux clairvoyant, mage, astrologue, sourcier, guérisseur, et monnaye maigrement sa prétendue sapience.

En 594, un miracle, le mot n'est pas trop fort, lui permet de revenir à La Mecque. Suite à d'obscures guerres intestines, ses créanciers se sont entretués. Les survivants ont été bannis, leurs entreprises dispersées. Les Juifs s'en sont retournés, plus ou moins de leur plein gré, en Palestine. L'escroc juvénile a été oublié. La voie est libre pour une nouvelle vie!

Muhammad présente bien. Il a l'élocution facile, les yeux brillants, le geste ample. Le jeune adulte a pris de l'assurance. Les déboires passés lui ont enseigné que, pour convaincre, son bagout naturel ne suffisait pas. Désormais, il y adjoindra la ruse, le cynisme, mais aussi la prudence.

Sitôt arrivé, il jette son dévolu sur une nouvelle proie: Khadidja.

Elle est veuve avec trois filles. Elle a plus de quarante ans et lui même pas encore vingt cinq. Elle est grosse et moche, aussi empotée qu'empâtée. Mais qu'importe! Elle est riche. Très riche. Elle possède et dirige la plus grosse entreprise d'affrètement de caravanes de La Mecque. Avec ses chameaux, ses chameliers, ses entrepots, ses magasins, ses milices privées, ses traités de paix avec les tribus les plus turbulentes.

En 595, il l'épouse. Petit margoulin sans envergure, promis dès lors à une vie de gigolo.

Jamais il ne pardonnera à Khadidja son autorité, sa personnalité, ses décisions parfois brutales, toujours irrévocables. Dans la gestion de son affaire, c'est elle qui porte le pantalon. Pas son étalon. Lorsqu'il cherchera, par son enseignement à rabaisser toutes les femmes, il se vengera sur des victimes symboliques de cette période où il fut un homuncule.

En attendant, puisqu'il faut bien vivre, il fait à son épouse légitime quatre filles. Et passe le plus clair de son temps à festoyer avec ses amis de bamboche, sa femme lui allouant quelque argent de poche. Mais vers 608, Khadidja tombe gravement malade. Maladie de langueur. On parlerait aujourd'hui de dépression nerveuse. A-t-elle découvert à cinquante ans passés que son jeune et fringant époux usait et abusait de ses belle-filles? Et tripotait sans doute aussi ses propres gamines?

Mahomet essaie alors de profiter des circonstances pour mettre le grappin sur l'affaire de caravanes! Mais la famille de Khadidja ne l'entend pas de cette oreille. Ecarté de la direction, touchant de maigres subsides, il se saoule régulièrement, fuyant un foyer qui lui paraît de plus en plus insupportable. Le gigolo n'est plus qu'un parent pauvre dont on tolère la paillasse dans un coin par pure charité.

En 610, il a quarante ans. Déjà la barbe blanche, le geste las. Maigre, sale, poussiéreux, hâve, il traîne les pieds. C'est un raté. Un frustré. Un minable. Il pense à se suicider mais le courage lui manque.

Pour s'éloigner d'un milieu qui lui pèse trop, il prend l'habitude de longues promenades dans la montagne. Parfois même, il dort à la belle étoile. A cette époque, l'Arabie n'est pas encore partout le désert aride et impitoyable que nous connaissons maintenant. L'eau surtout y est moins rare. A partir d'une certaine hauteur, le chanvre pousse généreusement le long des chemins, comme c'est encore aujourd'hui le cas au Maghreb et au Moyen Orient.

Muhammad a toujours eu un goût prononcé pour la défonce... La matière première ne manque pas, il en profite! Ainsi de ses rêveries éveillées va naître sa religion, un sacré salmigondis de la plupart des croyances monothéistes de son temps, fortement influencées par l'enseignement des moines nestoriens, le tout assaisonné des fantasmes d'un homme vieillissant, brisé, drogué, paranoïaque, et qui a de vieux comptes à régler.

Djibayr, l'ange Gabriel lui apparaît soudain, nimbé d'un éclat de lumière! Dans son délire fumomaniaque, Muhammad l'entend lui révéler qu'Allah l'a choisi, lui, le pelé, le galeux, le minus, pour être son messager parmi les hommes. Et pas n'importe quel porteur de bonnes nouvelles. Mais le dernier, l'ultime, celui qui va délivrer LA révélation définitive. Celle après laquelle, aucune autre ne sera possible. Pas la plus menue adaptation, pas le moindre changement. Tout est dit à jamais! Toute innovation sera un blasphème!

Entre 610 et 611, Djibayr lui rend visite plusieurs fois. Tantôt dans des grottes, tantôt en pleine nature, là où le prophète cuve sa fumette.

Versets sataniques? Non! ! ! Versets éthyliques et psychédéliques...

Peu à peu, comme tout fondateur de secte, il croit à ses hallucinations.

Il entend faire profiter le monde entier de ses élucubrations. Sincère sur le fond, ce qui n'exclut pas d'en retirer de confortables avantages matériels.

Bien entendu, ses proches (qui le connaissent bien!) sont les plus sceptiques...

Mais, sur les marchés et sur les foires, dans les réduits affectés aux palefreniers des caravansérails, dans les cafés, les auberges et les tavernes, son bagout, son lyrisme, sa force de persuasion font miracle (Oh, pardon!) Notre homme est un tchatcheur de première force, on lui doit bien cet hommage!

Sa réputation grandit. On lui attribue des miracles que toujours il niera, moins par modestie que pour ne pas se mettre à dos la puissante corporation des sorciers locaux, dont l'islam héritera sous la forme des sheirs et des marabouts.

Lorsqu'il s'affirme comme meneur d'hommes, susceptible de soulever les clans de colporteurs et de trimardeurs, ou d'influencer les soldats, les autorités inquiètes le font arrêter, l'interrogent, puis le relâchent, le jugeant inoffensif. Un raconteur de belles histoires. Un troubadour. Un griot. Pas de quoi menacer le sultan héréditaire de La Mecque qui envisage même un temps d'en faire son bouffon, puis y renonce, le trouvant finalement plus ennuyeux qu'amusant...

La première personnalité à se laisser embobiner par le beau parleur s'appelle Abou Bekr. C'est un commerçant prospère. Un notable, moins riche que la famille de Khadidja, mais il faut bien commencer par quelque chose... Quand on a usé sa salive auprès de tant de pauvres hères.mo.gif

Surtout, Abou Bekr est une sorte d'arbitre commercial, réputé et respecté. Le relais d'opinion idéal. Un Monsieur Jourdain oriental. Le pigeon rêvé. Muhammad le nomme calife (au nom d'Allah le grand, le miséricordieux) et, pour faire bonne mesure, épouse sa fille Aïcha. Une enfant de neuf ans, livrée à une crapule libidineuse qui s'empresse de la déflorer. Violée, déchirée, traumatisée, Aïcha souffrira de métrite tout au long de sa courte vie (elle mourra vers 20 ans) et demeurera stérile. Le prophète en fera néammoins son épouse favorite!

Cette polygamie est facilitée par l'oncle de Khadidja qui se convertit, impressionné par les louanges dont Abou Bekr ne tarit pas sur Muhammad. L'oncle entraîne avec lui toute sa smala, tandis que Khadidja vieille, malade, dépressive, disparait à jamais du joli conte de fées. On ignore quand exactement elle mourut, mais il y a fort à parier qu'elle y fut un peu "aidée"... Dès lors, bien que ne participant pas à des décisions qui désormais l'indiffèrent, le messager d'Allah encaisse de confortables dividendes.

En outre, les caravanes ne transportent pas que des marchandises, elles véhiculent aussi la réputation du prophète, enjolivée d'étape en étape, et ramènent des offrandes.

Muhammad prêche, discute, ergote, argumente, tance, menace des foudres divines, et recueille l'adhésion d'un nombre croissant (Oh pardon!) d'adeptes parmi les notables de la cité.

Vers 612, 613, le prophète réalise que, pour faire un bon menteur, mieux vaut toujours raconter la même histoire... Il lui faut donc figer, une bonne fois pour toutes, le récit de ses rocambolesques rencontres angéliques. Problème: Muhammad ne sait pas écrire!

Qu'à cela ne tienne, il dispose d'un beau-père lettré, possédant une douzaine de scribes à son service pour les besoins de son commerce. Muhammad a enfin mieux qu'un auditoite attentif. Des personnes dévouées, désintéressées, complaisantes, serviles même, prêtes à recueillir la moindre de ses historiettes comme l'indiscutable parole divine!

Sur du parchemin, ou des omoplates de gazelle (pour le côté poétique) le coran sera pieusement transcrit jusqu'aux alentours de 615. Il y a longtemps que l'ange a disparu, mais Mahomet brode... Il n'a pas perdu tout à fait son temps en servant la messe dans son couvent nestorien... Et puis il a beaucoup d'imagination!

Bien entendu, tandis qu'il parle et convertit, il accumule des richesses. Et se constitue un harem de demoiselles pré-pubères, pour lesquelles le prophète (son nom soit béni d'Allah!) a toujours manifesté une très forte appétence... Ce qui ne l'empêche pas d' épouser Mériem, une jeune chrétienne copte fille d'un riche patriarche.

Les nouveaux adeptes sont prêts à tout donner pour occuper une place de choix dans la secte... Naturellement, cela ne va pas sans poser quelques problèmes, les familles des victimes n'appréciant guère que leurs proches se fassent dépouiller de la sorte.

Les saintes écritures coraniques parlent de "troubles publics causés par les impies"... En fait, la révolte gronde, et malgré les hautes protections dont il bénéficie grâce à ses deux beaux-pères et son oncle par alliance,

En' Nebbi doit fuir. Une fois encore. C'est l'hégire. Le 7 juillet 622 de notre ère, premier jour du calendrier musulman. Déjà, bien avant les fellaghas et Arafat, l'art de transformer une défaite sur le terrain en victoire psychologique!

Le proscrit va passer huit années à Médine, auréolé du prestige du faux martyr, convertissant à tours de bras, appuyé par des émirs soigneusement choisis parmi les membres les plus dociles, les plus riches, et les plus influents de sa secte. Les mosquées poussent comme des champignons et, pour attirer la populace, le prophète décrète que tout bon musulman doit donner au moins un dixième de sa fortune aux pauvres. C'est "ez zakat" l'aumône légale, que Muhammad pratiquera ostensiblement, reprenant quand même le plus souvent d'une main ce qu'il a donné de l'autre!

Sacs de grain, pains, quartiers de viande, ânes, dinars, les miséreux gorgés et repus deviennent ses meilleurs commis voyageurs. Sauvés de la famine et de la vermine, avec en prime la promesse du paradis d'Allah, ils font du prophète une véritable légende vivante!

Mahomet, ivre de louanges, mégalomane convaincu par ses propres mensonges, veut maintenant le pouvoir. Tout le pouvoir. Il l'obtient grâce à une traîtrise des plus abjectes:
Un conflit local de type féodal opposait depuis longtemps sa propre tribu d'origine, les Kourayshes, à divers clans locaux, qui lui contestaient sa prédominance. Affaiblis par leurs propres querelles, les Kouraysches ne parvenaient plus à mater leurs vassaux, mais restaient encore assez forts pour diriger la ville, et surtout taxer toute forme d'activité commerciale ou artisanale.

Après avoir bénéficié de la complaisance de son clan pour s'imposer parmi les familles dirigeantes, et y glaner quelques très jeunes épouses supplémentaires, Muhammad va se débarrasser de ses propres frères, soeurs, neveux et cousins! Jouant les bons offices, il les assure de son entier soutien, et propose l'ouverture de négociations. Il feint de prendre le parti des siens lors de palabres interminables, obtenant en leur faveur des résultats non négligeables.

"Puisque le prophète le veut ainsi..." étant le leitmotiv du succès.

Leur méfiance enfin endormie, il les fait égorger pendant leur sommeil par des commandos de tueurs fanatiques, raides défoncés, les haschischin (d'ou provient notre mot "assassin")

Devenu le rahiss des Kouraysches, Muhammad se débarrasse de ses nouveaux alliés les plus turbulents, en les accusant d'idolâtrie, ce qui provoque d'effroyables tueries où la défense de la foi se mêle à de vieux griefs liés à des vendettas immémoriales. Et naturellement, toujours par la magie du verbe, lorsqu'il estime la place nette, il restaure la paix chez ceux qu'il poussait la veille à s'étriper, bénéficiant ainsi de leur infinie gratitude!

En 630, à 60 ans, il connaît enfin le succès total. Définitif. Incontestable. Il est le maître de Médine (m'dina en' nebbî = la ville du prophète, en arabe) qu'il dirige d'une main de fer. Plus question de discuter pour convaincre. Il y a un prophète auquel on doit faire allégeance, un dogme auquel il faut croire, et quiconque essaie de remettre en question l'un ou l'autre est décapité sans autre forme de procès!

Mais Médine, c'est petit... Il rêve de devenir le maître de toute l'Arabie.

Une opération militaire menée en son nom (mais à laquelle il se garde bien de participer) conquiert La Mecque. La cinquième colonne de ses partisans, qui ne l'ont pas oublié, aide bien les assaillants. "Soumets-toi ou meurs!" On passe de la théorie à la pratique sur une grande échelle. Et désormais, tous les ravages, les saccages et les carnages commis au nom d'Allah (le grand, le miséricordieux) s'appuieront sur cette sublime référence.

Revenu en triomphateur dans sa ville natale qui l'a refoulé par deux fois, ce valeureux queutard de Muhammad crèvera deux ans plus tard d'épectase (dite pleurésie par décence, sous un climat où l'on ne s'enrhume guère...) entre les bras d'une énième épouse ou concubine.

Entre temps, il aura encore eu l'occasion de mettre au point une dernière arnaque: Transformer un pèlerinage païen, datant du deuxième siècle de l'ère chrétienne, pour adorer un fragment d'une énorme météorite dont la chute avait impressionné les populations primitives en... Premier pèlerinage musulman obligatoire, une mosquée étant construite tout autour du caillou tombé du ciel, sur ordre de l'ange Gabriel, resorti au bon moment celui-là!

Excellent moyen de prélever de l'argent sur les pèlerins crédules, une rente de situation dont ses successeurs se gobergent encore...

La vie de Muhammad vaut, à elle seule, toutes les diatribes contre l'islam.

Puisque ses adeptes citent les coups tordus de cette canaille, sa lâcheté, son mépris des femmes, sa pédophilie notoire et avérée, son goût du lucre facile et ses filouteries filandreuses, comme de nobles exemples à suivre!

"Prends la richesse là où elle est!" a dit le prophète. Sur le fond, je n'aurai pas l'hypocrisie de m'en offusquer.

Mais de grâce, qu'on ne nous gave plus de leçons de morale avec la "deuxième religion de France", tellement supérieure à toutes les autres!

Taisez-vous arabolatres. Par la barbe du prophète!

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