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"Si vous entendez ce message, c'est que vous êtes la résistance."

International Civil Liberties

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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 22:27

Cyber-Résistance : « Pouvoir total, c'est-à-dire corruption totale. »  

 

Êtes-vous un Libertarien ?    

 

http://americanbuilt.us/images/organizations/Libertarian-compass.jpg

Le diagramme de Nolan

 

Si les grands partis politiques vous déçoivent, c’est souvent parce que :

 Si en plus vous partagez certaines des idées suivantes :

Si vous vous reconnaissez dans ces idées, c’est que vous êtes un libéral dit « classique ». En référence à son attachement aux idées classiques du libéralisme. Les héritiers de ces libéraux sont appelés « libertariens ». [5]

  Le mot « libertarien » commence à être utilisé, car le terme « libéral » désigne aujourd’hui des choses très différentes. Comme par exemple :

Le libéralisme qu’on dit « classique » est celui qui défend le mérite et l'action humaine comme moteur de liberté, de responsabilité et de prospérité.

 

Le libéral classique défend :

 

Une théorie économique rationnelle, hostiles aux théories économiques douteuses des corporatistes, des socialistes et de Keynes.

Une économie basée sur les principes du libre marché, encourageant l'investissement, le travail et l'épargne - plutôt que l'endettement et la consommation.

Une approche monétaire impliquant une réduction du pouvoir absolu des banquiers centraux, qui agissent comme des planificateurs et provoquent crise après crise.

Le libre échange et la libre circulation des personnes, des capitaux et des biens.

La neutralité diplomatique.

L'État de droit, c'est-à-dire basée sur la stricte égalité de chaque personne devant la justice.

Ce qu’on nomme le « laissez-faire », c'est-à-dire la non-intervention de l'économie politique dans la vie privée des gens.


Pour le libéral classique, le rôle de l’État doit se limiter à :
 

Protection des Droits et libertés, ainsi que l’intégrité physique et la propriété des individus ; contre la criminalité et la fraude. Défense du territoire contre les agressions extérieures avec efficience et diplomatie.


Les libéraux débattent de nombreux détails sur ces points, en particulier de définir quelles sont les rares prérogatives qui doivent êtres cédées à l’État. Ils sont toutefois en désaccords sur d’importantes choses :

 

Les libéraux classiques, conservateurs et de gauches ne sont certainement pas anarchistes : Ils sont démocrates et humanistes. Pour eux l’absence d’un gouvernement est destructeur de liberté, car personne ne doit lui-même défendre son intégrité physique ou sa propriété. Ce qui serait synonyme de « loi de la jungle » ou « loi du plus fort ». Contradictoire du principe de liberté.

 

Les agoristes et les libertariens peuvent êtres anarchistes, pour eux il existe une contradiction interne dans la fonction même du gouvernement. Car si le gouvernement protège la population, qui protège la population du gouvernement ? L’état est ainsi l’incarnation même du pire monopole qui soit : celui de la violence. [6]

 

Le libéral de gauche est favorable à une allocation universelle, qui serait indistinctement donnée à quiconque afin d’assurer des « conditions de départ » équitables à chacun.

 

Le libéral conservateur intègre une dimension nationaliste et morale au libéralisme classique.

 

Si vous vous sentez désormais libertarien, alors sachez que vous appartenez à un courant philosophique qui existe depuis l'Antiquité. Qui a toujours apporté innovation et indépendance lorsqu’il a été promu. Que cette application n’a jamais été complète et que ce ne sont que les quelques rares parties qui l’ont été qui ont permis toutes les avancées que nous connaissons aujourd’hui.

La question se pose alors : pourquoi ces évolutions ne sont-elles pas plus communément formulées et appliquées ?

Pour la simple raison que le fait de défendre publiquement tous ces principes entraîne des critiques d’égoïsme par la gauche et d’utopisme par la droite. Car les progressistes se voient comme ayant le monopole de la vertu et les conservateurs le monopole de la morale

Il existe pourtant des secteurs, dans le monde, qui se distinguent particulièrement. Car ils sont la démonstration du genre d’abondance de croissance que le libéralisme apporte. Ces puissances sont la Suisse ; certains états américains [7] comme le New Hampshire ; Hong-Kong ; etc. Les principes et les idées présentées précédemment y sont communément acceptés et appliquées.

Incontestablement, la majorité des discussions politiques d’aujourd’hui et dans le monde combinent futilité et démagogie. Nous sommes en face d’un consensus « étatiste » mondial [8], où la gauche veut un État fort pour administrer l'économie et la droite un État fort pour décider de ce que doivent êtres nos valeurs. Un État minimal  , garant de liberté et de prospérité, a été oublié des deux côtés.
 
A ce stade, il est adéquat de proposer une nouvelle définition du « spectre » politique. Un régime politique devrait être considéré en plusieurs échelles. Car il est certain que les conservateurs et les progressistes se trouvent à l’opposé l’un de l’autre. Néanmoins ils peuvent être plus ou moins étatistes  : C'est ainsi qu’apparaissent les trois dimensions  ! [9]

On compte donc, à la base, tous les totalitarismes. Comme la nomocratie islamique, le communisme et le fascisme : dans tous les cas, la présence de l’État est totale ; une classe de privilégiés est libre et à tout pouvoir, là où une autre classe de  serviteurs n’existe que pour servir les idéaux de la première.

Au sommet, c’est l’absence d’État : l’anarchisme au sens strict, le « Libertarianisme ». [10] Au milieu, on trouve l’État de droit : le pouvoir et les devoirs de l’État  sont strictement limités par la constitution. Le but de cette loi est de garantir  l'égalité de tous devant elle et d’assurer la sécurité et la liberté.


La Révolution Libertarienne s'oppose aux sociétés démocratiques totalitaires,  le refus de tout pouvoir est la voie vers l’émancipation de la civilisation.


[1] Le jusnaturalisme est une doctrine philosophique et juridique fondée sur le concept de droit naturel. 

[2] Cf. Lord Acton. 

[3] Il n'y a qu'un seul droit fondamental (tous les autres sont ses conséquences ou corollaires) : le droit d'un homme à sa propre vie. La vie est un processus d'action qui s'auto-génère et s'auto-entretient ; le droit à la vie signifie le droit de s'engager dans un tel processus, c'est-à-dire la liberté de prendre toutes les actions requises par la nature d'un être rationnel pour la conservation, le développement, l'accomplissement et la jouissance de sa propre vie. Telle est la signification du droit à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur. (Ayn Rand, La vertu d'égoïsme)

[4] Murray Rothbard, Le Manifeste libertarien, 1973

[5] Le Gadsden Flag et sa devise libertarienne « Ne me marche pas dessus » figurent parmi l'imagerie révolutionnaire de la guerre d'indépendance reprise par les partisans du mouvement Tea Party

[6] « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. » — Benjamin Franklin

[7] Le Free State Project (Projet d'État libre) est une invitation aux libéraux et aux libertariens à se regrouper dans l'État du New Hampshire (États-Unis) afin d'obtenir une puissance politique suffisante pour imposer par le vote leur choix politique et économique. L'objectif est de minimiser l'État et de développer de façon optimale la philosophie libérale.

[8] Votre système est une guerre civile légale, où les hommes se constituent en groupes antagonistes et se battent entre eux pour s’emparer de la machine à fabriquer les lois, laquelle leur sert à écraser leurs rivaux jusqu’à ce qu’un autre gang s’en empare à son tour pour les évincer, le tout dans une protestation perpétuelle d’attachement au bien non spécifié d’un public non précisé. (Ayn Rand, Atlas Shrugged, Discours de John Galt)

[9] Le diagramme de Nolan est un échiquier politique qui permet de se représenter sur une échelle du positionnement de partis ou mouvements politiques. Il a été élaboré par le libertarien David Nolan. Ce diagramme montre ce qu'il considère comme les « libertés économiques » (comme le niveau des impôts, le marché libre et la libre entreprise) sur l'axe des abscisses, et les « libertés individuelles » (liberté de circulation, laïcité, libre possession de son corps qui regroupe la légalisation des drogues, l'avortement, l'euthanasie,...) sur l'axe des ordonnées.

Ceci place l'aile gauche en haut à gauche de ce diagramme, l'aile droite en bas à droite, les libertariens en haut à droite, et en bas à gauche les totalitaristes (d'extrême-gauche comme d'extrême droite). Ces derniers furent regroupés par Nolan sous l'appellation de populistes pour leur tendance à s'appuyer sur le « petit peuple », toutefois cela ne recoupe pas l'usage récent du terme populiste pour désigner des programmes économiquement très libéraux. L'axe droite/gauche est donc représenté par une diagonale traversant le diagramme du coin supérieur gauche au coin inférieur droit.

[10] La panarchie est une théorie politique prônant la libre concurrence de tous les systèmes politiques. 


Selon cette définition, le monde tout entier est en train de se diriger dangereusement vers la gauche. La crise financière qui sévit en est une conséquence, une illustration, et un accélérateur (pour l’instant). C’est de ce thème que le manifeste Néo-Libertarien traitera.


 

Le Manifeste Néo-Libertarien 

 

Chapitre 1 – Notre condition actuelle: l’étatisme 

 

Chapitre 2 – Notre objectif: l’agorisme 

 

Chapitre 3 – Notre moyen: la contre-économie 

 

Chapitre 4 – Notre stratégie: la Révolution 

 

Chapitre 5 – Nos tactiques: Action ! 

 

http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2011/04/Liberty.jpg

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25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 21:50

QU'EST-CE QUE LE LIBERTARIANISME?

par Martin Masse, le QL, 7 mars 1998


La philosophie du Québécois Libre est libertarienne. En quelques mots, nous croyons que la liberté individuelle est la valeur fondamentale qui doit sous-tendre les rapports sociaux, les échanges économiques et le système politique. Nous croyons que la coopération volontaire entre les individus dans un marché libre est préférable à la coercition exercée par l'État. Nous croyons que le rôle de l'État n'est pas de poursuivre des objectifs au nom de la collectivité – comme redistribuer la richesse, « promouvoir » la culture, « soutenir » le secteur agricole, ou « aider » la petite entreprise – mais bien de se limiter à protéger les droits individuels et laisser les citoyens poursuivre leurs propres objectifs de façon libre et responsable.

Ce terme de libertarien est peu connu au Québec ou dans la Francophonie en général. Certains le confondent avec libertaire, un mot qui réfère surtout à des groupes anarchistes qui s'opposaient, au XIXe siècle, au pouvoir de l'État, mais qui ne favorisaient pas particulièrement le libre marché. Pour désigner les idées que nous défendons, les médias et la classe intellectuelle – qui y sont en presque totalité opposés – parlent généralement de néolibéralisme, un terme auquel ils donnent toujours une connotation négative.

Le libertarianisme est en effet similaire au libéralisme, une philosophie élaborée dès les XVIIe et XVIIIe siècles par des penseurs comme John Locke et Adam Smith pour défendre les droits individuels contre les pouvoirs abusifs des souverains, et qui a connu son heure de gloire au XIXe siècle. Les libertariens sont les héritiers des libéraux classiques.

Pourquoi alors ne pas se définir comme libéral? Parce que ce terme, justement depuis la fin du XIXe siècle, a pris des sens qui ne s'accordent plus du tout avec la défense de la liberté. En Grande-Bretagne, au Canada et au Québec, des partis soi-disant libéraux ne sont en fait qu'un peu plus modérés que les socialistes dans leurs penchants interventionnistes et leur irrespect des droits individuels.

Pire encore, aux États-Unis, un liberal est un partisan d'un État qui s'ingère partout dans la vie des individus, qui tente de solutionner tous les problèmes en taxant et en dépensant, qui crée des programmes bureaucratiques pour chaque bonne cause, bref, un État tyrannique qui piétine toute liberté au nom d'une utopie collectiviste inatteignable.

Se définir comme libertaire, néolibéral ou libéral sèmerait la confusion, comme libéral classique ou classical liberal ne serait pas très pratique, et c'est pourquoi ceux qui partagent ces idées dans le monde anglophone ont choisi, il y a déjà plusieurs décennies, de s'appeler libertariens. Le mot libertarianisme n'est pas nécessairement très élégant en français, mais il indique clairement de quoi il s'agit.

Nous nous rattachons à cette communauté de gens qui, partout dans le monde, défendent cette valeur fondamentale qui a permis l'émergence de la civilisation, de la prospérité, du progrès technique, de l'État de droit, de la justice; cette valeur première qui sous-tend la responsabilité, la créativité, l'entrepreneurship, la solidarité réelle: la liberté.



LIBERTIN, LIBERTAIRE, LIBERTARIEN

par Martin Masse, le QL, 4 décembre 1999


Comme nous pouvons le constater dans les messages que nous recevons, beaucoup de gens confondent « libertarien » avec « libertaire », et même avec « libertin ». Tous ces mots, ainsi que « libéral », ont pour racine latine « libertas » et réfèrent donc d'une façon ou d'une autre à la liberté, mais avec des nuances importantes. Comme le mot libertarien, emprunté récemment à l'anglais (« libertarian »), ne figure toujours pas dans le dictionnaire, il s'avère utile d'en préciser le sens et de clarifier ainsi la position philosophique défendue dans le Québécois Libre.

Les libertins sont des gens « libérés » sexuellement et moralement, qui rejettent les conventions généralement acceptées et qui s'adonnent à des plaisirs charnels de façon immodérée. Il y a par exemple un club d'échangistes à Montréal qui s'appelle Les libertins. Les libertariens prônent la liberté dans tous les domaines, y compris le droit de faire ce qu'on veut avec son propre corps dans la mesure où l'on ne brime pas la liberté et la propriété des autres. Dans cette optique, ils croient que les gens comme les libertins qui veulent participer à des partouzes, se prostituer, ou se droguer, devraient pouvoir le faire sans être importunés par la répression policière.

Toutefois, ils ne prônent absolument pas le mode de vie libertin plutôt qu'un autre. Chacun doit pouvoir choisir les croyances et le mode de vie qui lui conviennent, qu'il s'agisse d'ascèse ou de libertinage, de moralisme religieux ou de relativisme moral. Les libertariens défendent par exemple aussi bien le droit des libertins de vivre dans la débauche que celui des fondamentalistes religieux d'éduquer leurs enfants selon leurs croyances très strictes.

Les libertaires constituent, comme les libertariens, un courant philosophique théoriquement opposé à l'État et à l'autorité. Il s'agit toutefois d'une variante anarchiste de gauche, parfois aussi appelée anarcho-communisme ou anarcho-socialisme. Les libertaires prônent non seulement la liberté, mais aussi l'égalité totale de condition entre les citoyens. Ils croient que celle-ci surviendra si on abolit non seulement l'État, mais en plus la propriété privée et le marché. Leur modèle économique est centré sur l'autogestion, c'est-à-dire le contrôle à la base des moyens de production par les travailleurs, sans propriétaire ni hiérarchie. Historiquement, c'est un mouvement qui a eu assez peu d'influence, qui a tendance à se confondre dans la mouvance socialiste et qui a été lié à des actions et manifestations violentes.

Les libertaires et les libertariens n'ont rien en commun, outre leur opposition à l'autorité de l'État. D'un point de vue libertarien, l'utopie qu'ils proposent est ou bien impossible, ou bien finirait par ressembler au totalitarisme communiste, parce que l'égalité totale ne peut être atteinte à moins d'être imposée par la force et parce que sans propriété privée, les individus seraient à la merci des petites cliques qui prétendraient gérer l'économie et la société en leur nom.

Gauche ou droite?

En quelques mots, les libertariens défendent donc la liberté individuelle à tous égards et considèrent que seule la coopération volontaire entre les individus – et non la coercition étatique – devrait servir de fondement aux relations sociales et économiques. Ils défendent l'égalité formelle de tous sur le plan légal, mais se soucient peu des inégalités de fait entre riches et pauvres, qui sont inévitables et qu'on ne peut réduire qu'en empiétant sur la liberté et en réduisant la prospérité globale. Pour eux, la meilleure façon de combattre la pauvreté est d'assurer la libre entreprise et le libre commerce pour tous et de laisser opérer les initiatives de charité privée, qui sont plus efficaces et mieux justifiées moralement que les programmes étatiques de transfert de la richesse.

Les libertariens croient que la seule façon d'assurer la liberté individuelle est de garantir la propriété privée et de limiter le plus possible le rôle et les interventions de l'État – dont les gestionnaires prétendent agir au nom d'intérêts collectifs abstraits – dans la vie des individus comme dans l'économie. Alors que selon les idéologies collectivistes, l'ordre social et économique ne peut qu'être imposé et maintenu par l'État, la philosophie libertarienne soutient au contraire que c'est l'action décentralisée d'individus qui poursuivent leurs propres fins dans un marché libre qui permet de maintenir cet ordre, de créer la prospérité, et de soutenir la civilisation dans laquelle nous vivons.

Dans le cadre politique nord-américain de l'après-Guerre, les libertariens se sont surtout alliés aux conservateurs dans leur lutte contre le communisme et le socialisme. C'est pourquoi on a tendance à les confondre avec eux et à les placer à la droite de l'échiquier politique, selon le modèle confus de gauche vs droite qui sert encore à catégoriser les idéologies. Mais les libertariens s'opposent aux conservateurs sur plusieurs points, notamment sur les questions sociales (les conservateurs ont tendance à vouloir imposer leurs valeurs traditionnelles à tous en utilisant le pouvoir de l'État, par exemple en criminalisant les drogues et la prostitution et en dénonçant l'homosexualité) et les questions de défense et de relations étrangères (les conservateurs sont enclins à appuyer le militarisme et les interventions impérialistes à l'étranger).

Les conservateurs valorisent en fait l'autorité et ne sont pas contre l'intervention de l'État par principe, ils s'y opposent uniquement lorsque celui-ci vise des buts qui ne sont pas les leurs. Au contraire, les libertariens s'opposent à toute forme d'intervention étatique. Selon eux, le spectre gauche/droite devrait être remplacé par un autre qui placerait les étatistes de gauche ou de droite d'un côté, et les partisans de la liberté individuelle de l'autre.

Les libertariens s'opposent donc aux idéologies collectivistes, de gauche comme de droite, qui mettent l'accent sur le groupe (nation, classe sociale, groupe sexuel, ethnique, religieux, linguistique, etc.) et qui visent à enrégimenter les individus dans la poursuite de buts collectifs. Il ne s'agit pas de nier la pertinence de ces identités collectives, mais plutôt d'affirmer que c'est aux individus eux-mêmes à déterminer à quels groupes ils souhaitent appartenir et contribuer, et non à l'État ou à des institutions qui s'appuient sur l'État d'imposer leurs objectifs de façon bureaucratique et coercitive.

Dans le débat sur la « question nationale » québécoise par exemple, la plupart des libertariens rejettent le projet indépendantiste parce qu'il vise essentiellement à imposer un État québécois plus fort, plus interventionniste et plus répressif sur le plan linguistique et culturel envers ceux qui ne cadrent pas dans la définition nationaliste de l'identité québécoise. Cela dit, les libertariens ne sont pas non plus de fervents patriotes fédéralistes et ils rejettent de la même façon le nationalisme et le protectionnisme canadiens, de même que l'interventionnisme et la tyrannie administrative de l'État fédéral. Dans leur optique, le but n'est pas de choisir entre deux États qui briment plus ou moins autant notre liberté, mais bien de réduire le plus possible le rôle des deux.

Héritière du libéralisme classique

Même si elle reste peu connue et peu comprise à cause de l'adhésion presque totale des intellectuels aux idéologies collectivistes tout au long du 20e siècle, la philosophie libertarienne n'est pas une philosophie marginale, bizarre, et propagée uniquement par un groupuscule d'utopistes déconnectés de la réalité. Au contraire, elle est l'héritière du plus important courant philosophique occidental des derniers siècles, le libéralisme classique. À partir du 17e siècle, ce sont les libéraux qui ont lutté pour l'élargissement des libertés politiques, économiques et sociales, à l'encontre des pouvoirs des monarques et des privilèges des aristocrates. Les principes libéraux sont le fondement de la constitution américaine, et on peut dire que les États-Unis comme la Grande-Bretagne et le Canada ont été gouvernés de façon largement libérale jusqu'au début de notre siècle.

Les libertariens d'aujourd'hui se situent dans cette lignée mais, après un siècle pendant lequel les idéologies collectivistes et totalitaires ont dominé, ils sont toutefois plus cohérents et radicaux que les libéraux classiques dans leur défense de la liberté individuelle et de l'économie de marché (à noter que ceux qui se prétendent aujourd'hui libéraux dans les partis libéraux du Québec et du Canada ou « liberals » aux États-Unis n'ont rien à voir avec les libéraux classiques et sont plutôt des socio-démocrates). Ils rejettent donc le principal développement politique du 20e siècle, la croissance soutenue de la taille de l'État et de la portée de ses interventions dans la vie privée des citoyens (comme exemple frappant, on peut noter qu'en 1926, le pourcentage des dépenses publiques dans le produit national brut du Canada s'élevait à seulement 15%; aujourd'hui, il se situe autour de 46%).

Comme tous les mouvements philosophiques, le libertarianisme est varié, contient plusieurs écoles et sous-groupes, et il n'y a pas d'unanimité sur ses justifications théoriques comme sur les buts qu'il vise. En Amérique du Nord, la plupart des libertariens souhaiteraient ramener l'État à quelques fonctions essentielles, notamment la défense, les affaires extérieures, la justice, la protection de la propriété privée et des droits individuels, et quelques autres responsabilités mineures. Tout le reste devrait être privatisé. Dans le contexte d'un État fédéral très décentralisé, les libertariens acceptent toutefois que des pouvoirs locaux (États constituants, provinces, régions ou municipalités) puissent intervenir dans d'autres domaines et offrir des modèles sociaux et économiques variés, dans la mesure où le citoyen insatisfait peut facilement déménager.

Certains libertariens qui se réclament de l'« anarcho-capitalisme » visent la disparition complète de l'État et la privatisation des fonctions énumérées ci-haut. Cette vision peut sembler à prime abord farfelue, mais elle s'appuie sur une argumentation théorique plausible. Il est par exemple facile d'imaginer qu'on pourrait remplacer les corps policiers fédéral, provincial et municipaux (avec toute la corruption, les abus de pouvoir, l'incompétence et le favoritisme qui les caractérisent, et cela sauf exception en toute impunité) par des agences privées de sécurité, qui feraient des profits dans la mesure seulement où elles protègent vraiment les citoyens et s'attaquent aux vrais criminels.

Loi par-dessus loi

De façon réaliste, dans le contexte où l'État contrôle maintenant la moitié du PIB et continue de passer loi par-dessus loi pour régir nos vies dans les moindres détails, les libertariens luttent d'abord pour renverser cette tendance et pour toute avancée concrète de la liberté et toute réduction concrète de la tyrannie étatique.

Ils sont les seuls à le faire sans compromis. Le débat idéologique actuel reste en effet dominé par des étatistes, malgré les différences superficielles qui alimentent le cirque politique. D'un côté, les socialistes et les partisans d'une croissance à l'infini de l'État sont fortement majoritaires chez les lobbys de parasites revendicateurs et dans les milieux académiques et médiatiques, où l'on est en général complètement ignorant des règles de base d'une économie de marché. Au « centre », ceux qui passent pour des « réalistes » admettent que l'État ne peut continuer à nous taxer et à croître indéfiniment, mais prônent simplement un ralentissement de cette croissance. L'establishment d'affaires se contenterait de quelques coupures mineures ici et là et ne remet plus en question la structure corporatiste de l'État et de ses organes financiers qui lui procurent de multiples « investissements ». Quant à ceux qui passent pour des « néolibéraux » radicaux, comme les politiciens républicains et conservateurs les plus audacieux, ils visent en fait à peine à nous ramener là où nous étions il y a une vingtaine d'années, quand l'État contrôlait 35 ou 40% du PIB.

D'ailleurs, lorsqu'on regarde de plus près ce qu'ils ont fait après plusieurs années au pouvoir (i.e., après la soi-disant « Révolution conservatrice » du républicain Newt Gingrich, ou la « Révolution du bon sens » du conservateur ontarien Mike Harris, ou les neuf années au pouvoir des conservateurs de Brian Mulroney), on se rend compte que les choses ont peu changé, malgré quelques réformes qui vont dans le bon sens. Des réductions d'impôt ont, il est vrai, donné un peu d'espace pour respirer aux contribuables de l'Ontario et de l'Alberta. Mais peu de programmes et de lois ont été abolis et l'État occupe toujours une place prépondérante dans la vie économique et sociale. Le chemin reste en fait dégagé pour une reprise de sa croissance lors d'un changement de conjoncture économique ou de gouvernement, ce qui viendra un jour ou l'autre.

Les libertariens sont les seuls à souhaiter un changement en profondeur, une réduction drastique de la taille et du rôle de l'État, les seuls à se démarquer et à privilégier la liberté individuelle avant tout. Et de plus en plus de gens se rendent compte que le libertarianisme constitue la seule alternative. Le mouvement libertarien existait à peine dans les années 1960 et a pris son envol aux États-Unis dans les années 1970, notamment avec la fondation d'un parti, le 3e en importance après les républicains et les démocrates trente ans plus tard. Aujourd'hui, la philosophie libertarienne est très présente sur internet et son influence grandit partout, y compris sur d'autres continents. Dans les milieux académiques, la pensée libérale classique renaît et le pont se fait avec les libertariens contemporains.

Au Québec, où le nationalo-socialisme règne depuis la Révolution tranquille, il n'y a jamais eu de mouvement libertarien à proprement parler jusqu'à maintenant, mais seulement quelques militants et penseurs poursuivant leur combat de façon isolée. Le but du Québécois Libre est de remédier à cette situation.



CINQ ATTITUDES LIBERTARIENNES ESSENTIELLES

par Martin Masse, le QL, 8 janvier 2000


Le libertarianisme n'est pas qu'une théorie économique. C'est aussi une philosophie de l'évolution humaine, une éthique des rapports entre les individus et une attitude générale devant la vie. C'est aussi une « psychologie » différente de celles qui caractérisent les socialistes, les conservateurs, les réactionnaires et les collectivistes de tout acabit.

On peut devenir libertarien pour des motifs purement logiques, parce qu'on a compris la validité des préceptes économiques de libre marché ou l'importance cruciale de la liberté individuelle dans le développement de la civilisation. Mais ces explications rationnelles, aussi convaincantes soient-elles, n'ont souvent aucun effet sur certains individus parce que ceux-ci ont une attitude générale face à la vie, face à leur propre personne et aux autres, qui en bloque l'appréciation rationnelle. À l'inverse, de nombreux lecteurs du QL nous ont témoigné avoir découvert qu'ils étaient libertariens en nous lisant, même s'ils ne connaissaient rien jusque-là de la philosophie libertarienne, parce qu'ils trouvaient simplement que cela correspondait à leur personnalité ou à leur manière d'appréhender les choses de façon intuitive.

Pour ceux et celles que les multiples courants d'idées laissent confus et qui ne sont pas certains d'avoir des atomes crochus avec la pensée libertarienne, ou pour ceux qui demeurent indécis et voudraient s'assurer qu'ils en ont bien, voici cinq attitudes essentielles à la psychologie libertarienne. Si vous vous reconnaissez dans chacune d'elle, bravo, il y a de forte chance que vous soyez un libertarien ou une libertarienne dans l'âme; si vous les trouvez idiotes, fausses ou non pertinentes, pas de chance, vous pataugez encore dans les marécages idéologiques où l'humanité s'est embourbée depuis des millénaires; si toutefois vous les trouvez intéressantes mais que vous êtes forcé d'admettre que vous tendez souvent vers le contraire à cause de vieux réflexes ou des pressions de votre entourage, ne désespérez pas! En ce début d'année, c'est le temps de prendre de bonnes résolutions, et ces attitudes méritent d'être cultivées par tous: non seulement parce qu'elles sont adaptées à l'esprit libertarien, mais plus simplement à cause de leur valeur universelle comme source de bonheur et d'équilibre psychologique.

Les voici donc, sans ordre particulier, et bien sûr sans aucune prétention à offrir une liste exhaustive:


1- assumer ses choix et cesser de rejeter la responsabilité de ses actions sur les autres

On pourrait difficilement trouver une attitude psychologique plus représentative de l'esprit individualiste libertarien que celle-ci. Les libertariens croient fermement qu'au-delà des influences du milieu et des déterminismes de tout genre, les individus sont ultimement responsables des choix qu'ils font et de la situation dans laquelle ils se trouvent. Ils doivent en assumer les conséquences, bonnes ou mauvaises, sans se plaindre ni en rejeter la faute sur les autres. Bref, la liberté individuelle ne peut pas être dissociée de la responsabilité individuelle.

Au contraire, ceux qui, dans leur vie personnelle, ont toujours tendance à se sentir victime, à justifier leurs problèmes en invoquant une situation spéciale, à chercher des boucs émissaires, à se fabriquer des excuses, à rejeter la faute sur « le système », sont des étatistes en puissance et des candidats idéaux pour un Prix béquille. Comme les multiples pleurnichards et losers qui peuplent notre société, cette attitude les conduit naturellement à chercher des responsables ailleurs pour expliquer leurs propres échecs et à demander des compensations, des rectifications, des reconnaissances de leur situation particulière, de l'aide et des privilèges spéciaux. Nul doute que c'est d'abord et avant tout à l'État, ce sauveur universel responsable de tout – puisque les individus ne sont, de ce point de vue, responsables de presque rien – qu'il reviendra de rectifier les choses et de s'occuper d'eux.


2- voir l'aventure humaine avec optimisme

Les libertariens ont confiance dans l'ingénuité et le sens de l'initiative des humains. Ils croient que si on laisse les gens libres d'agir dans leur propre intérêt pour trouver des solutions aux multiples défis et problèmes auxquels ils sont confrontés, si les bons incitatifs sont présents, la grande majorité s'empresseront de le faire de façon dynamique, productive et souvent astucieuse. Toutes les périodes de l'histoire caractérisées par le progrès l'ont été parce que les individus étaient libres de mener à bien leurs rêves et leurs désirs sans entraves majeures. Et si l'on observe l'évolution humaine depuis la révolution agricole du Néolithique il y a 10 000 ans, on se rend compte que la seule constance est la capacité des membres de notre espèce à inventer de nouvelles choses et à faire face aux multiples obstacles que la nature et – il faut le dire aussi – la stupidité et l'ignorance d'autres hommes placent devant eux.

Au contraire, les réactionnaires de gauche ou de droite, les misanthropes et les pessimistes croient que plus les humains sont libres, plus ils risquent de causer du trouble et de s'enfoncer dans le chaos. Pour eux, le progrès est une menace, la stagnation est préférable et doit être imposée parce que chaque innovation risque de défaire le fragile équilibre qui a permis à la civilisation de survivre jusqu'ici. La technologie, la croissance économique, la création de nouveaux produits de consommation ou de nouvelles idées et modes culturelles, tout cela est néfaste et porteur de trouble. Pour ces pessimistes, il y a toujours une catastrophe à l'horizon, qu'il s'agisse du bogue de l'an 2000, du réchauffement de la planète, de la pollution et du surpeuplement, de l'informatisation et de la mondialisation économique, des aliments transgéniques, et quoi encore, qui mérite qu'on impose une fin à toute expérimentation et qu'on revienne à un mode de vie plus « naturel » et drastiquement simplifié, comme celui de nos ancêtres. Évidemment, il revient toujours dans cette perspective à un gouvernement fort de s'opposer au changement et de réprimer les innovateurs pour éviter ces catastrophes et imposer l'ordre idéal.

3- refuser de s'en remettre à des abstractions collectives

Les libertariens s'intéressent d'abord à l'individu et le voient comme l'ultime réalité sociale. Pour eux, les entités collectives n'ont de sens que lorsqu'elles s'incarnent dans l'individu, et pas en elles-mêmes. Ça ne veut pas dire que la culture, l'identité nationale, le patrimoine, la langue, et autres phénomènes collectifs, ne sont pas pertinents. Ils le sont, mais seulement parce qu'ils répondent à un besoin des individus. Celui-ci est d'ailleurs toujours à la croisée de nombreuses caractéristiques collectives et ne peut être réduit à une simple pion sur un échiquier collectif unidimensionnel.

Les libertariens sont donc toujours sceptiques devant les revendications de nature collectiviste et les ramènent nécessairement aux intérêts individuels de ceux qui s'en réclament et prétendent parler au nom du groupe. Pour chaque situation, ils seront plus intéressés à voir non pas quelles seront les conséquences pour « la nation », « les femmes », « les Noirs », « les gais », « les autochtones », ou quelque autre groupe, mais bien de comprendre comment des individus qui peuvent se définir de multiples façons dans un monde pluraliste pourront faire des choix librement et sans avoir à cadrer dans un modèle collectif rigide. C'est la subjectivité de l'individu qui importe, pas son appartenance à des entités collectives abstraites. Et lorsqu'il est question de réaliser quelque chose, ils comptent d'abord sur leurs propres moyens en collaboration volontaire avec d'autres individus qui y trouvent leur compte pour y arriver, pas sur une « mobilisation » collective.

L'attitude contraire conçoit plutôt la société humaine comme essentiellement composée de groupes qui se côtoient et s'opposent, avec des individus qui n'ont de réalité que comme membres d'un groupe précis. Pour ceux qui voient les choses ainsi, la vie collective est la seule référence et ils ramènent tous les aspects de leur vie à la situation du ou des groupes qu'ils privilégient. C'est l'individu qui doit s'adapter pour correspondre à un idéal collectif, et non les caractéristiques attribuées au groupe qui doivent être relativisées pour faire place à la diversité des individus.

Ces gens carburent à la fierté collective, aux drapeaux et à la solidarité, aux victoires politiques, légales ou militaires du groupe (c'est-à-dire des organisations qui prétendent le représenter) contre l'ennemi collectif, etc. C'est l'atteinte d'une position idéale pour le groupe qui colore leur vision du monde et les motive à agir, et ils voudraient que tout le monde embarque dans leur croisade. Ils ne comprennent pas pourquoi plusieurs autour d'eux ne sont pas « conscientisées » aux mêmes problèmes sociaux, et ils considèrent ceux qui préfèrent rester à l'écart ou s'opposer à leur démarche comme des égoïstes ou des traîtres. L'État, qui incarne la « volonté nationale » et qui arbitre les relations et conflits entre les multiples groupes, est évidemment au centre des préoccupations de ces collectivistes, puisque tout converge vers lui.


4- viser une amélioration constante à long terme plutôt qu'une perfection statique à court terme

Les libertariens conçoivent la vie comme une suite ininterrompue d'adaptations et de remises en question dans un monde en perpétuel changement. Ils ne croient pas en la possibilité d'un monde parfait et utopique, comme la société sans classe de Marx où tous seraient égaux et verraient leurs besoins et désirs comblés à jamais sans conflit. Même dans une société fondée sur des principes libertariens, il y aurait toujours des changements et des problèmes, des conflits et des catastrophes. La différence majeure est que les individus seraient mieux équipés pour y faire face et pour atteindre leurs buts dans une plus grande harmonie.

Les libertariens ont donc une attitude généralement réaliste et pragmatique et sont réconciliés avec le monde tel qu'il est, même s'ils souhaitent bien sûr eux aussi voir des changements pour le mieux. Ils ne sont pas constamment désespérés de constater que nous ne vivons pas dans un monde parfait, qu'il y a des inégalités, des problèmes sociaux, de l'ignorance, de la pauvreté, de la pollution et toutes sortes d'autres situations déplorables dans le monde. Ils croient que seul l'effort, la créativité et l'apprentissage individuels à long terme permettent de changer les choses et qu'il n'y a pas de solution magique pour tout régler. De toute façon, la vie comme processus biologique et la société comme processus d'interaction humaine sont des systèmes en perpétuel déséquilibre et en perpétuel mouvement de rééquilibrage, et il n'y a donc aucune raison de se désoler du fait que nous ne soyons pas encore parvenus à créer un monde parfait. Un tel monde serait de toute façon synonyme de stagnation et de mort.

Pour les aliénés de la vie qui sont « conscientisés » à toutes les bonnes causes et qui ressentent à chaque heure du jour le spleen de ne pas se trouver au paradis, l'imperfection du monde est au contraire une source constante de souffrance psychologique. Ceux-là ne veulent pas admettre qu'il n'y a pas de solution immédiate à tous les problèmes de l'univers. Comme on l'entend constamment dans la bouche des militants, ils trouvent que la situation est « inacceptable » et qu'il faut « intervenir sans délai ». Même s'ils prétendent se préoccuper des problématiques à long terme, ces frustrés ne visent qu'une seule chose: un bouleversement social et politique immédiat qui apportera un progrès instantané et leur enlèvera le poids de cette conscience intolérable. Mais quoi qu'il arrive, ils sont de toute façon difficilement capables de se défaire de cette attitude. Dès qu'un problème semble se régler ou devenir moins urgent, ils se dépêchent à se conscientiser et à s'impliquer dans une autre cause, question de ne pas se laisser aller à ce qu'ils croient être de « l'indifférence » devant la souffrance du monde, c'est-à-dire une attitude saine et réaliste devant le peu d'influence qu'on peut avoir sur le sort du monde et une préoccupation première pour son propre sort. Les révolutions, les utopies abstraites et farfelues qui passent par un changement radical de régime – par l'État, donc – leur paraissent bien sûr la seule solution ultime pour régler une fois pour toutes ces problèmes urgents.


5- être tolérant et accepter la diversité

Les libertariens ne sont pas des relativistes moraux; ils considèrent que la liberté est une valeur fondamentale et, comme croyants ou partisans d'autres philosophies particulières, ils peuvent professer des principes plus ou moins stricts concernant la bonne conduite et le sens de la vie. Toutefois, ils sont unis par une attitude bien précise: leur acceptation de la diversité des opinions et des croyances et leur refus d'imposer les leurs aux autres. Pour les libertariens, tout est acceptable dans la mesure où quelqu'un ne porte pas préjudice à autrui ou à sa propriété. Les gens peuvent donc faire ce qu'ils veulent avec leur propre corps et entre eux si c'est de façon volontaire. Ils peuvent se droguer, se prostituer, ou consacrer leur vie et leur fortune à la vénération des petits hommes verts venus d'autres planètes. Personne n'a moralement le droit d'empêcher quiconque de vivre comme il l'entend s'il ne fait de tort à personne d'autre, même si la presque totalité de la population désapprouve son comportement particulier.

Certains diront que les libertariens sont pourtant intolérants envers leurs opposants idéologiques, par exemple envers les socialistes et nationalistes, et qu'ils n'acceptent donc pas les points de vue qui divergent de la philosophie libertarienne. Mais cette critique ne tient justement pas: dans une société véritablement libre, les individus pourront s'organiser comme ils le voudront, dans la mesure où ils ne tentent pas d'imposer leur mode de vie à ceux qui ne le souhaitent pas. Ainsi, les communistes pourront s'acheter un territoire, fonder une commune, se soumettre volontairement à un gouvernement local qui les taxera à 90% et qui planifiera leur vie de classe prolétarienne dans les moindres détails. Ils pourront inviter le reste du monde à venir les rejoindre dans leur paradis terrestre mais, comme on l'a vu au cours du XXe siècle, c'est généralement l'inverse qui se produit. De même, les ultranationalistes et mystiques de la langue pourront s'imposer à eux-mêmes – volontairement toujours, et sans que ça affecte ceux qui n'en veulent rien savoir – une police de la langue qui utilisera des techniques de scanning cérébral ultrasophistiquées pour déterminer s'ils rêvent en français ou dans une autre langue, avec des amendes appropriées pour les contrevenants. Chacun pourra vivre selon son propre idéal et laisser vivre son voisin selon le sien.

L'attitude des puritains, des paumés, des zélés, des militants exaltés et des croyants fondamentalistes est tout à fait à l'opposé. Ces collectivistes n'ont de répit tant qu'ils n'ont pas imposé à tous leur vision idéale du monde. Pour eux, la diversité est toujours une menace et la tolérance doit toujours s'exercer « à l'intérieur de certaines limites ». Des limites bien sûr déterminées par les autorités gouvernementales et qui réduisent inévitablement la liberté de tous ceux qui n'y cadrent pas, même s'ils ne font de tort à personne. Dans la vision du monde collectiviste, il n'y a tout simplement pas de place pour ceux qui veulent vivre différemment.

Pour les traditionalistes intolérants par exemple, le simple fait que les homosexuels existent et peuvent jouir de la vie est un affront à la volonté divine qui doit être corrigé; pour les égalitaristes coupeurs de têtes qui dépassent, la simple existence de riches est une injustice flagrante, même si ces riches ont gagné leur argent de façon honnête et en rendant des services aux autres dans un marché libre; pour les nationalistes xénophobes, le fait qu'il existe des citoyens québécois qui ne parlent pas français à la maison ou sur la rue autour d'eux, ou qui se foutent de l'identité québécoise qu'ils exaltent et de la survie du français, est un affront direct à la Nation, à nos vaillants ancêtres, à eux-mêmes dans le plus profond de leur moi collectif, et ce même s'ils n'entrent jamais en contact avec ces gens sauf en constatant des données statistiques; pour les fascistes de la santé, ce ne sont plus les désagréments causés par les fumeurs aux non-fumeurs qui sont le problème, mais bien l'existence même de fumeurs: sinon, pourquoi veulent-ils interdire la fumée dans tous les bars et restaurants et empêcher les fumeurs de se retrouver entre eux sans imposer leur fumée à qui que ce soit?

Quiconque fait preuve d'une forme d'intolérance et de refus de la diversité qui s'apparente à celles-ci dans quelque domaine que ce soit n'a évidemment rien d'un libertarien et a tout d'un partisan de l'autoritarisme et la répression étatique.

Pour conclure, assumer ses choix et cesser de rejeter la responsabilité de ses actions sur les autres, voir l'aventure humaine avec optimisme, refuser de s'en remettre à des abstractions collectives, viser une amélioration constante à long terme plutôt qu'une perfection statique à court terme et être tolérant et accepter la diversité sont des attitudes psychologiques essentielles pour ceux qui souhaitent vivre l'idéal libertarien: quelqu'un qui les cultive et qui applique systématiquement ces façons de voir les choses aux situations de la vie a compris l'essentiel. Les arguments théoriques plus complexes sur le fonctionnement d'une économie de marché restent cruciaux pour les débats politiques et économiques mais n'auront jamais le même impact, pour la plupart des gens qui s'intéressent peu à ces débats, que la conviction intuitive profonde, fondée sur ces principes généraux, de vivre moralement et bien.



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9 mars 2008 7 09 /03 /mars /2008 13:09

Le jour des élections municipales, deux membres du Centre de Vigilance pour la Liberté ont participé à une réunion avec des représentants anti-Jihad français, pour discuter de la coopération entre les composants français et britanniques du mouvement et pour encourager davantage d'intégration française pouvant émerger rapidement sur des réseaux européens et globaux.  La réunion fut très productive et aidée à cimenter les liens qui s'étaient développés ces derniers mois par l'intermédiaire du travail d'Internet. L'union franco-britanniques et d'autres réseaux européens devrait être renforcée par le travail que nous avons entrepris au cours de la réunion.

Les activistes Français et Britanniques avanceront ensemble dans un intérêt commun pour le bénéfice de la civilisation occidentale à laquelle les deux pays ont réalisé d'énormes contributions, avec les autres pays du monde occidental.

La France est un acteur important dans les affaires du monde et il est important que les militants français puissent commencer à influencer la politique de leur gouvernement et de participer pleinement aux travaux du mouvement mondial contre le djihad.

Un grand merci à tous ceux qui ont participé à la réunion, il serait génial de voir nos nouveaux amis à des événements futurs.

Zeus pour la cyber-résistance
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 23:59

Au nom de l’équipe de Point de BASCULE, je souhaite un bon passage de l’année à nos compatriotes Chinois, Cambodgiens, Koréens, Japonais, Laotiens, Mongoliens, Népalais, Thaïlandais, Tibétains, Vietnamiens et à tous les autres que touche la célébration du Nouvel An Chinois. - Marc Lebuis 

Le nouvel an sera célébré durant la semaine par plus d’une dizaine de milliers de personnes au Québec. Tout comme le réveillon de Noël, le Nouvel An chinois est avant tout une fête qui réunit la famille autour d’une table généreuse. Personne n’est oublié, certains réservent même des places à ceux qui travaillent au loin et qui ne peuvent rentrer pour le festin familial. 

Les asiatiques ont été les oubliés ou sont restés discrets lors des audiences publiques de la Commission Bouchard-Taylor. Les musulmans ont eu leurs tribunes réservées et ont pu faire valoir qu’ils sont les incompris et les victimes de la société. Aucune tribune n’a été réservée aux bouddhistes, aux Taoistes ou aux autres « asiatiques ». Leur discrétion reflète sans doute leur manière de s’intégrer en douce, sans fanfares ni trompettes, une manière différente de comprendre la diversité comme valeur fondamentale du Québec et du Canada. Rappelons que le Québec a joué un rôle de leadership international afin de venir en aide aux réfugiés Vietnamiens que l’on nommait alors les « Boat People ». Une relation durable d’ouverture et d’amour s’est établie ! Tout le contraire des omniprésentes accusations de racisme, de xénophobie et d’islamophobie….

Que l’année du Rat apporte le bien être, la prospérité et la chance à tous !

Point de bascule 
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10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 22:35


Sourate II verset 191
« Dieu n'aime pas les transgresseurs. Tuez-les partout où vous les rencontrerez.»

Sourate II verset 7 « Dieu a mis un sceau sur leurs (les incrédules) cœurs et leurs oreilles ; un voile est sur leurs yeux et un terrible châtiment les attend. Certains hommes disent : nous croyons en Dieu et au Jour dernier, mais ils ne croient pas. Ils essayent de tromper Dieu et les croyants ; ils ne trompent qu'eux-mêmes et ils n'ont pas conscience. Leur cœur est malade : Dieu aggrave cette maladie. Un châtiment douloureux sera le prix de leur mensonge.»

Sourate II verset 24 « Si vous ne le faites pas (apporter des témoins autres que Dieu) - et vous ne le ferez pas - craignez le Feu qui a pour aliment les hommes et les pierres et qui a été préparé pour les incrédules.»

Sourate II verset 88 « Ils ont dit : "Nos cœurs sont incirconcis". Non!… Que Dieu les maudisse à cause de leur incrédulité.»

Sourate II verset 83 ou 89 « Allâh maudisse les incroyants»

Sourate II verset 84 ou 90 « Aux incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux).»

 Sourate II verset 98 ou 104 « Aux incroyants l'affreux tourment (un châtiment douloureux).»

Sourate II verset 170 ou 175 « Ceux qui troquent le chemin et le pardon contre l'erreur et le tourment, comment vont-ils endurer le feu ?»

Sourate II verset 223. « Vos épouses sont pour vous un champ de labour; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l'avance. »

Sourate II verset 276 ou 277« Allâh n'aime ni l'incroyant (le pécheur incroyant) ni l'impie.»

Sourate III verset 49 ou 56 « Les incroyants, je les tourmenterai terriblement (ou je les punirai d'un châtiment cruel) en cette vie et dans l'autre et ils seront sans recours.»

Sourate III verset 79 ou 85 « Quiconque cherche une autre religion que l'Islam ne sera pas accepté.»

Sourate III verset 135 ou 141 « Qu'Allâh éprouve ceux qui croient et détruise (ou fasse disparaître) les incroyants.»

Sourate III verset 144 ou 15 « Nous jetterons l'effroi dans le cœur des incroyants.»

Sourate III verset 196 ou 196-197 « Les incroyants vont et viennent dans le pays, mais ne t'y trompe pas, piètre est leur joie, et leur refuge sera la géhenne (ou leur demeure sera l'Enfer).»

Sourate IV verset 37 ou 41 « Nous tenons prête pour les incroyants la honte du tourment (ou une peine ignominieuse).» 

Sourate IV-38. « Les hommes sont supérieurs aux femmes en raison des qualités
par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les
hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses
sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant
l'absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous
réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l'inobéissance ; vous les
reléguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu'elles
vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »

Sourate IV verset 56 ou 59 « Ceux qui ne croient pas à nos versets (ou à nos signes), nous les pousserons au feu. Chaque fois que leur peau sera brûlée, nous leur donnerons une autre peau pour qu'ils goûtent le tourment.»

Sourate IV verset 89 ou 91 « Ne prenez pas d'amis (ou de patrons) chez eux avant qu'ils émigrent dans le sentier d'Allâh. S'ils tournent le dos, saisissez-les, tuez-les où que vous les trouviez.»

Sourate IV verset 91 ou 93 « S'ils ne se tiennent pas à l'écart, s'ils ne se rendent pas à vous et ne déposent pas les armes, saisissez-les, tuez-les où que vous les trouviez. Nous vous donnons tout pouvoir sur eux.»

Sourate IV verset 102 ou 103 « Allâh tient prêt pour les incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux).»

Sourate IV verset 150 ou 151 « Nous tenons prête pour les incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux).»

Sourate V verset 10 ou 13 « Les incroyants qui nient nos versets seront les hôtes de la fournaise (ou les compagnons de l'Enfer).»

Sourate V verset 86 ou 89  « Les incroyants qui nient nos signes seront les hôtes de la fournaise (ou les compagnons de l'Enfer).»

Sourate VII verset 14 « Oui, les incroyants auront le tourment du feu.»

Sourate VIII verset 17 « Vous ne les avez pas tués, c'est Allâh qui les a tués.»

Sourate VIII verset 55 « Les pires bêtes, aux yeux d'Allâh, sont les incroyants qui s'entêtent à ne pas croire.»

Sourate IX verset 3 - 5 « Annonce aux incroyants l'affreux tourment. Les incroyants avec qui vous avez fait un pacte et qui ne vous ont pas fait tort et n'ont aidé personne contre vous, eh bien respectez ce pacte jusqu'à son terme car Allâh aime les fidèles. Une fois passés les mois sacrés, tuez les incroyants où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez les, dressez leur des embuscades. S'ils se repentent, font la prière, acquittent l'aumône, laissez-leur le champ libre, car Allâh pardonne, il a pitié.»

Sourate IX verset 90 « Ceux qui ont accusé de mensonge Dieu et son prophète sont restés chez eux. Un châtiment douloureux atteindra bientôt ceux d'entre eux qui sont incrédules.»

Sourate IX verset 101 « Parmi les bédouins qui vous entourent et parmi les habitants de Médine, il y a des hypocrites (des polythéistes) obstinés. Tu ne les connais pas ; nous, nous les connaissons. Nous allons les châtier deux fois, puis ils seront livrés à un terrible châtiment.»

Sourate IX verset 123 « Croyants, combattez les incroyants qui sont dans vos parages et qu'ils vous trouvent durs.»

Sourate XVI verset 104 « Ceux qui ne croient pas aux versets d'Allâh, il ne les guide pas, ils auront l'affreux tourment.»

Sourate XVIII verset 29 « Nous avons préparé pour les coupables un feu dont les flammes les envelopperont. S'ils crient au secours, nous les secourrons avec une eau comme du bronze en fusion pour leur brûler la face.»

Sourate XXI verset 39 « Ah ! si les incroyants connaissaient le moment où ils ne pourront soustraire au feu leur face ni leur dos, car ils seront sans recours.»

Sourate XXII verset 19 « On taillera des vêtements de feu pour les incroyants, on leur versera de l'huile bouillante sur la tête.»

Sourate XXII verset 55 « Les croyants continueront d'en douter jusqu'à la venue de l'heure soudaine, quand leur viendra le tourment d'un jour dévastateur.»

Sourate XXV verset 11 - 12 « Les croyants continueront d'en douter jusqu'à la venue de l'heure soudaine, quand leur viendra le tourment d'un jour dévastateur.»

Sourate XXV verset 52 « N'écoute pas les incroyants, combats-les rudement avec ce Coran.»

Sourate XXVI verset 90 - 91 « Le jardin sera rapproché des fidèles et la fournaise se montrera aux égarés.»

Sourate XXX verset 16 « Les incroyants qui nient nos signes et la rencontre de l'autre vie seront dans le tourment.»

Sourate XXXIII verset 64 « Allâh maudit les incroyants, il leur a préparé un brasier.»

Sourate XXXV verset 39 « L'incroyance des incroyants ne fait qu'accroître l'horreur qu'Allâh avait d'eux.»

Sourate XXXVIII verset 27 « Malheur aux incroyants, à cause du feu.»

Sourate XXXIII verset 16 « Ils auront un nuage de feu sur eux et sous eux.»
Sourate XLII verset 26 « Les incroyants auront le grand tourment.»

Sourate XLVII verset 12 « Les incroyants profitent, ils mangent comme des bestiaux, mais ils auront le feu pour logis.»

Sourate XLVIII verset 13 « Nous avons préparé un brasier pour les incroyants.»

Sourate LV verset 35 « On vous lancera du feu et du bronze en fusion et vous serez sans recours.»

Sourate LVII verset 19 « Ceux qui ont nié nos versets seront les hôtes de la fournaise.»

Sourate LVIII verset 4 « Aux incroyants l'affreux tourment.»

Sourate LXIV verset 10 « Les incroyants qui ont nié nos versets seront pour toujours les hôtes du feu. Mauvais avenir.» 

Sourate LXXI verset 26 - 27 « Noé dit : Seigneur, ne laisse pas d'incroyants circuler sur Terre, car si tu

les laisses, ils égareront tes esclaves et n'engendreront que des pervers sans foi.»

Sourate LXXVI verset 4 « Pour les incroyants, nous avons préparé chaînes, carcans et brasier.»

Sourate XCVIII verset 6 « Les incroyants, qu'ils aient le livre ou qu'ils ajoutent des dieux, iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours. Ce sont les pires des humains..»

Drzz 

 En réaction à un abus reporté hier, voici notre document.  Version Acrobat 

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5 septembre 2007 3 05 /09 /septembre /2007 16:23
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Nombre de visite depuis le 26 mai 2007 et ajout d'un flux à droite qui met les derniers articles en date de nos partenaires. Vous aussi entrez dans la communauté de la Cyber-résistance !

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En passant, nous sommes passer en mode privilège aujourd'hui. A suivre ...
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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 22:46
Création du blog de la Cyber-résistance sur Blogger ainsi qu'un jumelage de flux RSS entre le WEB Résistant.



C'est fait le Blog de la CyberRésistance fête ses 2 mois. 
L'occasion d'annoncer, que grâce à la pub qu'à fait la Web Radio World RocKIK.com, avec l'aide du blog de la Révolution Bleue, et de LibertyVox, on a dépassé les 4000 visiteurs. Ce qui est encourageant, pour un début. 

Il faut savoir que le blog dispose d'une Newsletter, nous vous invitons à vous y inscrire. Grâce à ce moyen, vous êtes sûr d'être prévenu à la moindre création et modification d'articles. En effet quand on juge bon de mettre à jour un article, nous pouvons, vous informer directement par mail.

Alors Happy Birthday le Blog et Bonnes Vacances à tous !


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25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 22:44

C'est fait le Blog de la CyberRésistance fête ses 1 mois. 
L'occasion d'annoncer, que grâce à la pub qu'à fait la Web Radio World RocKIK.com, avec l'aide du blog de la Révolution Bleue, et de LibertyVox, on a dépassé les 1000 visiteurs. Ce qui est encourageant, pour un début. 

Il faut savoir que le blog dispose d'une Newsletter, nous vous invitons à vous y inscrire. Grâce à ce moyen, vous êtes sûr d'être prévenu à la moindre création et modification d'articles. En effet quand on juge bon de mettre à jour un article, nous pouvons, vous informer directement par mail.

Alors Happy Birthday le Blog et Bonnes Vacances à tous ! 

 

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 16:50

FPB

Avec vous je vais suivre, ce qu'il se passe avec France-Echos.

Je vous fait parvenir le communiqué de Francis-Percy Blake, qui met un terme à l'équipe:

LibertyVox / France-Echos / Rockik.com.

C'est dommage que cela arrive maintenant, VoxGalliae a fermé, France-Echos aussi, alors si l'équipe si glorieuse de la Réinformation du WEB commence à se diviser...

En espérant que cela s'arrange, je vous donne le communiqué de FPB :


L'administrateur de Liberty Vox m'a exclu du forum de son site et commente publiquement sa décision ainsi :

« Afin de ramener un peu d’ordre et de calme sur le forum, FPB a été exclu. »

« Cette exclusion est une simple opération de maintien de l'ordre. FPB, j'en suis certain comprendra fort bien cette nécessaire décision.
Nous nous en expliquerons avec lui en privé s'il le souhaite. »

« "Je pense que vous n’avez pas saisi la raison de l’exclusion de FPB. Il ne s’agit aucunement d’un désaveu, ni d’une rupture de partenariat avec France-Echos... Il n’y a rien de changé de notre côté. Dès que FE sera remis en ligne, notre collaboration continuera si Francis le souhaite.
Il s’agit d’une décision d’administration du forum afin de faire cesser les polémiques stériles que nous vivons depuis une semaine et ramener le calme.
Nous comprenons que cette décision puisse choquer et être mal interprétée mais jusqu’à preuve du contraire nous sommes encore maître chez nous et entendons garder la main sur la façon de gérer le site et le forum. »

Afin de lever toute ambiguïté sur ces propos, je tiens à préciser que je n'ai reçu aucune explication en privé de cette expulsion, ni avant, ni après, et que je n'en ai pas été prévenu autrement que par le fait de ne plus pouvoir me connecter à mon compte. Je ne peux donc pas « comprendre fort bien » la décision prise et je ne porte aucun jugement sur elle. Je n'ai pas à quémander des éclaircissements que l'administrateur de Liberty Vox n'a pas jugé utile de me donner personnellement, malgré notre partenariat loyal qui durait depuis la création de son site. Par cette décision unilatérale sans sommations ni explications de sa part, l’administrateur de Liberty Vox a rompu les liens de partenariat qui nous unissait.

Je souhaite que l’administrateur de Liberty Vox mette en ligne la présente mise au point en complément à ses commentaires sur mon exclusion, afin que les lecteurs ne fassent pas d’interprétations erronées de ses propos et pensent à tort que la nécessité ou les motifs de cette exclusion seraient partagés entre lui et moi.

Parallèlement, l’animateur principal de Rockik.com m’a insulté et diffamé copieusement sur ses ondes pendant plusieurs jours, tout en se montant la tête publiquement et sans raison contre moi et contre France-Echos. (Ci-dessous, un extrait mp3 de 40 minutes.) Il s’étonne curieusement que je lui refuse une interview dans ces conditions. Il va de soi que ce type d’attitude rompt également toute collaboration. Je ne peux travailler ni avec ceux qui utilisent de telles méthodes, ni avec ceux qui continuent à s’en faire complice.

Je veux bien connaître avec des gens des différences d’opinions, d’objectifs ou de méthodes, et même parfois de sérieux différends. Mais je ne travaille pas avec des personnes qui dépassent les bornes des relations humaines nécessaires à une coopération viable. Il ne serait pas sain non plus que je cohabite avec eux au sein de coopérations tripartites.

Je constate que des internautes regrettent « une querelle d’ego » ou l’arrivée d’une « division ». J’estime qu’ils font une mauvaise analyse, et que leur déception n’est pas justifiée. Je ne pense pas avoir montré un quelconque ego, même face à ceux qui me prêtent des desseins sournois ou qui m’ont agressé verbalement et avec qui je suis toujours resté courtois. Ce qui prouve que nous n’avons ni les mêmes valeurs ni les mêmes objectifs, c’est que ce sont généralement les mêmes personnes qui ont émis sur le forum de Liberty Vox des ragots, des insultes, des diffamations à caractère sexiste, raciste, sectaire ou discriminatoire à l’encontre de Rachida Dati.

Mes nombreuses réactions à leurs propos démontrent, si c’était encore nécessaire, que je refuse toute complicité d’avec eux, d’avec ceux qui les encouragent et les flattent, et d’avec ceux qui considèrent leur attitude comme normale. Ce n’est pas une « division » nouvelle, mais un clivage fondamental que nous n’avons hélas pas décelé auparavant. Je trouve salutaire que la situation soit clarifiée. Le sérieux et la crédibilité des projets auxquels je travaille ou je collabore n’en seront que renforcés.

Francis Percy Blake, de France-Echos

Extrait audio de Rockik.com le 24 mai 2007 :

Téléchargez le MP3 en >>> cliquant sur moi <<<

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28 mai 2007 1 28 /05 /mai /2007 16:04

Islamisme, nazisme, communisme, politiquement correct

(Traduction d'extrait du texte de SIAD)

... Le 4eme Empire doit être compris comme une extension du 3eme qui était le rêve d'empire nazi. Notre intention est de focaliser sur le fait que nous avons à faire avec un régime totalitaire qui souhaite une dominance mondiale.
...
Nous connaissons les trois grands mouvements totalitaires : nazisme, communisme et islam.
Ce qu'ils ont en commun est l'idée que l'Etat et Dieu sont vu comme une unité, que morale et loi sont vue de la même façon.
Leurs approches sont quelques peu différentes.
Le communisme et le nazisme dérivent tous deux d'une tradition philosophique ayant comme racine commune l'idée hégéliennne que l'individu doit se soumettre à l'Etat et que l'Etat doit se présenter comme dieu.
L'islam par ailleurs a sa base dans "la loi de dieu" qui doit se manifester dans l'Etat.

Le 4eme totalitarisme est bien sur le Politiquement Correct. Il est aussi dangereux que les trois autres et c'est pourquoi nous devons avoir conscience de son existence.
En général le Politiquement correct n'est pas considéré comme totalitaire. Il est constamment excusé et défendu par les politiciens et la plupart des médias. C'est parce que nous vivons en plein dedans. Le mouvement Politiquement Correct contrôle la plupart des médias et la majorité de nos politiciens comme nos institutions éducatives.
Il est très aisé pour ce mouvement de marginaliser et démoniser ceux qui pensent différemment.
Dans tous les totalitarismes il y a des manières de contrôler le peuple.
Mais les autres totalitarismes les menacent et souvent tuent leurs apostats ou "inacceptables", alors que le Politiquement Correct se contente d'utiliser la marginalisation et la démonisation comme moyen de contrôle.
...
La marginalisation et la démonisation ne sont pas nécessaires des punitions plus douces que la mort.
...

Pourquoi est ce que le Politiquement Correct a choisi le nazisme comme concept démonisant et pas le communisme ou l'islam ?
Je pense que c'est parce que le Politiquement Correct ne veut pas s'engager dans la bataille contre les mouvements totalitaires existant actuellement.

Il est évident que tôt ou tard le Politiquement Correct va s'en prendre à l'islam et au communisme. ... Avant que cela arrive les derniers restes de la liberté dans le monde de l'Ouest doivent être éradiqués.

C'est pourquoi les mouvements anti-islamiques, comme le SIAD, ’Trykkefrihedsselskabet’, ’Den Danske Forening’, ’SIAD’ and ’Dansk Folkeparti’, sont appelés nazi dans le 4eme Empire, en dépit de leur condamnation des idéologies totalitaires telles que le nazisme.


L'eschatologie : l'étude de la fin des temps

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Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse sont mentionnés dans la Bible, dans le sixième chapitre du Livre d'Apocalypse, qui prédit qu'ils chevaucheront pendant la fin du monde.

Les quatre cavaliers sont traditionnellement nommés Guerre, Famine, Pestilence, et Mort. L’Apocalypse n’en nomme pourtant qu'un seul : Mort.

Il n'est donc pas aisé de déterminer la signification symbolique des cavaliers; les interprétations reflètent souvent les craintes contemporaines. 

 

NDLR : Dans notre cas elle représente une idéologie ...

Interprétations

Islamisme - Mort 

Image

 

 

Socialisme - Guerre

 

Communisme - Famine

 

Nazisme - Pestilence


Cavaliers et leur monture 

Les Cavaliers et leurs chevaux tels qu'ils sont décrits dans la Bible :


Couleur du cheval Symbolisme de la couleur Cavalier Pouvoir Symbolisme du cavalier
Blanc Fausse innocence/paix. Porte arc et couronne. Conquiert. Antéchrist, Le Faux Christ, Fausse Religion.
Rouge Le Sang répandu sur le champ de bataille. Porte une épée. Apporte la guerre. Guerre, Destruction
Noir Noir, plaines désertes Porte une balance Rareté de la nourriture Famine, Échanges injustes
Pâle Peau blanchâtre d'un cadavre, Décomposition Mort Tue par la guerre, la famine, etc. Mort

 

NB : Même si le Cavalier Blanc est souvent interprété comme étant l'Antéchrist, le livre de l'Apocalypse ne le nomme pas en tant que tel.

Le mot utilisé pour décrire le Cavalier Pâle est le mot grec chloros, ou vert. Cela évoque la couleur d'un cadavre mort récemment. Puisque le mot 'vert' n'est pas associé avec les mêmes choses en français, le mot utilisé est 'pâle' dans la plupart des traductions françaises.

 

Cheval Blanc 

Les opinions sur le premier cavalier, chevauchant le cheval blanc, sont nombreuses : pour certains il représente le Christ, pour d'autres l'Antéchrist ou le Faux Prophète, mais le consensus général des théologiens conservateurs étudiant la Bible est qu'il représente l'Antéchrist. Un argument utilisé pour montrer que ce cavalier ne représente pas le Christ est que chaque cavalier est libéré lors de l'ouverture d'un sceau, les sceaux représentant des fléaux que Dieu enverrait sur le monde, et il est peu probable que Dieu considérerait le retour du Christ comme un fléau (bien qu'il puisse être considéré comme tel par ceux qui s'opposent à ce dernier). De plus, l'interpréter en tant que retour de Jésus-Christ est en contradiction avec la description non ambiguë qui est faite de son retour dans Apocalypse 19:11-16.

Les théologiens plus libéraux n'interprètent ce personnage ni comme le Christ, ni comme l'Antéchrist. Le commentaire de M. Eugene Boring à propos de l'Apocalypse suggère que cette image serait tirée d'événements datant premier siècle que les chrétiens de l'empire romain auraient connu et décrit. En 62, les Parthes avaient battu une armée romaine dans la vallée du Tigre et les habitant de l'empire les voyaient alors avec la même terreur irréaliste que les Occidentaux modernes avaient du péril jaune. Les Parthes étaient les seuls archers à cheval du premier siècle et les chevaux blancs étaient leurs montures préférées.

Aussi, la peste peut être décrite comme "conquérant" le corps, et plus particulièrement les maladies virales.

Cheval Rouge 

Le deuxième cavalier représente la guerre, et la couleur de sa monture le sang versé sur le champ de bataille. Il porte une épée qui représente l'affrontement et le combat.

Cheval Noir 

Le troisième cavalier, sur un cheval noir, est appelé Famine. La couleur noire de son cheval représenterait la mort et la famine. Le cavalier porte une balance, ce qui veut dire la rareté de la nourriture, des prix élevés, et la famine, sûrement dus aux guerres venues par la faute du deuxième cavalier. La nourriture sera rare, mais des choses plus luxueuses comme l'huile et le vin seront toujours disponibles.

La phrase "a measure of wheat for a penny" (une mesure de blé pour un penny/centime) de la KJV peut ne pas apparaître comme une famine à des yeux modernes, mais dans la NIV il est écrit « un quart de blé pour les salaires d'une journée », ce qui est plus explicite.

Cheval Pâle 

Le quatrième cavalier (sur le cheval pâle, qui pourrait être la cause de la notion de "pestilence" en tant qu'un autre cavalier) est nommé Mort. La couleur pâle et verdâtre de ce dernier symbolise la peur, la maladie, la décomposition, et la mort. L'image des chevaux et de leurs chevaliers est similaire à un passage dans le livre de Zacharie. 


Les Nazis avaient planifié un 4ème Reich: l’Union Européenne

 

Par Adam Lebor

9 mai 2009

Les comploteurs: le chef SS Heinrich Himmler avec Max Faust, ingénieur de la compagnie bénéficiant du soutien des Nazis I. G. Farben

 

Heinrich Himmler with Max Faust, engineer with I. G. Farben

 

Les industriels et économistes les plus influents avaient donné l’ordre de préserver le régime Nazi, en créant un marché commun européen.

 

Les chefs Nazis cherchaient à préserver leur puissance à la fin de la seconde guerre mondiale. Ils ont conspiré à la création d’un 4ème Reich sous les auspices de l’Union Européenne. Les documents découverts récemment indiquent que ce complot était réel!

 

Dans un article du journal Britannique Daily Mail, Adam Lebor révèle comment il a découvert un rapport des services de renseignements américains (EW-Pa 128) connu sous le nom de Red House Report, lequel détaille comment les hauts chefs Nazis se sont rencontrés secrètement le 10 aout 1944, à Strasbourg dans L’Hotel Maison Rouge, (tout en sachant que l’Allemagne était au bord d’une défaite militaire) dans le but de créer un 4ème Reich, un empire économique pan-européen, fondé sur un marché commun européen.

 

Les industriels Nazis, ont donné l’ordre au Dr Scheid (SS Obergruppenfuhrer) de créer des sociétés écrans à l’étranger et de se faire passer pour des démocrates dans le but de pénétrer les économies étrangères et de jeter les fondements pour la re-emergence du parti nazi.

Adam Lebord indique “que le Troisième Reich était vaincu militairement, mais les banquiers, industriels et les fonctionnaires nazis sont devenus des démocrates aussi tôt que l’économie de l’Allemagne de l’Ouest s’est mise à prosperer. Là, ils se sont mis à travailler pour une nouvelle cause : l’intégration politique et économique européenne.

 

De riches industriels tels qu’Alfried Krupp (Krupp Industries) et Friedrich Flick, ainsi que des sociétés comme BMW, Siemens et Volkswagen se sont mis à la tache pour créer un nouvel empire économique pan-européen. Selon, l’Historien Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif, “Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime Nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité de l’économie de l’Allemagne et les économies Européennes d’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principaux batisseurs de l’Union européenne.”

 

Hermann Abs, titan financier, qui s’est joint au conseil d’administration de la Deutsche Bank lors de la montée des nazis, a également siégé au conseil de surveillance de la IG Farben, l’entreprise qui a fabriqué le gaz Zyklon B utilisé pour tuer les victimes des camps de concentration.

Adam Lebor indique qu’en 1948 Hermann Abs était en charge des fonds de reconstruction de l’industrie allemande, et il était en charge du redressement économique de l’Allemagne.

 

“Abs était aussi un membre de la Ligue européenne pour la coopération économique, regroupant l’élite intellectuelle disposant de moyens de pression. Ce groupe a été mis en place 1946. La ligue dédiait ses activités à la mise en place d’un marché commun, précurseur de l’Union Européenne.

 

La Ligue européenne pour la coopération économique avait développé des mesures pour l’intégration européenne qui n’étaient autre que ceux proposés par les Nazis, quelques années auparavant.

Un comparatif des mesures développés par la Ligue européenne pour la coopération économique et par les Nazis figure dans le livre de Rodney Atkinson “Europe’s Full Circle”

 

Europaische Wirtshaftsgemeinschaft = Communauté Européenne Economique

Système monétaire européen = Mécanisme de change européen

Europabank (Berlin) = Banque Centrale Européenne à Francfort.

Principe d’une Europe Régionale = Le Comité des Régions.

Politique commune du travail = Chapitre Social

Accords économiques et commerciaux = Marché Unique

 

« Est-il possible que le quatrième Reich que ces industriels nazis avaient prévu, soit dans une certaine partie devenue une réalité ? » s’interroge Adam Lebor

 

“Ces trois pages tapées à la machine rappellent que l’orientation actuelle vers un État fédéral européen est inexorablement entaché par les plans des SS et des industriels allemands pour le quatrième Reich – un ordre économique plutôt que militaire.”

 

Révélations extraordinaires: Le Red House Report de 1944, détaillant les 'plans des industriels allemands

pour s'engager dans une activité clandestine'

 

Il existe de très nombreuses et étonnantes similitudes entre les Nazis et l’Union Européenne. Les deux sont intrinsèquement liés et les origines de l’Union Européenne peuvent être attribuées aux Nazis.

 

La fondation de l’Union Européenne et à terme la mise en place de l’Euro faisaient déjà l’objet de débats dans le Groupe Bilderberg dans les années 50. Des documents prouvent que le plan visant créer un marché commun européen et une monnaie unique était formulé par le groupe Bilderberg en 1955. L’un des fondateurs du groupe Bilderberg, Le Prince Bernhard des Pays Bas était lui-même un ancien officier Nazi, appartenant aux corps des SS.

 

Mais le cadre idéologique de l’Union européenne remonte encore plus loin, au début des années 1940 lorsque les économistes et les universitaires nazis décrivent un plan pour une seule communauté économique européenne, un programme qui a été dûment suivie après la fin de la seconde guerre mondiale.

 

Dans le livre La Communauté Européenne, écrit par Walther Funk en 1940, (ancien ministre de l’économie Nazi et criminel de guerre.), il déclare la necessité de créer une “Union de l’Europe Centrale”, et un “Espace Economique Européen.” afin d’assurer un taux de change fixe. L’auteur du livre déclare aussi “qu’aucune nation ne peut parvenir seule au plus haut niveau de liberté économique qui nécéssite des exigences sociales. La formation d’un grand espace économique suit la loi naturelle du developpement, les accords entre états européens régiront les forces économiques… Il doit y avoir une volonté de subordonner ses propres intérêts, à celles de la Communauté Européenne.

 

Le coauteur de Walther Funk, L’académicien Nazi Heinrich Hunke, avait écrit “Les économies nationales traditionnelles sont mortes… le destin de ces économies sera l’économie Européenne. Le destin et l’extension de la coopération Européenne, dépend d’une nouveau plan pour l’unité économique”.

 

Le Nazi Gustav Koenig déclarait : “nous avons une réelle tache: l’émergence d’une communauté européenne… et je suis convaincu que cet effort perdurera même après la fin de la guerre”

 

En 1940, Joeseph Goebbels, ministre de la propagande, avait ordonné la création d’une “grande unification économique européenne” estimant que “dans cinquante ans, les gens ne penseront plus en terme de pays ou de nations” 53 ans plus tard, l’union européenne est établie.

 

Les autres Nazis (Ribbentrop, Quisling and Seyss-Inquart) qui avaient appelé à la création d’un super état fédéral européen, évoquaient déjà en leur temps “la nouvelle europe des solidarités et de la coopération entre tous ses habitants connaitra rapidement la prospérité économique dès que les frontières économiques nationales seront supprimées.”

 

La plupart des personnes qui détiennent les rênes du pouvoir dans l’Union européenne ne sont pas des nazis, en effet, ils ne sont certainement que de simples libéraux qui travaillent pour le “plus grand bien”. Cependant, l’Union européenne de par sa nature même est totalitaire, car elle vise à supprimer le pouvoir des gouvernements nationaux au profit d’entités supra-nationales qui ne rendent compte à personne.

 

Elle vise également à supprimer le droit à la liberté d’expression à toute personne en mesure d’exercer une influence et qui critique l’Union Européenne.

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