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Un vrai petit show télévisé tout exprès (vidéo, transcription) pour nous avertir du grave danger qui nous menace tous, avec présentation, reportage, interview, diffusé le 22 octobre dernier sur une chaîne libanaise:
Les Juifs produisent et répandent des drogues pour prendre le contrôle de la planète, comme le leur ordonnent le Talmud et les Protocoles des Sages de Sion. Les autorités israéliennes aident à la manoeuvre, facilitent le trafic et entravent l’action des gentilles ONG palestiniennes qui tentent de lutter contre le phénomène.
Mais les Juifs sont bien connus dans l’histoire pour empoisonner les puits. Et comme chacun sait, ils ajoutent des substances toxiques aux médicaments et aux boissons alcoolisées de même qu’aux farines et autres produits qu’ils exportent partout où on ne les aime pas, voire partout tout court.
D’ailleurs, c’est avec des drogues que les Juifs ont miné le peuple allemand, provoquant ainsi l’extrémisme nazi, dans lequel ils jouèrent naturellement aussi un rôle. Et ils trafiquaient des drogues en masse dans la Russie des Tsars depuis le XVIIe siècle aussi. Tout ça en accord avec le Talmud, lequel dicte aux Juifs d’empêcher les autres nations de régner, de sorte que les Juifs soient seuls au pouvoir.
Les Protocoles précisent que le pouvoir des Juifs augmente avec la détresse de tous les autres gens. Toutes les nations visitées par des Juifs doivent être laissées malades, pauvres, sans force ni résolution. Et bien sûr, les drogues sont le moyen le plus efficace d’y parvenir. Les fameux antisémites grands hommes de l’histoire ont bien averti de se méfier des Juifs, qui brisent le moral des gens partout où ils s’installent. Ce sont des vampires, des suceurs de sang; si on ne les tient pas à l’écart des enfants, ils en feront leurs esclaves. D’ailleurs, ils ont le droit de traiter les autres peuples comme des animaux, de corrompre les gens, de déchirer les nations, de détruire les nationalités et de répandre la promiscuité et le chaos. C’est un fléau qui nous tue, nous et notre société.
UPDATE: Sur demande urgente, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme s’est fendu d’une lettre à la chaîne de TV libanaise faisant état de sérieuses préoccupations. Maintenant, tout ira bien, c’est sûr.
Selon un quotidien de Cologne, le premier ministre turc Erdogan se fait du souci (merci PI) pour les femmes turques.
La constitution turque prévoit (depuis 2004) que les «femmes et les hommes sont égaux en droit; l’État a le devoir de concrétiser cette égalité». Mais un nouveau projet prévoit que «les femmes, les enfants, les personnes âgées et les handicapés nécessitent une protection particulière. Celle-ci doit respecter le principe général d’égalité en droit.»
Les associations de femmes turques ne veulent pas de ces égards: «Nous n’avons pas besoin d’un traitement spécial, nous voulons des droits égaux.» Peut-être savent-elle aussi ce que représente le statut de protégé (dhimmi) dans l’Islam?
C’est une bonne idée assez bien réalisée, pour un début. Les questions couvrent de nombreux thèmes de manière équilibrée et les renseignements personnels (mais anonymes) permettent de réaliser des analyses très détaillées et/ou révélatrices.
Mais les graphiques produits sont mal léchés et il n’est pas possible de générer un URL avec des résultats d’évaluation. À réparer.
Pour une prochaine étape, il faudrait élaborer une solution permettant aux gens de modifier leur vote après coup (seulement aussi longtemps que la question peut continuer de se poser, bien sûr), afin de pouvoir tenir compte de manière plus fluide de l’influence de l’évolution des événements et/ou des débats publics. Par ailleurs, un tel dispositif inciterait les gens à revoter dès qu’ils changent d’avis, ce qui fidéliserait les participants.
Une fois un tel système généralisé, bien sécurisé et institutionnalisé, nous avons une démocratie directe moderne digne de ce nom.
Comme le laisse bien entendre l’extrait du livre de Hans-Olaf Henkel publié dans la dernière édition du magazine allemand de politique culturelle Cicero (un tuyau de PI). Je décris ici brièvement les principaux arguments développés:
L’Allemagne perd ses meilleurs éléments à une allure croissante (près de 150.000 émigrés en 2005, surtout vers les pays anglo-saxons). Les travailleurs comme les intellectuels formés en Allemagne à prix d’or ne tiennent plus à exercer dans leur pays. La proportion des universitaires parmi les émigrants y est en moyenne dix fois plus élevée que parmi la population en général. Près de la moitié des quelque 7000 médecins par an formés en Allemagne quittent le pays. Parallèlement, l’Allemagne accueille des immigrés sans formation en masse, ce qui fait descendre le niveau général de la formation de base (20e place seulement dans la dernière enquête PISA). Ainsi, actuellement, il y a plus de jeunes Allemands qui étudient à l’étranger, malgré des frais d’écolage très élevés, que jamais auparavant.
Le marché allemand du travail est surrégulé et étouffe la libre entreprise par sa bureaucratie surdimensionnée. Selon une étude menée par la Banque mondiale en 2006, la politique du travail allemand n’est pas compatible avec celle des autres nations industrialisées. Sur les 175 pays examinés, l’Allemagne occupe le 129e rang, derrière, par exemple, la Mongolie (61e), l’Ouzbékistan (67e) et la Chine (68e). Les coûts du travail y sont très élevés, la part des systèmes sociaux (pension, assurance maladie et accidents, chômage, etc.) y atteint 78% du salaire horaire, le record mondial. La part étatique du produit intérieur brut atteint 47%, dont 60% pour l’État social.
Tout cela rend l’Allemagne très peu attrayante pour les universitaires étrangers: alors que l’Australie en compte quelque 20%, la Grande-Bretagne 16% et la moyenne des pays de l’OCDE 12%, l’Allemagne doit se contenter de 5%. Et ce taux comprend les enfants des immigrés turques. Et la perte concerne aussi les anciens: en Allemagne, un professeur de 65 ans doit quitter son poste. Ailleurs, seules comptent les compétences réelles. Si bien que les meilleurs produits des meilleures universités allemandes donnent souvent le meilleur d’eux-mêmes hors de leur pays. Et les masses d’immigrés non qualifiés arrivés dans le pays depuis des décennies n’ont guère valu de Prix Nobel à l’Allemagne.
Les Verts (rouges à coeur), surtout, se sont opposés à tous les systèmes qui auraient permis de trier les candidats à l’immigration en fonction de critères fonctionnels, utiles à l’économie. Et les mêmes ont contribué à l’instauration d’un système social extrêmement attirant pour tous les immigrants peu ambitieux. De sorte que l’Allemagne, dans l’ensemble, se donne beaucoup plus de peine, avec succès, pour attirer les étrangers des couches sociales inférieures, sans qualification, que ceux susceptibles de donner au pays les nécessaires impulsions vers l’avenir. Par-dessus le marché, les syndicats craignent que les travailleurs étrangers qualifiés prennent des emplois aux Allemands et ont obtenu que les ressortissants de pays non-membres de l’UE souhaitant travailler en Allemagne doivent gagner au moins 85.000 euros par an. Impossible, donc, par exemple, d’engager des informaticiens indiens de talent dans une PME allemande.
Les statistiques de la criminalité sont conçues de manière à distordre la réalité. Elles cachent l’origine des actes de violence dans certains cas (communautés musulmanes) et mettent en exergue de manière grotesque les méfaits de l’extrémisme de droite. En 2006, les néonazis sont censés avoir commis 12.238 délits, ce qui est effrayant. Mais ce nombre contient pas moins de 8739 «délits de propagande» liés à des symboles interdits, des prises de position interdites sur l’histoire ou encore l’audition de chansons interdites. En fouillant les petits caractères, on s’aperçoit que le nombre de lésions corporelles causées par les crânes rasés teutons s’établit en fait à 726, dont une grande partie proviennent d’affrontements contre des «antifascistes» plus enragés encore. En effet, en nombre d’actes de violence, les extrémistes de gauche l’emportent nettement (comme en Suisse, d’ailleurs), mais ils ne sont que très rarement désignés comme tels — la presse parle alors plutôt de «jeunes», d’«autonomes» ou encore d’«altermondialistes». En mai dernier, ils ont tiré sur la police avec des engins pyrotechniques, lancé des pavés et fait près de 60 blessés. Aucun journaliste ou politicien n’a voulu savoir qu’il s’agissait d’actes prémédités par des extrémistes de gauche.
En revanche, on cherche en vain des statistiques sur les actes de violence commis par de jeunes Turcs contre des Allemands, bien que des enquêtes aient permis d’établir que les Turcs sont les plus violents des étrangers d’Allemagne. Selon le rapport en question (2004), un Turc âgé de 14 à 18 ans sur trois a déjà commis des délits, du vol à l’attaque à main armée en passant par l’extorsion. Les jeunes Turcs commettent trois fois plus de délits que les jeunes Allemands. En mars 2007, une étude berlinoise portant sur des «délinquants intensifs» de moins de 21 ans (actes de violence, attaques, lésions corporelles) révéla que 70% d’entre eux provenaient de l’immigration, dont une majorité originaire de Turquie. Leurs parents sont en moyenne peu formés, souvent au chômage et disposent de faibles revenus. La moitié des jeunes délinquants quittent l’école sans diplôme. Ils commettent leurs délits à 60% en groupe et ne peuvent pas être contrôlés durablement par la police.
Il vaut la peine de lire le tout, en allemand. Par exemple pour la réaction de certains Gutmenschen à la proposition de Henkel, au sein d’une commission sur l’immigration, de considérer à part le cas des femmes musulmanes soumises à des règles sociales inacceptables au sein de leurs communautés:
«Pas si vite, Monsieur Henkel! Nous devons laisser à nos concitoyens turcs une certaine marge de tolérance culturelle.» «Vous croyez pouvoir appliquer librement vos valeurs morales à d’autres cultures? Quelle arrogance!»
C’était ce matin dans Akşam (via MEMRI): l’office gouvernemental turque chargé de la direction des affaires religieuses a récemment publié un livre sur la famille et la jeunesse. L’ouvrage dit notamment ceci à propos de l’adoption (je traduis):
La loi, c’est la loi…
Il y a, c’est indéniable, de mauvaises religions, à enterrer ou laisser derrière soi. Odin, dieu de la guerre exigeant des sacrifices humains, n’est plus qu’un bibelot poussiéreux, malgré toutes les qualités dont les despotes de l’époque le paraient. Idem pour les cultes mayas et aztèques, dont les innombrables monuments servaient davantage à célébrer l’aveuglement des croyances rigides que les lumières de la foi en la créativité. Idem pour les rites anthropophages, bien sûr, en dépit des motivations positives que ses adeptes pouvaient, devaient, leur trouver.
Et pourtant, avec quelle énergie toutes ces errances oubliées auraient-elles été défendues, en leur temps, si quelqu’un avait osé en contester la valeur? On aurait alors sans doute entendu des armées d’apologistes réciter d’interminables listes de vertus et de louanges, d’avantages et de qualités que seules ces magnifiques religions savaient apporter. On aurait fait parader d’humbles fidèles souriants par milliers pour prouver que tout cela était bel et bon pour le peuple. On aurait amassé des sommes vertigineuses de détails certes sans pertinence sur l’essentiel, mais troublants pour qui aurait voulu prononcer une condamnation bien tranchée. On aurait noyé le poisson, en un mot. Et, en cas de persévérance dans la critique, il aurait sans doute fallu compter avec des menaces de mort de la part des plus fervents adeptes. Et si même cela n’avait pas su faire taire les critiques…
Il en est de même aujourd’hui pour l’Islam, qui, à la base, c’est-à-dire dans ses textes, répand la haine du non-croyant et exige de lui faire la guerre s’il ne se soumet pas volontairement (à la religion ou à la domination politique et sociale). Cette manière de voir les choses a été partagée dans ses grandes lignes, c’est-à-dire sans aucune contestation notable, par la totalité des grands mouvements de jurisprudence de l’Islam, soit par l’écrasante majorité des Musulmans, extrêmement rares à l’époque, qui savaient lire et qui s’étaient penchés sur ces textes soi-disant sacrés.
Entre-temps, l’Islam s’est en grande partie réinventé. À la suite des colonisations un peu partout dans ses empires, et du Kémalisme en Turquie, ses lois et ses textes ont été abrogés et sont retournés dans l’ombre, de sorte qu’on a pu voir éclore des formes de coexistence convenable entre les communautés musulmanes et le reste du monde. Et c’est cette vision d’un Islam dilué et bariolé par obligation que les apologistes, les esprits superficiels et aussi certains grands esprits utilisent pour pointer qui vers le retour à l’Islam tout court, qui vers un accueil à bras ouvert de cette religion, qui vers une chance de réforme durable.
Les premiers, de loin les plus nombreux à s’exprimer dans le débat public, sont de simples malhonnêtes (les textes islamiques autorisent le crime pour la religion, y compris agrémenté de mensonge. de sorte qu’aucun Musulman pratiquant n’hésitera à mentir à un non-Musulman). Les deuxièmes sont irresponsables. Les troisièmes, les plus rares, bien qu’ils aient la raison pour eux en théorie ont de moins en moins de chances de l’avoir en réalité, car cette lutte contre l’islamisme et pour un Islam nouveau qu’ils préconisent, dès qu’elle s’installe, est déjà, en soi, une victoire du chaos.
Et tous semblent oublier que de plus en plus de Musulmans savent lire, ce qui crée une situation unique dans l’histoire de ce fléau. Ainsi, dans une population fortement musulmane, composée de gens pour qui les versets du Coran remplacent les chansonnettes que nos parents fredonnent aux petits enfants, les poésies des jardins d’enfants, les références culturelles variées des écoles et une bonne partie des impulsions multiples du monde moderne, même un vote démocratique peut produire aujourd’hui les lois inhumaines que seuls des lettrés pouvaient forger au Moyen-âge. Car le vote est une chose sérieuse, qui incite les gens à réfléchir, à se faire leur opinion, à revenir plutôt au texte, donc, qu’aux paroles, souvent contradictoires.
Or ce sont justement les textes qui posent problème. C’est le sens premier et évident de textes qui relatent les paroles et les actes d’un prophète appelant ses apôtres à tuer au nom de la foi, en masse. Ce sont les harangues d’un chef de guerre médiéval qui incite ses troupes à haïr si profondément l’ennemi, pour des raisons si impérieuses, qu’elles deviendront capables de tuer sans sommation ni sourcillement. C’est le contrat blasphématoire qu’un escroc prétend faire signer entre ses hommes et Dieu: le mercenariat en échange du paradis, et 80% de son propre butin s’il est victorieux. Ce sont les centaines de promesses coraniques de châtiment infernal pour ceux qui ne croient pas… au Coran. Si un seul malheureux % des Musulmans lisent cela et le croient, comme semblent l’avoir cru tous les juristes classiques, nous aurons 10 à 15 millions de djihadistes parmi nous, la plus formidable armée de tous les temps. Et le Coran ne contient rien (à une ou deux tromperies près) qui permette aux Musulmans alphabétisés de surmonter cela.
Ainsi, là où on permet à cette chose malfaisante de s’implanter au nom de la religion, la société est pour ainsi dire condamnée à errer entre le chaos politique et social et un despotisme ou un autre, comme le montre l’évolution des événements partout où la religion islamique joue un rôle majeur. De sorte que la solution intuitivement la moins réalisable pour les esprits occidentaux — l’exclusion totale de la religion islamique — est en fait la seule bonne solution. La vraie question est comment.
Il faut sans doute une approche très différente selon qu’on se trouve en Islam ou ailleurs. Mais en tout cas, il faut y réfléchir avant que la religion islamique soit installée. Là où elle se trouve en force, il est trop tard.