L’International Civil Liberties Alliance : « L’ICLA et le Processus de Bruxelles contre la charia. »
Depuis le lancement du Processus de Bruxelles de nombreuses personnes écrivent à l’ICLA pour nous encourager, nous rejoindre ou nous poser des questions. Parmi ces questions en voici trois caractéristiques auxquelles j’ai tenu à répondre personnellement.
Questions :
- Comment le Processus de Bruxelles s’articule pour lutter contre les manœuvres orchestrées pour imposer le halal, le nikab, les prières de rue, le ramadan des chauffeurs de bus etc… ?
- De plus en plus des musulmans ne respectent plus la loi : Des femmes en Nikab refusent d’obtempérer aux forces de l’ordre, et comme par hasard une cinquantaine de musulmans surgissent alors de nul part pour donner des coup violents aux policiers. Ces musulmans sont bien entendu immédiatement relaxés par le parquet avec les excuses de l’état, car ils ont tout à fait le droit de désobéir et donner des coups aux policiers puisqu’ils sont musulmans. Comment le processus de Bruxelles peut-il agir contre ça ?
- Nos gouvernements encouragent à qui mieux mieux l’implantation musulmane en Europe, subventionnent des mosquées au mépris de la laïcité ou autorisent des mosquées quand les pays subventionneurs interdisent toute église dans leur propre pays au mépris de tout principe de réciprocité et de toute équité. Comment le processus de Bruxelles peut-il agir contre ça ?
Avant de répondre aux trois questions posées, il faut expliquer ce qu’est le Processus de Bruxelles.
Le « Processus » signifie dans ce cas une course d’action se développant dans le temps.
Bruxelles ne fut que le point de démarrage de ce Processus qui va avec le temps se développer et évoluer au fur et à mesure de l’évolution des choses. Ce n’est pas un objet figé, il va s’adapter aux sociétés dans lesquelles il va être introduit (comment imaginer les exactes mêmes mesures au Sénégal et en Angleterre ?) et aux évolutions qui ne manqueront pas de changer les donnes sociétales dans le futur (une mesure raisonnable à une époque ne sera peut être plus adaptée vingt ans plus tard).
Le Processus de Bruxelles donne une perspective stratégique globale claire : un monde sans charia.
Une telle perspective répond à celle de l’OCI qui est au contraire : un monde dominé par la charia.
Il est nécessaire de savoir où l’on va si on veut savoir quoi faire pour y aller. Sans un but clairement identifié toute action n’est qu’agitation désordonnée.
L’OCI sait où il veut aller, nous aussi.
Les premières mesures proposées par l’ICLA dans le cadre du Processus de Bruxelles sont des mesures de première urgence : protéger la liberté d’expression, cesser de collaborer à sa destruction dans nos pays avec les ennemis de celle-ci.
Mais ce ne sont que les toutes premières mesures, le travail ne fait que commencer.
L’ICLA va se développer, créer des partenariats en Europe et dans le monde entier et pays par pays proposer des mesures visant à prévenir l’introduction de la charia et à faire diminuer les pratiques liées à celle-ci. Mesures qui seront promues et proposées à l’adoption aux instances internationales, gouvernements, partis politiques, et acteurs locaux en fonction des capacités d’action de l’ICLA et de ses partenaires. Des actions « sur le terrain » seront bien sûr encouragées, elles sont indispensable à la reconquête du terrain perdu par nos démocraties.
Depuis des dizaines d’années nous subissons une ingénierie hostile provenant de l’étranger mais activement relayée par des acteurs issus de nos sociétés. Un travail d’analyse doit être réalisé, les actes nuisibles démontrés, les coupables et leurs complices identifiés et exposés. Seulement alors les dommages pourront être réparés, les mauvaises mesures supprimées et des politiques vertueuses et protectrices adoptées.
Alors, me direz-vous, quid des niqabs, des rebellions islamiques et d’une immigration musulmane incontrôlée ?
Que va faire le Processus de Bruxelles à propos de tout cela ?
Rien bien évidemment !
Parce que la vraie question est la suivante : « Et vous, qu’allez-vous faire pour le Processus de Bruxelles ? »
Le Processus de Bruxelles est une ligne d’action, une dynamique, exactement de la même manière que l’islamisation. Si cette ligne d’action n’est portée et poussée par personne elle n’ira nulle part.
L’islamisation est poussée par l’OCI, des milliards de dollars et d’euros y sont injectés, des milliers d’organisations y travaillent sans relâche, des millions de personne y consacrent une partie de leur temps et de leur argent. Voilà pourquoi elle progresse.
Et vous pensez que, par magie, le Processus de Bruxelles va vous sauver ? Sans que vous fassiez quoi que ce soit, sans que vous y consacriez une partie de votre argent, de votre temps et de votre énergie ? Vos questions étaient-elles vraiment sérieuses ?
Le Processus de Bruxelles sera ce que ceux qui ne veulent pas de charia chez eux en feront.
Vous ne voulez pas de charia chez vous alors rejoignez l'ICLA ou ses partenaires et créez vous-même les répondes à vos questions, travaillez à leur promotion, faites-les adopter par les acteurs politiques autour de vous et aidez à les mettre en œuvre. C’est comme ça que le Processus de Bruxelles va nous protéger de la charia et voilà la seule réponse possible et crédible.
Cala va-t-il vous coûter de l’argent, du temps et de l’énergie ?
Oui bien sûr ! Comme à nous tous dans l’ICLA. Mais c’est le prix à payer pour rester libres et pour épargner à nos enfants de payer un prix bien plus élevé que d’autres, ailleurs dans le monde sont déjà en train de payer.
Si vous pensiez que la Liberté était donnée gratuitement et se conservait sans efforts, ouvrez les livres d’Histoire et réfléchissez-y encore.
Arrêtez de penser que les choses vont se faire toutes seules ou que les autres vont régler les problèmes pour vous, ce n’est pas comme cela que les choses se passent. Rejoignez-nous, devenez un acteur du Processus de Bruxelles.
Alain Wagner, président de l’ICLA
Le Secrétaire général de l’OCI prépare le terrain diplomatique pour convaincre les bureaucrates non élus de l’UE d’adopter une législation pénalisant tout discours « haineux » et limiter, par décret, la liberté d’expression de 500 millions de citoyens européens, y compris les politiciens démocratiquement élus, leur imposant ce qu’ils peuvent ou ne peuvent dire au sujet de l’Islam.
L’ OCI a officiellement inauguré à Bruxelles, le 25 juin dernier, une mission permanente d’observation, en présence de diplomates, de hauts fonctionnaires de l’UE et de dignitaires européens et musulmans.
Interdire tout stéréotype négatif de l’islam
L’objectif principal de l’OCI, financée par les pays islamiques à travers le monde, et dont le siège est en Arabie Saoudite, est de faire pression sur l’Europe et les Etats-Unis en leur faisant adopter des lois qui interdiraient tout « stéréotype négatif de l’islam. »
L’établissement d’une présence permanente de l’OCI à Bruxelles implique que le groupe a l’intention de redoubler ses efforts de lobbying visant à interdire toutes les formes d’«islamophobie», dans les 27 pays membres de l’UE, même si les restrictions sur la liberté d’expression, relatives à l’islam, y sont d’ores et déjà bien appliquées.
Lors de son discours inaugural, Mr Ihsanoglu a déclaré:
«Un intérêt croissant se manifeste au plus haut niveau de l’UE pour coopérer avec l’OCI [...] Je pense que nos relations avec l’UE sur les différents points à l’ordre du jour, que nous partageons, bénéficieront à chacun d’entre nous. Il y a un besoin vital de coopération entre le monde musulman et l’Europe, et l’OCI, en tant que voix collective du monde musulman, synonyme de modernisation et de modération, sera l’institution appropriée pour traiter avec l’UE « . (L’OCI regroupe certains des pays les plus rétrogrades et les plus féroces du monde musulman)
Eradiquer les « sensibilités inutiles »
Ihsanoglu – qui avait récemment déclaré dans une interview à Al Jazeera que sa mission principale était de lutter contre la persécution religieuse des musulmans en Occident, avait ajouté : «Nous devons lutter sérieusement contre l’islamophobie et renforcer davantage les liens entre le monde islamique et Europe, afin d’éradiquer les sensibilités inutiles. «
Depuis la fin des années 90, l’OCI a fait la promotion du très (pervers) « processus d’Istanbul » dont Aymeric Caron s’est récemment fait le complice en niant son existence face à Véronique Genest dans l’émission On n’est pas couché, et qui vise à criminaliser toute critique de l’islam, en faisant inscrire dans le droit international une interdiction à l’échelle mondiale de toute critique de l’Islam et de la loi islamique, la charia.
Au cours des dernières années, l’OCI s’est engagée dans une offensive diplomatique, tous azimuts, dans le but de convaincre les démocraties occidentales à mettre en œuvre la résolution 16-18, et a appelé tous les pays à lutter contre « l’intolérance, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation de la religion … et de la croyance. »
L’adoption de la Résolution 16-18, par le Conseil des Droits de l’Homme à Genève en Mars 2011 (avec le soutien de l’Administration Obama), en complément de la résolution 66-167, parrainée par l’OCI, qui avait été discrètement approuvée par l’Assemblée générale des 193 membres de l’ONU le 19 Décembre 2011, est considérée comme une étape importante dans les efforts de l’OCI pour faire progresser le concept juridique international de la diffamation de l’islam.
L’OCI a marqué un autre coup diplomatique lorsque l’administration Obama a accepté d’accueillir une conférence de trois jours sur le Processus d’Istanbul à Washington DC. légitimant ainsi les revendications liberticides de l’OCI.
Afin de ne pas être en reste, l’UE a également organisé une conférence à Wilton Park à Londres, du 3 au 5 décembre 2012. Le but de l’événement était « d’arriver à une compréhension mutuelle de la résolution 16-18 du Conseil des droits de l’homme des Nations unies sur la lutte contre l’intolérance religieuse et sur la différence d’opinion en matière de liberté d’expression. »
Selon Ihsanoglu, l’offre de l’UE d’accueillir la réunion, qui a rassemblé des experts juridiques, des ONG, des représentants gouvernementaux, des universitaires, des législateurs et des éducateurs ainsi que des représentants de l’OCI, a représenté un «changement qualitatif » dans son attitude pour la lutte contre le phénomène de l’islamophobie.
L’OCI agacée par les critiques d’élus politiques
L’OCI a été particulièrement agacée par l’incapacité de l’UE à faire taire un nombre croissant d’hommes politiques européens démocratiquement élus qui ont exprimé leurs préoccupations sur le refus des immigrés musulmans à s’intégrer dans leur pays d’accueil et l’apparition de sociétés islamiques parallèles dans de nombreuses pays occidentaux.
Selon Ihsanoglu :
« l’islamophobie existe en l’Occident en général, mais se développe dans les pays européens en particulier et d’une manière différente qu’aux États-Unis, qui avait pourtant contribué à la rédaction de la résolution 16/18.
Cette nouvelle position européenne représente un progrès, par rapport à leur attitude plus réservée du passé, envers les tentatives de l’OCI pour lutter contre la «diffamation des religions» auprès du Conseil des droits de l’homme et de l’Assemblée générale des Nations Unies ».
Néanmoins, l’OCI a été incapable d’obtenir un soutien suffisant pour une loi globale sur le blasphème dans le cadre de l’ONU, et Ihsanoglu a annoncé en Octobre 2012 que l’OCI allait changer sa stratégie en faisant appel individuellement aux États-nations, afin de faire adopter la loi interdisant tout discours de haine à l’égard de l’islam.
L’OCI a également intensifié ses efforts pour criminaliser la critique de l’islam sur base de l’article 20 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) un traité multilatéral, qui fait partie de la Charte internationale des droits de l’homme.
L ‘article 20 du PIDCP stipule que le dénigrement des symboles ou de personnes sacrées d’une religion est une infraction pénale, et Ihsanoglu déplore sa non application par les Etats signataires.
En Janvier 2013, l’OCI avait organisé à Istanbul une réunion d’experts internationaux sur les droits juridiques et humains dans le but d’examiner toutes les options juridiques pour « interdire l’intolérance religieuse contre les musulmans. »
Dans son discours d’ouverture, Mr Ihsanoglu avait déclaré que cette réunion était une étape cruciale d’un processus multiforme, multi-faces, diplomatique et juridique contre la campagne islamophobe, ayant pour sujets l’islam et son prophète.
Ihsanoglu avait ajouté : «Depuis le premier jour où j’ai pris mes fonctions, nous avons vu l’adoption de résolutions qui défendent l’islam et condamnent les attaques contre l’islam par l’Assemblée générale des Nations Unies et le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève. »
L ‘OCI n’a pas l’intention d’abandonner la résolution 16-18 de l’ONU : «La question qui doit être discutée aujourd’hui par les sages est de savoir comment la résolution 16-18 sera mise en œuvre. Nous allons parler des sanctions à prendre au point de vue du droit international [...] quand des caricatures arrogantes seront dessinées et des films blasphématoires contre l’islam et/ou son prophète seront tournés et diffusés. » (NDLR : Interdit et sanctions : deux mamelles de l’islam).
Le 22 Janvier 2013, Ihsanoglu avait déclaré aux responsables britanniques qui assistaient, à Londres, à une réunion de haut niveau sur l’intolérance, que la question de l’islamophobie était de nos jours, de la plus haute importance, et «d’un intérêt vital». Il a encouragé l’Union européenne à réfléchir à ce problème et à trouver un terrain d’entente sur la lutte contre « l’intolérance et la discrimination des musulmans. ».
Visiblement, le génocide des Chrétiens et autres minorités non musulmanes dans certains pays membres de l’OCI n’est pas au programme de l’OCI sur la lutte contre l’intolérance et la discrimination.
S’adressant aux médias turcs, le 24 Juin dernier, avant la cérémonie d’ouverture à Bruxelles, Ihsanoglu avait mis en garde l’UE contre l’autorisation de tout discours qui pourrait être considéré comme hostile à l’islam.
Interdire l’utilisation du terme « terroriste islamique »
Par exemple, Ihsanoglu a exhorté l’UE à interdire l’utilisation du terme «terroriste islamique » (comme l’Administration Obama) et à le remplacer par le mot «djihadiste». Selon Ihsanoglu, « le jihad ne signifie pas nécessairement tuer l’autre». Il a également blâmé les Occidentaux d’avoir déformé la notion de jihad, pour l’appeler «guerre sainte». Il a dit que les érudits musulmans ont affirmé à plusieurs reprises que le mot jihad, mentionné dans le Coran, signifie simplement la « lutte » pour faire le bien et éliminer l’injustice, l’oppression et le mal de la société. (Belle taquyia. Ihsanoglu va-t-il expliquer cette délicate nuance aux « jihadistes » qui mènent le jihad en Syrie ?)
Pendant ce temps, l’OCI a organisé des colloques « anti-islamophobie» à travers l’Europe. Intitulé «les bavures contre l’islam et les musulmans dans les médias», le premier du genre a eu lieu à Bruxelles les 15 et 16 février 2012, et avait pour but de mettre en place des mécanismes d’information pour faire face aux campagnes diffamatoires contre l’Islam dans les médias.
Un autre organe de l’OCI appelé Organisation pour l’éducation, la science et la culture islamique (IESCO), a organisé un séminaire sur «la façon de traiter les images stéréotypées de l’islam dans les programmes de télévision européens. »
Le but de ce séminaire était d’aider les journalistes européens à identifier les caractéristiques des stéréotypes sur l’islam dans les programmes de télévision européens, mettre en évidence les dangers de la diffamation des religions, et clarifier la distinction entre la liberté d’expression et le droit à la différence culturelle, l’engagement de l’identité culturelle islamique et la lutte contre le racisme et la haine. (Le droit à la différence culturelle pour les musulmans, l’interdiction pour les non musulmans).
Selon Ihsanoglu, affirmer que l’islam est le problème, comme revendiqué dans le discours haineux de l’islamophobie, c’est nier les valeurs sublimes de l’Islam de paix, de compassion et de tolérance, et toutes les nobles vertus dont l’Islam est synonyme, depuis quatorze siècles : une civilisation tolérante, brillante et radieuse. (J’ai beau chercher, je ne vois aucun pays musulman qui corresponde à cette sublime définition)
Dans son dernier livre, intitulé L’Europe, la mondialisation et l’avènement du califat universel*, Bat Ye’or analyse en profondeur la relation opaque entre l’UE et l’OCI, qu’elle décrit comme une sorte de califat universel, exerçant un pouvoir important via l’UE, l’ONU et autres organisations internationales.
Une série de mesures visant à empêcher l’intégration des musulmans
Bat Ye’or y décrit un manuel de stratégie de l’OCI : «Stratégie de l’Action culturelle islamique en Occident», dans lequel l’OCI affirme que «les communautés d’immigrants musulmans en Europe font partie de la nation islamique» et recommande «une série de mesures visant à empêcher l’intégration et l’assimilation des musulmans dans la culture européenne. »
Selon Bat Ye’or, le califat est vivant et en pleine croissance en Europe. Il a avancé à travers la négation de dangers et l’obfuscation ou opacification de l’histoire. Il a progressé sur les tapis dorés dans les couloirs du dialogue, le réseau des Alliances et partenariats, dans la corruption de ses dirigeants, des intellectuels et des ONG, en particulier au sein des Nations Unies.
Lors du Sommet islamique, tenu au Caire le 12 Février 2013, les membres de l’OCI ont élu à l’unanimité Ivad bin Amin Madani.
Ce sera la première fois que l’OCI – qui se décrit comme le «seul et unique représentant officiel du monde musulman [...] le véritable porte-parole du monde musulman» – sera dirigé par un Saoudien, et selon de nombreux observateurs, l’OCI, sous la férule de Madani, deviendra encore plus extrémiste.
Pendant ce temps, Ihsanoglu continue à exhorter l’UE à accueillir l’islam en Europe, comme un membre de la famille et non en tant qu’invité. Il a déclaré que l’exclusion de l’Islam signifie ignorer le rôle influent de la civilisation islamique dans l’évolution de la civilisation occidentale.
Ils sont vraiment persuadés de la véracité de leurs mensonges, mais le plus grave, c’est qu’ils réussissent à convaincre les dirigeants européens de cette imposture, si bien que ce mythe devient une réalité pour de nombreux crédules.
Ihsanoglu parle de la « persécution des musulmans » en Occident. Quelle arrogance ! Les Chrétiens, les minorités non musulmanes persécutées, assassinées et considérées comme des souillures sur la terre islamique ? Pas un mot. Les génocides des non musulmans dans plusieurs pays membres de l’OCI ? Pas un mot. Les crimes, attentats terroristes quotidiens entre chiites et sunnites ? Pas un mot. 100 000 morts en Syrie, et le chiffre va doubler avant que le monde ne bouge ? Pas un mot non plus.
L’UE le sait, mais l’UE se tait, tout comme l’Administration Obama, qui, toutefois, exige des Chrétiens d’Egypte, par l’intermédiaire de son ambassadrice, qu’ils ne contestent pas les Frères musulmans.
Quant à l’apport de la brillante civilisation islamique à la civilisation occidentale, à part la barbarie, la cruauté, la violence, et ce depuis 14 siècles, jusqu’à aujourd’hui via l’immigration massive de musulmans, je ne vois que la destruction programmée de nos valeurs, de notre civilisation, la régression et le retour à l’obscurantisme, caractéristique de l’islam.
Chaque sondage dans chaque pays européen confirme le rejet de l’islam par toutes les populations, et une obstination de l’intensification de l’immigration par les élites et décideurs. Jusqu’à où, jusqu’au bout ?
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Source : » OIC Opens Office in Brussels to Fight « Islamophobia » in Europe” by Soeren Kern (traduit, adapté et commenté par Rosaly)