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Le rapport 2007 de l’OCDE sur l’éducation fait pour la première fois une comparaison directe entre les dépenses d’éducation et les résultats des élèves. Accablant pour la France, ce rapport fait tomber bien des idées reçues.
Il montre qu’à pouvoir d’achat égal, un élève français aura coûté jusqu’à 15 ans 50 % plus cher à son pays qu’un élève coréen… pour une performance moindre, les élèves coréens de 15 ans arrivant en tête des tests internationaux dans toutes les matières, loin devant la France (PISA 2003).
Plusieurs hypothèses viennent alors à l’esprit :
Les élèves coréens réussissent mieux parce qu’il ont passé plus de temps sur les bancs de l’école…
Faux. Entre l’âge de 7 ans et celui de 14 ans, les Français passent environ 7750 heures sur les bancs de l’école alors que les Coréens en passent moins de 6000 !
Les élèves coréens sont plus performants parce que leurs professeurs ont plus de temps à consacrer à chacun d’eux…
Faux. En maternelle, le nombre d’élèves par adulte est de 20,2 en Corée, et seulement de 13,7 en France ; en primaire, le nombre d’élèves par enseignant est de 28 en Corée, et de 19,4 en France ; dans le secondaire, il est de 18,2 en Corée, contre 12,2 en France.
En Corée, l’éducation coûte moins cher parce que les professeurs sont moins bien payés qu’en France.
Faux. A pouvoir d’achat égal, les enseignants coréens sont en 3e position en terme de rémunération, la France loin derrière à la 20e place. Plus encore : « Après 15 ans d’exercice, le salaire des enseignants du premier cycle du secondaire représente bien plus du double du PIB par habitant en Corée » – largement en tête de tous les pays –, alors qu’il n’est que légèrement supérieur au PIB par habitant en France.
Si les professeurs sont mieux payés en Corée, c'est parce qu’ils font plus d’heures de cours.
Faux. En primaire, un enseignant coréen passe 800 heures dans l’année devant ses élèves, un instituteur français plus de 900 heures ; dans le secondaire, en collège et lycée, moins de 600 heures en Corée, plus de 600 en France.
Nulle échappatoire : Si l’éducation coûte si peu cher à la Corée avec des professeurs mieux payés pour moins d’heures d’enseignement à délivrer, et si les élèves réussissent si bien dans des classes plus chargées et avec moins d’heures de cours à suivre, c’est que le système éducatif et les méthodes d’apprentissage sont plus efficaces.
On peut donc faire mieux avec moins de professeurs et moins de moyens.
Si, rien que dans le secondaire, la France s’alignait sur la Corée en nombre d’élèves par professeur, les effectifs d’enseignants en collèges et lycées baisseraient de 170 000 fonctionnaires, soit une économie de 8,2 milliards d’euros par an.
La France est concernée au premier chef lorsque le rapport conclut que « dans les pays de l'OCDE, il est possible d'améliorer les résultats de l'apprentissage de 22 % sans revoir à la hausse les moyens mobilisés en faveur de l'éducation. »
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l’économie de marché expliquée à tous
Nous avons déjà parlé dans ces leçons des biens culturels sous l’angle de l’économie de marché. Nous allons aujourd’hui aborder ce bien d’essence supérieure qu’est l’éducation. C’est plus important que l’économie de marché développe ses bienfaits pour les biens d’essence supérieure que pour les biens moins importants.
Il est clair que dans le domaine de l’éducation la responsabilité et le devoir des parents sont primordiaux. C’est à eux, dans le droit naturel, que revient la tâche de choisir l’éducation de leurs enfants et de la diriger. Dans l’accomplissement de cette tâche, ils essaieront de transmettre le meilleur de ce qu’ils ont reçu de leurs propres parents, en l’améliorant si possible puisque chaque génération apporte ses progrès. Dans cet esprit, toute intervention de l’Etat est malvenue.
Cela n’empêche pas que les parents font appel à ce que l’on peut considérer comme des sous-traitants c’est-à-dire les entreprises d’éducation à la fois écoles, maisons d’édition, répétiteurs, etc. En bonne logique d’économie de marché et si la liberté souhaitable régnait dans ce domaine, il y aurait un grand nombre d’entreprises d’éducations concurrentes à la recherche permanente de la meilleure qualité.
A l’inverse, il est facile d’observer dans beaucoup de pays la véritable catastrophe qu’engendre la nationalisation de l’éducation. La France est un exemple emblématique de cette calamité.
Le premier aspect est l’immensité de l’administration en question. Il est coutume de dire que le service public de l’éducation nationale est en quelque sorte la dernière armée soviétique du monde, avec 1 260 000 membres du personnel et 14 000 000 d’élèves; l’effectif du personnel comprend un administratif sur trois enseignants.
Toute personne habituée au management peut comprendre qu’un tel ensemble est par nature impossible à gouverner ; s’ajoutent inévitablement les syndicats embusqués partout et jouant les véritables maîtres du système parfaitement ingérable. L’immensité de l’ensemble interdit à la fois de vraiment innover et d’innover en outre suivant les besoins diversifiés du terrain. Cette même immensité oblige à gouverner par des nuées de réglementations absurdes et inopérantes au niveau de la base. A titre d’exemple un proviseur du lycée ne choisit ni ses enseignements, ni ses élèves ni ses professeurs, même si son autorité s’exerce au moins sur les locaux, les horaires et les femmes de ménage… . Autre exemple : le « mammouth » est passé jusqu’ici à coté de l’utilisation massive de l’informatique !
Le caractère étatiste conduit à des objectifs parfaitement chimériques. L’on peut citer pêle-mêle : la mixité dans les établissements, le collège unique soi-disant prévu pour réaliser l’égalité des chances et dont la vanité est bien connue, la quasi suppression de l’émulation avec souvent la renonciation à une vraie notation.
Voulant assurer l’uniformité générale de l’éducation, autre objectif chimérique, l’administration a créé artificiellement la carte scolaire qui oblige chacun à inscrire ses enfants dans un établissement voisin de son domicile. Comme tout système artificiel, cette répartition absurde est tournée par les riches et les habiles, les pauvres et les non-informés restant les victimes.
Dans la course à la catastrophe, il ne manque pas la diffusion d’idées révolutionnaires. Sur l’économie en particulier l’enseignement est largement tourné vers le marxisme et sur le plan historique la vérité est largement occultée, avec l’aide des éditeurs.
L’effet à la fois de l’obésité du « mammouth » et de l’orientation quasi marxiste de l’éducation est surtout nuisible aux faibles et aux pauvres. Les riches ou tout au moins les plus favorisés trouvent des moyens latéraux pour éduquer leurs enfants comme ils l’entendent même s’ils n’y arrivent pas toujours. Les pauvres et les faibles sont évidemment démunis devant le mammouth et la production massive d’illettrés les touche particulièrement. Un million deux cent mille salariés, généralement de base, souffrent d’illettrisme ; les patrons se plaignent de ce que des cadres ne savent pas rédiger un rapport.
Cet état désolant de la prétendue éducation prétendue nationale en France se retrouve dans tous les pays où, même si le mammouth est moins imposant, il existe une large nationalisation de l’éducation : c’est le cas en partie aux États-Unis et malgré une plus grande atmosphère de liberté qu’en France.
Ne voulant pas réformer l’éducation malgré quelques coups de menton, le pouvoir en France refuse la seule vraie réforme qui serait sa privatisation c’est-à-dire la reconnaissance officielle du jeu de l’économie de marché dans l’éducation.
Tout le monde se souvient des grandes manifestations pour la liberté de l’enseignement il y a plusieurs années ; malgré une immense démonstration populaire et après avoir simulé un retrait, le pouvoir s’est attaché à bétonner le service public et laïc de l’éducation. La liberté de l’enseignement avec son corollaire le bon scolaire n’aurait pourtant été qu’un début. La vraie formule est la privatisation de l’éducation en commençant par la vente des universités à des capitaux privés ou à des associations et ensuite par la même opération au niveau des grands lycées.
La privatisation de quelque système que ce soit dans le libre jeu de l’économie de marché conduit à un progrès de la qualité et, dans le temps, à la réduction de moitié des coûts. La privatisation de l’enseignement en France conduirait à des dizaines de milliards d’euros d’économie avec enfin, grâce aux bienfaits de la concurrence, le retour du pays dans le peloton de tête des nations civilisées.
Le raisonnement étendu au monde entier conduirait à une forte progression du PIB mondial qui est presque impossible à mesurer.
En France tout au moins ce serait la vraie rupture dans un domaine essentiel.
source : http://pouruneecolelibre.blogspot.com/2007/09/michel-de-poncins-privatiser.html
(Source: www.blog-identitaire.com)
L’immigration-invasion que subit le continent européen à évidemment des répercussions dans les secteurs les plus divers de notre quotidien et l’école n’échappe pas à ses conséquences. Le phénomonène le plus spectaculaire en est l’insécurité qui a transformé les écoles en centres d’apprentissage du crime. Mais le choc de l’immigration invasion avec l’école a des conséquences plus inattendues. Alors que l’on nous serine à longueur de journées sur la nécessaire égalité entre les citoyens de notre République, les professeurs pratiquent en réalité une discrimination envers les élèves français de souche. Le « vieux fantasme » de la relégation des Blancs au rang de citoyens de seconde zone dans leur propre pays, dénoncé par la classe médiatique et intellectuelle comme une vieille lubie d’extrême-droite, vient pourtant d’être confirmé dans l’ouvrage très politiquement correct, « L’apartheid scolaire : enquête sur la ségrégation ethnique dans les collèges ». Un ouvrage qui n’aurait pas « pu voir le jour sans le soutien financier du FASILD ( Fonds d’action et de soutien pour l’intégration et la lutte contre les discriminations) » et de la région Aquitaine.
Les trois sociologues reviennent sur les préjugés des « les élèves français [Blancs] » qui « dénoncent les passes-droits et le favoritisme dont feraient l’objet les étrangers à l’école ». Les enseignants appliqueraient ainsi deux poids, deux mesures, selon les origines ethniques des élèves. Pourtant, « ces propos », forcément racistes pour les associations et les ligues de vertu, « s’ancrent aussi dans une certaine réalité scolaire : les enseignants considèrent les élèves allochtones comme particulièrement défavorisés et peuvent avoir tendance à être plus cléments avec eux » car « l’antiracisme, présent par tradition dans le système scolaire, pèse sur les pratiques enseignantes, les incitant à la prudence et à la clémence ». Ainsi les « élèves allochtones du Maghreb, d’Afrique Noire et de Turquie » se voient attribués de meilleures notes du fait de leurs origines ethniques, « leur sur-notation est de 2,6 points » entre les notes obtenues en classe durant les deux dernières années de collège (le contrôle continu) et les notes obtenues lors de l’épreuve sur table du brevet alors que l’écart moyen est d’environ 2 points sur 20. Ce « traitement de faveur » qu’accordent les enseignants auprès des « jeunes issus de l’immigration » est motivé parce « qu’ils pensent en toute bonne foi qu’ils sont plus défavorisés » et « aussi parce qu’ils sont tétanisés par la peur de se voir accusés de racisme et de susciter une réaction de violence chez les élèves incriminés. »
Oui vous avez bien lu, les « allochtones » sont sur-notés par les professeurs car ceux-ci sont terrorisés par leur violence et par les accusations éventuelles de racisme !
Ce fruit amer de la pensée antiraciste que l’on désigne sous le vocable de « discrimination positive », terme de la novlangue de la pensée unique pour désigner la discrimination étatique à l’encontre des Blancs, continue de gangrener notre civilisation suicidaire. Que ce soit au travail, à l’école et dans les administrations, les Blancs sont bel et bien considérés comme des citoyens de seconde zone au profit des peuples « allochtones ». Le Système à tuer les peuples est en marche et les peuples européens en sont la prochaine victime, mais c’est sans compter sur les jeunes Identitaires qui ont décidé de répondre coups pour coups à ces attaques. Car nous voulons rester maîtres chez nous !
Gäel Paris