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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 22:45
La guerre, de Bagdad à la gare du Nord

Milliere Guy - mercredi 19 septembre 2007

terrorisme, islamisme

La semaine dernière, où le général Petraeus et l’ambassadeur Crocker ont présenté leur rapport, a été celle du sixième anniversaire du 11 septembre. Cela a permis de voir à quel point la plupart des commentateurs européens ont la mémoire courte et des sentiments pervertis.

L’horreur absolue et sans précédent des attentats qui ont frappé les tours jumelles à New York a semblé ne plus être qu’un épiphénomène banal. La plupart de ceux qui ont parlé ont dit, au mieux, que, pour une fraction de seconde, nous nous étions tous « sentis américains ». Mais pour ajouter aussitôt que le sentiment de compassion avait été très vite gâché par la « violente réaction » américaine.

Si, bien sûr, le gouvernement américain avait adopté la pose de la méditation masochiste et s’était demandé, d’un air repentant, ce que les États-Unis avaient fait pour attirer autant de haine, s’il avait ouvert une période de mortification, les commentateurs auraient été contents. Mais a prévalu à Washington et dans tout le pays, un sentiment d’outrage et de colère : attaquer les États-Unis, c’est attaquer la liberté, a-t-on entendu dire.
On a parlé, très vite, de guerre contre le terrorisme islamique, et celui-ci a été présenté comme un nouveau totalitarisme. La guerre, depuis, est en cours. Elle est au cœur des débats outre Atlantique. En Europe et en France, non seulement on ne dit pas que c’est une guerre, mais les commentateurs, pour la plupart, en attribuent la responsabilité à l’administration Bush.

On rappellera ici aux égarés, aux collabos, et à tous ceux qui gobent la sous-information télévisée quotidienne en pensant,

 

comme les victimes béates décrites par Aldous Huxley dans « Le meilleur des mondes », qu’ils reçoivent la dose requise de Vérité, que la guerre en cours est planétaire, qu’elle touche les cinq continents, et que l’Europe n’y est pas une simple spectatrice.

Un totalitarisme ne connaît que la victoire complète ou la défaite absolue, et ignore les compromis et les demi-mesures. On dira à ceux qui sont en retard de trente ans en termes de réflexion que la guerre présente n’a rien à voir avec les guerres qui l’ont précédée, puisqu’elle est guerre de l’ère du réseau, d’Internet, de la miniaturisation des armes, et de l’asymétrie. Il y a d’un côté les États-Unis attaqués parce qu’ils sont le seul pays à avoir encore la force et la détermination requises pour défendre la liberté.

Il y a, du côté des États-Unis, tous ceux qui aspirent à être ou à rester libres, et cela inclut divers gouvernants d’Europe, plus particulièrement en Europe centrale où le souvenir du poids écrasant d’un totalitarisme précédent reste assez vif pour que la tentation de succomber à un autre totalitarisme ne soit pas prédominante. Il y a, dans cette catégorie encore, Israël, Taïwan, le Japon, l’Australie, le Canada, ainsi que tous ceux qui, de par le monde, aspirent à être délivrés de la servitude et de l’oppression, et parmi eux, j’insiste sur ce point, on compte de nombreux musulmans.

Il y a de l’autre côté, celui de l’ennemi, le barbu métrosexuel qui use de teinture noire et qui fait des cassettes vidéos dans la cave où il croupit, la nébuleuse appelée al Qaida qu’il est censé diriger, les divers groupes islamistes disséminés un peu partout, mais aussi les fanatiques au pouvoir à Téhéran. Sont alliés à cet autre côté la Russie poutinienne, la Chine néo-communiste, le dictateur vénézuélien Chavez. 

Jouent le rôle d’alliés
de cet autre côté les démocrates américains qui misent ignominieusement sur la défaite de leur propre pays pour tenter de gagner les élections en 2008, les gauches et les extrême droite européennes, qui, les unes et les autres, n’ont jamais aimé la liberté et jamais rien compris au cours du monde, et, aussi, nombre de commentateurs européens. Ces derniers savent-ils ce qu’ils font ?

Je préfère me dire que ce sont des imbéciles plutôt que les soupçonner de disséminer erreurs et faussetés de manière volontaire, cynique, délibérée. Je ne veux penser qu’ils souhaitent la victoire de l’islam radical qui, s’il devait régner sur le Proche-Orient, finirait assez vite par régner aussi sur l’Europe. Ce qui se joue à Bagdad ou à Kandahar trouve ses prolongements dans les banlieues françaises et européennes. Ce qui s’est passé, voici peu, aux alentours de la gare du Nord à Paris pourrait, si l’ennemi n’est pas écrasé, avoir des allures de simple plaisanterie.


En Irak, se joue le sort de la civilisation

Milliere Guy - mercredi 12 septembre 2007

irak, islamisme
Quand cet article paraîtra, le général Petraeus aura rendu son rapport sur la situation en Irak. Il aura fait état d’avancées stratégiques, de difficultés persistantes, et de la nécessité de poursuivre les efforts. Les démocrates auront cherché de quoi alimenter critiques et polémiques, quelques républicains les auront rejoint, Bush aura tenu le cap. Faisons un bilan provisoire.

D’abord, fallait-il intervenir et libérer l’Irak ? Oui. La guerre de 1991 s’était achevée par des massacres de masse parmi les shiites. Elle avait laissé Saddam au pouvoir et celui-ci continuait à se conduire de manière abominable vis-à-vis de la population. Le pays était victime d’un embargo dont les plus humbles souffraient tandis que la nomenklatura du régime prospérait. Saddam soutenait diverses organisations terroristes et seuls ceux qui pensent qu’aucun Kurde n’a été gazé peuvent avoir l’impudence de dire qu’il n’y avait pas d’armes de destruction massive en Irak.

Deuxième question : la guerre a-t-elle été bien menée ? La réponse, là, doit être plus mitigée. D’une part, les sordides manœuvres chiraco-villepiniennes ont retardé les opérations, divisé l’Europe et conduit à faire qu’une action simultanée depuis le Nord et le Sud est devenue impossible : la France de l’époque a eu un réel pouvoir de nuisance. D’autre part, si la chute de Bagdad s’est passée de la façon prévue, les opérations de stabilisation ont ensuite été menées sur un mode qui n’a pas été optimal et qui n’a été rectifié qu’assez tardivement. Des entraves ont existé, donc. Des décisions malencontreuses ont été prises, dont la rectification a fini par s’effectuer. Des morts auraient pu être évitées, mais, je le répète : la critique est aisée, et l’art bien plus difficile.

Troisième question : au-delà du fait qu’elles ont été, incontestablement, une nuisance, les sordides manœuvres chiraco-villepiniennes pouvaient-elles être justifiées en quoi que ce soit ? La réponse doit être : clairement et absolument non. Chirac, Villepin, et leurs complices Schröder et Poutine, ont essayé de sauver un dictateur aux intentions génocidaires explicites.
Non seulement, ils ont fracturé l’Europe et nui à l’efficacité militaire de la coalition, mais ils ont ainsi envoyé une sorte de message de solidarité aux islamo-terroristes qui n’a pas été sans conséquences jusqu’à ce jour. Les propos parlant d’unilatéralisme sont absolument malhonnêtes et reposent sur une amnésie très sélective (les opérations en Bosnie et au Kosovo n’ont pas été effectuées avec l’aval de l’ONU, mais n’ont pas été fustigées par la France parce qu’elle était partie prenante). Les propos « déplorant » les difficultés ultérieures et louant la « sagesse » de la France sont bien davantage que malhonnêtes, sauf pour ceux qui considèrent « sage » de fermer les yeux sur des crimes de masse, de soutenir de facto le terrorisme et de se laver les mains dans le sang des morts.

Les propos disant que la libération de l’Irak a renforcé le terrorisme reposent sur une non-compréhension absolue de ce que sont les terroristes, et sur l’idée que l’apaisement peut fonctionner avec ce genre de gens : ce qui est exact est que les terroristes se sont acharnés sur l’Irak aux fins que celui-ci ne connaisse pas de répit. Fort heureusement, Sarkozy et Kouchner ont commencé à tenir un discours plus juste et à restaurer l’honneur de la France.

Ultime question : et maintenant ? Il importe de faire preuve de lucidité. L’Irak n’est pas en guerre civile : il est le champ de bataille où s’affrontent terroristes djihadistes soutenus par l’Iran, la Syrie et al Qaida d’une part, et forces de la civilisation d’autre part. Les forces de la civilisation doivent impérativement l’emporter pour que survive la civilisation. Tout terrain cédé aux terroristes djihadistes permettraient à ceux-ci de se sentir galvanisés et de mener plus loin leurs opérations de destruction des sociétés ouvertes.

Les États-Unis ne céderont pas. Fin 2001, Bush a dit qu’il s’agissait d’une guerre plus vaste, qui serait longue. La cohorte brinquebalante où se mêlent extrême gauche, extrême droite, gaullistes français, islamistes, amis des dictateurs et des tortionnaires, continuera à pérorer, invectiver et trépigner, mais elle sera du côté des vaincus. La liberté a souvent été menacée au fil de l’histoire. Ses ennemis avoués ou inavoués, conscients ou inconscients n’ont jamais gagné.


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21 septembre 2007 5 21 /09 /septembre /2007 21:34
Image Hosted by ImageShack.usY a t il un danger fasciste en France ?

Cette question, instrumentalisée avec ferveur par la gauche dans son ensemble, en digne héritière du Komintern a certains égards, est récurrente dans ce pays.

Chacun court le risque, à un moment ou un autre, de se faire qualifier de tel, et à propos de n’importe quoi : immigration, patriotisme, valeurs, éducation, régime parlementaire...

 

- Mais qu’est ce que , ou plutôt, qu’était le fascisme ?

Emilio Gentile, universitaire italien considéré comme un des meilleurs spécialiste de la question répond ainsi : « Le fascisme est un phénomène politique moderne, nationaliste et révolutionnaire,antilibéral et antimarxiste,organisé en un parti milice, avec une conception totalitaire de la politique et de l’Etat, avec une idéologie à fondement mythique, viril et anti-hédoniste, sacralisée comme religion laïque, qui affirme la primauté absolue de la nation, entendue comme communauté organique, ethniquement homogène, hiérarchiquement organisée dans un état corporatif, avec une vocation belliqueuse, une politique de grandeur, de puissance et de conquête, visant à la création d’un ordre nouveau et d’une nouvelle civilisation. » (E Gentile, Fascisme, histoire et interprétation. Gallimard 2002)

E. Gentile définit ensuite l’idéologie fasciste comme une « idéologie anti idéologique » , en raison de son activisme et de son aversion pour les élaborations intellectuelles et idéologiques.

Le mouvement fasciste est propre à l’Italie des années 20 comme le mouvement national-socialiste à l’Allemagne des années 30 ou le mouvement phalangiste espagnol à la même époque. Pourquoi dater ainsi ce mouvement intellectuel ? Parce qu’il est né au point de rencontre d’événements sans précédents et qui ne se retrouverons plus : en effet, le fascisme est né des traumatismes de la première guerre mondiale au sein de la jeune génération du front, qui connut l’horreur, mais aussi la camaraderie et la solidarité dans l’action. Il est né de la situation de détresse subie par des nations comme l’Italie ou l’Allemagne. Il est né aussi d’une réaction contre la menace bolchevique en Europe (bien réelle, il est de bon ton de l’oublier ou de la sous-estimer). Pourtant, comme le regretté F. Furet l’avait noté, « le fascisme n’est pas né seulement pour vaincre le bolchevisme, mais pour briser à jamais la division du monde bourgeois » (Furet, Le passé d’une illusion, Laffont, 1996).

Cette société libérale bourgeoise en crise au sortir des années 20 semble si obsolète face aux défis multiples de la modernité et des crises économiques, que les régimes autoritaires se répandent comme une épidémie en Europe : la Hongrie bascule des 1919, l’Espagne une première fois en 1923, la Pologne en 1926, , la Yougoslavie en 1929, le Portugal en 1932, l’Allemagne en 33, la Grèce et l’Espagne-une nouvelle fois- en 36, la Roumanie en 38, la France en 1940.

Tous sont établis sur le modèle classique des dictatures militaires conservatrices, mais sont distincts du fascisme Italien.

Le fascisme, alors n’est il qu’Italien ? Non répond encore E. Gentile (La voie Italienne du Totalitarisme, Le Rocher .2004), bien qu’il soit hostile à l’usage générique et aveugle du concept de fascisme en dehors de tout contexte temporel ou géographique. Le fascisme Italien a un fondement idéologique plus clair que le national-socialisme Allemand, reposant sur le mythe de la race supérieure. Il aurait-toujours d'après E. Gentile-une  structure idéologique plus complexe: celle de l'état totalitaire, solution unique pour toutes les nations civilisées d'Occident, contrairement au mythe de la race qui ne s'adresse qu'aux Allemands. Il est par ailleurs possible de considerer le fascisme, le nazisme et le bolchevisme comme trois arbres differents ayant des similitudes et non pas comme trois branches d'un même arbre.

Plus largement, le fascisme peut sans doute s’intégrer dans l’idéologie totalitaire, entendue au sens de mouvement révolutionnaire extrémiste aspirant au monopole du pouvoir. Le qualificatif "totalitaire" est original et apparait en Italie dans les années 1923-1925 pour désigner l'imposition du monopole du pouvoir politique par le parti fasciste qui se mettait alors en place. Le concept et le mot "totalitaire" s'appliquent donc historiquement seulement au fascisme Italien, alors qu'il recouvre actuellement des réalités differentes: fasisme, bolchevisme ou nazisme, faisant disparaitre les spécificités de chacun de ces phénomènes et pouvant par extension représenter tout ce qui s'oppose à la démocratie libérale (théocraties musulmanes, tyrannies exotiques, etc.); Le point commun entre les trois phénomènes étant peut-être la négation de l'individu, avec des distinctions: pour le marxisme, héritier de la table rase des Lumières, l'individu est sans racines autres que sociales (homo oeconomicus, semblable à celui du libéralisme), pour le fascisme, l'individu est porteur d'un héritage complexe qui se confond avec celui de la nation; Deux conceptions antagonistes donc, qui fondent des projets politiques et sociaux radicalements differents.

On voit donc qu’il est bien difficile de cerner une définition précise du mot « fasciste ». Et qu’aujourd’hui cela recouvre à peu prés tout et n’importe quoi .

 

- Quid en France, alors?

Y a-t-il une mouvance fasciste comme semblent le craindre nos amis progressistes? Le front national, Poujadiste, nationaliste et antisémite de Le Pen peut il être assimilé à un parti fasciste ? Au regard de l’acception d’E Gentile, on peut répondre facilement non, compte tenu de l’absence de caractère révolutionnaire ou totalitaire de son programme, somme toute légaliste et républicain, des valeurs de patriotisme, d’autorité, d'ordre, de préférence nationale n’étant certainement pas suffisantes pour définir une idéologie fasciste.

Mais il est intéressant de constater aussi que la gauche radicale actuelle (front anti libéral, PC, trotskystes, etc.) emprunte à l’idéologie fasciste certaine de ses caractéristiques, comme la haine du libéralisme ou de l’ordre bourgeois, l’athéisme militant, l’intolérance la plus sectaire, sous des postures naturellement généreuses dites "progressistes".

Contrairement à BH Levy et Zeev Sternhell qui soutiennent la thèse d’un fascisme idéologiquement élaboré sous une forme accomplie, en France notamment, et qui aurait existé avant même la naissance du fascisme italien, Renzo de Felice et Emilio Gentile constatent que la France n’a jamais vu l’émergence d’une mouvance fasciste organisée, sans pouvoir l’expliquer de façon évidente (rôle d’une tradition démocratique et républicaine plus ancienne et mieux ancrée, conditions économiques distinctes notamment au lendemain de la 1ere guerre mondiale, ou bien que ruinée, la France appartenait au camp des vainqueurs et pu se reconstruire plus rapidement grâce au traité de Versailles et à l’aide alliée).

source : http://hoplite.hautetfort.com/archive/2006/11/19/fasciste.html

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19 septembre 2007 3 19 /09 /septembre /2007 23:01
En réponse à diverses questions que j'ai reçues sur cette note >>>, voici quelques petites notes complémentaires.



La République Théocratique, ce n'est pas seulement la Vérité monopolisée par l'État, c'est aussi le monopole de la moralité, appliquée à tous les aspects de la vie publique et privée.

L'État laïque, dans sa conception, est censé n'exercer que le silence et le retrait quant aux questions d'ordre spirituelles. Or, aujourd'hui en France, des législations tombent pour définir si le vivant est juridiquement du vivant. Savoir si un embryon est un individu du genre humain ou un simple amas de cellules ; savoir si un moribond mérite de vivre ou d'être débranché ; savoir si l'amour est le garant des velléités du mariage moderne [donc sa justification suprême et irrévocable] ; savoir si les pensées peccamineuses ["politiquement incorrectes"] méritent le châtiment ou le pardon ; voilà des questions qui sont de l'ordre de la moralité et de la transcendance : ce sont des considérations qui sont complètement hors du champ de la politique et de l'exercice du pouvoir temporel. Pourtant, la République Française s'en est emparée. Les réponses métaphysiques et spirituelles sont désormais inscrites dans le Code Civil ; voilà comment naît une théocratie. Et voilà pourquoi les catholiques sont amenés à devenir des hors-la-loi dans la mesure où le sens qu'ils donnent à la vie échappe au cadre des normes législatives et temporelles de la République de l'an 2000.

Plus que jamais, l'insoumission est un devoir. Il appartient aux espits libres d'enseigner le respect plutôt que la tolérance face à un système qui tolère tout et ne respecte rien
[1].

[1] Waouh, quel sens de la formule.

Le droit-de-l'hommisme cerné entre l'utopie athée socialiste-nationale et l'institution de l'Église Humaniste Officielle ; l'œuvre de Pierre David au service de la Religion Républicaine ; de l'art de la substitution d'une Église par une autre.


- Officiellement, la République Française est née d'un idéal démocratique rempli de Raison et de Lumières. C'est son côté utopique, son côté "Cité Idéale".
- Exit la transcendance et le sacré, donc, puisque selon les termes modernes, Foi et Raison ne peuvent s'entendre. [C'est d'ailleurs en quoi la modernité verra tôt ou tard sa chute, soit dit en passant].
- Socialiste, parce que réduisant toujours ses questions de société à des schémas de classes sociales, d'opprimés et de nantis, de répartition de la richesse comme nerf de la lutte. Socialiste aussi parce que volontiers prolétarienne et volontiers haineuse envers quiconque a du bien. Les questions ethniques ou religieuses n'existent pas, il n'y a que des opprimés et de l'injustice sociale dans les remous du peuple.
- Nous l'avons vu dans la première partie, nationale parce que la nationalité française tient de la transcendance, de la grâce, du salut. C'est ici que la République Française verse dans la théocratie, car il y a de l'indignité à n'avoir pas reçu la nationalité française, il y a du péché à vivre sans recevoir le baptême républicain, il y a de l'injustice peccamineuse à ne pas donner de papiers aux sans-papiers. Le monde entier, surtout les pauvres et les victimes© en tous genres, devrait automatiquement recevoir la nationalité française.

La France, lumière du monde, phare de l'utopie égalitaire, Peuple Élu de l'Être Suprême. La Déclaration des Droits de l'Homme comme substitution manifeste d'une Arche d'Alliance un peu trop divine et un peu trop encombrante.
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Le jeu des sept erreurs : les Tables qui lient l'homme à Dieu ; les Tables qui lient l'homme à lui-même.



L'œuvre de Pierre David.


Dans la magnifique chapelle de la Trinité à Lyon, l'artiste Pierre David a imaginé une œuvre peinte qui illustre si bien mon étude sur la République Théocratique Française qu'on dirait une caricature. Il s'agit de quatre grandes peintures à dominante dorée, insérées parfaitement dans les panneaux de marbre des chapelles latérales.

Je vous livre le texte complet de présentation de l'œuvre par la critique d'art Nelly Gabriel, entrecoupé par quelques remarques de circonstance.

07436d30c5cf8b0c11a119523e76a02e.jpg"L'autre Quatuor de la Trinité.
Dans cette chapelle du Lycée Ampère, ancien Collège de la Trinité, se donnaient autrefois des messes. Ne s'entendent plus, désormais, que des concerts. Le lieu pourtant, par la grâce d'une commande publique municipale, vient en quelque sorte de renouer avec l'une de ses vocations d'origine. L'asile."


Je ne vous mentais pas : quand la République Théocratique Française accorde sa bénédiction à un projet citoyen, c'est une grâce. On frise le blasphème à comparer ainsi, dans le sein même des murs d'une chapelle, la grâce divine et la grâce de la municipalité. A ce rythme là, nos impôts vont bientôt porter le nom d'Indulgences. Mieux encore que le coup du Souffle de l'Esprit délivré par le service public, la rédactrice du texte pousse le culot jusqu'à dire que l'œuvre d'art citoyenne [car c'en est une, vous allez voir] est tout aussi légitime qu'un autel, qu'un tabernacle, ou qu'un Christ en croix en ces lieux puisqu'il "renoue avec sa vocation d'origine, l'asile". Je croyais que la vocation d'origine du lieu était le culte, je dois me tromper... Mais poursuivons :


"Quatre personnages d'aujourd'hui ont en effet trouvé accueil dans les quatre chapelles latérales jouxtant le chœur. On les doit à Pierre David. L'artiste a imaginé quatre tableaux, compositions gravées sur des feuilles d'or et de cuivre rose, représentant le portrait en pied d'une jeune femme, d'une femme d'âge mûr, d'un vieil homme et d'un homme dans la force de l'âge accompagné d'un garçonnet. Chacun est d'origine différente. Il y a une Cambodgienne, un Algérien, Une Camerounaise et un Yougoslave. Conçues in situ, ces œuvres ont pris place dans l'ordre polychrome des colonnes et des frontons baroques encadrant primitivement à l'intérieur de chaque chapelle un tableau d'autel."

Quatre personnages autour du chœur d'une chapelle ? Bigre, ça me rappelle quelque chose. Commes des Évangélistes, mais avec des Bonnes Nouvelles encore meilleures : celles de la Parité homme-femme, celles de la Diversité, celles de la Représentativité, celles du Multiculturalisme. Le bon vieux catéchisme de la RR. Et puis ils sont "d'aujourd'hui". C'est mieux d'être d'aujourd'hui que d'hier. Hier est moisi. [Sauf si hier remonte à 1789. Là, on est prié de ne point critiquer.]


"Rencontre harmonieuse des matières, des formes, des coloris ; adéquation du projet artistique et de l'esprit du lieu : elles y sont chez elles. Les personnages figurés aparaissent comme un écho aux quatre statues en marbre de Carrare qui, dans le chœur, entourent le maître-autel de la chapelle. Mais, loin de la théâtralité expressive des Jésuites dressés là pour signifier, de toute leur stature imposante et leur gestuelle baroque, ferveur et adhésion à la foi qu'ils incarnent, les Rescapés de Pierre David opposent une présence-absence émouvante, une intériorité recueillie."

Mais oui, les Rescapés de Pierre David, nos amis du Tiers-Monde, nos quatre frères et sœurs catéchumènes venus chercher la rédemption dans le bain du Baptême Républicain sont à leur place autour d'un maître autel ! D'ailleurs, encore mieux que des Jésuites cabotins, lourdingues et un peu has-been, ils respirent la sagesse et l'humilité. Ils émeuvent, eux. C'est pas des histrions sans dignité.

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"Aux plis, drapés et autres effets des robes ecclésiastiques répond la simplicité nue d'une couverture – manteau de fortune qui revêt tous les rescapés de la terre qu'ils soient victimes de de catastrophes naturelles, d'attentats, d'accidents – et que les modèles ont ajustée à leur convenance. S'ils ont choisi leur attitude, les yeux sont clos à la demande de Pierre David. L'artifice qui dérobe les regards les retirent en eux-mêmes. Distance, mystère, vulnérabilité. Et aussi "dignité", le mot vient à l'esprit quand on les contemple."

Sanctification et martyre, la victimocratie hagiologique est en marche. Les hydropiques et les lépreux seront guéris, les derniers seront les premiers, les aveugles verront, les impies verront leur salut, saint Martin de la Croix-Rouge Française partagera sa couverture de survie homologuée par la CEE avec les sans-domicile-fixe, la Sécurité Sociale descendra sur la tête des Citoyens et ils seront remplis de la Solidarité. On n'en finit plus de mélanger l'iconographie religieuse avec l'imagerie de la RR. Au diable les plis et les effets qui dissimulent sans doute quelque vice anti-citoyen dans leurs recoins et leurs doublures, vive la Transparence et la [presque] Nudité. Alléluiah, Dieu s'est fait homme au centre de rétention de Sangatte. Dieu, c'est chacun de nous quand nous sommes contrôlés au faciès dans la rue, c'est chacun de nous quand nous subissons le fascisme, c'est chacun de nous quand la citoyenneté est confisquée, c'est chacun de nous quand nous sommes l'Autre.


"La sensualité d'un matériau subtilement travaillé, les délicatesses d'une bichromie chaleureuse confèrent une belle présence charnelle à ces portraits, très classiques dans leur facture. Le dessin est comme au trait, et sa ligne détache, avec précision et douceur, les corps du fond d'or sur lequel l'artiste les a pour ainsi dire posés. D'une monumentalité tranquille, ils paraissent en lévitation, semblent ne pas peser dans l'espace abstrait où ils s'inscrivent. Vérité des corps chacun dans son âge. À la base de ce travail, il y a l'usage de la photographie. Et pourtant, cet air de transfiguration. Cette dimension d'icône."

Non, à la base de ce travail, il n'y a pas la photographie ; il y a l'art byzantin. Et puis des Citoyens du Monde transfigurés par la grâce du Baptême Républicain et de l'art engagé subventionné par la solidarité nationale, avouez qu'il y a de quoi rendre ringards tous les Papes de la terre. La chapelle de la Trinité version 2007, si ce n'est pas l'église de la Religion Républicaine, je ne sais pas ce que c'est. Flagrante manœuvre de substitution par la subversion. Qui oserait dire du mal de Réfugiés, de Victimes, de Citoyens ? Ah, vous voyez bien que tout cela est consacré au Bien, à l'incritiquable Bien !
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Ci-dessus, les personnages de Pierre David.
Ci-dessous, des icônes byzantines.
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"Contexte faisant, on pense à des figures de saints, à des allégories, à des symboles, là où l'on nous montre en définitive de "vrais gens". Quoique l'un n'empêche pas l'autre. Leurs voisins de chapelle, Ignace de Loyola, François-Xavier, François de Borgia et Louis Gonzague réunis dans son programme iconographique par le Père Martellange furent aussi de vrais gens... Une différence, toutefois. Les modèles de Pierre David appartiennent à la catégorie des gens de peu. Ils sont plus proches des modèles de Caravage. Sauf que ces "invisibles", ainsi l'a voulu Pierre David, n'endossent aucun rôle dans une histoire qui n'est pas la leur. S'ils incarnent un statut, celui du Rescapé, de l'Autre malheureux, ils témoignent de leur propre histoire."

Je reste stupéfait de trouver dans l'œuvre de Pierre David [et dans la prose de la critique d'art] un propos aussi littéral quant à la nature du catéchisme de la RR que je décrivais dans la première partie de mon étude. Je parlais des vertus théologales de la RR ; les voilà citées très exactement et très explicitement. Mieux encore, je parlais du dogme de l'Autre, admirable uniquement en tant que victime et en tant que faible, et bien voilà que le statut de Saint est accordé à l'Autre, au Réfugié, uniqement à la condiction – stipulée – d'être "malheureux"...
Remarquons en sus un autre caractère de la substitution : au Réfugié, la représentation selon les codes accordés uniquement à la sainteté ; et aux Saints, la suppression de leur titre. Saint Ignace de Loyola n'est plus qu'Ignace de Loyola tout court. Idem pour les autres Saints. Après tout, dans les institutions de la République, même les plus lettrées, on est prié de ne plus parler désormais que de "Thomas d'Aquin". Au Réfugié, l'attribution de la sainteté citoyenne par son humilité [la RR est une religion socialiste, donc prolétarienne] ; et aux ex-Saints, la déchéance de leur gloire céleste pour cause de péché d'Histoire –, et de Verticalité tout simplement.


"Au bas de chaque tableau, ou plus précisément faisant parties de l'œuvre, puisque gravées elles aussi dans l'or, quelques lignes précisent les noms, prénoms, dates et lieux de naissance de chaque modèle, ainsi que celle de son arrivée en France. C'est tout. C'est beaucoup."

Oui, c'est aussi succint mais aussi formidable qu'un "Ave maria gratia plena" ou qu'un chrisme... Recueillons-nous face à l'immensité du Mystère du Verbe.


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Détails d'un personnage de Pierre David [en haut] et d'une icône byzantine [en bas].


"Comment ne pas penser, par antiphrase, tellement nous en sommes loin, au quart d'heure de gloire – de gloriole narcissique – que, selon Andy Warhol tout individu dans notre société du spectacle, connaîtra et surtout recherchera au moins une fois dans sa vie, à connaître ? C'est dans l'éternité recueillie d'un ciel de gloire qu'entrent avec une simplicité magnifique les démunis de la chapelle de la Trinité."

Nos pharisiens zélés et vertueux de la RR connaissent leur catéchisme post-chrétien par cœur : "il est difficile pour un riche d'entrer au Royaume des Cieux". C'est un dogme essentiel justifiant l'idéal socialiste prolétarien. L'Autre, le démuni, le pauvre, la victime, le dernier, celui-là sera premier en vertu des Béatitudes, et celui-là méritera l'auréole de la sainteté dans cette église humanisto-humanitaire. Encore plus chrétiens que les chrétiens, les intégristes de la RR, leur chasse au Salaud, et leur révérence démonstrative devant le Clampin Mondialo-Français. Le Royaume des Cieux est une carte de séjour [le Purgatoire] et une carte d'identité de la République Française [le Paradis]. Et les premiers seront les derniers, témoins nos ex-saint Ignace de Loyola, pécheurs par orgueil.


"Parti du singulier, Pierre David atteint à l'universel. Et par les seuls moyens de son art, suggère entre symbolique laïque et imagerie religieuse un dialogue ouvert. C'est sa réussite. S'y ajoute, essentielle, la qualité d'un travail plastique qui conjugue la fonction décorative et le sacré, s'ancre solidement dans l'histoire de l'art, et s'inscrit dans l'époque contemporaine."

Mais non, le coup du "dialogue ouvert" [sic] est une dissimulation des plus malhonnêtes qui soient : tout est mis en œuvre, aussi bien dans la peinture de Pierre David que dans l'éxégèse de Nelly Gabriel, pour réaliser un discrédit et une récupération de l'un au profit de l'instauration de l'autre ! Pendant qu'on profane les codes sacrés, on sacralise les codes socio-politiques temporels ! Et on en profite pour faire de l'Histoire un décorum caduc et défraîchi, qu'un peu d' "air du temps" viendrait ranimer un peu...

Absolument rien n'est laïque dans cette affaire, et tout converge au contraire vers la célébration d'une théocratie officielle, étayée d'un catéchisme bien orthodoxe et bien rodé, nourrie par les impôts, et relayée par l'inteligentsia aux ordres de la Collectivité.

Dans la chapelle de la Trinité, Dieu se faisait Homme. Désormais c'est l'Homme qui se fait Dieu au sein du culte de la Religion Républicaine.

source : http://fromageplus.hautetfort.com/

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19 septembre 2007 3 19 /09 /septembre /2007 22:59
Un ouvrage indispensable pour comprendre la collusion entre l'islam et le nazisme : Le Chemin de Jérusalem de Jean-Luc Aubardier
par Muezzin Baravin

SITA FranceLe chemin de Jérusalem - 2007 - Jean-Luc Aubarbier - PIERREGORD.COMAviateur de la France Libre, Jacques Legrand apprend, à son retour en Périgord, que son père, un des chefs de la Résistance, a été assassiné.

Son meurtre aurait-il été exécuté par ces soldats arabes qui portent l'uniforme de la Walfen-SS ?

Une incroyable alliance se serait-elle nouée ?

C'est avec stupéfaction qu'il apprend en effet par Joseph Birenbaum, un rescapé du camp d'Auschwitz, que des liens sulfureux unissent les Nazis et certains leaders islamistes.

Fermement résolu à venger la mort de son père, Jacques Legrand se lance alors sur la piste des meurtriers.

Dans ce roman historique de Jean-Luc Aubarbier paru chez Pierregord (http://www.editionspierregord.com/Site/index.php?id=lcdj, sept. 2007), se trouve décrite la profonde collusion entre l'islam et le nazisme durant la seconde guerre mondiale.

Le livre témoigne des liens désormais bien établis et largement documentés, mais encore méconnus dans notre pays, entre le monde arabo-musulman et le régime Hitlérien.

Tout est passé en revue avec une rigueur historique telle qu'on l'a rarement vue en France, depuis les troupes Azéries de la Wehrmacht jusqu'à la tristement célèbre SS Mohamed qui écuma le Sud Ouest, pillant, violant et massacrant, c'est à dire, pour respecter la langue des coupables, commettant des razzias.

On pourra regretter que l'avalanche de faits historiques décrits précisément dans ce livre n'ait pas fait l'objet d'un ouvrage s'affichant clairement comme historique.

Car c'est au rayon « romans régionaux » de la Fnac qu'est distribué ce recueil qui a pourtant tout d'un documentaire ! Peut-être doit-on voir là une habile manoeuvre de l'auteur pour passer sous les fourches caudines de la censure des éditeurs, et tâcher d'éviter que ne s'abatte sur lui l'épée de Damoclés réservée aux "racistes" et autres "islamophobes". On devrait d'ailleurs plutôt parler du sabre du Prophète...

Un "sabre" désormais brandi par les omniprésents nouveaux guides des banlieues adeptes de la célèbre religion de "tolérance et de paix" envers tous ceux qui se hasardent à étaler les vérités qui ne sont pas bonnes à dire.

Car avec un livre documentaire au lieu d'un roman historique, ces furhers (mot allemand signifiant "guide") risqueraient de s'offusquer à se voir ainsi traités de ce qu'ils sont, c'est à dire de dangereux barbares rétrogrades.

La fin du livre confirme cette démarche de prudence puisqu'on retrouve le cliché du brave Momo, éternel bon sauvage si cher à nos coloniaux, qui se repent de ses méfaits.

Et comme il ne fait pas bon critiquer le coran (Robert Redeker, autre écrivain régional, en a fait la démonstration involontaire !) l'absolution finale est donnée au livre de la haine, le "Saint Coran", qui selon ce roman aurait entrainé la troisième guerre mondiale que nous connaissons actuellement, uniquement par le fait « qu'il aurait été dévoyé par les frères musulmans ».

C'est par cette fable destinée uniquement au public français que l'on peut qualifier l'ouvrage de roman régional.

Vous pourrez donc lire ce "Roman Régional" dans le métro ou sur un banc public sans attirer le moins du monde l'attention : son étiquette "ROMAN" vous protègera miraculeusement.

Un livre à lire absolument pour qui veut apprendre ce que le politiquement correct tente de passer sous silence.

Source : http://aval31.free.fr/news.ht


 

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Insigne de la division SS musulmane Handschar

Les Ancetres Du Hezbollah

Pour en savoir plus, voir le film Obsession au Mahomet Movie Club.

Le-Blog-du-Cochon-Hallal.gif

Le nazisme actuel n’est pas de droite

Un reportage en allemand, de 2006, sous-titré en anglais, qui montre bien avec quelle aisance le nazisme et l’Islam ont pu collaborer et s’enrichir mutuellement, au plan politique, pour donner naissance aux pires mouvements islamistes du moment, notamment en Iran et dans les territoires palestiniens.

Les dignes héritiers du projet nazi ne sont pas les quelques crânes rasés égarés et sur-répertoriés par nos polices. Ce sont les mouvements islamistes tels que le Hamas et le Hezbollah. Et depuis la fin de leur aventure commune avec le nazisme, ces mouvements trouvent systématiquement leurs principaux soutiens au sein de la gauche.

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14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 22:55
August 29th, 2007 by ajmch

 Ce matin, le site precaution.ch est cité dans le New York Sun (2e partie):

Switzerland’s Alain Jean-Mairet is the strategist of a two-part plan, popular and juridical, with the goal that “all the Islamic projects in Switzerland will prove impossible to fulfill.” 

Cet article de Daniel Pipes est disponible en français sur ajm.ch. Il passe en revue les tentatives passées et actuelles d’interdire l’Islam, constate que toutes les initiatives modernes de ce type ont échoué et conclut qu’il n’est ni raisonnable ni adéquat d’interdire le Coran, l’Islam ou les Musulmans.

Daniel Pipes observe notamment qu’une telle interdiction s’oppose aux droits d’expression et de religion, ce qui lui enlève par avance beaucoup de sa légitimité dans un système démocratique. Il rappelle aussi que la tentative la mieux fondée juridiquement en la matière a été exclue des tribunaux après une série d’émeutes mortelles:

Dans ce qui constitue peut-être le plus contemporain des projets d’interdiction du Coran, en 1984 et 1985, un groupe hindou avança que les écritures islamiques contiennent «de nombreuses déclarations, répétées sans relâche tout au long de l’ouvrage, qui, sous couvert de religion, promeuvent la mésentente, l’inimitié, la haine et la malveillance entre différentes communautés religieuses et incitent les gens à commettre des actes de violence et à perturber l’ordre public».

Le traitement en tribunal de cette demande, connue sous le nom de «The Calcutta Quran Petition» provoqua des émeutes et des incidents mortels au Bengladesh. L’affaire inquiéta tant New Dehli que le ministre de la Justice en personne appuya les efforts procéduraux visant à écarter la pétition, laquelle, comme il fallait s’y attendre, fut rejetée.

Et il propose de s’attaquer au problème de manière sélective:

Il serait plus pratique et plus adéquat de réduire la menace du djihad et de la charia en interdisant les interprétations islamistes du Coran, de même que l’islamisme et les islamistes.

Je pense que ce n’est judicieux que d’une manière très générale et que sur ce plan, c’est tout à fait insuffisant, en tout cas en Europe. Et surtout, je suis sûr que beaucoup d’Européens vont penser que c’est insuffisant et vouloir s’attaquer à l’Islam lui-même, en découvrant petit à petit le secret de Polichinelle de cette religion, à savoir que les motivations des djihadistes se situent en son coeur même.

Pour suivre le conseil de Daniel Pipes, nous devons former de véritables experts, qui savent distinguer avec assurance toute l’étendue des nuances séparant le croyant pieux inoffensif du despote sans pitié s’identifiant totalement au prophète de l’Islam ou à ses compagnons. Mais pendant que ces grands esprits évolueront dans les salons et les antichambres, la violence envahira nos rues. Et une fois la culture de l’émeute acquise, il sera trop tard pour les valeurs démocratiques. L’Islam ne s’imposera certainement jamais aux États-Unis et il ne pourra sans doute pas gouverner l’Europe. Mais il peut fort bien déstabiliser gravement les premiers et noyer la deuxième dans la ruine et la zizanie.

Il faut donc creuser davantage la question. Car si l’idée d’interdire une religion est certes repoussante dans un contexte acquis aux droits fondamentaux, elle n’en est pas moins diablement efficace. Et ce même si elle échoue, car alors elle laisse tout de même, à l’image de la Pétition de Calcutta, un legs fort utile aux futurs courageux, alors qu’une lutte ostensiblement axée sur l’islamisme contient toujours un certain résidu de désinformation, qui incite les gens peu informés à croire que le problème d’extrémisme de l’Islam est périphérique, et non central. Cela porte ensuite les islamistes à se comporter avec plus de prudence, rendant toujours plus délicat le travail des experts lancés à leurs trousses, alors que le fiel des textes islamiques traditionnels continue de se répandre, porté d’une part par l’alphabétisation et d’autre part par des organisations ouvertement acquises au projet islamiste et ayant pignon sur rue dans le monde entier (et je ne parle même pas des organisations terroristes ou l’ayant été).

Ainsi, après réflexion, je pense que les arguments de Daniel Pipes peuvent être écartés sous certaines conditions. D’abord, la répulsion devant l’interdiction de l’Islam, du Coran et des Musulmans peut être surmontée dès lors que les actions entreprises visent non pas une interdiction de fait, mais un moratoire menant à un objectif positif, encourageant les Musulmans réformistes honnêtes. Or c’est ce que demande le Manifeste du 31 juillet, l’un des piliers du projet de precaution.ch, lequel

- appelle […] à  un moratoire de toute propagation de la religion islamique sur le sol helvétique, jusqu’à l’abrogation définitive et crédible, par une institution ad hoc, de toute force obligatoire conférée aux textes sacrés de l’Islam,

Et

- Se propose de définir et de promouvoir des initiatives contribuant à ce dernier objectif, notamment en collaboration avec des Musulmans pouvant approuver sans réserve les considérations et prises de position susmentionnées.

À cela s’ajoute le fait que le volet juridique du présent projet ne vise pas une interdiction quelconque, mais la seule information, enfin structurée, harmonisée et dépassionnée sur les faits qui peuvent motiver le rejet de l’Islam. Le projet de precaution.ch n’a pas besoin de la moindre victoire en tribunal. Il peut perdre toutes ses causes et parvenir tout de même, voire d’autant mieux, à ses fins.

D’autre part, l’autre danger, qui a fait échouer le projet de Calcutta, n’est guère sérieux en Suisse. Que des émeutes aient fait des morts au Bengladesh n’implique de toute évidence pas que l’armée devra intervenir en Suisse dans un cas analogue. Et le projet suisse, loin de se baser sur une seule action massive, sur une sorte de tout ou rien, comme à Calcutta, prévoit au contraire de multiplier les actions d’enjeu modeste, afin de maximiser l’effet informatif au détriment de l’effet émotionnel.

Enfin, il faut rappeler le pouvoir bénéfique du débat démocratique digne de ce nom. Si le peuple a l’occasion de se prononcer dans le cadre d’un débat ouvert (lettres de lecteurs, radio public, débats télévisés, reportages approfondis et sans fards, Internet, cafés du commerce) puis de votations populaires, comme le propose le deuxième volet du présent projet, il ne descendra pas dans les rues pour clamer son droit à se défendre contre l’islamisme.

En revanche, si le débat est réservé à de petits groupes de spécialistes, des organisations citoyennes mettront certainement sur pied des manifestations telles que celle prévue le 11 septembre prochain à Bruxelles. Celle-ci a été interdite par le maire de Bruxelles, de crainte de froisser les Musulmans et de provoquer des troubles. Les organisateurs ont fait appel de cette décision et ils continuent d’encourager les gens à se rassembler le 11 septembre. Une autre organisation, la Ligue arabe européenne, appelle également à un rassemblement au même endroit et au même moment, pour des raisons diamétralement opposées. Naturellement, tout le monde exhorte à l’action pacifique et il n’y a pas de raison de mettre en question les bonnes intentions des organisateurs, mais on peut vraiment douter que les gens, d’une manière générale, seront plus sages, plus savants et plus civilisés après ces rassemblements. 

Il faut donc plutôt créer des possibilités d’information et d’expression plus vastes, il faut ouvrir le débat, aussi largement que possible. Il faut créer des espaces où tous les points de vue peuvent s’affronter sans dégénérer. Il faut refaire le débat de Calcutta, sans ameuter la rue. C’est possible, si les éléments d’information sont réellement solides et si les médias jouent le jeu, ou qu’ils y sont forcés par les circonstances. La Suisse, aujourd’hui, réunit les conditions nécessaires au succès d’une telle stratégie.

Discréditer l’Islam, de cette manière, contrairement aux apparences, c’est jouer l’ouverture.

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14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 22:55
9/11 crossNe croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée . Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père , entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Mathieu 10 : 34-36
Le christianisme n’affirme jamais que le royaume de Dieu adviendra sur cette terre : “Mon royaume n’est pas de ce monde.” Il nous dit plutôt que nous sommes la dernière période de l’Histoire.
Dans les derniers chapitres de “La légende des siècles”, l’arrivée de l’aviation apporte la paix au monde. Il y a dix ans, on nous a refait le coup avec les ordinateurs en nous expliquant que c’étaient eux qui avaient battu le communisme, quelle plaisanterie ! Le super-optimisme des Lumières a permis de fabriquer les armes qui sont en train de nous détruire. Le plus significatif, concernant le 11 septembre, est que tout était emprunté à l’Amérique : même les terroristes étaient américanisés, par l’intermédiaire de l’Europe. René Girard

“Vous sacrifiez vos soldats aux grandes entreprises. Et malgré tout, les dirigeants occidentaux - en particulier Bush, Blair, Sarkozy et Brown - parlent de liberté et de droits de l’homme. Y a-t-il terrorisme plus fort et plus dangereux que celui-là ?”

Qui n’a été frappé, dans les récents extraits de la dernière provocation vidéo du troglodyte forcé qu’est devenu le chef auto-proclamé de l’Internationale jihadiste* et dont nos médias se font à chaque fois un tel plaisir de répercuter, par la reprise, mot pour mot et comme les autres fois, des diatribes habituelles de nos propres imprécateurs anti-impérialistes ou antimondialistes à la Chomsky, bien connus notamment de nos amis blogueurs ?

D’où l’intérêt, en ce sixième jour-anniversaire de l’ignoble forfait des attentats du 11 septembre 2001 sur New York et Washington et au-delà de la pensée que l’on a bien sûr pour les si nombreuses familles des victimes (dont celle d’une ancienne camarade de lycée), de revenir sur un entretien (mais aussi d’un extrait de son ouvrage de 2001, “Celui par qu le scandale arrive”) du philosophe franco-américain René Girard accordé au Monde au lendemain desdits attentats, qui pointe justement cette particularité comme toute une série de malentendus sur cette vague d’hyper-terrorisme islamiste que nous traversons.

A savoir que loin d’être le produit de la différence entre deux mondes étrangers ou du rejet de l’Occident, il s’agit au contraire de la volonté exacerbée de le concurrencer et donc de lui ressembler.

Autrement dit, que la modernisation du monde initiée par l’Occident (et le judéo-christianisme) a nécessairement double face en ce qu’elle produit à la fois les plus grandes réussites (le monde n’a jamais été aussi riche) mais aussi les plus grandes frustrations et violences (à l’étranger comme chez nous, au sein de nos propres pays, écoles, familles !) pour ceux qui n’y ont pas encore accès ou ont pris trop de retard.

Qu’ont ainsi beau jeu de rallier, prenant le relais des marxistes et des communistes avant eux, les nouveaux totalitaristes islamistes, jihadistes ou iraniens.

Mais aussi, de notre côté, que la tentation de sortir de l’Histoire, le pacifisme inconditionnel ou la dhimmitude, n’ont pas beaucoup de sens face à de telles demandes: Ben Laden termine en effet, comme son rival Ahmadinejad, son message par l’exortation à se soumettre à l’islam!

* Comme le rappelle, ce matin dans Matin Plus, le géopolitologue Frédéric Encel, “le système de ‘franchise’ qu’utilise Ben Laden lui accorde plus de pouvoir qu’il n’en a réellement” car “si vous êtes un islamiste inconnu (…) si vous revendiquez votre appartenance à Al Qaeda, vous bénéficierez d’une immense couverture médiatique”.

Extraits :

Lorsque la globalisation se faisait attendre, tout le monde l’appelait de ses vœux. L’unité du monde était un grand thème du modernisme triomphant. On multipliait en son honneur les « expositions internationales ». maintenant qu’elle est là, elle suscite plus d’angoisse que d’orgueil. L’effacement des différences n’est peut-être pas la réconciliation universelle qu’on tenait pour certaine.

Des deux côtés, on prétend expliquer par des traditions ancestrales des phénomènes qui s’enracienent au contraire, de toute évidence, dans la perte de ces différences et cette perte reste jusqu’ici sans contrepartie. La haine de l’occident et de tout ce qu’il représente provient non pas de ce que son esprit est vraiment étranger à ces peuples, non pas de ce qu’ils s’opposent au « progrès » qu’au contraire nous incarnerions, mais de l’esprit concurrentiel qui leur est aussi familier qu’à nous-mêmes.

Cette conception rivalitaire que notre exemple impose à la planète ne peut pas faire de nous des vainqueurs sans faire en d’autres lieux d’innombrables vaincus, d’innombrables victimes. (…) Elle produit avant tout un désir brûlant de briser une fois pour toute s le resssort de la défaite personnelle et nationale, l’énorme machine concurrrentielle que sont devenus les Etats-Unis, suivis de près par l’occident dans son ensemble.

Sans doute le terrorisme est-il lié à un monde «différent» du nôtre, mais ce qui suscite le terrorisme n’est pas dans cette «différence» qui l’éloigne le plus de nous et nous le rend inconcevable. Il est au contraire dans un désir exacerbé de convergence et de ressemblance.

Sous l’étiquette de l’islam, on trouve une volonté de rallier et de mobiliser tout un tiers-monde de frustrés et de victimes dans leurs rapports de rivalité mimétique avec l’Occident. (…) Et par leur efficacité, par la sophistication des moyens employés, par la connaissance qu’ils avaient des Etats-Unis, par leurs conditions d’entraînement, les auteurs des attentats n’étaient-ils pas un peu américains ? On est en plein mimétisme.

Dans la foi musulmane, il y a un aspect simple, brut, pratique qui a facilité sa diffusion et transformé la vie d’un grand nombre de peuples à l’état tribal en les ouvrant au monothéisme juif modifié par le christianisme. Mais il lui manque l’essentiel du christianisme : la croix. Comme le christianisme, l’islam réhabilite la victime innocente, mais il le fait de manière guerrière. La croix, c’est le contraire, c’est la fin des mythes violents et archaïques. René Girard, Celui par qu le scandale arrive, 2001

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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 21:36


par Daniel Pipes
New York Sun, 11 septembre 2007

VO: http://www.danielpipes.org/article/4910

Comment va la guerre «contre le terrorisme»? On pourrait trouver réjouissante l’absence d’opération terroriste réussie de grande envergure contre des Occidentaux depuis les attentats à la bombe de Londres, en juillet 2005. Mais la morosité domine. Par exemple lors d’un récent sondage réalisé par le magazine Foreign Policy auprès de 108 experts américains (dont moi-même), seuls 6% des spécialistes estimèrent que «les États-Unis sont en train de gagner la guerre contre la terreur», contre une écrasante majorité de 84%.

Ce négativisme reflète une double réalité: l’islamisme progresse partout (hors d’Iran), alors que le monde civilisé reste empêtré dans de profondes erreurs – il se fait des reproches pour la haine des Musulmans, il sous-estime et il apaise son ennemi. Plusieurs tendances se font jour:

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles, notamment l’approfondissement des connaissances et la propagation de la prise de conscience, par un nombre croissant d’Occidentaux, surtout à droite, de la nature de la guerre et de l’ennemi. Les Américains lisent des livres, regardent des documentaires, suivent l’évolution de l’actualité et s’impliquent activement.

Ainsi, l’expression «guerre contre la terreur», largement acceptée il y a six ans, est maintenant généralement considérée comme obsolète, car elle confond une tactique avec un ennemi (néanmoins, elle reste d’usage faute d’un consensus sur son remplacement).

Et aucun officier supérieur américain ne dirait plus rien aujourd’hui qui ressemble à l’analyse émise par Colin Powell au lendemain du 11 septembre 2001, selon laquelle les attentats terroristes «ne doivent pas être considérés comme l’œuvre des Arabes ou des Musulmans; ce sont des actes de terroristes».

Au lieu de réfuter ces sornettes, les conservateurs débattent d’une question encore pratiquement inexistante avant le 11 septembre et qui mérite une attention particulière en raison de ses implications politiques. Certains considèrent que le monde musulman traverse une crise temporaire et cherchent des moyens de l’aider à moderniser sa religion, afin que les Musulmans puissent s’épanouir. D’autres veulent voir l’Islam comme un culte mortifère irrécupérable et cherchent à interdire l’Islam et à se séparer des Musulmans.

D’une manière plus générale, le débat public constant et intense sur l’Islam a permis aux citoyens d’être beaucoup mieux informés. Avant le 11 septembre, peu d’Américains connaissaient des termes tels que djihad et fatwa, sans parler d’ijtihad, de dhimmitude ou de burqa. Plus rares encore étaient ceux qui pouvaient discuter des versets abrogés du coran ou émettre une opinion sur la nature islamique des crimes d’«honneur». Aujourd’hui, ces thèmes sont abordés avec maîtrise par des blogueurs, des animateurs de tables rondes et même des responsables de la police.

Le mois dernier, par exemple, le New York Police Department (NYPD) publia un rapport impressionnant, intitulé «Radicalization in the West: The Homegrown Threat (Radicalisation en Occident: la menace intérieure), montrant que le terrorisme trouve ses origines dans la pensée d’intellectuels islamiques. D’où vient le processus de radicalisation selon le NYPD? «L’idéologie djihadiste ou salafiste-djihadiste est le moteur qui motive» de jeunes Musulmans nés occidentaux à s’adonner au terrorisme contre leur propre pays.

Il y a six ans, un rapport de police n’aurait pas contenu une telle affirmation et surtout n’aurait pas fait usage de termes tels que «l’idéologie salafiste-djihadiste». Il vaut la peine de relever que le NYPD admet lui-même qu’il a eu besoin de temps pour atteindre ce niveau de sophistication: «Alors qu’auparavant nous aurions situé l’élément initial de la menace au point où un terroriste ou un groupe terroriste aurait projeté un attentat, nous portons maintenant notre attention plus en aval de ce point», au début du processus de radicalisation.

En dépit de ces nombreux progrès, les commentateurs libéraux en restent à des déclarations inexactes aux termes desquelles «tous les Américains» seraient affligés d’une «énorme et profonde ignorance de l’Islam» (pour citer le mot tout récent du rabbin Eric H. Yoffie, le président de l’Union for Reform Judaism, s’exprimant de surcroît lors d’une convention islamiste).

L’issue de la «guerre contre le terrorisme», à mon avis, dépendra moins de nouvelles percées en avionique ou de réussites des services de renseignement que du degré de compréhension de la nature de leur ennemi que pourront atteindre les populations civilisées et de leur capacité à s’unir contre lui. Il faut pour cela que les libéraux se souviennent, comme le dit Salim Mansur au Canada, que «la démocratie libérale n’est pas une idéologie moins armée que l’idéologie islamiste». Que nous réserve l’avenir – plutôt le «United We Stand» de 2001 ou plutôt les profondes divisions actuelles?

La réponse à cette question pourrait se révéler décisive. L’histoire me donne des raisons d’être optimiste, car jusqu’à présent les démocraties occidentales se sont toujours imposées. Pour qu’il en soit ainsi une fois de plus, les préparatifs devront inclure l’étude de l’Islam et des Musulmans.

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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 21:25
Miguel Garroté
  
muslimwoman.jpgLes droites nationales de Belgique, d’Italie et de France ont-elles récupéré un événement, d’origine danoise et allemande, initialement apolitique ? La manifestation de « Stop the islamisation of Europe » prévue à Bruxelles, capitale de l’Union Européenne, le 11 septembre dernier, a été interdite, par le maire de cette ville. La manifestation européenne a été interdite par un maire à cause de la peur de ce maire face à l’islam radical en Europe.
  
Or, la peur de l’islam radical en Europe, c’était justement la raison d’être de cette manifestation. Des manifestants étaient présents à Bruxelles, malgré l’interdiction, le 11 septembre dernier. Ces manifestants ont été tantôt dispersés, tantôt arrêtés, tel Frank Vanhecke, président du Vlaams Belang flamand et député européen ; tel le député européen italien de la Ligue du Nord Mario Borghezio ; et tel le député européen français du Front National Carl Lang.
  
Le ministre italien des Affaires étrangères Massimo d’Alema a demandé à l’ambassadeur italien à Bruxelles de présenter une protestation aux autorités belges déplorant la violation de l’immunité parlementaire de l’eurodéputé Mario Borghezio.
  
La question posée au début de cet article était : les droites nationales de Belgique, d’Italie et de France ont-elles récupéré un événement, d’origine danoise et allemande, initialement apolitique ? Plus précisément, puisque nous naviguons en blogosphère francophone, le Front National de Jean-Marie Le Pen a-t-il récupéré un événement initialement apolitique ?
  
L’initiative de cette manifestation était, à l’origine, partie du Danemark et d’Allemagne. Rien à voir, donc, avec le Front National. En revanche, l’aboutissement de cette manifestation s’est limité, essentiellement, à des caméras de télévision filmant des leaders de la droite nationale, y compris du Front National. Le thème n’était donc plus l’islam radical, mais le Vlaams Belang, la Ligue du Nord et le Front National. Est-ce la droite nationale, le Front National, qui a récupéré la manifestation ? Ou cela sont-ils l’interdiction injuste du maire de Bruxelles et les médias présents sur les lieux, le 11 septembre, qui ont transformé, une simple manifestation contre l’islam radical, en un happening ultra-droitiste ?
  
Le problème majeur qui ressort de cette affaire, c’est l’impossible unité face à l’islam radical. Car, en Europe, les partis de la droite nationale ont un discours tantôt antisémite, tantôt ambigu, sur le judaïsme. Ainsi, Les propos stupides de Le Pen sur le point de détail de l’histoire que sont, selon lui, les chambres à gaz, ces propos ont disqualifié à jamais le Front National qui, d’ailleurs, sur la scène politique française, n’a jamais représenté les défenseurs d’une société à la fois libre et de culture judéo-chrétienne. Pourtant, entre les chrétiens sémitophiles qui votent pour la droite nationale par dépit et les conservateurs de l’aile droite de l’UMP, il y aurait en France de la place pour un large parti de droite, qui jetterait aux oubliettes les athées néo-staliniens du Front National et les mollassons du Centre-droit. Hélas, l’incurable gauloiserie des vieux caciques politiques, toujours en place, rend impossible ce large parti de droite. La Sarkozie n’a pas encore éradiqué les reliques de la Chiraquie et même de la Giscardie.
  
La France en particulier et l’Europe en général sont privées d’un mouvement néo-conservateur, chrétien et sémitophile (« sioniste » diront les antisémites). Il se trouve qu’un tel mouvement existe aux USA, notamment au travers du parti Républicain. Mais ce qui est « de droite » aux USA est considéré « d’extrême droite » en Europe. En France, si vous vous situez dans l’aile « droite » de l’UMP, donc à « gauche » du Front National, vous êtes, quand même, un type « d’extrême droite ». Cette imposture, fabriquée par la gauche et les médias, est à la fois une affolante idiotie et une sordide manipulation. A cet égard, les Danois et les Allemands qui souhaitaient manifester contre l’islam radical à Bruxelles n’auraient pas essuyé un tel refus aux USA.
  
0__1312949_4_00.jpgIl serait peut-être temps de dire que les jeunes générations de droite, en Europe, se fichent de l’extrême droite. Elles se fichent des vieux débats lepénistes sur la « réhabilitation » du Maréchal Pétain et sur « l’erreur » de la décolonisation de l’Algérie. Les jeunes générations de droite, en Europe, veulent un mouvement néo-conservateur, chrétien et sémitophile qui garantisse les libertés et qui reconnaisse l’héritage judéo-chrétien du Vieux Continent. En quelque sorte, ni Giscard-Chirak ni Le Pen, ni la droite aux testicules mous ni la droite aux dérapages verbaux extrêmes. Les jeunes générations de droite, en Europe, veulent un mouvement qui crée une plateforme commune sur l’essentiel. Le simple fait que cela existe aux USA constitue un prétexte débile pour ne surtout pas l’envisager en Europe. Dans ce climat pourri, notre vocation n’est plus de rester des Européens libres et judéo-chrétiens. Notre vocation est de ressembler à tout et n’importe quoi pourvu que cela ne ressemble pas aux USA, pays pourtant d’origine largement européenne. D’où l’impossible unité face à l’islam radical, l’impossible mouvement néo-conservateur et l’impossible plateforme commune sur l’essentiel. Et de ce fait, à Bruxelles et ailleurs, les islamistes ont la frite et se frottent les mains pour la suite.
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10 septembre 2007 1 10 /09 /septembre /2007 20:58
ANNONCE

dantec 11 septembre

Milliere Guy - mercredi 05 septembre 2007

.....................
Les analyses de la presse française sur la présidence Bush sont toujours aussi myopes. Elles s’accompagnent d’un discours asthénique sur les perspectives de l’élection présidentielle de 2008, et sur le statut de la guerre en Irak.

Commençons par Bush, qu’on présente comme « en échec » ou « en fin de parcours » : on oublie, en France, que, depuis longtemps, tous les présidents des États-Unis, au cours de leur second mandat, connaissent des difficultés diverses, liées le plus souvent au fait qu’ils ne peuvent se représenter, et que se prépare leur succession. Le parti d’opposition fait feu de tous bois parce qu’il espère provoquer une alternance. Les membres du parti au pouvoir se donnent les moyens de souligner leurs différences. Cela s’accompagne de manœuvres, de recours spécieux à la justice et de commentaires sans merci. Il en a été ainsi, par exemple, pour Reagan. Il en est ainsi pour Bush aujourd’hui.

Les démocrates étaient hostiles à Reagan à la fin des années 1980. Ils sont très hostiles à Bush vingt ans plus tard
. C’est logique. Les républicains, à la même époque, cherchaient à se différencier de Reagan : ils cherchent aujourd’hui à se démarquer de Bush. C’est logique, encore. Des conseillers de Reagan se sont retrouvés devant la justice. Des gens de l’entourage de Bush se sont, eux aussi, retrouvés devant la justice. C’est logique, toujours, hélas. La presse américaine, penchant à gauche à l’époque, a été féroce avec Reagan et l’a traité d’idiot. Encore plus à gauche aujourd’hui, elle est odieuse avec Bush et le traite de crétin. C’est tristement « normal ». La fin des années Clinton correspond au même scénario : la différence tient seulement à ce que Clinton était de gauche, et avait donc les faveurs des journaux américains et français. Le temps de l’histoire pour les présidents américains, vient plus tard, après qu’ils aient quitté le pouvoir : seuls ceux qui savaient se détacher de l’immédiateté pouvaient discerner d’emblée au temps de Reagan que celui-ci était un grand homme. Seuls ceux qui savent aujourd’hui se détacher de l’immédiateté peuvent déchiffrer ce qui fera la marque véritable de la présidence Bush. Ceux qui sont dans l’immédiateté, et qui bêlent avec les moutons de Panurge, ne peuvent rien voir, bien sûr.

Ils ne voient pas grand-chose non plus concernant les perspectives de 2008. Après s’être entichés de Barack Obama (il est beau, il est noir, il parle comme un Européen mou) sans s’apercevoir qu’il était incompétent, mettent désormais tous leurs espoirs dans Hillary Clinton et ne discernent pas qu’elle est loin d’avoir partie gagnée : parce qu’elle n’est pas aimable, parce qu’elle et son parti sont trop à gauche pour la classe moyenne américaine. Ils ne discernent pas non plus qu’il existe, au sein du parti républicain, plusieurs candidats qui, avec des nuances qui leur sont propres, prolongent la stratégie de guerre contre l’islamo-terrorisme et le « conservatisme compassionnel » élaborés par Bush. Et ils semblent ne pas prêter attention au fait que le mieux placé de ces candidats, Rudy Giuliani, apparaît en mesure de battre Hillary Clinton.

Ceux qui sont dans l’immédiateté n’ont, cela va de soi, toujours rien compris à la guerre d’Irak : j’y reviendrai pour ceux qui ont l’esprit ouvert (les autres m’indiffèrent). Ce que j’en dirai ici est que

1. la libération du peuple irakien et le changement de régime en Irak ont été et restent de bonnes choses,
2. des erreurs ont été faites pendant la réorganisation du pays, et seuls les stratèges de bistro ne font pas d’erreurs,
3. Le terrorisme a eu des accalmies et des retours de flamme, mais il est un terrorisme, pas une « résistance », et il fait partie intégrante du terrorisme islamiste avec lequel nous sommes en guerre
3. la stratégie du général Petraeus mise en œuvre depuis janvier, porte ses fruits,
4. une guerre se juge quand elle est arrivée à son terme et quand, comme pour les présidences des États-Unis, vient le moment de l’histoire. La pacification de l’Irak nouveau n’est pas achevée. La guerre contre l’islamo-terrorisme non plus. Cela se trouve largement compris aux États-Unis, où même la gauche commence à percevoir que le défaitisme et le dénigrement sont suicidaires et ne paient pas électoralement. La France reste marquée par le défaitisme et le dénigrement, et on y compte nombre de stratèges de bistro.

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9 septembre 2007 7 09 /09 /septembre /2007 22:50

AmericanHaters.gif

Comment expliquer cette passivité, cette amorphie de notre peuple à qui un pouvoir politique félon impose à l'aide de moyens de coercition considérables une transfusion civilisationnelle clairement incompatible donc mortelle, sinon par cette doctrine du pacifisme irénique et béat.
Pacifisme irénique insufflé par les gauches républicaine et internationaliste, qui infiltre les esprits de gauche et de droite molle depuis une cinquantaine d'années avec le relai de l'école, des syndicats, des médias corrompus et d'une classe politique veule.


L'axiome de ce pacifisme est :


" La guerre est la pire des abominations"

Tout le monde souscrit bien évidemment à ce principe dont le corollaire immédiat est qu'en cas de tension il faut tout faire mais alors tout faire pour éviter la guerre voire même ériger en dogme de la refuser.

Tout faire oui, mais jusqu'où doit-on aller dans les concessions faites aux agresseurs ? Doit-on tout leur céder ? Si on refuse de se battre il ne restera alors que cette opportunité.

En 1938 Hitler voulait la guerre. Daladier et Chamberlain se sont couchés et il y a eu la guerre mais même s'ils avaient choisi l'honneur la guerre aurait été déclarée.

Tout ça pour dire que quand on a deux protagonistes et que l'un des deux veut la guerre QUOI QUE FASSE L'AUTRE IL Y AURA LA GUERRE OU SINON, RESTE LA SOUMISSION SANS MEME COMBATTRE. Pas besoin d'être deux pour déclarer la guerre un seul suffit.

Quand un agresseur veut vous asservir il n'y a malheureusement et n'en déplaise aux pacifistes de salon que l'alternative suivante :

- Soit on se couche et on pactise avec l'ennemi en trouvant moult raisons de le faire.

- Soit on combat pour défendre son bien le plus précieux : la liberté

Alors tout naturellement on se dit certes la guerre est la pire des abominations mais, mais...


N'Y AURAIT-IL PAS PIRE QUE LA GUERRE ?

En 1914 on aurait pu se coucher et éviter environ 2 millions de morts et 4 millions de blessés ( http://a.gaudin.free.fr/pertes.htm ) mais cela aurait eu un coût : un peuple de 41,6 millions d'individus ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Population_fran%c3%a7-aise ) privé de sa liberté et asservi.

Mais la guerre a été déclarée, il y a eu 2 millions de morts,4 millions de blessés c'est horrible mais c'était le prix terrible à payer pour préserver la liberté de 38,7 millions personnes qui ont pu ainsi vivre libres.

Finalement il y a PIRE QUE LA GUERRE !


C'EST L'ASSERVISSEMENT DES PEUPLES QUI SE SOUMETTENT SANS COMBATTRE, SANS RESISTER

En combattant on peut toujours avoir l'espoir de gagner et ainsi préserver sa liberté, son histoire, son identité et si on perd garder l'estime de soi.

Ce pacifisme irénique qui nous imprègne depuis des dizaines d'années a fait des citoyens de nos peuples d'Occident des moutons qui n'ont même plus l'instinct de conservation. Souvenez-vous dans les années 50-60 ne disait-on pas


PLUTOT ROUGE QUE MORT

Il y a 1400 ans que l'islam a déclaré la guerre à tout ce qui n'est pas lui-même. L'islam nous a donc déclaré la guerre. Il n'y a que les sourds et les aveugles pour le réfuter. On a l'impression que la devise populaire soit maintenant


PLUTOT VERT QUE MORT

Ce qui est nouveau c'est que ce n'est pas une guerre conventionnelle entre soldats des armées de deux pays encore que l'on pourrait l'interpréter comme guerre non pas entre deux peuples mais entre deux communautés celle des croyants en Allah, la oummah qui attaque celle des non croyants (en Allah), les mécréants ; le territoire convoité n'étant rien moins que la planète.

La guerre armée n'est pas encore déclarée.

Pour le moment c'est une guerre féroce faite de propagande, de cette intimidation si consubstantielle à l'islam et les morts sont peu nombreux si on les rapporte aux nombreux morts des guerres conventionnelles. Cependant ne négligeons pas les déjà nombreux "morts virtuels" ou dhimmis de cette guerre psychologique.

Aussi il est consternant de constater que les habitants de ce territoire appelé France qui sont dans une très grande majorité non musulmans acceptent cet envahissement et bientôt cet asservissement lent et programmé en vertu de vieux préceptes mahométans même s'il faut bien dire à leurs décharges qu'ils sont dirigés depuis des décennies par un personnel politique cconstitué de corrompus, de pleutres et de traîtres.

Cependant nous ne devons pas perdre espoir car notre histoire nous apprend que c'est souvent quand il est au bord de l'abîme que notre peuple consent à réagir et souvenons-nous qu'il n'y a pas pire qu'un mouton quand il devient enragé.


Youguy
youguy@france-echos.com 

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