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Le WEB Résistant est le seul site francophone présentant toutes les références sur les sites de réinformation. Faites-le connaître autour de vous ! Ne restez pas seul, nous sommes nombreux.

Pourquoi j’utilise Novopress chaque jour…

Les initiatives qui changent quelque peu notre perception du monde sont rares et se doivent d’être saluées. Surtout en ce qui concerne le monde particulier de l’information. L’information change le monde, ou du moins la vision que nous en avons. Le pouvoir de ceux qui ont pour mission d’informer est immense. Leur responsabilité aussi. En usent-ils avec sagesse ? A parcourir les dépêches de l’AFP ou les journaux, gratuits ou payants, qui tiennent, par leur diffusion, le haut du pavé, il est permis d’en douter. Ce dont on ne doit pas douter, c’est hélas d’un mélange un peu trop douceâtre d’uniformité et d’insignifiance. Est-ce trop demander que le Figaro ne dise pas la même chose que Le Monde, que La Croix ne copie pas sinon le style en tout cas la vision inimitable de “Libé” ? Sans doute. Et c’est pourquoi il faut aux esprits libres d’autres sources d’information, d’autres supports. Immédiatement !

C’est le cas du travail entrepris par Novopress depuis maintenant de nombreux mois. Une agence de presse engagée et donc, certes, orientée.

Orientée, Novopress l’est assurément. Mais l’on ne saurais dire qu’elle défend spécifiquement la mouvance dont elle est issue. La grande force de l’information, c’est qu’elle est irréductible au commentaire que l’on peut en faire. Et Novopress, c’est d’abord ce formidable travail de collecte de l’information.

Engagée, certainement, engagée à proposer un éventail d’informations que l’on ne trouve pas ailleurs .

Pour le journaliste que je suis, son usage est indispensable. Chaque matin, je retrouve informations, commentaires, analyses que je ne puis trouver ailleurs. Et pour cause. Novopress est unique. Elle fournit une matière brute qui devrait être la base du travail d’information personnelle. Son orientation affichée mais cependant très large en fait une agence de presse originale et alternative.

Contrairement aux apparences, nous avons besoins d’informations car nous manquons d’informations. Nous manquons d’information car ce que l’on trouve sur Novopress ne figure pas ailleurs. Les dépêches de l’AFP, par exemple, sont d’une autre teneur, non moins intéressantes mais différentes. Notre monde a besoin d’une information variée. A quoi sert d’avoir des journaux de multiples tendances si c’est pour commenter les mêmes dépêches ?

Rappelons que du temps où le fondateur Hubert Beuve-Mery du Monde n’était pas encore parti, le principe était de toujours séparer l’information du commentaire.

Novopress apporte donc à ses lecteurs une nouvelle source d’informations brutes.De commentaires sans le commentaire du commentaire… Aux lecteurs d’exercer leur esprit critique, voire d’aller chercher plus ample information ailleurs.

Particulièrement attaché à la pluralité de l’information, j’ai été au regard de mes activités journalistiques témoin de nombreux exemples de censure. Je crois que cette formule d’Agence de presse indépendante a un avenir prometteur. Je gage même que d’autres sensibilités ont lancé ou lanceront également des Agences de presse en ligne (Exemple : le Salon Beige pour les catholiques), afin de faire entendre leur voix. J’attend la multiplication de ces initiatives qui feront tomber les murailles du mensonge et la vacuité de certains média trop bien installés.

La vérité nous rendra libre. Elle passe d’abord par la libre et large diffusion de la pensée, des faits et des opinions.

Je souhaite longue vie à Novopress que je salue amicalement.

Hugues Sérapion
Directeur d’émissions à Radio Courtoisie.


Je suis islamo-négatif.

par Serge de Beketch.*
(Libre Journal de la France Courtoise - n° 308 du 29 novembre 2003)

Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l’islam, je ne suis pas en guerre contre l’islam.

Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres.

Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France. Je nie que l’islam soit une religion.

C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”.

Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs.

Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien.

Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste.

Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France.
Aucune oeuvre d’art, on l’a vu.
Aucune oeuvre de charité non plus.
Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.

Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de l’islam” (la Zakkat. En français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité) ? Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatma a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes ?

Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam.

Aucune oeuvre de progrès, enfin.

On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie.

Mais c’est se foutre du monde ! Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans. Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ?

Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme.

La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous.

La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud.L’islam “à la française” est une double absurdité et un crime de haute trahison.

Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation.

Parce que les politiciens renégats qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration.

Ceux qui, aujourd’hui, accablent de leurs injures le Maréchal Pétain et le Président Laval, font bien pire.

La différence entre les Collabos d’hier et les “Coallahbos” d’aujourd’hui, c’est que ni le Maréchal Pétain ni le Président Laval, n’ont jamais invité les envahisseurs.

Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le regroupement familial.

Le Maréchal Pétain et le Président Laval n’ont jamais dit, dans aucun discours, que les occupants étaient « chez eux, chez nous ».

Chirac ne cesse, après Mitterrand, de le répéter. Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs “milices antiracistes” n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui entendent le rester.

Jamais la France n’a été aussi gravement malade.

Infecté par le sida de la “coallahboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif.

Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant !

* Journaliste et écrivain.

Commentaires :
Merci monsieur de Beketch, la divine providence a fait que vous puissiez être aussi clairvoyant et courageux, je vous admire et vous remercie à nouveau pour vos propos.


Ecrit par : D.Mottais | 04.10.2005


Serge de Beketch et la France Courtoise
Monday 8 October 2007     |      In Memoriam     |      Email    |      Print

Serge de Beketch et la France Courtoise

Serge de Beketch nous a quitté dans la nuit du 6 au 7 octobre – jour de la fête de son saint Patron –, des suites d’une longue maladie qu’il avait contracté voici quinze ans. Il allait sur ses 61 ans.

Depuis que j’appris par les ondes de Radio Courtoisie la nouvelle de sa première hospitalisation début août, je n’ai pas cessé de prier chaque jour la Bienheureuse Vierge Marie sur les Mystères Douleureux, pour qu’elle nous le laisse encore un peu à notre affection ici-bas. Mais son Créateur en a décidé autrement, et c’est en cette solennité du Très Saint Rosaire qu’il a rappelé Serge. Quel beau symbole finalement pour nous tous qui l’aimions et qui avons prié pour lui : n’est-ce pas là le signe que nos prières n’ont pas été vaines et lui ont assuré un aller direct au Paradis ? Symbole encore pour les catholiques patriotes et identitaires puisque le 7 octobre est la date anniversaire de la bataille de Lépante contre les Turcs…

Maintenant, qu’adviendra-t-il du Libre Journal de la France Courtoise ? J’espère simplement que Danièle de Beketch – l’épouse de Serge –, et Patrick Gofman, son “bras gauche” depuis quelque années déjà, décideront d’en continuer la publication, car vraiment ce journal est unique : unique par sa forme, unique par sa fréquence de parution, unique par sa ligne éditoriale, unique par l’eclectisme des sujets qui y sont traités, unique par son ton polémique et caustique, unique par la richesse des collaborateurs – journalistes amateurs et professionnels journalistes – dont il a su s’entourer depuis bientôt quinze ans. Unique enfin car ayant toujours un temps d’avance dans l’actualité : combien de fois en effet Le Libre Journal a-t-il fait des révélations qui ne firent les gros titres de l’actualité que trois semaines, deux mois, six mois… voire deux ans plus tard ?

L’illustration la plus emblématique de la clairvoyance du Libre Journal est certainement cette double page du n°312, daté du 21 janvier 2004, commentant un rapport confidentiel de la Police aux frontières et intitulé “les islamistes font la loi à Roissy et Orly”, et qui donna matière à un livre d’un candidat aux élections présidentielles… deux ans et demi plus tard seulement ! (Philippe de Villiers : Les mosquées de Roissy – éd. Albin Michel, 19 avril 2006)

Quant au site , il est le fruit d’une initiative totalement indépendante du journal papier. Serge ne nous a jamais donné de directives concernant sa création, son développement, son administration ; non, rien que le renouvellement de sa confiance et ses remerciements à chacun de nos échanges ponctuels par courriels.

Hier le but du site des “Amis du Libre Journal” était de faire connaître l’un des meilleurs journaux de la résistance française et catholique. Aujourd’hui, quel que soit l’avenir du Libre Journal, ce site continuera autant que faire se peut son rôle de témoin des talents de polémiste et d’orateur de Serge.

Serge était un puit de connaissances et il s’intéressait à tout. Ses émissions du mercredi soir sur Radio Courtoisie en resteront une vivante illustration : après la demi-heure de “coup de gueule” et de commentaires au vitriol sur l’actualité politique française, les sujets les plus divers étaient abordés. Cela pouvait aller de l’art de la composition florale aux ovnis, en passant par la médecine de Sainte Hildegarde, la musique sans solfège, le créationnisme, la gastronomie, le scoutisme, ou encore l’histoire de la fabrication des poupées…

Serge était également ferrovipathe. Lorsque je le vis pour la dernière fois dans les locaux du Libre Journal, celui-ci me fit un exposé passionné et passionnant sur l’histoire de la révolution du chemin de fer, au détour duquel il me confia que l’un de ses rêves était de réaliser un de ces prestigieux voyages dans l’Orient Express, ce train luxueux qui parcourt l’Europe et au-delà, jusqu’à Istanbul… Aujourd’hui, laissant sa famille et ses amis sur le quai des douleurs et du chagrin, Serge est parti, seul, pour un voyage plus prestigieux encore vers son Créateur.

Bon voyage ! Serge. A Dieu !

H. Lefrancien
administrateur du site <www.francecourtoise.info>

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