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L’assassinat de la France expliqué à ma petite-fille

Voici, disponible en téléchargement gratuit, le livre d’Antigone : «l’Assassinat de la France expliqué à ma petite-fille».

Conçu comme une conversation entre une grand-mère et sa petite-fille, «l’Assassinat de la France expliqué à ma petite-fille» évoque avec simplicité la destruction de notre nation, opérée ces 40 dernières années.

«Simpliste», «raciste», «xénophobe», «islamophobe» ou «incomplet» diront certains, mais nous n’en avons cure car, en dépit de ses imperfections, nous savons que ça n’est pas le cas. Ce livre n’a pas la prétention d’être une étude historique ou sociologique, mais simplement de vous faire lire une conversation argumentée, comme on pourrait en avoir avec un enfant ou un adolescent pour qui la France que nous avons connue ressemble à un paradis perdu et qui voudrait qu’on lui raconte le «comment» et le «pourquoi».  

C’est une charge contre le politiquement correct et ce multiculturalisme criminel, véritables trous noirs engloutissant nos identités. Si vous préférez le «vivrensemble», la «France d’après» et le «métissage obligatoire» ou que pour vous l’islam est une religion «d’Amour, de Tolérance et de Paix», passez votre chemin, ce texte n’est pas fait pour vous.

Ce livre a été élaboré par Antigone sur le forum du site LibertyVox entre le 6 décembre 2008 et le 6 avril 2009.

L’auteur portait en elle ce projet depuis longtemps et a eu l’idée originale de faire partager les étapes de sa conception sur un forum public de façon interactive.

Il a fait l’objet de nombreux échanges entre l’auteur et les internautes à mesure qu’il s’écrivait. Antigone débattait avec ses lecteurs, tenait compte des remarques, et faisait évoluer son texte.

Pour le télécharger, cliquez sur ce lien : http://www.libertyvox.com/files/Antigone_Assassinat_de_la_France.pdf

Pour laisser un commentaire à Antigone, rendez-vous sur le fil «L'assassinat de la France expliqué à ma petite-fille» à l’adresse suivante :
http://www.libertyvox.com/phpBB/viewtopic.php?f=5&t=2853

Ou via la page "contacts" de notre site :
http://www.libertyvox.com/contacts.php


La Rédaction
LibertyVox

 

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B
<br /> JE PROPOSE DE REMPACER notre chant laMarseillaise, par le chant de P.Perret la bête est revenue...<br /> <br /> <br />
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J
<br /> Temoignage<br /> <br /> Mon nom est jérôme. J'ai bientôt quarante ans et je tape ces lignes depuis un pays de la lointaine asie.<br /> Je suis un de ceux qu'on appelle les expat'.<br /> <br /> Voilà bientôt 10 mois que nous avons quitté la France.<br /> <br /> Vous savez ce que c'est : à force d'y naître depuis quelques siècles, d'y vivre, d'y grandir, d'y avoir sa famille, ses amis et sa vie professionnelle, on finit par s'y habituer tout de même un<br /> peu.<br /> France, je t'aimais bien. Beaucoup, même. Et tu sus me décevoir autant que je t'aimai, car on n'est jamais si bien déçu que par ceux que l'on aime vraiment.<br /> <br /> Alors, de guerre lasse, nous nous sommes retrouvés un beau matin à Charles de Gaulle, ma femme, ma fille et moi avec nos valises.<br /> Oh, je sais bien ce que beaucoup pourront m'objecter, car le reproche est facile et vient immédiatement à l'esprit : lâche, couard, pleutre, tu désertes le champ de bataille au plus fort du combat,<br /> tu tournes les talons et fuis face à un ennemi contre lequel nous, nous n'avons pas baissé les bras et continuons à lutter. Tu ne mérites pas le titre ou le nom de français, nous te renions<br /> etc…<br /> À tous ceux qui m'accuseront de couardise, je répondrai ceci : bien qu'ayant beaucoup de défauts par ailleurs, la peur face à une entreprise, même désespérée (et oserai-je dire, SURTOUT si elle est<br /> désespérée, car j'ai toujours admiré chez mes compatriotes cette notion qui les imprègne, que les Français peuvent perdre oui, mais avec PANACHE !) ne m'a jamais fait reculer.<br /> <br /> Non, si nous avons pris cette décision, de chercher une autre terre pour y vivre, c'est surtout, c'est uniquement même, par dégoût.<br /> La lassitude. L'écœurement. La détresse. Le désespoir.<br /> <br /> C'est une chose que de lutter contre un ennemi supérieur en nombre, supérieur en volonté de combattre, décidé à vous éradiquer de la surface du globe vous et toute votre culture, vos acquis, vos<br /> trésors, vos arts et votre histoire plurimillénaire.<br /> C'en est une autre que de voir ceux qui sont censés représenter la volonté du peuple ouvrir toutes grandes les portes de la civilisation et offrir à l'envahisseur (et contre leur gré) les vierges<br /> que la religion de ces barbares réclame.<br /> <br /> C'est une douleur constante, une révolte de tous les jours, qui vous soulève le cœur à la vue de ces parodies d'êtres humains qui parcourent nos rues et que j'appelle fantômes, misérables créatures<br /> soumises comme il se doit au bon vouloir de leur maître absolu.<br /> C'est une rage difficilement contenue qui fait que jamais je n'ai osé franchir le pas et posséder une arme blanche chez moi, alors que j'adore les épées (surtout les claymore, ces longues épées de<br /> taille que les highlanders écossais maniaient avec une telle dextérité qu'ils pouvaient vous trancher d'un coup un homme de bas en haut). Bien m'en prit : maintes fois la colère me submergea,<br /> lorsque je vis le comportement de ces conquérants dans notre bonne vieille France, et leur mépris ouvert pour le pays qui les avait si bien accueillis.<br /> Pour tout dire, si je m'étais laissé allé à ces coupables penchants pour les belles lames, on m'eût certainement vu en manchette des journaux nationaux avec un de ces titres bien gras et racoleurs<br /> qui tachent les doigts du lecteur avide ("Pris d'une crise de folie subite, il descend d'un même mouvement dix arabes et en bas de chez lui… La police s'interroge sur les motivations qui gnagnagna,<br /> un père de famille sans casier judiciaire que blablabla…"). Et puis, pour le 20 heures, je ne sais si j'eusses osé demandé à ma vieille maman de jouer les mère éplorées, mais dignes ("Je réprouve<br /> l'acte, j'approuve le motif. Ce n'était pas un bon petit, c'était un homme…") ou de donner dans la fantasia méridionale dont tant de fantômes à tchador nous font la grâce à chaque "Chance pour la<br /> France" blessée par une police bien entendu criminelle et racisss'. Une petite comédie assez enlevée, pleine de demis-singes en casquette avec futal trois tailles trop grand, de bagnoles qui<br /> brûlent en arrière-plan, de youyous, de burquas,  et de "C'était un bon pt'iiit, ouarallaah y s'est laissé entraîner, c'est la polisss' qu'a provoqué, d'abord c'est tous des voyous la poliss'<br /> pis les françaouis c'est tous des grokonraciss'"…<br /> <br /> Pour faire bref, ce n'est pas l'envahisseur qui m'a fait fuir. Ce sont ces gens que l'on appelle pompeusement nos "élites".<br /> Ces maires de communes ayant baissé bien bas leur pantalon comme on baisse pavillon devant le sabre et le croissant, ces grandes et nobles âmes de gôôôche, toujours prêtes à pourfendre le<br /> grokonraciss' qui, lui, paie plein pot l'addition salée de leur "humanitaire" à la con de dame patronesse en mal de chti nèg' à nourrir.<br /> Ces ministres de la république qui restent à leur poste la tête haute après avoir fait l'apologie de pratiques sexuelles crapoteuses dans des opuscules vendus en librairie, ces journaleux gominés<br /> au double menton proéminent, gardiens de la morale et de la vertu républicaine de l'accueil des nécessiteux de tout poil, dont le cul bien carré dans leur fauteuil moelleux sait tout de la profonde<br /> misère qui accable un peuple qu'ils voient en ombres chinoises derrière les vitres fumées de leur Safrane de fonction.<br /> Ces sénateurs intègres rotant leur fromage de midi au creux du coude, la tête confortablement calée sur leur maroquin de cuir dans la douce quiétude du sénat.<br /> Ces "stars" du showeu-bizeu, pauvres lucioles intermittentes (du spectacle), dont le seul titre de gloire aura été de brâmer comme un cerf en rut dans un concours de radio-crochet pour <br /> décérébrés ou d'être pédé comme un phoque et de polir consciencieusement l'organe d'un quelconque amuseur télévisuel et non, je ne parle pas ici de la voix dudit comique "qui a tout essayé", voire<br /> même pour rester dans la catégorie des amuseurs publics d'avoir pour seul mérite, gloire et talent d'être né maghrébin et manchot, ce qui vous ouvre désormais à coup sûr toutes grandes les portes<br /> du Saint Graal médiatique, ou mieux, les grands écrans du cinéma où, malgré une pauvreté d'esprit et une inculture crasse, tout cocaïnomane et batteur de femmes que vous soyez, on vous fera jouer<br /> dans des films de gôôôche tout à la gloire de beaufs irresponsables déboulant à 200 à l'heure sur le périph' marseillais ou des oeuvres de propagande que n'aurait pas renié le maréchal Goering à<br /> ses plus belles heures dans le but avoué de culpabiliser et de bafouer la dignité du pays qui eut le malheur de faire venir un jour sur son sol les "frères" de l'oumma…<br /> Ces associations d'aide aux pauv' sans-papier, gavées de bonne conscience et de manne républicaine, dont le seul credo, le confiteor semble être "Laissez les petits miséreux venir chez vous et<br /> laissez-nous votre portefeuille en sortant, merci…", sans pensée aucune pour le nombre de chômeurs et de citoyens misérablement sous-payés par la grâce de cette immigration massive tirant les<br /> salaires et les droits des travailleurs vers le bas.<br /> <br /> Pour toutes ces raisons, et parce que je ne veux pas que mes vieux jours soient entachés d'un ulcère (c'est très mauvais de contenir sa rage constamment. Et être ulcéré, dans tous les sens du<br /> terme, est une expérience somme toute très désagréable), plus jamais je ne mettrai les pieds en France, sauf si j'y suis contraint et forcé.<br /> <br /> À moins, bien évidemment, mais la chose relève de l'illusion pour ne pas dire du pur délire, voire du delirium tremens, que le président actuel ne prenne la mesure du danger qui menace le pays et<br /> ne prenne des mesures énergiques et salutaires pour mettre un terme à ce mal qui ronge la France depuis déjà des décennies.<br /> Au hasard, sait-on jamais, je donne quelques pistes : l'Ukraine dispose à l'heure actuelle de plus de 7.000 unités navales, dont une grande majorité encore en état de flotter, qu'elle serait à coup<br /> sûr enchantée de nous louer ou céder à bon prix, pour une petite croisière France-Terre Adélie (territoire français me semble-t-il), où les compétences et le mal de vivre de djeunz qui z'ont des<br /> problèms' de djeunz tu 'ois de nos chères têtes brunes et frisées pourraient enfin s'épanouir pleinement au milieu des pingouins sans préjudice pour qui que ce soit…<br /> Un éventuel échange culturel France-Cor&e<br /> <br /> <br />
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P
Un extrême qui critique une extrême, rien d'intéressant en soit a part un racisme prédominant et une volonté de persuader les visiteurs du site d'adhérer aux idées avec des infos très doûteuses, pour ne pas dire fausse depuis le XIXème siècle.Nul.
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G
Le mot résistance a dans votre bouche une drôle de consonnance... peut être pourriez vous revenir à ses racines !
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