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Les alliances objectives entre ces trois idéologies, nous le verrons, ne datent pas d'hier. Mais il est indéniable que les événements de ce début du siècle ont particulièrement contribué à leur collusion. En effet, l'utilisation par George W. Bush, au lendemain du 11 septembre, du terme " croisade " a été perçue comme une provocation aussi bien dans les milieux anti-cléricaux d'extrême gauche et d'extrême droite que dans les milieux islamiques. D'où le rapprochement toujours plus significatif entre, d'une part, les nostalgiques des deux premiers totalitarismes - les Bruns et les Rouges - et, d'autre part, les protagonistes de l'islamisme révolutionnaire. Ces derniers prétendent défendre les masses arabes " occupées " ainsi que les pauvres, les faibles et les " humiliés " du tiers-monde, victimes des nouveaux Croisés judéo-chrétiens " impérialistes ". Les récentes prises de position publiques du célèbre terroriste Carlos, entre autres, vont très nettement dans ce sens.
Il est vrai que l'islamisme, troisième totalitarisme après le nazisme et le communisme, répond d'une certaine manière aux aspirations de ses deux prédécesseurs : prônant la lutte des civilisations et des religions, puis déclarant la guerre au monde judéo-chrétien au nom des " déshérités " du reste de la planète, il séduit tout autant les nostalgiques du troisième Reich païen, décidés à éradiquer le judaïsme et le christianisme, que les partisans de la faucille et du marteau, déterminés à en découdre avec l'Occident " bourgeois " et " capitaliste ". Centre névralgique de ce système honni : Manhattan, "quartier général planétaire des mercenaires de la guerre économique et financière que livre l'Amérique au monde", selon les mots de Carlos. Rien de surprenant, dès lors, à voir les Bruns, les Rouges et les Verts se féliciter ensemble du drame du 11 septembre 2001 et identifier Ben Laden à un nouveau David opposé au Goliath impérial " américano-sioniste ". Nulle surprise, non plus, à voir converger l'enthousiasme activiste de ces trois mouvances totalitaires autour de la lutte " héroïque " menée depuis mars 2003 par les derniers rebelles baasistes et par les islamistes chiites d'Irak contre l'occupation américaine de la Mésopotamie.
D'évidence, cet axe rouge-brun-vert de la haine " anti-hégémonique " et " anti-impérialiste " s'est renforcé depuis le début des années 1990 et la chute de l'Union soviétique. Cet assemblage paradoxal et néo-totalitaire a connu son apogée au lendemain du 11 septembre et, surtout, durant l'hiver et le printemps 2003, à la faveur de la vaste campagne d'anti-américanisme conduite dans le monde occidental par les opposants à la guerre contre le régime de Saddam. Cette jonction des totalitarismes rouge, brun et vert autour de la cause des martyrs palestiniens, irakiens et afghans, ainsi que de la figure révolutionnaire d'Oussama Ben Laden, confirme le leadership incontesté de l'islamisme révolutionnaire. Celui-ci exerce désormais une réelle fascination sur les autres options totalitaires vaincues par l'Histoire (le nazisme et le communisme) et, de ce fait, condamnées à se recycler ou à rejoindre la révolution islamiste pour poursuivre leur combat contre les démocraties libérales.
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Il est commun de nos jours d’affirmer qu’Adolf Hitler était de droite (extrême). Et le meilleur moyen pour décrédibiliser un homme de droite, est de l’assimiler au Führer. C’est ainsi qu’on a vu se développer la nazification (bien avant la guerre d’Irak) de George W Bush, un homme de droite, un vrai, chrétien, conservateur, et libéral en économie. L’horreur absolue pour les néo-communistes relookés altermondialistes en lutte contre les « forces impérialistes fascisto-libérales » !
La critique du président de la plus grande puissance du monde est certes légitime, mais on assiste avec le mouvement néo-gauchiste à un détournement de l’Histoire intolérable, surtout venant de la part de gens se réclamant, directement ou indirectement, d’une idéologie « humaniste » responsable de 100 millions de morts au XX ème siècle.
Revenons rapidement sur l’idéologie nazie en commençant par analyser le parcours politique d’Adolf Hitler.
Après la défaite militaire Allemande de 1918, Hitler, connu pour ses talents de propagandiste, rejoignit, à la demande de l’armée, le Parti des Travailleurs allemands (Deutsche Arbeiterpartei), qui devait devenir le Parti nazi NSDAP : Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei ("Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands"). « Parti des travailleurs » « socialiste », ça fait objectivement plus penser à Arlette Laguiller et Olivier Besancenot (grands artisans de la nazification des Etats-Unis), qu’au « cow-boy fasciste » George W Bush. Le NSDAP a toujours été un parti de gauche. Et on peut très bien être raciste, anti-juif, et de gauche! Cessons cette imposture! On ne peut pas assimiler le parti Républicain américain au parti Nazi ! Le parti de Bush est la négation même du NSDAP!
D’un point de vue strictement économique, Hitler était un collectiviste, un socialiste. Il avait en horreur le libéralisme économique (création de la finance juive pour dominer le monde). Pour un socialiste, ce n’est pas très surprenant! Aujourd’hui, nous ne retrouvons peu ou pas du tout cette hostilité au libéralisme économique à droite. Le parti Républicain, lui, depuis Abraham Lincoln a toujours été libéral! Citons un extrait de son discours au Congrès en 1860 :
« Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l'épargne.
Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort.
Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l'employeur.
Vous ne pouvez pas favoriser la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.
Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.
Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez.
Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l'initiative et l'indépendance.
Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu'ils pourraient faire eux-mêmes. ».
La critique du libéralisme est essentiellement de gauche. En France, le symbole de la « Résistance au fascisme libéral » a pour nom José Bové, faux prolétaire, vrai anti-juif. Son goût pour le socialo-collectivisme n’est un secret pour personne. En lutte contre l’usurocratie juive, le Pétain de Millau, revenant de Ramallah où il était allé soutenir Yasser Arafat contre l’impérialisme sioniste, n’a rien trouvé de mieux à dire au sujet de l’Intifada du Chirakistan que le Mossad avait intérêt à organiser ces attaques anti-juives et se demandait à qui profitait le crime… On retrouve ici la théorie du complot issue des Protocoles des Sages Sion, très répandue dans les milieux néo-nazis, islamistes et d’extrême gauche. Ses prises de positions lui ont valu une popularité forte chez certains « identitaires » en manque de Gaïa, classés par les médias à l’extrême droite. Ainsi, s’inspirant des « actes de résistances » du Bovidé et de sa bande d’écolo-nazis, des Identitaires bretons, n’ont rien trouvé de mieux à faire que d’attaquer un restaurant Mac Donald (symbole du capitalisme apatride = banque juive mondiale ) ayant entraîné la mort d’une employée. Mais bon, on vous le dit, c’est Bush le capitaliste qui est un terroriste, un nazi, un liberticide, et la gauche alter-mondialiste sympa qui représente la Résistance et l’esprit de la liberté!
On retrouve à (l’extrême) gauche la même hostilité au libéralisme économique, la même haine de la liberté (la vraie !) et les mêmes références au complot juif que chez Hitler et le régime nazi. Ils sont donc objectivement assez mal placés pour donner des leçons de morales à George W Bush, surtout en le comparant à un nazi… La lutte contre l’impérialisme et le colonialisme est aussi un thème central chez les néo-gauchistes. Et là encore, ils n’y a pas de différence avec l’hitlérisme. Dans sa vision du monde, Adolf Hitler était profondément tiers-mondiste et hostile à l’ingérence occidentale dans les affaires du monde, ainsi qu’à toute exportation des valeurs qui font la grandeur de notre civilisation, à commencer par la liberté, la valeur la plus sacrée aux Etats-Unis. Il était avant tout le monde partisan d’un monde « multipolaire », c’est à dire tolérant tous les génocides et les totalitarismes. Il affirme notamment dans son Testament Politique ceci : "Les Blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples, le pire qu’ils puissent leur apporter, les plaies du monde qui est le nôtre : le matérialisme, le fanatisme, l’alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes. » "Tout bien considéré, la politique coloniale de l’Europe se solde par un échec complet. Je tiens compte d’une apparente réussite, et uniquement sur le plan matériel : je veux parler de ce monstre qui a pour nom États-Unis. Et c’est vraiment un monstre." "Je pense que cette guerre aura établi au moins une chose, à savoir la décadence irrémédiable des pays latins. Ils ont définitivement prouvé qu’ils ne sont plus dans la course et qu’ils n’ont plus le droit d’opiner dans le règlement des affaires du monde." Nous de doutons pas que Dieudonné et Michael Moore seront en total accord avec ces paroles (le blanc qui pervertit le tiers-monde et la démonisation des Etats-Unis). On devine ce qu’aurait dit Adolf Hitler de l’intervention américaine en Irak. Rien de bien différents que ces deux énergumènes ! Et pourtant, c’est Bush qui est qualifié de nazi… Allez comprendre !
On peut évidemment se demander si l’intervention américaine était pertinente d’un point de vue stratégique (l’avenir le dira), mais moralement, cette guerre était juste, voir trop juste, trop morale et trop idéaliste pour BHL! (un comble !) La politique étrangère de l’administration Bush est en totale contradiction avec l’hitlérisme! Rappelons au passage que la période coloniale (aussi critiquable soit elle sur plusieurs points) fut génératrice de progrès énormes chez les colonisés. Sans la colonisation, les africains seraient restés au néolithique. Et c’est justement parce que l’Afrique tourne le dos à l’Occident depuis la décolonisation qu’elle va si mal et qu’elle ne bénéficie pas des effets positifs de la mondialisation libérale. Mais bon, c’est Bush voulant exporter une partie des valeurs de l’Amérique (qui font sa grandeur) au reste du monde, dans l’intérêt de tous, qui est un nazi! Ces salauds de yankees osent prétendre que leur civilisation est supérieure à celle des bandits des sables mahométans ! C’est du racisme !!! Et pire, ils disent ce qu’ils font et font ce qu’ils disent! Ce cow-boy impérialiste de Bush a même dans un élan d’intolérance viré les talibans et Saddam Hussein! Un criminel de guerre assurément! C’est pourtant dans l’intérêt des populations des pays musulmans de se moderniser, y compris par la force ! On n’a pas démocratisé l’Allemagne et le Japon avec des fleurs et des poèmes à la Dominique de Villepin !
S’il y a quelque chose chez George W Bush qui agace particulièrement les gauchistes, c’est le fait qu’il assume au grand jour sa foi chrétienne. Et ça, chez les destructeurs d’identité atteint de haine de soit antioccidentale, ça ne passe pas ! Ce qui aujourd’hui définit la droite et les partis conservateurs en Occident (à part en France…), c’est en parti l’importance de la religion, le christianisme, et de ses valeurs morales qui sont à la base de notre civilisation (Parti Républicain aux USA, Tories en Grande Bretagne, CDU en Allemagne, PP en Espagne). Et dans les brillants cerveaux nourris de Karl Marx, Lénine et Trotski, être un chrétien pratiquant c’est être un dangereux nazi! Pourtant, on ne peut pas dire que Hitler adhérait au christianisme de Bush junior! Adolf Hitler est né catholique, mais il a abandonné le christianisme pour le paganisme, fasciné par les mythes germano-scandinaves mis en musique par Wagner, anti-juif notoire. En effet, à ses yeux, le christianisme était une religion de juifs (ce qui est vrai) et n’avait rien à faire en Allemagne. Selon lui, cette religion juive a été néfaste à son pays et n’était pas adaptée aux germains. Tout ce qui pouvait se rapprocher des juifs était à rejeter hors du lebensraum germanique. Cela dit, il y avait pourtant une religion abrahamique qui l’attirait : l’islam. Il considérait par exemple la victoire de Charles Martel à Poitiers en 732 contre les Arabes, comme une défaite pour l’Europe. Un peu comme nos belles âmes de gauche qui voient en la bataille de Poitiers une illustration du « racisme et de la xénophobie » des chrétiens européens contre « les merveilles de la civilisation arabo-musulmane ». Hitler ne se contenta pas de belles paroles puisqu’il intégra avec l’aide de son ami le mufti de Jérusalem, Hadj Amin El Husseini, des dizaines de milliers de musulmans bosniaques et albanais aux Waffen-SS, dans le but d’appliquer la solution finale dans les Balkans. Aujourd’hui, Yasser Arafat et les « palestiniens » sont fiers de l’héritage du mufti. Et on sait très bien qu’Arafat est considéré comme un « Résistant » par l’extrême gauche, ainsi que par des groupuscules néo-nazis…
Bush, le born again christian, philosémite, sioniste, avec des conseillers plutôt islamovigilants, n’a sur le plan religieux rien à voir avec Adolf Hitler. Par contre, par leur rejet du judéo-christianisme et leur islamophilie actuelle, la nouvelle internationale révolutionnaire est par contre assez proche des positions du Führer en matière de religion. La présence au dernier Forum social européen (rassemblement altermondialiste) de l’idéologue des Frères Musulmans en Europe Tariq Ramadan, a été très appréciée, notamment par José Bové et les Verts (écolos, pas islamistes, enfin pas encore…) Pour les gauchistes, comme pour les nazis, l’islam possède un potentiel révolutionnaire énorme, qui apparaît aujourd’hui comme la seule chance de mettre fin au règne du capitalisme et de l’identité judéo-chrétienne en Occident. Mais bon, c’est Bush le nazi ! La gauche a aussi tendance à mettre Bush et Ben Laden au même niveau, allant jusqu’à qualifier le Président américain de « taliban protestant », sous prétexte qu’il emploie les mots « crusade », « prayers », « God » ou « evil ». Selon eux, cela serait en contradiction avec l’esprit de l’Amérique libératrice de 1944. Le problème, c’est que Bush emploie exactement la même sémantique qu’ Eisenhower! Voici un extrait de son discours précédent le débarquement:
“Soldiers, Sailors and Airmen of the Allied Expeditionary Forces: You are about to embark upon the Great Crusade, toward which we have striven these many months. The eyes of the world are upon you. The hopes and prayers of liberty-loving people everywhere march with you. In company with our brave Allies and brothers-in-arms on other Fronts you will bring about the destruction of the German war machine, the elimination of Nazi tyranny over oppressed peoples of Europe, and security for ourselves in a free world.[…]Good Luck! And let us all beseech the blessing of Almighty God upon this great and noble undertaking.”
Cela peut déplaire à ceux qui se réclament de l’anti-cléricalisme intégriste issu du guillotinisme totalitaire de la Révolution française, mais l’Amérique a toujours été un pays religieux. Pour comparer les différences profondes qui séparent la Révolution française (mère du bolchevisme) de la Révolution américaine (mère de la liberté), nous pouvons citer par exemple la phrase que beaucoup d’américains lançaient aux anglais venant récolter les impôts pour la couronne britannique : « Nous n’avons d’autres Roi que Jésus Christ ! ». La Révolution américaine s’est faite avec Dieu, contrairement à la Révolution française. La nazification de George W Bush par la gauche est une insulte à tous les hommes et femmes épris de liberté victimes des nazis. Eux, qui par l’intermédiaire du journal l’Humanité (sic !) ont soutenu l’occupation allemande jusqu’à la rupture du pacte de non-agression germano-soviétique, manifestent donc en toute logique contre la venue du Président américain pour la célébration du soixantième anniversaire du D-Day. N’oublions pas les « U.S Go Home » des communistes après la libération qui faisaient tristement échos aux « Juden Rauss! » de l’Allemagne nazie ! Quitte à être « libérés » (comment peut on parler de « libération » alors qu’il s’agissait de nous vendre du coca-cola et des chewing-gum ?!), ils auraient préféré l’être par Staline, le frère siamois de Hitler. Et qu’ils ne viennent pas dire « nous ne sommes pas anti-américains, nous sommes anti-bush » ou « les valeurs de Bush, ce ne sont pas celles de l’Amérique qui nous a libéré » et encore « nous ne sommes pas anti-américains, nous aimons Michael Moore » Quelles sont « les valeurs de Bush » et sa politique ?
-en économie : l’option capitaliste, libéral
-en société : l’importance des valeurs morales chrétiennes, la liberté de culte, le patriotisme
-en politique internationale : le combat contre les totalitarismes et la défense du messianisme démocratique.
Les valeurs de Bush, ce sont celles de l’Amérique, la vraie, celles des fondateurs, des pionniers. Ce n’est pas Bush qui a fait inscrire sur le billet vert « In God we trust ». Ce n’est pas lui qui a instauré le serment d’allégeance dans les écoles. Ce n’est pas lui qui a fait de l’Amérique un pays profondément chrétien. Ce n’est pas lui qui a fait en sorte que les chrétiens soient majoritairement sionistes aux Etats-Unis. Ce n’est pas lui qui a mis en place le libéralisme économique étroitement lié comme l’a analysé Max Weber aux valeurs du protestantisme. Ce n’est pas lui qui a inventé la lutte contre « les forces du mal ». Ces choses là sont profondément enracinées en Amérique et Bush ne fait que rester fidèle aux valeurs américaines.
Pour revenir à la haine anti-juive, caractéristique du régime nazi, on peut aussi s’amuser au petit jeu des comparaisons. Qui est l’Homme politique international qui s’est déclaré scandalisé et inquiet de la nouvelle vague d’antisémitisme en France ? C’est Bush, contrairement aux trotskistes de LO-LCR et des rouges repeints en vert de Noël Mamère, qui niaient ce phénomène car les coupables n’étaient pas des skinheads liés au Front National, mais essentiellement des jeunes allogènes musulmans combattant à leur manière contre la politique du terrrrrrrrrrrrrible Sharon. George W Bush est l’homme politique qui défend le plus le droit à l’existence et à la sécurité d’Israël. On ne peut en dire autant de la gauche, et de leur ami Chirac (converti à l’altermondialisme et grand défenseur de la cause des arabes opprimés), qui ont tout fait pour que le Hamas ne soit pas reconnu comme une organisation terroriste par l’UE, sous prétexte qu’elle serait avant tout une « organisation caritative, sociale » ! On comprend mieux leur indignation lorsque Tsahal a éliminé les chefs du Hamas, le Cheick Yassin et le Dr Rantissi, ces gens qui voulaient appliquer la solution finale contre Israël, conformément à leur maître à penser, le mufti El Husseini. Et bien éliminer des nazislamistes, pour la gauche et la fausse droite chiraquienne, c’est un « assassinat » un « attentat », du « terrorisme d’Etat », contraire au « droit international » !!! Si on rajoute à cela les déclarations de José Bové, du sociologue bidon auto-proclamé philosophe Alain Soral (adepte de l’Evangile selon Karl Marx), et surtout celles de du « comique » se définissant comme progressiste, Dieudonné M’Bala M’Bala, il ne fait aucun doute que les vrais descendants des nazis ne se trouvent pas à Washington dans les cercles républicains (néo)conservateurs ou chez les dangereux Evangélistes, mais au sein des altermondialistes en lutte contre l’impérialisme américano-sioniste, c’est à dire soutenant l’impérialisme islamiste dont l’un des but clairement affiché est l’extermination des juifs. N’oublions pas non plus que les premiers mouvements négationnistes sont venus d’extrême-gauche ! Alors, Bush ? Un nazi ? Vraiment ? Non, mais tout doit être fait pour salir les Etats-Unis dans le pays qui s’est libéré tout seul!
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