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Sarkozy : le karcher en panne !

Communiqué de presse de Marine Le Pen

 

 

Plus un jour ne passe sans que dans une de nos villes des « jeunes » fassent régner terreur et destruction. Ainsi à Saint-Dizier, entre 40 et 50 individus ont attaqué policiers et pompiers obligeant ces derniers à la fuite. Ils ont alors tout cassé, brulé 16 voitures et ont fini par mettre le feu à la Maison des Jeunes et de la culture du Verbois.Marine Le Pen affirme que ces faits criminels ne sont rendus possibles qu’à cause de l’impunité dont jouissent les délinquants.
Nicolas Sarkozy n’a pris aucune mesure concrète contre la délinquance des mineurs et pour le démantèlement des bandes.

Et tandis que, sous le règne de Nicolas Sarkozy, les « racailles » sont rois, les honnêtes gens eux continuent de subir en silence la loi des voyous.

http://www.frontnational.com 


Témoin aux assises, il est menacé de mort…

Ou ce qu’il en côûte de braver la loi du silence imposée par la racaille…

«J’ai mis ma vie en danger pour aider la justice. Et aujourd’hui, je me retrouve seul, sans aide, comme un SDF. Il faut que je me cache. Quand je suis dans la rue, je regarde sans cesse derrière moi car je sais qu’on peut m’abattre à tout moment. » Amor Kaak, un Tunisien de 37 ans, affirme être un homme traqué, abandonné de tous. Le 13 janvier 2003, Saad Lamiri, 27 ans, un jeune de Fontaine (Isère), ville de la banlieue de Grenoble, est abattu en pleine rue. Amor Kaak, alors gérant d’un snack de la localité, se souvient d’avoir surpris une discussion entre jeunes dans son établissement. Il était question d’une expédition punitive contre Lamiri. « Lorsque j’ai appris ce meurtre, j’ai estimé qu’il était de mon devoir de citoyen d’aller trouver la police, car une famille avait perdu un être cher. Je ne pouvais pas me taire », confie Amor Kaak. C’est alors que le cauchemar commence. « Je savais que je risquais gros, les jeunes de Fontaine que j’ai dénoncés étant de véritables caïds. Mais les policiers et les magistrats m’ont dit lors de l’instruction qu’il allait falloir, pour que mon témoignage soit plus crédible, que je témoigne à visage découvert. Sans cacher mon identité comme j’aurais pu le faire. J’ai décidé d’assumer cette situation. » Amor Kaak va vivre alors comme un véritable fugitif. « J’ai dû quitter la région grenobloise, aller me cacher en France, en Tunisie. Je n’avais plus de revenus. J’ai dormi sous les ponts, dans ma voiture. Je me suis réfugié de longs mois dans un couvent. Je savais que je me trouvais en danger de mort permanent. Des amis m’ont en effet dit que j’étais recherché. Que l’on voulait me faire la peau. Je ne peux même pas chercher du travail. J’ai trop peur de donner mon identité et qu’on me retrouve. Ma femme m’a quitté. J’ai perdu ma boutique. Je suis criblé de dettes. Ma vie a été détruite par toute cette affaire. J’ai même pensé au suicide. Quand j’ai appelé la juge qui s’occupait du dossier, elle m’a dit qu’elle ne pouvait rien faire pour moi. J’ai tenté plusieurs fois de joindre le procureur de Grenoble. Il ne m’a jamais rappelé. » En janvier 2007, les cinq jeunes qu’avait dénoncés Amor Kaak ont été acquittés devant les assises de l’Isère, faute de preuves.

Son avocat attaque

Depuis, une série de règlements de comptes sanglants entre jeunes de Fontaine a fait six morts. « C’est la preuve qu’ils ne plaisantent pas et que je suis devenu une véritable cible pour eux. Je lance un appel au président Sarkozy. Je suis une victime dans cette affaire. Il faut qu’il m’aide. C’est parce que je croyais aux valeurs de la République que je me retrouve aujourd’hui traqué, rejeté. Si on veut lutter contre la délinquance et qu’on traite les témoins, les citoyens honnêtes, comme on m’a traité moi, on n’arrivera jamais à rien. » M e Chambon, l’avocat d’Amor Kaak, a décidé de saisir la garde des Sceaux : « Je vais également attaquer l’Etat français devant le tribunal administratif de Grenoble. Il faut dénoncer l’abandon de ce témoin par la justice. Démontrer qu’en France la loi ne prévoit pas de protéger et d’aider les témoins qui parlent à visage découvert, comme cela se fait aux Etats-Unis. » Malgré sa rancoeur, Amor Kaak a décidé d’aller jusqu’au bout : « Oui, j’irai témoigner une nouvelle fois lors du procès en appel qui se tiendra en 2008. Mais je sais que mon futur s’annonce très noir. Je suis en sursis. Ma vie ne tient qu’à un fil. J’attends la mort. C’est pour cela qu’aujourd’hui je témoigne à visage découvert. »

(Source: Aujourd’hui en France) 


Crimes sexuels: Il n’y a pas de fatalité.

Ce qui distingue l’homme civilisé du barbare, c’est la domination de l’instinct par la raison, la morale, la culture. Ce qui distingue notre “civilisation” moderne, c’est le déchaînement de l’instinct au nom d’une liberté individuelle sans foi ni loi, courbée sous les diktats d’une société marchande dont les ressorts publicitaires exaspèrent les pulsions, et dont la jouissance est l’alibi suprême.

Comment ne pas relever l’incohérence morale de certaines réactions de l’opinion, cet été, face au crime du pédophile récidiviste? Le déferlement de l’indignation, l’exigence d’une justice plus sévère, voire d’une médecine plus efficace, montrent que l’opinion n’a pas perdu tout sens moral. Mais, paradoxalement, ce débordement d’émotion la dédouane de s’interroger sur sa part des responsabilité morale.

Hormis l’Église, nul n’incrimine la permanente incitation à la débauche dans laquelle nous vivons. Or, pour un fait divers odieux dont on parle, combien de très jeunes filles violées dans les “tournantes” par des adolescents, combien d’enfants abîmés par les perversions qu’étalent complaisamment séries TV, affiches publicitaires, films etc…? Et combien de jeunes salis par une “éducation sexuelle” officielle pour qui tout est permis, sauf d’ignorer le caoutchouc?

Il est trop facile de prétendre s’éxonerer du mystère du Mal à coups d’hormones et de médicament: tout homme a une conscience. Mais une conscience libre se forme. Les sociétés modernes vivent de la publicité et les ressorts publicitaires sont ceux de l’instinct.

Il reste que l’avilissement public n’et pas une fatalité. Dans une société policée, la raison a son mot à dire, et l’on peut attirer le chaland autrement que par la bassesse. Encore faut-il, précisément que la société soit policée, c’est à dire qu’elle serve la vraie liberté des consciences. Les responsables politiques ont le devoir de mettre un frein à l’étalage public des dépravations, et de promouvoir dans la famille et à l’école une éducation à la maîtrise de soi. Il est temps de comprendre à nouveau qu’il n’y a pas de société sans morale.

(Source: Famille Chrétienne via http://e-deo.net/)


Barbarie en banlieue : les victimes de « tournantes » et leurs familles menacées

08/10/07 – 11h

PARIS (NOVOpress) – Que deviennent les victimes de ces actes barbares que sont les viols collectifs pudiquement appelés « tournantes » une fois retombé le bruyant émoi médiatique ?. L’histoire de l’une d’entre elles, victime il y a un an de ce type d’agression dans les caves de Fontenay sous bois, jette un éclairage particulièrement tragique sur l’état d’abandon et de peur dans lequel elles sont souvent contraintes de vivre.
Aux abois, cette jeune mère de 23 ans s’estime « lâchée ».
La semaine dernière, sa mère a porté plainte au commissariat de Fontenay après avoir été agressée dans son hall d’immeuble avec un objet tranchant. « Maintenant je sais où tu crèches toi et ta s… de fille. Avant le procès on va tous vous n…. Et là ce n’est qu’un avant-goût de ce qui t’attend », lui a dit cet inconnu.

« Juste avant les arrestations, la police m’a dit que je devais partir de chez moi. » L’errance commence. C’est d’abord l’association Ni putes ni soumises qui l’héberge dans un studio des Hauts-de-Seine. « Puis, on m’a dit d’aller près de Grenoble, dans un petit village. » Elle y reste jusqu’en septembre 2006. « Ensuite je suis retournée chez mon père à Fontenay, aux Larris. On était obligé de partir très tôt le matin. Je ne sortais pas pendant des semaines. Des gens ont essayé de rentrer chez nous la nuit. » Elle s’installe alors chez sa belle-mère en région parisienne, puis dans un foyer de jeunes travailleurs. Jusqu’en janvier dernier, quand elle a été reconnue par un ancien des Larris. Nouveau déménagement. Elle vit aujourd’hui quelque part en banlieue parisienne, dans l’angoisse et l’amertume. « Je ne peux pas rester ici. On avait baissé notre garde, mais depuis l’agression de ma mère, je revis dans la peur. Je n’ai plus de nouvelles de personne. J’ai écrit à Sarkozy. Le préfet du Val-de-Marne m’a dit de faire une demande de logement dans une mairie. Cette histoire a été très médiatisée, et puis on nous a oubliées, complètement lâchées. On nous avait promis un appartement, une protection policière et judiciaire, on m’a même dit que je pourrais changer de nom. »

Mais quelle est donc cette société où les victimes d’actes barbares sont obligées, lorsqu’elles osent porter plainte, de fuir ensuite sans fin et de vivre dans la quasi clandestinité pour échapper aux réprésailles des bandes de voyous solidaires de leurs bourreaux ?


[cc] Novopress.info, 2006, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
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E
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