Le WEB Résistant est le seul site francophone présentant toutes les références sur les sites de réinformation. Faites-le connaître autour de vous ! Ne restez pas seul, nous sommes nombreux.
Ce blog est fréquenté actuellement par 15.000 à 20.000 personnes par jour. Sa disparition ferait une différence, et c’est aussi pourquoi les menaces en valent la peine. Les discussions vont bon train quant à la poursuite de l’effort. Faut-il tout arrêter? Faut-il changer de formule? Faut-il chercher des fonds pour faire protéger l’équipe? Faut-il que les rédacteurs continuent, tout simplement, malgré les menaces?
Quoi qu’il en soit, les terroristes ont déjà gagné une manche: ils sont parvenu à faire en sorte que la violence doive être incluse dans les motivations des uns et des autres. Et c’est tout le jeu de l’Islam.
Quand on en a compris les rouages, il suffit, pour faire progresser cette immonde religion et surfer sur la vague de pouvoir qu’elle génère, de vanter le Coran en les termes les plus délicieux. Il y aura toujours des crédules, alors, pour croire que la religion est bonne, et des croyants qui se pencheront sur les textes, y trouveront matière à haïr les non-croyants, puisque c’est-là le message premier, inscrit en clair, répété à satiété tout au long de l’ouvrage, et se sentiront appelés à faire usage de violence, juste comme le soi-disant prophète, à qui Dieu permettait d’assassiner, de massacrer, de tromper, de torturer, etc.
Ainsi, il est impossible de s’opposer à l’Islam sans faire naitre la violence. Car pour ceux qui connaissent cette fable, le simple refus d’accepter l’Islam est motif de guerre. Et ceux qui tuent pour ce motif peuvent se prendre pour les meilleurs des Musulmans, rien de moins. Et ce premier degré, bien évidemment, a fait loi dans l’Islam. Ceux qui y croient peuvent donc s’appuyer non seulement sur le Coran et sur les textes dits sacrés les plus respectés, mais aussi sur les travaux de juristes dont le renom dépasse mille fois celui de tous les fouineurs de hadiths de notre temps, et, en dernier ressort, sur les gestes accomplis dans ce même esprit par d’innombrables Musulmans au cours de l’histoire, et fêtés à ce titre, eux et leur famille.
Celui qui a étudié la matière le sait parfaitement. Dès que l’Islam se répand quelque part, peu importe ce qu’on en dit, le poids des écrits entraîne toujours une minorité d’esprits faibles mais résolus à faire couler le sang pour en imposer la loi, comme le Coran y appelle. C’est absolument inévitable. Surtout dans une population où tout le monde sait lire, ce qui est vraiment très nouveau pour l’Islam.
Et ce ne serait rien ou pas grand-chose si les forces de l’ordre voulaient bien s’en rendre compte. Car les gens qui se laissent aller à croire de telles billevesées sont des idiots, maladroits, peu efficaces, faciles à repérer et à neutraliser, surtout si l’on reconnaît dans leurs actes le fruit de la pratique de la religion islamique.
Mais au lieu de se pencher sur la matière, on fait appel aux pires des menteurs: les apologistes savants, à qui il suffit de qualifier d’ignorants fanatiques ces gens violents, alors qu’ils imitent le prophète, respectent les injonctions du Coran, s’inspirent des détails de la Sunna et appliquent des lois islamiques tout à fait traditionnelles.
Dans les sociétés très islamiques, on tue et on massacre directement au nom d’Allah, tandis que dans nos sociétés, on menace au nom de soi-disant injustices plus modernes, parfois sans même avoir lu le Coran ou entendu parler des hadiths, juste pour défendre la supercherie palestinienne, les dépouilles fantômes de la guerre d’Irak ou pour de quelconques prétextes. Le phénomène central est le mensonge qui génère la haine et l’Islam est simplement sa version la plus aboutie.
Ainsi, plus le débat progresse, plus la violence se généralise. C’est inhérent au débat sur l’Islam, à la présence de l’Islam. À l’Islam.
Pour éviter le bourbier et limiter les conséquences de ce fléau, il faut tirer parti de manière optimale des caractéristiques spécifiques de notre temps, surtout l’omniprésence de l’information, et accélérer le mouvement de prise de conscience jusqu’au point où une majorité de gens auront compris le phénomène et pourront alors le stopper dans l’oeuf, sans violence. Pour cela, il faut aussi éviter les débats, car ils ne répandent l’information que très lentement. Ils permettent donc à la violence de suivre le rythme et il arrive toujours un moment où les pacifiques, comme aujourd’hui PI, lâchent la rampe devant les fanatiques prêts à mourir ou à vivre en prison pour la joie malsaine d’un acte ultime.
Il faut que l’information prenne de l’avance sur la montée de la violence. Il faut informer sans susciter de réaction. Et il faut que le refus de l’Islam puisse, pour la quasi-totalité des gens impliqués, c’est-à-dire pour la population dans son ensemble, revêtir une forme à la fois massive, non violente et, oui, politiquement correcte.
Voici une idée.
UPDATE: PI tient bon. Son fondateur est maintenant installé en lieu sûr et l’équipe reprend le collier.
Et les roses sont bien enverdés. Le nouveau Parlement:
Les commentaires de la cage d’escalier:
Cette fois, Calamity-Rey va peut-être changer de coiffure…
L’Amazonie aussi reverdit malgré l’adversité…
On entend parfois dire, contre toute évidence académique, que l’antisémitisme, cet épouvantail des esprits faibles, serait en fait la haine des peuples sémites, et plus particulièrement des Arabes. Certains autres veulent trouver les racines de l’antisémitisme musulman actuel dans les contacts étroits des islamistes avec le nazisme. Mais la réalité est que l’Islam et la haine des Juifs ne font qu’un, dès les origines du premier. Croire en le Coran, pratiquer la religion islamique, c’est, entre autres choses, haïr les Juifs. S’y refuser demanderait un effort actif considérable.
En voici la démonstration, présentée par Andrew G. Bostom à Bruxelles il y a quelques jours (en anglais): (more…)
Très bien cernée par Richard Landes en analysant une solide critique de la position prônée par Jimmy Carter et son équipe de «sages» sur le Darfour (selon laquelle il ne s’agit pas d’un génocide et il n’est pas judicieux d’utiliser ce terme en l’espèce):
Nous arrivons ici au coeur du problème: les «sages» comme Carter se flattent d’être en mesure de parler avec toutes les parties. Mais ils omettent de mentionner le prix de cette vantardise. On peut fort bien critiquer les Occidentaux — Israéliens, conservateurs américains — et continuer de parler avec eux. Mais si l’on critique des dictateurs et des maniaques génocidaires — Janjaweed, Hamas, Hezbollah —, on perd la possibilité de dialoguer avec eux. De sorte que pour être capable de «parler à tout le monde» — une faculté apparemment considérée comme une grande vertu par ces «sages» —, il faut adopter le genre d’apaisement fondé sur une attitude morale corrompue que nous voyons ici à l’oeuvre dans le cas du Soudan. Rien ne dessert autant la liberté que de telles veuleries morales bien intentionnées.
Concrètement, Carter et ses amis s’appliquent à dédramatiser la situation du Darfour dans les esprits. Bien qu’il soit établi que le conflit fait intervenir des haines raciales, des massacres ciblés et programmés de populations civiles, des destructions massives de leurs sources de subsistance (cultures, bétail et eau potable), des viols systématiques (avec marquage du visage des femmes, de sorte qu’elles soient ostracisées dans ces sociétés musulmanes rigoristes), les nouveaux «sages» veulent croire que les auteurs, les commanditaires et/ou les bénéficiaires de ces actes font partie de la solution. Quel meilleur encouragement, pour ces derniers, à conserver leurs méthodes, avec simplement un peu plus de discrétion, le temps que la caravane des «sages» soit passée…
Si l’on peut admettre que le simple apaisement, même seulement provisoire, est toujours une forme d’amélioration et permet au moins de déplacer le conflit sur un terrain moins sanglant, il a pour effet secondaire de placer, peu ou prou, les victimes sur le même plan que les tortionnaires, ce qui est profondément immoral. L’immoralité peut-elle être une solution à la violence et à la haine? On peut certes le croire, en s’imaginant que la fin — ici, la paix — justifie le moyen, cette tromperie ostensiblement bien intentionnée. Il y a là, sans doute, chez certains, une sorte d’aspiration à une forme d’intelligence supérieure ou de «sainteté». Mais la sainteté n’est jamais qu’un effort tout individuel, une exception, fort rare, et dont personne n’a le droit de préjuger — en faire une politique est forcément une erreur. Ou un mensonge. Ou, sans doute le plus souvent en l’espèce, les deux.
Sans réfléchir aussi loin, en règle générale, je pense que la grande erreur des partisans sincères de l’apaisement est de croire sans réserve à la bonté intrinsèque de l’homme. Bien sûr, c’est vrai, tout le monde aime vivre en paix. Au départ. Mais il existe des comportements, des systèmes de pensées, des rites, des habitudes, des histoires qu’on raconte ou des «sagesses» qu’on nourrit, bref des idées qu’on entretient, qui instillent dans l’âme des gens la certitude que leur paix n’est possible qu’en l’absence de certains autres, qu’il faut dominer ou, lorsqu’ils gênent, éliminer.
Certaines de ces idées, la grande majorité d’entre elles, sont bénignes et peuvent être surmontées aisément la plupart du temps (et peut-être la principale caractéristique simplement humaine de ce qu’on appelle la civilisation consiste-t-elle à offrir un maximum de soupapes à ces idées). D’autres sont terribles, envahissent les plus profondes convictions, dénaturent les plus puissants sentiments, pourrissent les plus grands idéaux, s’imposent dans tous les domaines de la pensée et de la vie, dans tous les gestes, bons et mauvais, des gens qui s’en approchent, et persistent pendant des siècles et des siècles. Là où l’une d’elle s’installe, il n’est pas de création, pas d’activité artistique ou scientifique, pas de qualité élevée qui ne doive être consacrée à sa seule gloire. Et tout le reste dépérit.
Dans une telle situation, l’apaisement, même saint, sert toujours de combustible à la haine, car le terrain lui-même est défavorable. La base même de l’humanité présupposée (l’amour du prochain, de la paix, de la fraternité) est inaccessible, trop encombrée de certitudes acquises par la répétition, par l’admission collective, sans remise en question, de l’illusion d’une barrière définitive entre les êtres. Dans une telle situation, tout, le bien comme le mal, la guerre comme l’apaisement, peut servir de combustible à la haine. Dans une telle situation, peu importe que l’on veuille procéder par la fermeté ou par l’apaisement, il faut absolument commencer par cesser d’administrer le poison.
Le quotidien turque Aksam’s (traduit par MEMRI, puis par votre serviteur) annonce en première page que la nouvelle poupée islamique Elif a supplanté la poupée Barbie dans les magasins de jouets du pays, où les jouets islamiques connaissent un engouement croissant, de même que les versions islamisées de jeux de société:
La poupée Elif s’agenouille et fait le namaz (prière islamique). Quand on appuie sur ses mains, ses pieds et sa poitrine, Elif récite diverses sourates du Coran en arabe et psalmodie des prières islamiques en turc. Parmi les accessoires de la poupée Elif, on trouve un petit ordinateur portable qui enseigne aux petites filles de deux à six ans les rudiments des règles islamiques et des rites du namaz.
Il n’est jamais trop tôt pour bien faire.
C’est ce que laissent clairement entendre Günter Wallraff et Klaus Staeck, deux piliers de l’intelligentsia allemande de gauche – c’est un événement (merci PI). Jusqu’à présent, en effet, seuls des personnalités de droite s’étaient risquées à proposer que l’Islam puisse être une religion particulière (oui, avec Fourest qui fait exception à cette règle, quoiqu’au fond, pour elle, toutes les religions se valent).
Wallraff a qualifié de «totalitaire» une «religion qui, comme l’Islam, considère la conversion comme un péché mortel». «Accepter et tolérer l’intolérance de l’autre témoigne d’une tolérance mal comprise, ou de lâcheté.» Staeck fit notamment valoir que «l’opposition manifestée par les coreligionnaires des auteurs d’attentats-suicide est si molle et si faible qu’elle me rend fortement anxieux».
C’est énorme, même si les deux hommes ajoutent bien sûr que le dialogue doit être préservé et intensifié avec les Musulmans et qu’il faut absolument les sortir de leurs ghettos sociaux, notamment en leur fournissant des lieux de culte qui aient pignon sur rue. Il ne leur reste plus qu’à comprendre que la solution ne se trouve pas dans la pratique publique de la religion islamique. Et à bien y regarder, sur ce point, la gauche a toujours une chance de dépasser la droite.
UPDATE: En fait, la gauche a aussi ses précurseurs dans le domaine. Georges Marchais, par exemple.
L’idée est proposée par des Arabes chrétiens américains de l’ACP, Arabic Christian Perspective. Voici leur introduction:
Nous autres, de l’Arabic Christian Perspective, avons souvent entendu dire que l’Islam est une religion de paix. Nous pensons que cela n’est pas vrai. En lisant le Coran, on constate que les auteurs d’attentats-suicide ne sont pas des marginaux fanatiques évoluant à l’extrême périphérie de l’Islam, mais qu’ils sont en fait les vrais et authentiques croyants, qui suivent au plus près les enseignements du Coran et de l’exemple du prophète de l’Islam, Mahomet.
Pour démontrer cela, ils cherchent depuis quelques années à mettre sur pied un débat public avec des savants musulmans, dans le cadre duquel ils défendraient la thèse selon laquelle l’Islam est une religion de terrorisme. Mais aucun candidat musulman n’était intéressé.
Alors, ils ont décidé d’organiser et de tenir ce débat, avec ou sans contradicteurs. La date avait été fixée au 22 septembre dernier (signalé sur precaution.ch). Cette fois, des Musulmans se sont annoncés – pour demander que le débat soit reporté jusqu’après le ramadan. La nouvelle date est le 3 novembre 2007. Voici le programme, que j’ai reçu par e-mail (le site Internet de l’ACP semble connaître quelques problèmes, sa page d’accueil est vide, par exemple). Le débat opposera Nadir Ahmed et Sam Shamoun. À suivre.