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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

30 juin 2007 6 30 /06 /juin /2007 20:36

 

 




Le Swastika enturbanné


Certains de nos concitoyens, depuis 1940, semblent cruellement manquer de discernement dans les moments critiques de notre histoire. Il semble donc urgent de rappeler à ceux d’entre eux qui, par manque de courage, préfèrent se voiler la face, les dangers de succomber, une fois encore, aux tentations chimériques de ce que l’on appelait hier collaboration et que l’on nommera demain dhimmitude (1).


Rafraîchissons leur la mémoire à propos de ce qui les attend dans un avenir proche, en rappelant cette cinglante maxime de Churchill : « Vous avez choisi le déshonneur plutôt que la guerre, vous aurez et le déshonneur, et la guerre ».


Ayant encore bien présent à l’esprit la sinistre et révélatrice « affaire Redeker » qui, parmi tant d’autres (2), aurait dû nous servir à la fois d’avertissement et de leçon, les lignes qui suivent n’ont pas pour but de philosopher. Pas plus de verser dans une rhétorique grandiloquente. Encore moins de tenter une savante exégèse concernant les textes fondateurs de l’Islam, trois démarches par essences éminemment subjectives, donc sujettes à polémiques sans fin.


A contrario il s’agit d’exposer ici des faits avérés, recoupés et aisément vérifiables - pour qui veut bien s’en donner la peine - sur les véritables motivation des idéologues de cette religion, à propos de laquelle la bien-pensance, regroupée en associations transfrontalières d’idiots utiles, continue de faire l’apologie aveugle qui sied tant à ceux qui ont des yeux mais qui ne voient pas.


Car si l’Occident a fait son mea culpa à maintes reprises depuis des décennies - et continue de s’auto-flageller sous la pression de ses détracteurs - pour les indiscutables abus commis au nom d’idéologies politico religieuses, on entend en revanche rarement (pour ne pas dire jamais) les hautes autorités politico-religieuses de l’Islam faire amende honorable au sujet des nombreux actes hautement discutables qui ont émaillés son histoire, et qui mériteraient pourtant des éclaircissements, des débats ouverts et de profondes remises en question.


Il est donc largement temps que les chefs spirituels et politiques de l’Islam donnent l’exemple (3), regardent en face les pages sombres de leur histoire et présentent le cas échéant des excuses publiques sur certains sujets tabous (comme celui traité ici) plutôt que de continuer dans la voie du négationnisme, voire du pur révisionnisme, dans de honteuses falsifications et inversions dialectiques de l’histoire.


Si cette action, utile et nécessaire, n’est pas entreprise spontanément par les autorités morales compétentes de l’Islam, il reviendra alors à d’autres de la mener à leur place, ce dont il ne faudra ni s’étonner, ni se plaindre, car enfin on ne peut éternellement dissimuler la Vérité à celles et ceux à qui on la doit.


Rencontre du sous-type



 


D’un point de vue historique, l’Islam n’est manifestement pas, comme l’exprime l’étymologie latine du mot, une religion qui « relie » mais plutôt qui a coutume depuis ses origines (4), par le biais des fanatiques qui s’en réclament, de trancher (avec le fil de l’épée) et tend à se couper des autres monothéismes et du reste du monde spirituel par la virulence originelle de son prosélytisme. Attitude qui la conduit de facto vers un inévitable enfermement,  et un repli sur elle-même toujours plus sclérosant, comme on en a la preuve irréfragable aujourd’hui encore.


Au regard des faits, l’extrême Islam, à l’exception de quelques courants ultra minoritaires comme le soufisme, semble même incarner d’une façon aussi littérale que primaire le postulat de Durkheim qui place en exergue le sacré comme référent empirique de la religion.


En effet, pour tout musulman suffisamment endoctriné (par de pseudo théologiens hystériques), donc féru de djihad (5) parce que dépossédé de son sens critique, le sacré conduit invariablement à la négation voire à la destruction du profane, et au combat sans relâche de la notion d’altérité sous toutes ses formes, en toutes époques et en tout lieu.


A l’inverse du pacte germano-soviétique qui dura à peine deux ans (23 août 1939 - 22 juin 1941), il en est un autre, plus méconnu mais tout aussi réel qui, lui, ne fut jamais rompu. Il s’agit du tacite pacte « islamo-nazi ».


Cette alliance, bien moins contre-nature qu’il n’y parait, puisqu’elle perdure depuis plus longtemps que le nazisme et le communisme réunis, continue de faire de nombreux émules en terres d’Islam (et ailleurs) depuis le premier tiers du XXème siècle. Ce avec une constance et un succès qu’auraient envié Ribbentrop et Molotov eux-mêmes, comme le confirment les derniers exemples en date en Iran (6) ainsi que dans notre beau pays, adepte aveugle de tout Mouvement de Rapprochement et d’Amitié entre les Peuples (7).


Nous affirmions plus haut que l’Islam s’enfermait dans l’autarcie idéologique. Précisons que ses séides l’en extraient tout de même, par moment, le temps pour eux de sceller en son nom quelque pacte faustien destiné à les maintenir aux commandes et faire perdurer les mauvaises habitudes.


De l’alliance islamo-nazie on peut donc dire qu’elle est une hideuse hydre bicéphale, fille de l’accouplement de deux idéologies de la même famille, ces abjects totalitarismes de la fameuse « Fin de l’Histoire ». Ainsi naquit le dégénéré rejeton (et sa future descendance) des amours incestueuses de l’islamiste Hadj Amin al-Husseini, grand Mufti de Jérusalem avec son cousin germain le nazi Adolphe Hitler, Führer du IIIe Reich.


On comprendrait – sans pour autant l’excuser – que d’aucun sombre dans l’abattement le plus total à l’idée que soixante dix ans plus tard cet infâme syncrétisme sert encore de pilier aux grands courants de pensées islamistes qui se sont développés, et largement imposés un peu partout dans le monde jusqu’à nos jours, laissant une bien maigre part à la soit disant modération dont on nous rebat si souvent les oreilles.


Mais plutôt que de nous morfondre, faisons ce nécessaire travail de mémoire et penchons nous à présent sur les racines du mal.


Notre premier acte voit se mettre en place une période durant laquelle les deux parties en présence vont réciproquement se faire de l’œil, macabre jeu de la séduction qui finira logiquement par une union funeste.


Depuis son accession à la fonction de grand Mufti de Jérusalem, (1921) puis au poste de Chef du conseil suprême musulman (1922), Al-Husseini peut développer - avec les pleins pouvoirs (8) que lui confèrent son rang et les moyens financiers (9) qui vont avec - une politique panarabe et ouvertement antisémite qui va progressivement s’étendre à toute la région.


En 1926, il participe à la Mecque au Haut comité Arabe, où la délégation palestinienne déclarera : La nation palestinienne islamique qui a été la gardienne de la mosquée Al Aqsa et du Saint rocher depuis 1300 ans annonce au monde musulman que les lieux saints sont mis en danger par les horribles agressions sionistes. Il en reviendra pour promouvoir indéfectiblement un des courants les plus autoritaire de l’Islam : le wahhabisme saoudien, parent proche du salafisme (également saoudien) et, comme ce dernier, idéologie dominante chez les djihadistes les plus forcenés.


C’est donc tout naturellement qu’il soutiendra en 1929 la création puis le développement du mouvement des Frères Musulmans fondé en Egypte par Hassan Al-Banna, pratiquant rigoriste et fervent partisan de la restauration du Califat (dont le gendre Saïd Ramadan n’est autre que le père du « modéré » Tariq Ramadan (10)). En retour, Al-Banna appuiera activement la propagande du Mufti : d’un côté les Frères musulmans collectent des fonds pour le Haut Comité Arabe de Husseini, de l’autre ce dernier leur apporte une justification idéologique et des thèmes de propagande, grâce auxquels ils galvanisent les foules égyptiennes et attirent des milliers de membres et de sympathisants (11). Pendant la guerre, certains des « frères » s’enrôleront même comme espions dans l’Afrika Korps. Parmi eux un jeune lieutenant, Anouar El-Sadate, futur raïs égyptien (12).


Et c’est justement en août 1929, qu’ont lieu sur ordre du Mufti le massacre des juifs à Hébron puis à Safed, Tel-Aviv, et Jérusalem (enfants décapités, rabbins castrés, femmes violées et homme mutilés). En tout plus de 130 civils exterminés en quelques jours (13).





 

Panarabisme nazifiant


En 1933, les cadres du parti national socialiste tout juste élus, sont déjà en quêtes d’alliés potentiels sur de futurs théâtres d’opérations géostratégiques. Commence à poindre dans les esprits l’idée de se tourner vers le Moyen-Orient où les arabes musulmans, galvanisés par leur leader charismatique Al-Husseini, multiplient déjà depuis 1920, et avec un succès sans cesse croissant, les faits d’armes contre les Anglais et contre la communauté juive de Palestine.


De leur côté les émules d’Al-Husseini et leurs affidés extrémistes dans la région voient dans le régime nazi une cause à épouser. Logique « alliances de revers » du type les ennemis de mes ennemis sont mes amis, certes mais alliance idéologique de nature antisémite toute aussi évidente.


Toujours en 1933, en Syrie Anton Saada, surnommé le führer Syrien, crée son Parti Social Nationaliste (« Hisb-el-qaumi-el-suri ») dont le nom à lui seul révèle une étroite parenté avec le Parti national socialiste d’Hitler, et dont le drapeau (14) ressemble à s’y méprendre à l’étendard nazi. Il est largement appuyé par Al-Husseini qui dès 1919 souhaitait voir monter l’émir Fayçal sur le trône d’une grande Syrie incluant la Palestine.


Dans le même temps en Egypte, Ahmad Husayn fonde le parti Jeune Egypte (« Misr Al Fatah ») dont le slogan est « un peuple, un parti, un dirigeant », identique à celui du parti nazi (le tristement célèbre Ein volk, ein reich, ein führer). Ce parti nationaliste formera des groupes paramilitaires, les « Chemises vertes », calqués sur les « Chemises brunes », fameuses Sections d’Assaut (SA) du Reich.


Plus tard, Gamal Abdel Nasser, futur président égyptien, membre éminent dans sa jeunesse des frères musulmans et du parti Jeune Egypte, déclarera dans un célèbre quotidien allemand : « pendant la deuxième guerre mondiale, nos sympathies allaient aux allemands. » (15) .


Quant à son successeur Anouar El Sadate, dont nous avons vu plus haut qu’il collaborait avec les allemands durant l’occupation britannique de l’Egypte, sa sympathie pour Hitler fut exprimée sans le moindre euphémisme : « Mon cher Hitler, je vous félicite du fond de mon cœur. Même si vous semblez avoir été vaincu, en réalité vous êtes le vainqueur. Vous avez réussi à créer des désaccords entre Churchill, le vieil homme, et ses alliés les Fils de Satan. » (16)

 

Mais revenons au mentor de tout ce beau monde : Al-Husseini. Éconduit une première fois en 1933, il tente une nouvelle opération de séduction en 1937 et obtient enfin le 21 juillet un rendez-vous avec le consul général d’Allemagne en Palestine. Conjointement, il dépêche un émissaire à Berlin dans le but de charmer l’entourage d’Hitler pour pouvoir l’approcher directement par la suite. Toujours en 1937, le Hauptscharführer Karl Adolf Eichmann et l’Oberscharführer Herbert Hagen sont chargés par les SS de se rendre en Palestine pour y initier des contacts avec l’entourage du Mufti.

Les deux parties se sont trouvé des affinités : la guerre contre les Anglais, la destruction des juifs et la conquête du monde … L’affaire semble bien engagée, ne reste plus qu’à conclure…




 


Un mariage annoncé


De 1936 à 1939 a lieu la « Grande Révolte » arabe en Palestine. Cette insurrection sera en grande partie financée par l’argent du fascisme - par l’entremise du ministre des affaires étrangères de Mussolini le conte Galeazzo Ciano - et par les deniers du Reich (17) comme l’atteste la première d’une longue série de rencontres en 1936 à Jérusalem entre Al-Husseini et François Genoud, surnommé « le banquier suisse du 3ème Reich ».


Dès 1937, à la manière d’Hitler qui, durant la nuit des longs couteaux (nuit du 29 au 30 juin 1934), fait assassiner ou interner ceux qui ne sont pas dans l’exacte ligne du parti, Al-Husseini va se débarrasser de ses opposants idéologiques et politiques les plus gênants le plus souvent en les faisant exécuter avec leur famille au grand complet (18).


Toujours en 1937, c’est l’Arabie Saoudite à son tour qui manifeste des velléités d’alliance avec le régime allemand en sollicitant, par le biais du secrétaire du roi Ibn Al Saoud, la mise en place de relations diplomatiques avec les nazis. Cette demande est présentée à Fritz Grobba, alors ambassadeur du Reich en Irak, qui sera dûment accrédité en septembre 1938.


De son côté, l’Irak, alors sous domination anglaise n’est pas en reste. Les réseaux d’influence du grand Mufti y sont particulièrement actifs. Celui-ci, ayant dû fuir la Palestine pour le Liban après l’assassinat de Lewis Andrew gouverneur anglais de la Galilée, rejoint finalement Bagdad en octobre 1939 avec ses plus proches collaborateurs, contamine le pays et tente de renverser le gouvernement pro britannique.


Ces contretemps provisoires n’empêcheront en rien Kemal Hadad, le secrétaire du Mufti, accompagné du premier cercle de fidèles (le fameux « Carré d’Or » composé de Salah al-din al Sabag, Fahmi Saïd, Mahmud Salman et Kemal Shabib) de multiplier les voyages vers l’Allemagne entre août 1940 et février 1941 pour obtenir toujours plus de soutien du Reich (19).


Toujours aidé de ses fidèles du « Carré d’Or », auquel se joint Khayrallah Toufah, oncle, père adoptif et mentor de Saddam Hussein (20), Al-Husseini fomente un coup d’état en Irak afin de renforcer ses intérêts et ceux des allemands dans la région. Le Premier ministre Nouri Al Saïd est remplacé par un homme du Mufti, Rachid 'Ali al-Keilani, que les anglais finiront par destituer quelques semaines plus tard.


Malgré ce relatif échec, force est de constater qu’en quelques années les efforts d’Al-Husseini - en grande partie soutenus par les finances du Reich - pour faire du moyen-orient le QG des forces islamo-nazies ont porté leurs fruits. Fruits dont les pépins amers se répandront dans la région des décennies après la fin de la seconde guerre mondiale (21).


Reste donc aux partenaires privilégiés à se rencontrer, puis à poursuivre cette fructueuse collaboration qu’ils mèneront jusqu’au cœur de l’Europe et plus précisément dans les Balkans comme nous allons le voir plus loin.

 

Après le coup d’état mort-né en Irak, Al-Husseini se décide enfin à rejoindre ses amours européennes, le grand Adolphe et son Reich tout puissant qu’il admire tant. A la fin du mois d’août 1941 il fuit l’Iran pour Rome où il reste jusque début novembre 1941.


Enfin il arrive à Berlin le 6 novembre 1941 et restera en Allemagne jusqu’à son arrestation par les troupes d’occupation françaises dans la région du lac de Constance le 5 mai 1945.


Les nazis lui octroient alors une luxueuse villa de la rue Klopstock qui abritait jusqu’à sa confiscation en 1939 une école juive surnommée par les SS « l’Institut Juif », et que le Mufti s’empressa de rebaptiser ironiquement « Institut de recherche sur le problème juif dans le monde musulman »… (22)


Pendant toute la durée de son exil volontaire en Allemagne, le Reich, par le biais de son Ministère des affaires étrangères, octroiera dix mille dollars d’argent de poche mensuels au Mufti, émoluments en grande partie prélevés sur les fonds confisqués aux juifs.


Le 28 novembre 1941, trois semaines après son arrivée, il rencontre enfin son idole.

Les paragraphes qui suivent (en italique) sont extraits du procès-verbal de la conversation entre le Führer et le Grand Mufti, en présence du Ministre des Affaires Etrangères du Reich Ribbentrop et du Ministre Grobba à Berlin (23) :


Le Grand Mufti commence par remercier le Führer pour le grand honneur qu’il lui fait en le recevant. Il souhaite saisir cette opportunité pour exprimer au Führer du Grand Reich allemand, admiré de tout le monde arabe, ses remerciements pour la sympathie qu’il a toujours témoigné à l’égard de la cause arabe et tout particulièrement de la cause palestinienne et dont il a donné une claire expression lors de ses discours publics.


Les pays arabes sont convaincus que l’Allemagne gagnera la guerre, ce qui sera favorable à la cause arabe. Les Arabes sont les amis naturels de l’Allemagne puisqu’ils ont les mêmes ennemis, les Anglais, les Juifs et les communistes.


Comme alliés, les Arabes peuvent être plus utiles à l’Allemagne qu’il ne le paraît à première vue autant pour des raisons géographiques qu’à cause des souffrances que leurs infligent les Anglais et les Juifs


Dans ce combat les Arabes luttent pour l’indépendance et l’unité de la Palestine, de la Syrie et de l’Iraq. Ils ont la plus grande confiance dans le Führer et considèrent sa main comme le baume de leurs blessures, infligées par les ennemis de l’Allemagne.


Le Führer répond que l’attitude fondamentale de l’Allemagne sur ces questions, comme le Mufti l’a déjà déclaré, est claire. L’Allemagne soutient une guerre sans compromis contre les Juifs. Cela inclut naturellement une opposition active à un Foyer national juif en Palestine, qui ne serait rien d’autre que le centre, sous la forme d’un Etat, de l’exercice de l’influence destructrice des intérêts juifs. L’Allemagne est consciente que la revendication par les Juifs de leur rôle pionnier en Palestine dans le domaine économique est un mensonge. Le travail y

est fait par les Arabes seuls et non par les Juifs.

L’Allemagne est déterminée, étape par étape, à appeler les nations européennes, l’une après l’autre, à résoudre le problème juif et en temps voulu à adresser un appel similaire aux

nations non européennes.

L’Allemagne est à présent engagée dans un combat, à la vie et à la mort, avec deux citadelles du pouvoir juif : la Grande-Bretagne et la Russie soviétique. Il y a théoriquement une différence entre le capitalisme anglais et le communisme de la Russie soviétique, mais actuellement les Juifs dans ces deux pays poursuivent un but identique. C’est le combat décisif ; il se présente principalement comme un conflit entre l’Allemagne et l’Angleterre, mais idéologiquement, c’est un combat entre le national-socialisme et les Juifs. Cela va sans dire que l’Allemagne fournira une aide déterminée et pratique aux Arabes engagés dans le même combat, car les promesses platoniques sont inutiles dans une guerre dont l’alternative est le succès ou la destruction, et où les Juifs sont capables de mobiliser toute la puissance de l’Angleterre à leurs fins. L’aide aux Arabes doit être matérielle. Les seules marques de sympathie sont d’un faible secours dans un tel combat et cela a été pleinement démontré par les évènements en Iraq, où les circonstances n’ont pas permis de rendre pleinement effective une aide pratique. En dépit de tous nos témoignages de sympathie, l’aide allemande a été insuffisante et l’Iraq a été vaincue par la puissance anglaise, qui est le protecteur des Juifs.


Le Grand Mufti répond que son avis est que tout se passe comme le Führer l’a indiqué.

Le grand Mufti se déclare tout à fait rassuré et satisfait par les propos qu’il a entendu du Führer. Il demande, cependant, s’il ne serait pas possible, tout au moins secrètement, de conclure un accord dans le sens de ce qui a été esquissé par le Führer.


Le Führer répond que la déclaration qu’il vient de faire au Grand Mufti est une déclaration confidentielle.

Le Grand Mufti le remercie et déclare en conclusion qu’il prend congé du Führer en toute confiance et lui réitère ses remerciements pour l’intérêt qu’il témoigne à la cause arabe.


Après cet émouvant élan d’amour mutuel qui scelle l’union des deux tyrans, Al-Husseini va plus que jamais être l’hôte privilégié du Reich.


Il entretient des rapports étroits avec les plus hautes autorités allemandes dont Joachim Von Ribbentrop, ministre des affaires étrangères, et surtout se lie d’amitié avec Heinrich Himmler numéro deux dans la hiérarchie du Reich, l’homme qui fut à la tête des SS, de la Gestapo et en grande partie l’instigateur de la « solution finale ». Avec lui le Mufti pourra partager ses plans concernant l’éradication totale des juifs, dont on a eu plus haut un aperçu, dans la retranscription de sa rencontre avec Hitler.


En 1943, Al-Huseini est nommé Premier ministre du gouvernement panarabe par le régime nazi et reçoit également le titre d’« Aryen d’honneur » du Reich.




 


Diffusion capillaire du nazisme


Mein Kampf est traduit en Arabe et largement diffusé dans les pays musulmans (24).


Toujours en 1943, dans une lettre qu’il adresse à Ribbentrop (le 15 mai), le Mufti sollicite l'intervention expresse des Allemands dans les Balkans pour faire échouer un accord entre les britanniques et les Etats Unis qui doit permettre aux Juifs de la région de fuir en Palestine (25).


Après des tractations débutées fin 1942 entre Al-Husseini et Himmler sur ce sujet, Hitler donne son accord le 10 février 1943 pour la formation d’une division SS bosniaque musulmane qui deviendra la 13ème division SS de montagne Handschar (26) regroupant environ 21 000 volontaires.


Suivront en mars et juin 1944 la création de deux autres divisions, la 21ème division SS de montagne Skanderberg (27) composée de 9000 albanais musulmans du Kosovo et la 23ème division SS de montagne Kama composée d’environ 4000 bosniaques musulmans.


Le 1er Mars 1944 il déclare dans un de ses nombreux prêches radiophoniques diffusés depuis l’Allemagne : « Arabes, soulevez-vous et battez-vous pour vos droits sacrés. Tuez les Juifs là où vous les trouverez. Cela est agréable à Dieu, à l’Histoire, et à la religion. Cela sauve votre honneur. »


Toujours en 1944 accompagné de son ami Heinrich Himmler il visite le camp d'extermination d'Auschwitz et déclare : J'irais le cœur léger dans ma tombe en sachant que 5 millions de juifs ont été tués (28).


Le 30 avril 1945 Hadj Amin al-Husseini perd son cousin germain Adolphe Hitler qui se suicide dans son Bunker.


Subsisteront tout de même de cette liaison dangereuse les délicieux souvenirs d’une union fertile en abominations qui continueront d’inspirer le Mufti jusqu’à sa mort en 1974 et se répandront, tels des virus hautement pathogènes, dans les esprits des futures générations de meneurs de l’Islam radical, jusqu’à aujourd’hui.


Le 5 mai 1945 le Mufti est arrêté par les troupes d’occupation française et est rapatrié en France le 19 mai 1945.


Par une de ces étonnantes ironies de l’Histoire, Al-Husseini bénéficiera alors d’un traitement plus que clément (29), au regard du sort réservé aux collaborateurs après guerre… Il sera hébergé en tant que prisonnier politique (et non criminel de guerre comme cela sera réclamé par les alliés) dans une villa de Saint-Maur (Val de Marne) avec deux de ses secrétaires Izek Darwich et Razam Khalidi.


Lorsqu’il s’avèrera que la détention du Mufti risque d’être prolongée pour une durée indéterminée, le ministre des affaires étrangères Georges Bidault suggérera de la transférer « dans une maison de campagne plus confortable entourée d’un jardin ». A partir du 1er octobre 1945 il résidera donc dans la villa « La Roseraie » à Bougival (Yvelines). Il y recevra régulièrement des invités et pourra se déplacer à sa guise grâce à une voiture achetée au nom d’un de ses secrétaires, avec laquelle il se rend à la mosquée de Paris en toute quiétude, escorté par les services de police français.


À plusieurs reprises l’Angleterre demandera l’extradition du Mufti afin qu’il soit jugé comme criminel de guerre, ce que les autorités françaises refuseront systématiquement.


Devant les pressions répétées du gouvernement anglais et celles des sionistes qui insistaient légitimement pour qu’il soit jugé pour crimes de guerres, et face aux menaces de mort qui pèsent de plus en plus sur sa personne, la surveillance du Mufti sera délibérément réduite sur ordre du quai d’Orsay pour permettre à celui-ci de prendre la fuite. Le Mufti muni du passeport de Marouf Doualibi (un de ses fidèles séides) décollera de l’aéroport d’Orly le 29 mai 1946 à 11h du matin à bord du vol numéro 346 de la compagnie TWA à destination du Caire. (30)

En France, quelques têtes (dont celle du préfet de police) tomberont pour la forme, mais celle de Hadj Amin al-Husseini restera sur ses épaules jusqu’à sa mort en 1974.


La connivence et forte similarité du nazisme et de l’islamisme radical, en tant que totalitarismes à idéologie directe (selon la terminologie de J-F Revel), n’est donc pas le fruit du hasard.

Elles sont la résultante d’une prédisposition de l’Islam à embrasser, tel le communisme, le fascisme ou le nazisme, l’intrinsèque process criminogène de l’utopie étatisée.

Les choix opérés par les figures de l’Islamisme radical et imposées au croyant correspondent parfaitement aux mécanismes classiques de la formation d’une entité politique réceptive aux vibrations extrémistes.

En d’autres termes, les choix idéologiques imposés en toute connaissance de cause à l’ensemble de la Umma (32) dans le Dar al-Islam (33), puis dans le Dar al-Harb (34) révèlent la formation d’une chimère religieuse aspirituelle au processus totalitaire similaire aux utopies meurtrières du XXe siècle.


H.P. Brisson


Sources :


(1) La dhimmitude est le pacte liant tout citoyen non musulman d’un l'État islamique à ce dernier lui donnant, moyennant finances (paiement de la djizzyia), la garantie de la vie et de la sécurité en échange d’une totale loyauté. Méthode très proche de la façon dont les mafieux se proposent de protéger les honnêtes gens qui se trouvent sur leurs territoires et que l’on qualifie communément de racket…


(2) Celle du port du voile dans les écoles malgré les lois laïques, les tentatives de censure de la pièce « Mahomet » de Voltaire, les fonctionnaires musulmans qui obtiennent une salle de prière au ministère de l’intérieur, les horaires réservées aux femmes dans les piscines publiques, les meurtrières émeutes nationales de 2005 sans fondement, et celles internationales de 2006 relatives aux fameuses « caricatures », l’affaire du discours du Pape Benoît XVI à Ratisbonne, j’en passe et des pires (du style des attentats qui ont lieu chaque année à travers le monde et visent et tuent exclusivement des civils, hommes, femmes et enfants).


(3) Quelques - trop rares - intellectuels le font parfois, mais aux prix de lourdes menaces pesant sur leur vie.


(4) Voir note numéro 31 en fin de document.


(5) On a tendance à ne retenir de ce terme que son acceptation violente, guerrière, celle-là même qui pullule dans la bouche des islamistes fanatiques et sert leur desseins, alors qu’il signifie aussi et surtout, pour les clairvoyants : la lutte intérieure contre les passions mauvaises de l’âme du croyant, la discipline morale, la victoire sur soi-même .


(6) Lien Figaro


(7) http://www.radioislam.org/islam/french/debat/khan1.htm


(8) Mainmise sur le tribunal de la Charia et le tribunal religieux islamique de Palestine, qui entre autres prérogatives désignaient les professeurs de théologie et les imams, ce qui lui permit de nommer à des postes stratégiques de fidèles alliés parmi les plus rigoristes et antisémites.


(9) Il contrôlait la Waqf (fond destiné à aider les plus démunis), le fond des orphelins, ainsi que les finances de la communauté arabe de Jérusalem, soit annuellement plusieurs dizaines de milliers de livres sterling de l’époque.


(10) Le « modéré » Tariq Ramadan, (né de Saïd Ramadan et de Wafa Al-Banna, fille du fondateur des Frères musulmans) qui disait récemment de son sinistre aïeul : J’ai étudié en profondeur la pensée de Hassan Al-Banna et je ne renie rien de ma filiation. Son engagement aussi continue de susciter mon respect et mon admiration. Caroline Fourest : Frère Tariq, Discours, stratégie et méthode de Tariq Ramadan, Grasset, 2004.


(11) Le Sabre et le Coran, Paul Landau. Editions du Rocher.


(12) Albert Soued, écrivain, diplômé de sciences politiques et de l’école Centrale de Paris, dans son article du 9 avril 2003 Nationalisme Arabe, Islamisme et Nazis, in www.objectif-infos.com


(13) Ces exactions barbares sont décrites en détail dans le livre Le Juif Errant est Arrivé de Albert Londres qui a rencontré à plusieurs reprises les protagonistes du conflit (dont le grand Mufti) entre 1929 et 1932 en Palestine.


(14) http://images.google.fr/images?q=%22drapeau+de+saada%22


(15) Deutsche National Zeitung, 1er Mai 1964


(16) Al Musawwar, No. 1510, du 18 Septembre 1953, cité dans Arab Theologians on Jews and Israël, D.F Green, Genève 1976.


(17) « Les fonds mis à la disposition du Grand Mufti de Jérusalem par l'Allemagne lui avaient permis d'organiser la révolte de Palestine ». Extrait des Archives du Haut Commandement de l'armée allemande saisies à Flensburg après la deuxième Guerre Mondiale.

Voir aussi le livre de David Yisraeli, Germany and zionism, Germany and the Middle East, 1835-1939


(18) Pas moins de onze chefs de communautés seront assassinés avec femmes et enfants. Certains éminents opposants seront également supprimés parmi lesquels : Cheikh Daoud Ansari (imam de la mosquée d’Al Aqsa), Cheikh Nusbi Abdal Rahim (conseiller des tribunaux religieux musulmans) ou encore Nasr El Din Nassr (maire d’Hebron). Source : http://grandMufti.free.fr


(19) Lukasz Hirszowicz, The Third Reich and the Arab East, Routledge and Kegan Paul Ltd, London 1966


(20) Khayrallah Toufah est le frère de Subha, mère de Saddam Hussein. Après la disparition du père de Saddam, Hussein al-Majid, et le remariage de sa mère avec Brahim Hassan, il prend en charge et élève (dès 1947) ce dernier alors âgé de 10 ans.


(21) Certains membres de la dynastie Al-Husseini perpétueront ainsi « l’œuvre » de leur aïeul en Palestine. C’est le cas de deux de ses neveux , Abdel-Kader Al-Husseini, qui dirigera le Jihad al-Muqadas (armée de la guerre sainte) pendant la guerre israélo-palestinienne de 1948, et de Rahman Abdul Rauf Al-Qudwa Al-Husseini, plus connu sous le pseudonyme de Yasser Arafat (parenté confirmée dans Arafat l'irréductible, biographie d'Amnon Kapeliouk éd. Fayard, 2004), ou encore de Leila Shahid, porte parole de l’Autorité palestinienne en France, fille de Serene Husseini Shahid et petite fille de Jamal Al-Husseini (délégué du Haut Comité Arabe dirigé par… Amin Al-Husseini) et cousine de… Yasser Arafat…

On comprend mieux dans ces conditions que la haine des juifs perdure dans la région et qu’il soit difficile de trouver une solution au conflit israélo-palestinien…

H.P. Brisson 

*

(22) The Nazi connection to islamic terrorism : Adolph Hitler and Haj Amin Al-Husseini – Iuniverse New York, 2003.


(23) Documents sur la Politique étrangère allemande, 1918-1945, Série D, Vol. XIII, Londres, 1964.

The Israel-Arab Reader, a Documentary History of the Middle East Conflict, Walter Zeev Laqueur and Barry Rubin, New York, Penguin Books, 1984


(24) Après la guerre, Sami al Joundi, un des fondateur du parti Baas en Syrie déclarera : Nous étions racistes, nous admirions les nazis, nous étions immergés dans la littérature nazie et ses livres. Nous fûmes les premiers à penser faire une traduction de Mein Kampf. Toute personne vivant à Damas à cette époque fut témoin de cette inclination arabe pour le nazisme.

Source : www.laveritemaintenant.org

Confirmant l’engouement des musulmans pour Mein Kampf, le 10 septembre 1999 l’organisation sioniste américaine, émet un communiqué de presse selon lequel une dépêche de l’A.F.P. (Agence France Presse) à Ramallah rapporte que le livre d’Adolphe Hitler apparaît en sixième position des ventes de best-sellers en Palestine. Ceci prouve à quel point les thèses antisémites du leader charismatique Al-Husseini ont perduré dans la région jusqu’à aujourd’hui.

Source : http://www.freeman.org/m_online/oct99/meinkampf.htm

(25) Cette lettre se trouve aujourd’hui au musée Yad Vashem (The Holocaust Martyrs and Heroes Remembrance Authority) de Jérusalem. Voir aussi : http://aval31.free.fr/photosdiverses/yad.jpg

(26) George Lepré: Himmler's Bosnian Division: The Waffen-SS Handschar Division, 1943-1945 (Atglen-PA: Schiffer, 1997)


(27) La Division Skanderbeg, Histoire des Waffen SS albanais des origines idéologiques aux débuts de la Guerre froide, Laurent Latruwe & Gordana Kostic, éditions Godefroy de Bouillon Paris,


(28) Rapport de Simon Wiesenthal: GrossMufti, Grossagent des Asche, 1947, musée du Martyr Juif de Paris


(29) L’accueil de dictateurs en exil deviendra une tradition française : Khomeiny en 1979 à Neauphle-le-Château ou encore François Duvalier (dit Papa Doc) en 1986…


(30) Les détails sur la détention du Mufti et son évasion de France proviennent d’un article du docteur Tsilla Hershco, chercheuse au centre Begin Sadat des études stratégiques et enseignante à l’institut de sciences politiques de Bar-Ilan. Cet article a été publié dans la revue Controverses de mars 2006


(31) Le Théatre des opérations Volume III : American Black Box, Edition Albin Michel, paris 2007, pages 359 à 363.

Et pour une liste encore plus exhaustive : http://www.atheisme.org/listeislam.html


(32) Umma (ou Oumma) est le terme employé pour désigner l’ensemble de la communauté des musulmans dans le monde


(33) Dar al-Islam est le terme employé pour désigner les terres sous gouvernement musulman. Dans la tradition musulmane, le Monde est divisé en deux parties: Dar al-Islam, la «Maison de la paix», soit les nations islamiques, et Dar al-Harb, la «Maison de la guerre», c'est-à-dire grosso modo le reste du monde ! Vision manichéenne s’il en est…


(34) Dar al-Harb est donc le terme traditionnellement employé pour qualifier les pays dont les gouvernements sont non musulmans. Les habitants du Dar al-Harb sont appelés « harbi » et doivent être soumis de gré d’abord, ou de force en suite.

 

Ecrit par H.P. BRISSON Le : 21/02/2007[source] 

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commentaires

C
<br /> est bien ça sent tres clairement  le juif qui a bati son etat  sur la base  du peuple élu<br /> <br /> <br /> et tout le reste de lhumanité n est  que bestiol à ses yeux.<br /> <br /> <br /> avant  quand il n a pas encore aquerit  la force et la tome  il fait croire  au monde qu il est sujet  à l 'oppression et l humiliation  de la part de tout  le<br /> monde  puis  avec la guerre et  cet alibi crée de toute piéces  le haulocauste et l oppression du dit nazizme  et le simitissme  alors ils ont dupé tout le monde, ce<br /> monde  qui les a aidé a spolié  la terre des pauvres arabes   avecvdes histoirs comme fondements à dormir debout : les histoires des muses" le peuple élu "  la terre<br /> promise" et toute cette charabia  et voilà aujourd'hui puisque ils  ont arrivé a faire  noircir le terme nazi ils veulent  l 'associé à leur ennemi antique l'islam .<br /> <br /> <br /> votre etat votre croyance de haine et votre cruauté et votre lacheté morale sans limite   n est qu illusion et mirage  votre disparition n est qu une question de temps.<br /> <br /> <br />  <br />
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