Le bulletin de réinformation de radio courtoisie
envoyé par gelg
Les inhumanistes
Zentropa
Ce qu’il y a de plus insupportable et, disons-le, de profondément abject dans la posture du gauchiste contemporain c’est sans doute la véritable et totale sécheresse de cœur que masque son humanitarisme superficiel et larmoyant.
Car si le gauchiste ne supporte pas le spectacle de la misère c’est parce que celui-ci dérange son confort et l’empêche de jouir en toute quiétude morale de son satut de petit bourgeois bien à l’aise dans le conformisme du temps.
La confrontation visuelle avec la pauvreté et le malheur (son esprit matérialisto-occidentalisé jusqu’au trognon l’empêchant d’imaginer une quelconque différence entre les deux situations…) lui est insupportable car elle agresse sa tranquilité. Il cherche donc à toutes forces à dissiper cette vision qui le torture quotidiennement.
Peu importe si cette disparition n’est que ponctuelle, factuelle, voir virtuelle ou porteuse de maux futurs encore plus importants et dramatiques… Fis des catastrophes à venir tant que celles-ci ont le bon goût de se tenir éloignées de lui et de son téléviseur.
Quel qu’en soit le coût, il faut que son âme s’apaise et se réjouisse bien vite du doux sentiment du devoir accompli.
Le gauchiste confond ainsi ontologiquement mauvaise conscience et charité sincère.
Notre ami le gauchiste s’auto-congratule donc avec délectation de son courageux militantisme en faveur de la régularisation des clandestins et de la promotion de l’immigration sans contrôle même si cet activisme imbécile et sans risque fait en réalité de lui le fourrier empressé du plus écoeurant des néo-esclavagismes. (Lire la suite…)
L’article 88-5 de la constitution sera aboli… en faveur de la Turquie !
L’avant-projet de loi sur la réforme de la Constitution française en vue de l’adoption du “mini-traité” européen de Lisbonne, véritable clone de la Constitution eurofédéraliste de Giscard prévoit bien de supprimer l’article 88-5 de la Constitution française: il prévoit l’obligation pour le Président de la République de consulter les citoyens par référundum sur toutes les futures adhésions à l’Union, après la modification cosntitutionelle du le 25 février 2005 par le Sénat et l’Assemblée nationale, réunis en Congrès à Versailles. Ce “cadeau” nous avait été laissé par Chirac en vue de l’adhésion de la Turquie, puisqu’il ne concernait ni la Croatie, ni la Roumanie, ni la Bulgarie…
“Les promesses n’engagent que ceux qui y croient…” disait Pasqua, le “parrain” de Sarkozy… Vous aurez et la Constitution eurofédérale, libérale et mondialiste et la Turquie… pillié de l’Otan, ennemi héréditaire de la Russie et principal allié des Américains et d’Israël dans la région Méditéranée.
Source : Action Française étudiante
La Turquie aime l’Europe
Islam, analphabétisme, pauvreté
L’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO) a lancé mardi [2 janvier dernier] un signal d’alarme devant le nombre élevé d’analphabètes dans le monde arabe.
Selon l’organisation panarabe, qui se réfère aux chiffres publiés par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), sur une population globale de quelque 335 millions d’âmes, 99,5 millions sont analphabètes, soit près du tiers de la population de l’ensemble des 21 pays arabes (29,7%). Le phénomène touche les personnes de plus de 15 ans. Il affecte quelque 75 millions d’individus de la tranche d’âge de 15 à 45 ans, dont près de la moitié de femmes (46,5%).
Dans un communiqué publié à l’occasion de la journée arabe de lutte contre l’analphabétisme, l’ALECSO dont le siège se trouve à Tunis, déplore que les nombreux efforts déployés à l’échelle du monde arabe pour venir à bout de l’analphabétisme n’aient pas donné les résultats escomptés.
Elle formule plusieurs suggestions pour remédier au fléau, notamment la généralisation de l’enseignement de base, l’adoption de législations contraignantes en matière de lutte contre l’analphabétisme, l’intensification des campagnes ayant pour but l’alphabétisation des filles et l’implication de la société civile arabe dans cette action.
Les Etats arabes ont adopté en juillet dernier un plan d’action initié par l’ALECSO dans le but de promouvoir l’éducation et préconisé une collaboration avec des organismes régionaux et internationaux spécialisés.
*** D’autre part, selon la Banque Islamique du Développement (BID), 400 millions de musulmans vivent sous le seuil de pauvreté.
Dans une interview publiée par le quotidien « Al Hayat » en décembre dernier, le directeur de la BID, M. Ahmed Ali, souligne que l’objectif de la Banque Islamique du Développement est de collecter 10 milliards de dollars, auprès des 30 pays parmi les Etats membres de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI). « Ces fonds seront investis et fructifiés dans des projets à faible risque et dont les dividendes serviront à aider les populations musulmanes les plus pauvres », a-t-il précisé.
Ahmed Ali a ajouté, à cet égard, que « 29 des 56 pays membres de l’OCI sont classés parmi les Etats les plus pauvres de la planète, ce qui sensibilise davantage la BID pour remédier à ces problèmes ». Pour y parvenir, la BID a mis en place un plan de développement quinquennal qui sera lancé dans les semaines à venir, soit début 2008.
Sources :
La Tribune
mediarabe.info
Ils ont dit…
Malgré l’affaire Dutroux qui a créé dans l’opinion publique un traumatisme profond et durable, les lobbies spécialisés n’ont jamais renoncé à obtenir la légalisation de la pédophilie. Là comme ailleurs, il s’agit de travailler les mentalités afin que la pédophilie soit un jour considérée comme une orientation sexuelle comme une autre.
Le travail de sape de ces lobbies a connu son acmé dans les années 70. En 1975, Daniel Cohn-Bendit pouvait très librement écrire dans son livre « Le Grand Bazar » :
‘Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: ‘Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?’. Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même’.
Et d’ajouter dans une interview publiée à la même époque dans un journal allemand :
‘Mon flirt permanent avec les enfants prit bientôt un tour érotique. Je pouvais parfaitement sentir comme les petites filles de cinq ans avaient appris à m’exciter (…) il m’est arrivé que, plusieurs fois, des enfants m’ont ouvert la braguette et ont commencé à me caresser. Selon les circonstances, j’ai réagi de façons diverses. Quand ils le voulaient, je les ai caressés ; alors on m’a accusé de perversion’.
En mai 1977, l’incontournable Libération informe ses lecteurs de la création du FLIP, le Front de Libération des Pédophiles. ‘Qui sont ses membres ?’ demande le journal, qui répond : ‘Pour l’essentiel, des lecteurs de Libération’… La première réunion du FLIP s’est tenue très officiellement dans les locaux du campus universitaire de Jussieu (Paris 6-Paris 7). La « plate-forme revendicative » du FLIP, élaborée lors de cette première réunion comporte les points suivants :
— Combattre l’injustice pénale et mener une réflexion critique sur la famille et l’école, fondée sur une analyse politique de la sexualité entre mineurs et adultes.
— S’associer à la lutte des enfants qui veulent changer leur mode de vie et de tout groupe politique qui vise à l’établissement d’une société radicalement nouvelle où la pédérastie existera librement.
— Développer une culture pédérastique qui s’exprime par un mode de vie nouveau, et l’émergence d’un art nouveau.
— Prendre la parole dans des organes d’information qui lui en donnent les moyens et par les voies qui s’imposent.
— Manifester sa solidarité avec les pédophiles emprisonnés ou victimes de la psychiatrie officielle.
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Ethnopolitique : travaux pratiques africains
par Pierre Vial
A ceux qui prétendent que le facteur ethnique est négligeable dans les rapports entre populations, l’actualité apporte un cinglant démenti avec ce qui se passe au Kenya. Même Le Monde – c’est dire ! – est obligé de titrer en première page (2 janvier 2008) : « Le Kenya s’enfonce dans la violence interethnique ». Est considérée comme particulièrement inquiétante, à l’échelle internationale, « la multiplication d’affrontements interethniques dans un pays jusqu’ici considéré comme un pôle de stabilité et un exemple de développement économique prometteur ».
Le Kenya est le pays le plus important d’Afrique de l’Est. Ancienne colonie de la Grande-Bretagne (jusqu’en 1963), le Kenya avait jusqu’à présent la réputation d’être une oasis de stabilité (taux de croissance de 6,1 % en 2006) au sein d’une Afrique orientale très instable, du fait de conflits ethniques, multiséculaires, qui ont repris plus fortement que jamais à partir de la fin de l’ère coloniale (les Britanniques étant des gens réalistes savaient parfaitement, à la différence des Français aveuglés par leurs a priori idéologiques, que les confrontations ethniques sont depuis toujours la clé du théâtre africain). Du port kenyan de Mombasa, sur la côte de l’océan Indien, part une route qui est une artère vitale pour les pays de la région des Grands Lacs, du Rwanda à l’est du Kongo-Kinshasa et jusqu’au sud du Soudan. Par cette route transite une bonne partie du ravitaillement de ces régions (en Ouganda, le manque de carburant paralyse déjà le transport aérien). Or cette route est coupée par des barrages.
Le Kenya, dont la population est composée de 70 ethnies tribales, est aujourd’hui un terrain d’affrontement entre deux puissantes ethnies, les Kikuyu – l’ethnie du président Kibaki, qui vient d’être réélu dans des conditions douteuses (fraude électorale) – et les Luo, l’ethnie de Raiula Odinga, rival de Kibaki et qui affirme, en tant que victime de tricheries, être le vrai vainqueur des élections… Le Monde, bon gré mal gré, est obligé de reconnaître la réalité d’une guerre ethnique : « Dans plus de la moitié du Kenya, notamment dans l’Ouest, où les routes sont coupées depuis plusieurs jours, les émeutes ne mettent pas seulement aux prises forces de sécurité et opposants frustrés par les élections, mais se compliquent d’interactions entre rivalités ethniques et politiques, laissant planer la menace d’une conflagration majeure ».
Et le quotidien des bourgeois branchés doit admettre, la mort dans l’âme, que le phénomène ethnique est récurrent : « L’adhésion politique, dans le pays, est souvent dépourvue de base idéologique, mais repose sur l’appartenance d’un leader à une communauté. Avant le scrutin, 39 % d’électeurs avaient admis, dans un sondage, qu’ils choisissaient leur candidat sur une base purement ethnique » (comme toujours dans ce type de sondage, le pourcentage réel doit être beaucoup plus élevé). Déjà, en 1997, l’ex-président Daniel Arap Moi, appartenant à l’ethnie Kalenjin, avait orchestré une vague de violences contre l’ethnie kikuyu.
A la date où j’écris ces lignes (jeudi 3 janvier 2008) il y a déjà plusieurs centaines de morts. Au moins 35 personnes, appartenant à l’ethnie kikuyu, réfugiées dans une église, ont été brûlées vives par de très jeunes gens appartenant à une ethnie rivale : « preuve est faite, se lamente Le Monde, que les troubles mêlent ethnies et politique, jusqu’à l’horreur ». Eh oui, pauvres jobards, malgré toutes vos rêveries droitsdel’hommistes, les réalités ethniques sont têtues…
La méconnaissance absolue des réalités africaines et, donc, des impératifs ethniques, est illustrée par la pantalonnade de l’Arche de Zoé. Les gogos s’apitoient, à grand renfort de jérémiades, sur le sort des zozos embringués dans cette affaire. Alors que ces gens ont commis une faute impardonnable : se mêler d’affaires africaines, avec une arrogance typiquement occidentale, alors qu’ils ne connaissent rien à l’Afrique. C’est ce qu’exprime avec force Bernard Lugan (cet universitaire africaniste connaît, lui, très bien, ce continent complexe) dans des propos confiés à La Nouvelle Revue d’Histoire (n° 34, janvier-février 2008, à lire absolument), au sujet des apprentis sorciers de l’Arche de Zoé : « Au nom des bons sentiments, ils se sont immiscés avec une scandaleuse arrogance dans des rapports sociaux complexes dont ils ignoraient tout et n’ont rien voulu connaître ». Les « humanitaires » occidentaux, qui prétendaient vouloir sauver des orphelins (leurs motivations réelles restant opaques) sont apparus, à juste titre, comme des voleurs d’enfants. L’explication, simple, est donnée par Bernard Lugan : « L’individu n’existe pas en Afrique. Il est indissolublement lié à son lignage par un réseau complexe de solidarités et de dépendances dont il n’est pas question pour lui de s’extraire. Plus généralement, l’organisation sociale africaine est communautaire. Elle est fondée sur la famille élargie. Dans ce type de société, l’enfant est à la fois le rejeton du couple et du groupe. Il ne peut y avoir d’orphelins au sens occidental du mot. Un enfant qui perd son père et sa mère est tout naturellement pris en charge par une tante, un oncle, un grand-père, des cousins, un grand frère déjà marié ou par tout autre membre du lignage ou du clan ». Les Européens sont, hélas, incapables de comprendre cela car ils ont perdu tout sens d’appartenance et de solidarité communautaires ethniques.
Ajoutons que cette affaire a été, pour les Africains, une bonne occasion de régler quelques comptes raciaux avec ces Blancs qu’ils haïssent et envient : une avocate des gens de l’Arche de Zoé, après le verdict qui a frappé ses clients, a eu ce mot de vérité : « Ils ont été condamnés parce qu’ils étaient Blancs ». Cette déclaration, lâchée sur les ondes de France-Info, a été censurée dans les minutes qui ont suivi et n’a pas été repassée (alors que France-Info diffuse en boucle). Surtout, ne parlons pas de choses qui fâchent…
Quant au Darfour, dont les soubresauts ont été invoqués par les gens de l’Arche de Zoé comme justification de leur bizarre entreprise, cette région occidentale du Soudan, aussi vaste que la France, est – tout comme le Tchad voisin – le terrain d’une guerre « ethnique, raciale et politique ». Car, explique Bernard Lugan (toujours lui !), « elle oppose des tribus dites « arabes » à des tribus africaines noires ou d’origine berbère. Les premières soutiennent le pouvoir central soudanais, les secondes le combattent ».
Comme quoi, si on s’intéresse au labyrinthe africain et qu’on ne veut pas mourir idiot, il faut lire Lugan.
source : http://www.terreetpeuple.com
Invasion du territoire : la Turquie exige les excuses d’une chaîne allemande
La Turquie, en la personne de son Ministre des affaires étrangères, exige les excuses de producteurs (allemands) qui, dans un reportage à la télévision allemande ont évoqué des affaires de criminalité et d’inceste dans le milieu alevi (l’alevisme est une branche de l’islam - 700.000 turcs alevis vivent an Allemagne).
L’émission aurait donné, selon la Turquie, « une représentation humiliante de la foi des citoyens Turcs, en particulier des Alevis. Les allégations malsaines et les accusations ont profondément choqué toute la nation turque, particulièrement les citoyens alevis qui respectent l’islam et les traditions etc… » (source)
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Nous vous passons les détails de l’affaire. Il s’agit cependant d’un pas significatif dans la stratégie d’intimidation généralisée des pays musulmans envers les européens. On donne désormais du ministre.
Source : http://www.fdesouche.com
5.540.000… C’est le nombre de bébés nés an Chine le 1er janvier 2008.
0% racisme 100 % identité : le sens d’un slogan
“0% racisme 100% identité”, ce n’est pas un slogan publicitaire ou le cache-misère d’une xénophobie mal assumée, c’est avant tout et surtout un état d’esprit. La conscience que chaque terre appartient au peuple qui l’a façonnée et que rien ni personne ne peut en déposséder ses héritiers. Il n’y aucune raison d’opposer les mouvements identitaires entre eux, chacun travaille main dans la main vers l’idéal d’une coexistence saine parce qu’absolument respectueuse de l’intégrité territoriale, ethnique, linguistique et culturelle de chacun. Les patriotes authentiques ne se font pas la guerre, ils avancent côte à côte vers un idéal commun : un monde de diversité des cultures et des identités, protégées par des frontières maîtrisées qui n’excluent pas l’échange enrichissant pour l’un et l’autre.
Pour que des échanges enrichissants puissent se faire entre les peuples, encore faut-il que le droit à la différence soit une réalité ; dans le cas inverse, il n’y aurait plus rien à échanger pour la simple et bonne raison que les peuples, complêtement acculturés, auront laissé place à une armée de clones.
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Euronews s’arabizz
La Commission européenne, soucieuse de véhiculer auprès des populations arabophones ses valeurs de cosmopolitisme, de destruction des Nations, et de libéralisme économique sans borne, le tout sous couvert de démocratie et de droits de l’homme, vient de faire un appel d’offre visant au lancement d’un canal d’information en langue arabe.
C’est Euronews qui a remporté l’offre, et qui embauchera 35 personnes pour ce faire. Les critères d’embauche n’ont pas été précisés…
Philippe Cayla, PDG d’Euronews s’est donné pour objectif de « toucher les populations arabophones en Europe… mais aussi dans le bassin méditerranéen ». Nous voilà soulagés.
Il précise que tout cela est possible grâce à « la volonté de la Commission européenne de tenir informer les personnes immigrés en Europe, dans leur langue et dans leur environnement ».
Novopress, de son côté, s’inquiète de l’information des populations européennes en Europe, dans leur langue et dans leur environnement.
LeBerlioz pour Novopress
[cc] Novopress.info, 2007, Article libre de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]
Subversion alimentaire
L’islamisation du football
On parle beaucoup de l’islamisation dans les domaines culturels, politiques, associatifs ; mais cela concerne également le domaine sportif à commencer par le football. Sport le plus médiatisé au monde, le football est connu de tous. Que l’on soit fan ou non de ce sport, on connaît tous au moins quelques noms d’équipes et de joueurs. Après la religion, le football est incontestablement le vecteur qui arrive le plus à unifier les peuples.
L’islam gagne du terrain de jours en jours, cela est surtout le cas pour le continent européen. Le football, véritable opium du peuple européen, n’échappe pas à cette montée de l’islam. En lisant le magazine France Football paru mardi dernier, j’ai pu constaté une nouvelle fois le fort impact de l’islamisation dans ce sport.
Franck Ribéry, élu « meilleur joueur français » de cette année, fait la une du magazine. Franck Ribéry, européen de souche, est célèbre pour ses exploits sur les terrains mais également pour sa conversion (très médiatisée par ailleurs) à l’islam. Pas un seul match des Bleus à la télévision sans que l’on voit Ribéry faire sa fameuse prière musulmane. La conversion de Ribéry à l’islam permet à l’actuel joueur du Bayern de Munich d’être le « chouchou » des jeunes musulmans vivant en France. Certes, il n’est pas « rebeu » comme « Zizou », mais en se convertissant à l’islam, il prouve au moins que ce n’est pas un « mécréant ».
Jouant au Bayern de Munich depuis le début de la saison, Ribéry se déclare heureux de son intégration dans son nouveau club et il se dit particulièrement touché que le staff du club munichois lui prépare des plats « hallal ».
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L’inéxorable suicide de l’Europe
L’administration bruxelloise admet officiellement qu’il entre chaque année dans l’Union européenne, quelque 550 000 immigrés en provenance d’Afrique, du Moyen-Orient et de la Chine, plus des Sud-Américains andins. En réalité, il s’agit du double, c’est-à-dire plus d’un million.
Nous allons voir brièvement ce qu’il en est pays par pays.
L’Italie tient la palme ces temps-ci. Il a fallu pour qu’on le sache, qu’un Tzigane agresse, viole et tue une jeune Italienne. Rome, alors, s’est vue contrainte de révéler que l’Italie, un pays encore plus mal gouverné que la France, ce qui n’est pas peu dire, compte désormais 3,7 millions d’immigrés, chiffre officiel, que 700 000 nouveaux arrivants ont été enregistrés en 2006 et que 560 000 Tziganes s’y sont fixés.
Plus de 100 000 d’entre eux sont arrivés depuis le 1er janvier 2007, donc en dix mois.
Plus de 50 % de la délinquance en Italie est le fait de ces « Roumains ». Il entre, par ailleurs, en Italie, chaque année, via l’île de Lampedusa quelque 60 000 immigrés en provenance de Tunisie et de Libye où le colonel Kadhafi reconnaît lui-même que son pays est envahi de « Subsahariens » qui attendent de gagner l’Europe et qui vont finir par y arriver. De façon générale, il est facile, apprend-on, de pénétrer en Europe par l’Italie où l’administration est « laxiste »…
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Nous sommes Français !
Cette phrase est souvent prononcée lorsque certains de nos ressortissants sont en difficulté dans un pays étranger.
Les membres de l’Arche de Zoé l’ont répété sans succès face aux policiers et juges tchadiens.
Le chirurgien Yves Pointevin ainsi que sa femme, l’ont fait quant à eux aux douaniers indiens, qui leur ont confisqué leur passeport suite à la découverte d’une balle (vide), dans leur portefeuille. Ils sont depuis assignés à résidence dans leur hôtel en Inde. Yves Pointevin a déclaré : « on est sur une autre planète dans ce pays ».
Tout cela nous montre bien le mépris dont font preuve une partie de nos ressortissants, qui vont dans des pays exotiques y réaliser des choses plus ou moins légales, et qui s’étonnent que la loi s’applique à eux, les Français, les blancs.
Pourtant, les ressortissants étrangers en France se plient au code pénal national (ou en tout cas devraient le faire et être sanctionnés en cas de manquement, au même titre que n’importe qui) , et sont en tout cas soumis en théorie au même régime juridique que les nationaux.
Mais nos chers compatriotes en visite hors de nos frontières se croient eux trop souvent au-dessus des lois, invulnérables grâce à leur couleur de peau et leur passeport.
Ces personnes, qui se disent pour l’égalité et contre le racisme, pour l’échange et la découverte d’autres coutumes, devraient faire preuve d’un peu d’humilité, et se comporter dignement, comme des ambassadeurs de la France, lorsqu’ils se déplacent à l’étranger, et ne pas mépriser avec arrogance les systèmes étatiques, juridiques ou moraux des pays qu’ils visitent.
LeBerlioz pour Novopress
[cc] Novopress.info, 2007, Article libre de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]