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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

12 décembre 2007 3 12 /12 /décembre /2007 23:57
Côte à côte, les deux plus grands criminels de l'histoire de l'humanité : Mao et Staline.

Lénine, par qui tout à commencé

Bien avant le nazisme, Lénine a inauguré le génocide de masse et instrumentalisé les moyens pour y parvenir; Dès 1891, il confie à son ami Béliakov la nécessaire éradication de la classe paysanne. "En détruisant l'économie paysanne attardée, la famine nous rapproche objectivement de notre but final, le socialisme". En 1914, il jette les bases de la guerre civile :
"Pas de révolution sans bain de sang. Nous ne faisons pas la guerre contre les personnes en particulier, nous exterminons la bourgeoisie comme classe. Ne cherchez pas ce que l'accusé a fait contre l'autorité soviétique. La première question que vous devez lui poser, c'est à quelle classe il appartient, quelles sont ses origines, son éducation, sa profession". Toute la pensée léniniste tourne autour de la négation de l'individu, de son élimination physique et d'une culture discriminatoire.
Une idéologie par essence anti-démocratique au service d'un dictature délibérément terroriste et sanglante.


Staline, au service de son clan

Culte de la personnalité et culture du clan. En succédant en 1924 à Lénine, Joseph Staline s'entoure d'hommes entièrement dévoués à sa cause, qui constitueront le bras armé de "la transformation radicale de la société". Premières victimes du génocide des classes, les paysans. Le "grand assaut" contre la paysannerie souhaité par le petit père des peuples fera 6 millions de morts et plus de deux millions de déportés. Cette folie meurtrière touchera rapidement les groupes sociaux qualifiés de "socialement étrangers à la nouvelle société soviétique". Membres du clergé, commerçants, artisans, toute personne ayant une origine "suspecte". Sous la grande terreur entre 1936 et 1938, cadres et dirigeants du Parti fourniront les quotats d'éléments à supprimer ! Des 200 membres du comité central du Parti communiste, 3 survécurent à l'épuration ! Les militaires qui avaient menés les campagnes bolchéviques vont être eux aussi purement et simplement éliminés. Une paranoïa obsessionnelle qui n'épargne pas les partis communistes étrangers jugés déviants. Pendant la guerre d'Espagne, Staline charge le NKVD de liquider ceux qui se mettent en travers de sa stratégie internationale.


Trotski, père du goulag

Léon Trotski aura été le cerveau de la politique d'extermination du régime soviétique. Grand artisan de la terreur, il prône inlassablement l'éradication de la bourgeoisie, "classe vouée à périr". Cet idéologue fanatique instaure rapidement à travers tous le pays des camps de concentration destinés aux "éléments douteux" qui y seront sytématiquement déportés dès 1918. A la tête de l'Armée rouge, il martyrise la Volga, traque tout opposant et planifie la liquidation en masse d'adversaires politiques ou de groupes sociaux entiers. La guerre civile à outrance et la politique de la terre brûlée qu'il mène de main de fer entraînent une famine sans précèdant dans les années 1921 et 1922. Cinq millions de personnes, dont beaucoup d'enfants, en sont les victimes. La mort de Lénine, la stalinisation du pouvoir, les divergences idéologiques, poussent Trotski dans l'opposition au nouveau maître du Kremlin. Il est assassiné sur ordre de Staline en 1940 au Mexique.


Mao, version chinoise de l'ignoble

Mao Zedong partage indubitablement avec ses homologues soviétiques ce culte de la personnalité et cette même folie meurtrière. La violence érigée par Mao en système de règne fera ses premières victimes au sein même des apparatchikis communistes. Dès 1931, des milliers de cadres du Parti et de l'armée populaire de libération sont exécutés, selon le principe arbitraire : "nous devons tuer tous ces éléments réactionnaires qui méritent d'être tués". L'aveuglement idéologique de Mao, sa frénésie à vouloir construire un socialisme triomphant et son obsession du développement industriel débouchent en 1958 sur le cataclysmique "grand bond en avant". En 4 ans, 30 millions de paysans sont victimes de la famine organisée par le régime. Sa main mise sur le parti et la forte influence dont il jouit au sein d'une jeunesse endoctrinée, lui perment encore de lancer en 1966 la "révolution culturelle", qui n'est en fait qu'une énième purification révolutionnaire contre les intellectuels. Pendant dix ans, répondant aux injonctions pyschopathiques de Mao, ses miliciens (parfois de jeunes enfants) détruiront, humilieront, lyncheront, assassineront près d'un million de personnes "déviantes".



URSS

En prenant le pouvoir en 1917, Lénine planifie l'élimination des "contre-révolutionnaires". En mars 1919, la révolte des ouvriers d'astrakhan est écrasée dans le sang par l'armée rouge, et près de 5 000 personnes sont noyées en une semaine dans la Volga. Le "nettoyage" des derniers bastions anti-communistes de crimée coute la vie à 50 000 personnes. La politique de "décosaquisation" frappe entre 300 000 et 500 000 cosaques qui seront assassinés ou déportés. L'arrivée au pouvoir de Staline va généraliser les massacres de masse. En 1932 et 1933, 6 millions d'ukrainiens mourront de la famine d'Etat imposée par Moscou. La folie meurtrière frappe jusque dans les rangs du régime. 650 000 d'entre eux feront les frais des purges staliniennes. 720 000 exécutions d'opposants et 300 000 morts dans les camps. A la fin de la seconde guerre mondiale, les déportations ethniques feront des centaines de milliers de victimes. Si la mort de Staline en 1953 marque la fin des massacres à grand échelle, les déportations s'accélèrent pour atteindre un point culminant de 900 000 personnes envoyées au goulags au début des années 60.


PAYS DE L'EST

De tous les pays de l'Europe de l'Est, la plogne et la Yougoslavie ont payé le plus lourd tribut à l'arrivée des communistes au pouvoir. Le retour de l'armée rouge en Pologne , début 1944, voit l'élimination par le NKVD des résistants polonais non communistes. Le stalinisme polonais se caractérisa par la suite par un fichage général de la population, des vagues d'arrestations massives et des milliers d'exécutions. La guerre de "libération" menée par Tito en Yougoslavie se chiffre quant à elle en centaines de milliers de cadavres. Outre l'élimination des résistants royalistes, nombre de croates et de slovènes furent massacrés en masse dans d'horribles conditions, après avoir été livrés aux titistes par les britanniques...
On se souviendra aussi de la répression soviétique en Hongrie en 1956, ou à Prague en 1968, des régimes sanglants d'Honecker en Allemagne de l'Est, de Ceausescu en Roumanie, et les massacres d'après-guerre en Bulgarie, sans oublier l'Etat-goulag albanais du fanatique Enver Hojda.


CHINE

A partir de 1949 et l'instauration de la république populaire de Chine, et jusqu'en 1957, intervient la plus sanglate vague de répression qu'ait lancée le PC chinois. Près de 5 millions de paysans chinois périssent, et 4 à 6 millions d'autres sont expédiés dans les sinistres "camps de rééducation politique", dits Laogai. L'épuration Maoiste élimine 2 millions de contre-révolutionnaires entre 1949 et 1952. En 1955, la chasse aux opposants fait 770 000 victimes, pendants que 400 à 700 000 personnes sont déportées. Le "grand bon en avant", politique massive de collectivisation forcée, entraîne l'une des plus grandes catastrophes humanitaires : Plus de 20 millions de chinois sont victimes de la famine. La révolution culturelle chère à Mao finira de saigner à blanc le peuple chinois. En 10 ans (1966-76), un million de personnes sont éliminées, victimes de la paranoïa du Grand Timonier. Au milieu des années 80, les laogaï comptaient encore 50 millions de prisonniers ! Aujourd'hui, la Chine reste sous domination communiste, et continue de réprimer avec le silence complice des USA et de l'Europe.


AFRIQUE

Pendant la guerre froide, le continent africain a été le champ d'expérimentation privilégié pour les marxistes africains formés dans les universités françaises et russes. Parmi les pays ayant payé les plus lourds tributs à cette marche forcée vers le communisme, l'Ethiopie. De l'assassinat de l'empereur Hailé Selassié en 1975 à la fin du règne du marxiste Mengistu en 1991, 30 millions de personnes sont déplacées, et plus de 300 000 périssent de famines ou sont exécutés par le régime.
Au Mozambique, le départ des portugais en 1975 coïncideavec l'avènement d'une "démocratie populaire" et plonge le pays dans la guerre civile : 900 000 tués, 3 millions de personnes déplacées et 75% du territoire détruit. On notera pour mémoire le calvaire du Congo, de la Guinée et du Bénin, où trente ans de pouvoir communiste ont jetés des dizaines de milliers de personnes en prison pour délit d'opinion, ruiné les économies, et dans certains cas conduits à des massacres planifiés.


CAMBODGE

Le régime Maoïste de Pol Pot a abouti à un génocide cauchemardesque. Déportation entière de la population de phnom Penh, réduction en esclavage des citadins, épuration impitoyable des éléments pro-viêtnamiens et royalistes, massacre des cambodgiens jugés réfractaires au régime. De 1975 à 1979, 2 millions de personnes sont exécutées, soit près d'un quart de la population khmère.


VIETNAM

Sur 20 000 français et viêtnamiens capturés lors de l'offensive de Dien Bien Phu, 9 000 miraculés survivront aux traitements inhumains des communistes vietminh. La répression du régime d'Ho Chi Minh n'épargnera ni les paysans (50 00 seront exécutés lors de la réforme agraire de 1954) ni les religieux systématiquement persécutés. Après la victoire communiste en 1975 contre les américains, 500 000 cadres et fonctionnaires sud-viêtnamiens sont envoyés dans des camps dont beaucoup ne reviendront pas.


COREE DU NORD

Purges, déportations massives, internements... La folie meurtrière de Kim Il Sung aura coûté la vie à environ 1 500 000 personnes.


Auschwitz 105- Ukraine zéro.

Alain Besançon avait eu la curiosité, il y a quelques années de consulter le service de documentation du journal de révérence « Le Monde » et de calculer le nombre de références aux crimes Nazis et communistes entre 1990 et 1997 ; le thème du nazisme revint 480 fois, celui du « stalinisme », sept fois…Auschwitz faisait l’objet de 105 références, le génocide par la famine organisée en Ukraine (environ 6 millions de morts en 1933) zéro référence.

« Le nazisme, bien que disparu complètement depuis plus d’un demi-siècle, est à juste titre l’objet d’une exécration que le temps n’affaiblit nullement. Le communisme, en revanche, bien que tout frais et tout récemment déchu, bénéficie d’une amnésie et d’une amnistie qui recueille le consentement presque unanime, non seulement de ses partisans, mais de ses ennemis les plus déterminés et même de ses victimes. Ni les uns ni les autres ne trouvent séant de la tirer de l’oubli. » (1)

J’ai relu récemment, et successivement, « Le malheur du siècle », « Le livre noir du communisme » (2), puis « Du passé, faisons table rase » (3).

On ne sort pas intact de ce genre de lecture, aussi averti que l’on puisse l’être auparavant.

Mais ce qui frappe le plus, comme le souligne Besançon, au delà de l’horreur des crimes commis au nom de cette idéologie totalitaire, c’est ce "contraste entre l'amnésie du communisme et l'hypermnésie du nazisme"(6), cette organisation de la non repentance, après celle de la dissimulation des crimes commis par tous les régimes communistes durant le XX ème siècle. Ce négationnisme communiste.

Il faut se rappeler, lors de la sortie du « Livre noir du communisme », les injures et les menaces de la presse communiste en France, le travail de sape du Monde (des commissaires politiques Colombani et Plenel) pour discréditer les auteurs de cette somme inédite et pour atténuer l’onde de choc auprès d’un public encore largement ignorant de l’horreur collectiviste, la sortie pitoyable de Jospin à l’assemblée tentant de sauver le soldat communiste et dissociant (à dessein ?) stalinisme et communisme afin d’épargner ses amis trotskystes. Il faut revoir ce « bouillon de culture » historique ou Stéphane Courtois fut confronté à deux apparatchiks communistes (Roger Martelli et Roland Leroy).

La première synthèse historique de la dimension criminelle du communisme ne devait pas être connue ; Outre la recension des crimes de masses commis, les auteurs détaillaient également les méthodes utilisées pour assassiner des millions de personnes, notamment la famine organisée. La question de la nature totalitaire du communisme et sa comparaison avec le nazisme était également reprise par les auteurs, à la suite d’ Ernst Nolte, François Furet ou Renzo de Felice.

Si le monstre est mort comme phénomène politique, il demeure bien vivant comme phénomène culturel : il faut admettre que décrire le communisme dans sa réalité (sa praxis), reste un délit d’opinion. Le négationnisme, définit comme un délit quand il porte sur le nazisme, ne l’est pas quand il dissimule les crimes communistes.

Soulignant la motivation idéologique des crimes nazis, le procureur général Français à Nuremberg, François de Menthon, disait : « Nous ne nous trouvons pas devant une criminalité accidentelle, occasionnelle, nous trouvons devant une criminalité systématique découlant directement et nécessairement d’une doctrine. » (4)

Cette description de la criminalité brune s’applique mot pour mot à la criminalité rouge…

De même que « lui convient parfaitement la définition du nouveau code pénal Français, adopté en 1992, selon laquelle, le crime contre l’humanité inclut la déportation, la réduction en esclavage, la pratique massive et systématique d’exactions sommaires, d’enlèvements de personnes suivis de leur disparition, de la torture, d’actes inhumains inspirés par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux, et organisés en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile. » (5)

Or, les massacres et déportations systématiques de groupes sociaux ou ethniques en raison de ce qu’ils sont et non de ce qu’ils font, jalonnent toute l’histoire du communisme.

Il est donc sans doute légitime de conclure à une nature intrinsèquement criminogène du communisme, tant il a produit de copies conformes dans les circonstances les plus diverses, sous toutes les latitudes et dans les sociétés culturellement les plus différentes (Cuba, Ethiopie, Angola, Afghanistan, Mozambique, Laos, Cambodge, Chine, Russie,…)

Devant pareil constat, pareille horreur, le front négationniste procommuniste, puissamment relayé par des média complaisants voire serviles et perdant une sérieuse occasion de faire un aggiornamento, ressasse l’éternel antienne : « le communisme se voulait dans son principe une doctrine de libération par la dictature du prolétariat, alors que le nazisme annonçait dés sa naissance un programme d’extermination... » ou bien « l’anéantissement de l’homme exprime non l’essence de cette doctrine de libération, mais sa perversion ..» (distinguo Léninisme/ Stalinisme).

Il est alors particulièrement étonnant que cette doctrine de libération n’ai jamais nulle part mis en œuvre autre chose que sa propre perversion.

Un aspect non moins important de ces ouvrages est d’établir le fait que Lénine et Trotky furent les initiateurs de ce système et aussi de la terreur organisée, et ce dés 1917 (premiers camps de concentration, premier rapport alarmant de la Ligue des Droits de l’Homme). Staline n’en fut que le continuateur appliqué et méthodique doublé d’un stratège militaire sans pareil, surclassant largement son alter ego Hitler, et les Churchill et Roosevelt.

Reconnaître ceci c’est reconnaître la nature totalitaire et criminelle de l’idéologie véhiculée encore en 2007 par une bonne partie de la gauche radicale/ révolutionnaire Européenne, notamment Française.

Qu’ils le veuillent ou non, Trotskystes, communistes " orthodoxes ", "alter mondialistes" et autres "collectifs anti liberaux", sont les héritiers des plus grands criminels du XX ème siècle.

 

(1)   Alain Besançon, Le malheur du siècle, Fayard 1998, p.10.

(2)   Stéphane courtois, Robert Laffont, 1997.

(3)   Stéphane Courtois, Robert Laffont, 2002.

(4)   François de Fontette, Le procès de Nuremberg, coll. « Que sais-je ? », PUF, 1996, p.48

(5)   Jean François Revel, Le siècle des ombres, Fayard 199, p.602.

(6) Alain Besançon, Le malheur du siècle, p.9.

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