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L'islam est-il illégal ?

Conférence de l’association Vérité, Valeurs et démocratie sur: L’islam, légal ou illégal ?

Intéressante conférence d’un représentant de Vérité, Valeurs et Démocratie  autour de la question de savoir si selon les lois françaises, l’islam est légal ou pas. Alors selon vous, amis lecteurs, l’islam est-il légal ou pas ?


 

Nous sommes dans un état de droit donc seuls les actes commis par des individus et des organisations sont susceptibles de constituer des crimes ou des délits. Seul quelque chose qui est fait par quelqu'un, une personne physique ou morale donc un acte peut être illégal.

Par conséquent penser que le coran est la vérité divine ou que la charia est la norme comportementale la plus achevée d'une société n'est pas illégal. Par contre agir pour promouvoir la charia, l'enseigner est illégal car les règles de la charia sont en opposition frontale les lois d'une démocratie comme le stipule l'arrêt du 13/02/2003 de la Cour Européenne des Droits de l'Homme confirmant une décision de 2001.



La Charia incompatible avec nos Valeurs
Par Enki40

 

Faut-il le rappeler ? L'islam est incompatible avec nos valeurs et la Charia, qui en est l'émanation directe et logique, doit être interdite de fait en Europe...

Nous l'avons déjà dit et répété à de nombreuses reprises. Mais face au matraquage médiatique de cette classe de munichois complètement coupée de l'opinion publique, il faudra encore le dire et le redire:


« La Charia est contraire aux droits de l’homme »

 

Qui le dit ? La Cour Européenne des droits de l’homme.

Lisez bien ce qui est écrit, nous voilà en plein coeur du débat sur les propos du Pape.

En août 2001, la Cour européenne des droits de l'homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l'homme de 1950.

Il s'agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :

 

Extraits de l'arrêt du 31 juillet 2001

• La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.

• Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.

• La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.

• La Cour relève que (...) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.

• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.

La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.

• La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (...) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société.”

Sur le portail de la cour européeenne des droits de l’homme, l’intégrale du jugement :

 

Extraits de l'arrêt du 13 février 2003

•Selon la Cour, il n’est pas de démocratie sans pluralisme.

• La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.

• Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.

• Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun

• Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique

• la Cour estime (...) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.

• Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.

• Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.

la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie,

• A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.

• La Cour relève que (...) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie

• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.

• La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.

 

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D
<br /> <br /> http://www.israelcommission.fr/page1.htm Une voix résonne du désert, et les Juifs l'entendent partout. Elle ne les appelle pas à devenir chrétiens, mais à demeurer Juifs et à réaliser, comme<br /> Juifs, les idéaux placés devant eux par le Messie dans la Loi et dans les prophètes.Question : Quelle a été l’erreur monumentale et tragique de la chrétienté vis à vis des Juifs ? Réponse :<br /> L’erreur est indiscutablement d’avoir voulu convertir les Juifs au christianisme, à un christianisme perverti depuis des siècles. En premier lieu, quelques points importants doivent être<br /> rappelés.a) Quelle que soit leur appartenance, nous respectons toutes les personnes ; nous ne discutons que principes, doctrines et éthique, sauf si l’erreur et celui qui la présente se<br /> confondent.b) Le terme Chrétienté s’applique à toutes les dénominations se réclamant du christianisme. Il en existe 12 principales ayant chacune une vérité biblique comme fondement. Ceci nous<br /> donne l’occasion de rappeler que ce que l’on appelle le Nouveau Testament, renferme comme trame solide plus de 700 citations ou passages complets du Tanach, appelé erronément Ancien Testament. c)<br /> De ces 12 dénominations, 10 sont appelées « protestantes ». Il ne faut donc pas confondre la Chrétienté avec le système qui au sixième siècle, a réussi à s’autoproclamer Chef de la chrétienté :<br /> le Système papal, la Papauté. C’est ce système qui porte presque exclusivement la responsabilité des persécutions des Juifs et d’autres opposants refusant de plier le genou devant lui et<br /> d’accepter des doctrines fausses et blasphématoires.Avec honte les vrais chrétiens doivent admettre que les crimes les plus atroces furent commis au nom de Jésus mais contre Sa loi pendant les «<br /> Ages des Ténèbres ». Pire que cela ! L'horrible déformation de tout ce que le nom de Jésus représente continue toujours.Que les Juifs prennent garde au sourire du souverain pontife, se rappelant<br /> qu'il cache des siècles d'une persécution qu'il n'a avouée timidement que récemment et de laquelle il ne s'est pas réellement repenti, comme le prouvent certains événements récents. Qu'ils<br /> gardent à l'esprit que ces mains qui maintenant se lèvent pour bénir (?) se levaient à une époque pour frapper et que si elles se trouvent actuellement dans cette position, c'est qu'elles y sont<br /> forcées par les circonstances et non par l'amour ou la compréhension ! Même chez les Chrétiens, qui professent le Millénarisme Messianique et qui soutiennent que le Rétablissement d'Israël fait<br /> partie du plan de Dieu, des erreurs se glissent pour ruiner le travail accompli par ailleurs. La conviction erronée que les Juifs doivent être convertis au Christianisme avant la venue du Messie<br /> stimule des missionnaires fanatiques et mal avisés à harceler les communautés et les individus Juifs en de fiévreuses tentatives pour obtenir des convertis. La vérité sur ce sujet est que la<br /> nation juive ne sera jamais amenée dans le giron de la Chrétienté, car cela ne fait pas partie du plan de Dieu. Au contraire, nous croyons qu'à mesure que les organisations de la Chrétienté<br /> s'effondreront et couleront au cours du grand Temps de Détresse qui nous entoure, (Soph. 1 : 14-17 ; 3 : 8 ; Dan. 12 : 1 ; Jér.  25 : 33), la nation juive, sur la Terre d'Israël, survivra<br /> dans une prospérité relative. Une dernière vague de troubles roulera, cependant, en direction de cette nation, lorsque les restes des nations des Gentils chercheront sa destruction. Ces armées en<br /> maraude seront néanmoins détruites lorsque Dieu délivrera miraculeusement Israël (Ezéch. 38 : 18-39 ; 29 ; Jér. 30 : 7-11). Le peuple reconnaîtra alors son véritable libérateur comme étant le<br /> Messie longtemps attendu, et, en L'acceptant, se tournera de tout cœur vers Dieu (Jér. 24 : 5-7) et regagnera sa position dans le Plan de Dieu pour la bénédiction de toutes les nations.<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Je vous signale que je viens de tenter de mettre un lien sur Facebook,mais que c'est impossible,j'ai été censurée tout de suite.Pourtant,votre analyse,pas plus que la mienne,ne comporte aucun<br /> élément raciste ou stigmatisant.C'est à se demander quelles sont les motivations de nos gouvernements occidentaux.Cela rappelle la période la plus sombre de notre histoire...<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Cette conférence est très intéressante,mais en quoi le danger peut-il être écarté par les solutions proposées?.Il est vrai que beaucoup de musulmans ne veulent pas de la charia,mais il y en a<br /> beaucoup aussi qui veulent l'imposer.Et ce sont ceux-là qui oeuvrent au lavage de verveau et à l'endoctrinement de jeunes ou moins jeunes qui,déçus par la société,se laissent endocriner avec<br /> plaisir.Il y a là un parallélisme avec l'Allemagne nazie:tous les allemands n'étaient pas nazis,mais la poignée qui l'était a eu raison des autres.Pour l'islamisation,le problème est le même,donc<br /> le danger est bien là.Mais il est d'autant plus sournois que l'ennemi ne vient pas de l'extérieur,mais est bien implanté dans nos pays,sur nos terres,et possèdent souvent notre<br /> nationalité.Alors,comment être assez utopiste pour penser que nous pourrons résoudre ce problème en dissolvant les associations prônant la charia?Comment tout surveiller?Autant donner un coup de<br /> pied dans une fourmilière!D'autre part se pose un énorme problème démographique dans nos pays européens,et les islamistes finiront par nous vaincre,par leur supériorité numérique.En réalité,nos<br /> lois et nos codes juridiques ne sont plus adaptés à la société dans laquelle nous vivons,et nous n'avons aucune chance de régler le problème sans l'arrivée d'une dictature sévère,pour ne pas dire<br /> sanguinaire,contraire à nos esprits européens ouverts et respectueux des autres.Le drame est là.Je vous laisse à votre réflexion sur le sujet,afin d'en comprendre l'extrême gravité.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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