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"Si vous entendez ce message, c'est que vous êtes la résistance."

International Civil Liberties

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The International Civil Liberties Alliance is a project of the Center for Vigilant Freedom Inc.  We are an international network of groups and individuals from diverse backgrounds, nationalities and cultures who strive to defend civil liberties, freedom of expression and constitutional democracy.

We aim to promote the secular rule of law, which we believe to be the basis of harmony and mutual respect between individuals and groups in the increasingly globalised world, and to draw attention to efforts to subvert it.  We believe in equality before the law, equality between men and women, and the rights of the individual and are open to participation by all people who respect these principles.

We believe that freedom of speech is the essential prerequisite for free and just societies, secular law, and the rights of the individual.

We are committed to building and participating in coalitions in all parts of the world to effect significant progress in protecting rights of the individual which are sadly being eroded in many countries including those in the West.


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The Center for Vigilant Freedom

7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 22:02
Un Juif nommé Mahomet, recto Un Juif nommé Mahomet, verso
"Un Juif nommé Mahomet" a été écrit par Bernard Raquin puis édité à compte d'auteur en 2005 après désistement de tous les éditeurs français contactés. 

Un Juif nommé Mahomet
Mahomet a-t-il existé ?
Enquête sur les monotheismes.

Grâce aux découvertes archéologiques, aux traductions du sumérien, de l'égyptien et de l'araméen, chacun peut enfin découvrir l'origine des « textes sacrés ». Loin d'être parole de « Dieu », les religions révélées recyclent les vieux mythes archaïques. On verra pourquoi elles provoquent tant de massacres, en entraînant leurs fidèles dans le piège de l'ignorance et de la vanité.
Cet ouvrage, très différent des légendes officielles, nous entraîne dans l'une des plus fabuleuses créations humaines : l'invention des mythes et des prophètes. L'auteur vous invite à une passionnantë enquête au cœur des religions monothéistes.
Vous découvrirez que, comme d'autres prophètes bibliques, Mahomet semble l'une des plus fameuses supercheries historiques. Vous saurez aussi pourquoi, à quelle époque et en quelle langue a été écrit le Coran, et dans quel but.
Indispensable pour être humain en quête d'authenticté spirituelle, et aussi pour toute personne souhaitant comprendre les événements contemporains et défendre la liberté d'expression.

Bernard Raquin, psychothérapeute et formateur, a publié de nombreux ouvrages sur la spiritualité et le développement personnel. Suite à l'assassinat de sa sœur par son fils et son mari se réclamant de « l'islam », il a décidé de mettre à jour les falsifications pour éclaircir le chemin spirituel et la vérité historique.

ISBN2-9523703-0-3
23€

  L'existence de Mahomet est  enfin remise en question, suite aux découvertes des archéologues et des érudits. Aucun savant ne peut plus sérieusement affirmer que l'histoire de Mahomet et du Coran se fonde sur des réalités historiques. Grâce aux traductions du sumérien, de l'égyptien et de l'araméen, l'intelligence de nos ancêtres resurgit du néant ! Tout porte à constater que Mahomet n'a jamais existé.
 C'est une bonne nouvelle pour les gens qui aiment l'Esprit : les croyants n'ont aucune raison de se soumettre aux intégristes mécréants.
   Un Juif nommé Mahomet est une passionnante enquête au cœur des religions prophétiques.
  Pourquoi, en quelle langue, à quelle époque, et dans quel but le Coran a-t-il été rédigé ? Comment a été inventé le personnage de Mahomet ? Pourquoi chaque sourate est-elle un emprunt à de vieux textes, des niaiseries, des légendes, des mensonges ou des erreurs historiques ?
  Pourquoi les musulmans s'acharnent-ils à faire une si hideuse carticature de Mahomet ? Pourquoi le Coran contient-il d'innombrables versets sataniques ?
   Les méfaits attribués à Mahomet -assassinats, pillages, barbarie, viols et pédophilie (viol d'Aïcha âgée de 9 ans), parjures, trahisons, incitation à la pédérastie- peuvent enfin être restituées à leurs véritables auteurs.
   Vous saurez pourquoi Omar (deuxième calife) a rédigé la sourate du voile (le voile étant historiquement porté par les prostituées), et comprendrez l'origine de la haine islamiste des femmes.
   Sauf à blasphémer, on ne peut considérer que Dieu recommande le voile, la lapidation, l'amputation, l'esclavage, les sacrifices sanglants, les massacres ou la prostitution. En revanche, les sectes juives archaïques qui ont créé l'islam les revendiquaient, en se basant sur les mythologies et superstitutions mésopotamiennes, et la légende de Moïse.
   Pourquoi les vieux textes prophétiques contiennent-ils tant de textes méchants, racistes, humanophobes, sexistes, ségrégationnistes ? Vous verrez d'une manière historique, spirituelle et scientifique que ces ouvrages ne sont évidemment pas la parole de "Dieu", mais une laborieuse création humaine
étalée sur des siècles, au service de la cupidité, de la conquête territoriale, du pillage et du viol. Il n'est guère étonnant que les satanistes-islamistes contemporains s'insipirent du modèle mahométan.
   Bernard Raquin émet des hypothèses basées sur les recherches des savants depuis un siècle, bien plus crédibles que les légendes officielles diffusées par les ignorants diplômés.
  La spiritualité, dimension essentielle de beaucoup d'entre nous, mérite sans doute quelques heures de lecture ?

Le Coran : Message Divin ? ou... Mensonge Bédouin ? - La réponse

Sommaire :
 
Chapitre 1 : Adieu à une femme aimée, page 9

Chapitre 2 : Comment fabriquer une religion, page 25

Chapitre 3 : Jésus réinterprété par le Coran, page 47

Chapitre 4 : Comment des hérétiques inventèrent l’islam, page 61
La théologie rétrospective, page 64
L’origine d’Allah, page 71
La descente aux enfers : un mythe ancestral, page 72
Le paradis coranique, page 73
La chute du diable dans le Coran, page 76
La chute d’Allah, page 78
Les califes sont les guerriers et non les rabbins, page 80

Chapitre 5 : Reconquérir Jérusalem ! page 83
Reconstruisons le Temple ! page 89
Les mahométans se tournent vers Israël, page 91

Chapitre 6 : Violence divine ou humaine ? page 97
Le sacrifice, page 106
L’esclavage, page 110
Théologie ou superstition ? page 111
La haine de la femme, page 116

Chapitre 7 : Qui a écrit le Coran ? page 125
Chronologie, page 125
Le contexte religieux au 7ème siècle, page 127
Les différents rédacteurs des sourates, page 130
La fiction de l’illettrisme, page 141
Comment fabriquer des sourates, page 147
Pourquoi la langue arabe n’existait pas, page 151
Comment le Coran a-t-il été rédigé ? page 153
Le Coran est-il autre chose qu’une compilation ? page 157
Les superstitions du Coran, page 164
Inimitabilité du Coran ? page 170
Quelques extraits du vrai Coran, page 176

Chapitre 8 : La légende de Mahomet, page 179
Théologie de Gabriel ou élaboration laborieuse ? page 185
La grotte, page 190
La légende des Sept Dormants, page 194
Le voyage céleste de Mahomet, page 195
La légende de La Mecque, page 198
La légende de Médine, page 200
La bataille du Fossé, page 203
La charte de Médine, page 208
L’aggravation de la fiction, page 215
Toutes les religions sont polythéistes, page 223
Aucune trace de Mahomet... page 225
Comment le nom « Mahomet » a été inventé, page 231
Abou Bakr décrète la mort de Mahomet, page 232

Chapitre 9 : La Grande Déesse de la Kaaba, page 237
Le pèlerinage, page 240

Chapitre 10 : Pour que cessent les holocaustes, page 249
Du pardon, page 251
Nostalgie, page 253
Faisons un rêve, page 254
Fatwa, page 257

Annexe 1 : Les livres utilisés pour écrire le Coran, page 261

Annexe 2 : Les rédacteurs du Coran, page 262

Annexe 3 : Comment a été fabriqué le Coran, page 264

Bibliographie, page 267


Extrait : La chute d'Allah
Jamais on ne trouve dans le Coran ou la vie de Mahomet de discussion spirituelle, hormis des slogans assommants. Jamais on ne trouve de préoccupations mystiques, pour s'accorder avec un code moral supérieur à soi-même. Jamais on n'évoque le renoncement aux illusions et aux passions. Jamais on ne s'interroge sur la fin dernière de l'humanité. Le pardon est dispensé selon les caprices d'Allah ; la rémission des péchés ne provient pas d'une transmutation intérieure, mais d'une déclaration de foi mécanique, d'autant plus affirmée qu'elle ne se concrétise pas dans les oeuvres. On n'y trouve que la folle fragilité d'un Allah inquiet que ses sujets osent remercier une divinité subalterne, qu'il a pourtant créée. On n'y clame que le tragique désespoir d'un Dieu unique, tuant ses créatures après leur avoir envoyé Satan pour les faire douter ; obligé de massacrer pour obliger à la prosternation. On n'y constate que la vertigineuse chute d'Allah dans l'absolu néant, en guerre contre sa Création, n'ayant pour satisfaction que des gens serviles, robots sans conscience et sans liberté. On n'y lit que des plaisirs diaboliques, des menaces et des vengeances.

Les droits de la créature humaine sont bafoués, la trahison est sanctifiée ; l'abus de confiance est recommandé ; la cruauté, la bassesse, la possession, la cupidité, sont encouragées ; le mensonge et la dissimulation sont revendiqués.

La psalmodie fait office de piété, les récitations servent de réflexion, les litanies remplacent l'élévation. Et le tout, scandé jusqu'à la transe, pour oublier, l'espace d'une heure, la tragique condamnation pour le péché, non celui d'Adam, mais pire encore, pour le péché de vivre. Car qu'un humain vive insupporte Allah, jaloux de ne pas exister.

Acculé à subir un destin « attaché à son cou » dont il ignore la fin, voilà l'être humain surveillé pour effectuer des rituels vides de sens, pleurer de rage et d'amertume devant ce mépris de la création divine et l'incompréhension ontologique du monde. Qu'elle se soumette, cette engeance toujours prête à entrer en rébellion contre Allah, afin qu'il « envoie des messagers pour les avertir » et éprouver le plaisir de les détruire: « Il n'est de cité que nous ne ferions périr ou tourmenter d'un fort tourment avant le Jour de la Résurrection. Cela était tracé dans l'Ecriture. » (17,58)

L'être se croyait libre : il n'est qu'un étranger sur la terre, esclave prosterné. Mais, dans sa malédiction, il devra aussi se méfier de son meilleur ami, peut-être habité par un djinn ; ou de son fils, qui ne le jugera pas assez croyant et le vouera aux gémonies. Et il devra voir sa mère ou sa soeur humiliée et frappée, elle, la douce et belle, l'aimante, la consolatrice, elle seule qui mérite les beaux noms d'Allah. Comme elle est difficile, l'exigence coranique qui apprend à mépriser la femme ; à transformer la mère, divinité de notre enfance, en créature inférieure, attendant de peupler l'enfer

Et, pour couronner le tout, le fondement même de la spiritualité -la compassion- est absente du Coran. La pitié, l'amour, l'élan du coeur vers celui qui souffre, la sollicitude envers l'âme qui cherche, sont remplacées par des vociférations sinistres. Sans cesse, Allah est appelé miséricordieux ; mais jamais il n'accorde miséricorde. Sous la plume de rédacteurs ignorants, il est devenu un être vaniteux et cruel. Tout au plus consent-il à accepter la servilité comme gage de soumission ; et son pardon ne concerne que les doutes sur son existence, puisque les actes sont secondaires. Enfin, ivre de lui-même, Allah tombe dans le péché suprême d'orgueil, sans aucune compassion pour sa dramatique destinée de roi brûlant. Ainsi aveuglé par sa gloire, Allah remplace Lucifer. Il a dépassé ses semblables, Odin, Kâlî, Shiva, Nergal, Yahvé, Satan, et se retrouve seul au monde.

Le Coran, c'est finalement, sous prétexte de soumission absolue, le meurtre de Dieu, en le rejetant hors de l'humanité.

Ainsi les légendistes ont été les déclencheurs d'innombrables crimes contre Allah. Voilà pourquoi le Coran se reçoit selon la technique du gavage ; la foi n'est pas nécessaire, car la foi est un choix, et seule la soumission est tolérée. On peut noter que la fin du débat théologique dans l'islam, au quatorzième siècle, entraîna une régression durable de cette culture qui avait su, en traduisant les auteurs grecs et perses, atteindre des sommets de civilisation.

L'avis d'un lecteur :
Je viens de finir Un Juif nommé Mahomet. Passionnant. Je ne m'étais pas spécialement penché sur la question de l'existence de Mahomet. Je croyais, à lire quelques biographies du personnage, qu'il n'y avait pas de doutes même si des additions de légendistes avaient forcément pu polluer le récit. Comme cela venait de l'an 600, donc plus jeune que le Christ, je n'avais pas creusé la question. Pour le Christ et la Bible, je savais : pas de preuves concernant Jésus, et des preuves de plagiat pour la Bible. J'avais conclu : Mahomet était un mauvais qui a pondu un livre en copiant la Bible à la sauce arabe.
Erreur.
Je comprends que votre livre ait été refusé. Il y a tant et tant d'arguments que, forcément, l'un ou l'autre va faire mouche sur le lecteur. Et par ricochet, d'ailleurs, porter atteinte au personnage du Christ. Donc problèmes avec les fous dangereux d'Allah et courroux du Vatican.
Dans le genre "comment se faire des ennemis" votre livre est un best-seller potentiel !
Je vais vous dire l'argument qui m'a définitivement convaincu, genre le dernier coup de marteau qui enfonce le clou déjà solidement planté : le fossé de Médine. J'ai participé à des fouilles de villas gallo-romaines, dans un site PLUS ANCIEN que le site potentiel de Médine. Je n'ai rien trouvé de plus que des bouts de poteries dont le plus grand lot formait au mieux un fond de vase. En avion, j'ai vu des vestiges de maisons pouvant remonter jusqu'aux Romains. Je sais qu'il suffit de gratter sous un à deux mètres de terre, parfois plus mais pas tant que ça, pour retrouver des traces remontant à des époques faramineusement lointaines. 2000 ans ce n'est rien. 1400 ans encore moins, surtout pour un personnage qui aurait creusé un fossé suffisamment profond pour être infranchissable à des fantassins, et suffisamment large pour être difficilement franchissable à un cheval. Or, il est TOTALEMENT évident, que ce fameux fossé de la bataille de Médine  devrait toujours exister ! Comblé, certes, mais toujours là. Il est censé avoir été creusé dans la roche par endroits : la roche n'a pas pu se reformer (quoique, Allah est grand...) Et le fossé ne pouvait qu'encercler la ville, plus petite qu'actuellement. Sinon il suffisait de passer par l'endroit où il n'y avait pas de fossé ! Donc on creuse une tranchée depuis l'extérieur de la mosquée vers n'importe quelle direction et, mathématiquement, on coupe le fossé à un moment ou à un autre.
[Note du webmaster : en fait ce fameux fossé se serait situé seulement au nord-ouest de Médine. Les autres directions auraient été fortifiées par des palmiers empêchant les chevaux de passer. Ce détail mis à part, le raisonnement est correct : on devrait effectivement trouver trace de ce fameux fossé, s'il a existé.]
En plus, quand on fait un fossé, on fait un rempart, au minimum un remblai, avec les déblais : or le récit ne parle pas de rempart ni de remblai. Si je me rappelle bien, il y a un duel entre un adepte de Mahomet et un cavalier qui réussit à sauter le fossé, et les combattants sont visibles des deux côtés du fossé, encouragés par leurs armées respectives. Le terrain est donc à découvert des deux côtés du fossé. N'importe quoi. J'avais trouvé le détail bizarre : si un cavalier passe, tous passent ; si on peut voir le duel, on peut tirer des flèches sur les duellistes, or personne ne bouge. Les duels qui se déroulent devant deux armées passives, ça n'existe pas.
[Note du webmaster : selon Savary, le fossé est creusé autour des remparts mais rien n'indique si c'est au pied ou éloigné. Le duel dont il est question, entre Ali et Amrou, se déroule bien devant les deux armées, et il n'est pas question de remblais. Le récit n'est effectivement pas très cohérent tant en ce qui concerne les fortifications qu'en ce qui concerne le déroulement des combats, d'autant qu'en plus Ali descend dans le fossé pour tuer un ennemi. Le problème avec ce détail c'est qu'on est en droit de se demander comment Ali ressort du fossé si ce fossé est infranchissable par les ennemis...]
Dès que l'on se met à réfléchir, ça saute aux yeux, oui mais voilà le "merveilleux" du récit berce l'intelligence qui s'endort, et la grosse couleuvre s'avale comme une cuillère de confiture même quand on n'est pas musulman. Alors ceux qui sont passés par les écoles coraniques, ils ne risquent pas de réfléchir.
C'est évident, comme vous l'écrivez : deux à trois mois de fouilles, et c'est fini, les musulmans sont débarrassés de l'islam.
C'est ahurissant comme c'est simple, et encore plus ahurissant que l'on n'y pense pas. Voilà qui montre à quel point cette manipulation de l'islam est psychologiquement bien conçue. En fait TOUTES les techniques de la manipulation sont utilisées dans l'islam, absolument toutes : le lavage de cerveau par mantras, la démonstration publique de soumission, la pression du groupe, les non-dits, l'intrumentalisation de la sexualité, la paralysie de l'intelligence par la double contrainte etc... Moi qui me targue d'être du genre "on ne me la fait pas !" hé bien  je me suis fait "couillonné" par l' "argument d'autorité" : il existe des livres qui racontent les aventures de Mahomet, donc Mahomet a existé. Ben non : il existe aussi les aventures de Tintin, et il n'a jamais existé !
L'archéologie explique de surcroît cette interdiction faite aux non-musulmans d'aller dans les villes de La Mecque et de Médine. Il faut absolument que les gens allant dans ces endroits soient aveugles,  psychologiquement parlant, donc musulmans convaincus, et ils ne doivent pas avoir le temps de réfléchir quand ils viennent. Donc on leur impose des rituels compliqués, il font ça, et ils repartent. Point. Pas de réflexion, pas de visite des alentours. Surtout pas ! On retrouve un peu la même chose dans le pèlerinage au volcan de Lassolas pour l'histoire de Raël. Et le pèlerinage à Arès, pour la révélation d'Arès du frère Michel Potay.
Je me demande si de simples photos par satellite ne pourraient pas révéler l'absence de ce fameux fossé, en comparant avec des photos de sites similaires connus pour avoir eu des fossés avérés, datant de la même époque, maintenant comblés mais toujours visibles sur des vues aériennes. Alors qu'a Médine, rien.
Il y a juste un point sur lequel votre livre est muet. Vous ne dites absolument rien des reliques de Mahomet. On a son manteau, son turban, ses épées (à Topkapi je crois). Quid de ces reliques ? Certes, il ne doit pas y avoir eu d'études sur le sujet, vu qu'il y a toutes les chances pour que ces objets soient des faux ne datant même pas de l'époque correcte, et même en prouvant que ces reliques sont des faux cela ne changerait rien vu que des études faites sur le suaire de Turin ont démontré qu'il n'avait pas 2000 ans, sans que cela change quoi que ce soit à la superstition. Mais peut-être un paragraphe sur votre site pour évacuer le problème des reliques de Mahomet vous éviterait des critiques sur ce point."
(J.D)

A propos du problème des reliques de (et plus généralement : des preuves de l'existence de) Mahomet, voir l'enquête "Dans les pas de Sherlock Holmes sur les traces de Mahomet"

Radio ICI ET MAINTENANT !

Ecoutez Bernard Raquin parler de son livre.

Extraits de l'émission de David Abbasi
sur la radio ICI & MAINTENANT
Diffusion du jeudi 31 mars 2005


anime-pour-table-mat Table des matières

Les kamikazes de Satan

Violence biblique et coranique

Voile et manipulation

Invention d'Allah et versets sataniques

Origine de l'islam : l'avis des experts

Superstitions et double contrainte dans le Coran

Histoire du prophétisme

drapeau-anglaisEnglish version "A Jew named Muhammad"
Did Muhammad exist ?
Enquiry about monotheisms. 
    

Bernard Raquin is a psychotherapist and a writer : spirituality, humor, laugh, demanipulation. He's one the top experts about natural ans experimental spirituality.
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7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 21:21
Vigilance contre l'islam : un nouveau coup de barre à gauche

par Imam Grouik-Grouik
Au Blog du Cochon Hallal nous sommes persuadés que la lutte contre l'islam, ça n'a rien à voir avec la droite, pas plus que ça a à voir avec la gauche - du point de vue de la Mecque, ça veut dire quoi la droite et la gauche ?

Du point de vue de la Mecque, tu es kafir ou tu es musulman, c'est tout.

Notre perspective est large, c'est celle qui permet justement qu'il y ait une droite et une gauche dans notre pays, c'est celle qui permet la liberté d'expression - qui, rappelons-le, n'est pas un fait de nature mais est le fruit d'une évolution historique et de combats qui n'ont pas toujours été que des combats de mots -, celle qui permet de pouvoir proférer toute opinion, même la pire des absurdités sans courir le risque de se retrouver au mieux en prison au pire tué comme cela existe dans TOUS les pays musulmans, même les moins barbares, et les plus influencés par l'occident, tels le Maroc.

Appelons-la "perspective démocratique" ou "perspective civilisationnelle" : nous la pensons plus profonde, plus vraie, que les perspectives laïcistes ou patriotiques parce qu'elles les englobent en quelque sorte.

C'est pourquoi nous ne craignons pas de féliciter tel patriote classé à droite ou tel laïciste classé à gauche pour telle ou telle action, tel ou tel article qui nous semblent par ailleurs ne pas être en contradiction avec notre propre perspective.

Le combat entre la civilisation (moderne) et la barbarie (islamique) ne fait que commencer. Cette expression totalement justifiée qui associe islam et barbarie n'est pas de nous, elle est de Wafa Sultan.

Certes, il est d'autres barbaries que la barbarie musulmane, mais pour nous autres modernes nés après la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, la notion de civilisation musulmane est le plus grotesque oxymore : l'islam est barbare par essence et devra tôt ou tard rejoindre les autres barbaries des temps passés dans les poubelles de l'histoire.

Le combat se joue partout, et nombreux sont les collaborateurs de la barbarie y compris chez certains qui osent se réclamer de Droits de l'Homme qu'ils prostituent à l'Immonde. Il se joue par exemple aujourd'hui à Epinal, en France comme il se jouait le 11 septembre dernier à Bruxelles, le jour où la Belgique a commencé officiellement son processus de soumission à la charia.


Riposte Laïque vous propose un dossier complet de ce qui s'est passé lors du procès de Fanny Truchelut, véritable brebis sacrifiée sur l'autel de l'islamisme par quelques musulmans secondés d'une floppée de collabos de la pire espèce en retour de traumatisme post-électoral.

Ce qui se joue à Epinal, c'est ce qui se jouait à Abbeville en 1765, ni plus, ni moins : un certains sens de l'Histoire. Et que cette affaire ne trouve qu'un faible écho dans notre presse - à l'exception notable du parfois très bon journal de LCI de fin de soirée - semble malheureusement indiquer que l'Histoire ne va pas dans le bon sens.

Nous invitons tous nos lecteurs à lire régulièrement Riposte Laïque qui s'affirme décidément comme étant la meilleure surprise de la rentrée concernant la "résistance" sur internet contre la barbarie musulmane.

Le Blog du Cochon Hallal sera encore en veille quelques jours, le temps que nous finissions de nous héberger décemment... Ce qui vous laisse le temps de participer à telle ou telle action SITA par ailleurs, si toutefois vous ne vous satisfaisez pas de la libanisation de la France... de l'Europe... sinon du monde, bien entendu.

Suite à nos courriers SITA, la Dépêche du Midi diffame le Blog du Cochon Hallal et l'avocat Alexandre Parra-Bruguière
réponse de la rédaction du Blog du Cochon Hallal à la rédaction de la Dépêche du Midi
SITA tous payssynthèse des blasons islamisés de Champs-sur-Marne et de ToulouseUn journaliste, fort heureusement anonyme pour sa réputation et signant J.-L. D.-C., a commis un des plus grotesques articles régionaux de l'année. A la date du 22 septembre, l'article est encore disponible en ligne.

Le journal la Dépêche du Midi nous apprend que la présidente d'une de ces nombreuses associations qui se qualifient de "citoyennes" aurait prévenu l'avocat que son nom circulait sur “les blogs d'une internationale d'extrême-droite assez nébuleuse.” Le quotidien poursuit en précisant que “Sur des sites tels que le “cochon hallal", l'auteur qui prend le pseudo d'« Imam Grouik Grouik », donne la marche à suivre pour intimider ceux qui feraient le jeu des musulmans et des Arabes.

Dépêche du Midi Alexandre Parra-BruguièreManifestement le journaliste n'a pas pris la peine de venir jeter un coup d'œil par chez nous ou a de graves problèmes de lecture : nous blâmons, nous louons et nous informons, mais nous ne cherchons pas à intimider, nulle part, jamais. Pour l'action SITA dont il est question (mosquée de Toulouse Les Izards), trois autres destinataires sont suggérés, dont la conseillère municipale en charge du problème, or aucun ne s'est senti intimidé. D'autre part, l'article n'est pas d'Imam Grouik-Grouik mais de Muezzin Baravin... Par ailleurs, nous aimerions bien savoir sur quels éléments concrets se fonde le journal pour nous taxer d'“extrême-droite”. L'article laissant enfin entendre que nous serions “islamophobes et ouvertement racistes”, contre-vérités manifestes doublées d'insultes caractérisées, alors nous disons nous aussi que trop c'est trop et nous en informons le procureur de la République à Toulouse.

L'action, qui date du 23 août 2007, est consultable sur à http://grouik-grouix.blogspot.com/2007/08/mosque-de-champs-sur-marne-mosque-de.html.

Nulle part le muezzin Baravin n'appelle à intimider l'avocat en question. Il apporte des contre-arguments à la faiblarde rhétorique de maître Parra-Bruguière, dont une jurisprudence qui met par terre la plaidoirie du maître. Les internautes sont invités à informer maître Parra-Bruguière tout simplement en imprimant l'article et en le lui envoyant par la poste à son adresse professionnelle publique.
Et idem pour informer de même la conseillère municipale en charge du dossier, les habitants de la copropriété et l'association musulmane.

Il n'y a pas la moindre trace d'une volonté d'intimidation là-dedans.

Selon le journaliste, nos actions consisteraient en “Grosso modo (...) faire parvenir à ces « dhimmis » des captures d'écran ou des photos de mosquées accompagnées ou non de petits textes signifiant à leurs destinataires qu'ils étaient identifiés et ne seraient pas laissés en paix. Alors Me Parra-Bruguière a dit stop. « Pas par peur, mais pour marquer le coup. Ça suffit ! »

Sauf que pas grosso modo du tout ! Nous pensons que nos "petits" textes sont suffisamment pertinents pour bouleverser la stratégie d'un avocat et que la presse s'en fasse l'écho. Les arguments contre l'islam sont suffisamment éclairants pour qu'un avocat en vienne à comprendre que la cause de ses clients est indéfendable dans un état de droit (hormis peut-être par Maitre Vergès).

Nous précisons enfin que les adresses des destinataires des courriers sont publiques. Tout un chacun à le droit de se servir de données publiques pour dire ce qu'il pense des déclarations publiques d'un personnage public dans le journal même local d'un pays (encore) libre. C'est l'essence même des actions de type Amnesty International qu'adapte selon son sujet le Blog du Cochon Hallal et que la Dépêche du Midi qualifie en titre de "harcèlement". Le délit d'information n'existe pas en France, pas plus que le délit d'opinion. Mais pour combien de temps encore si les mosquées continuent à pousser au rythme actuel ?

Il y a cependant beaucoup plus grave que la diffamation du Blog du Cochon Hallal : le traitement qu'y subit l'avocat Maître A. Parra-Bruguière est en effet autrement pire, car le journaliste (professionnel ?) se prend les mots dans le tapis de la diffamation contre celui-là même qu'il cherche à défendre et réussit l'exploit de le couvrir de ridicule.

L'avocat des mahométans est décrit par la Dépêche du Midi ni plus ni moins que comme mal-comprenant : “Et puis il y a quelques semaines, la présidente de Ligue citoyenne, (...), le prévient que son nom circule sur les blogs d'une internationale d'extrême-droite assez nébuleuse.” Or on ne voit pas comment quelqu'un pourrait le prévenir de quelque chose qu'il a devant les yeux puisque les missives que nous proposons d'envoyer comportent de facto la mention de leur origine. Un avocat étant par définition une personne intelligente, il n'a besoin de personne pour trouver l'origine de missives qui comportent cette origine inscrite sur les missives elles-mêmes !
Ou alors on ne parle pas des missives du Cochon Hallal. Mais dans ce cas, pourquoi citer le Cochon Hallal ?

De la même manière, le journal écrit que “dans une lettre signée François Arouet, l'un de ces plaisantins lui écrit « On sait qui tu es, où tu loges »”, or il nous semble qu'une personne signant du véritable nom de Voltaire ne commettrait pas la sottise de menacer à mi-mot son destinataire, ce que Voltaire n'a jamais fait. Nous pensons donc là que le journaliste prête à l'avocat des propos mensongers qu'il n'a pas tenus ; car c'est bien connu, un avocat est une personne à la probité exemplaire qui ne ment jamais, et plus particulièrement en dehors des prétoires. Nous demandons à ce que cette lettre, si elle existe, soit rendue publique afin de dissiper le malentendu (transmettre au Blog qui publiera), si malentendu il y a.

Enfin en insinuant que pour toutes ces raisons l'avocat aurait porté plainte auprès du procureur de la République, le journaliste achève de ridiculiser l'avocat en le faisant passer pour une personne perdant son sang-froid et ne comprenant strictement rien aux courriers qu'il reçoit, or un avocat est par définition une personne sachant à la fois lire et garder son calme.

Ces procédés sont graves et portent atteinte à la réputation d'un avocat plein d'avenir, suffisamment pour que cet avocat trouve là, nous semble-t-il, matière à porter plainte contre la Dépêche du Midi pour diffamation, diffusion de fausses nouvelles et de rumeurs, atteinte à l'image personnelle et professionnelle.
Nous ne sommes cependant pas avocats. Et encore moins dhimmis.

Il n'y a pas lieu de s'étonner de tout cela car tout est possible quand un journaliste écrit “François-Marie Arouet, le vrai nom de Voltaire supposé islamophobe pour une pièce dans laquelle il s'en prend en fait aux Jésuites…”. Le pata-reporter oublie en effet que justement Voltaire choisit de dénoncer le fanatisme de certains chrétiens en prenant pour référence l'idéologie qui représente le mieux le fanatisme : l'islam. Ce journaliste-là est-il chargé d'informer ses lecteurs ou de les manipuler ? Car si l'islam n'est pas la cible principale de Voltaire - il faut dire que le mahométan n'est pas trop envahissant dans la France du XVIIIème siècle - le moins que l'on puisse dire c'est que l'écrivain ne porte pas la religion du pédoprophète dans son cœur, lui qui qualifiait le coran de "livre inintelligible qui fait frémir le sens commun à chaque page", de "rhapsodie sans liaison, sans ordre, sans art", de "recueil de révélations ridicules et de prédications vagues et incohérentes", ou de "livre mauvais pour notre temps et pour nous". Pour Voltaire, Mahomet était un "sublime et hardi charlatan", quant aux arabes il les qualifiait de "peuple qui, n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion" (voir l'article Koran de son Dictionnaire philosophique). Il faut être journaliste à La Dépêche du Midi pour vouloir faire croire que Voltaire avait bonne opinion de l'islam et des mahométans.

Une explication possible néanmoins : une terrible troisième mi-temps de match de rugby de coupe du monde fortement arrosée durant laquelle l'obscur scribouillard aurait rédigé son article, confondant le cas du toulousain Robert Redeker, menacé par les amis de ceux que défend maître Parra-Bruguière, et le cas du toulousain Alexandre Parra-Bruguière, légèrement blâmé et surtout informé par les amis de ceux qui défendent Robert Redeker. Encore que l'on n'ait pas besoin de troisième mi-temps pour écrire n'importe quoi à la Dépêche du Midi.

Et s'il faut préciser les choses, Le Blog du Cochon Hallal n'apprécie aucunement les comportements islamiques et il se désolidarise totalement d'éventuels lecteurs qui s'autoriseraient de son nom pour menacer ou insulter telle ou telle personne.

Nous réclamons que ce droit de réponse paraisse dans la Dépêche du Midi afin de laver le pauvre Cochon Hallal ainsi trainé dans la boue, nous demandons à ce que ce droit de réponse - dont le procureur de la ville de Toulouse aura copie - soit assorti de l'extrait du Mariage de Figaro de Beaumarchais ci-dessous afin que les lecteurs de la Dépêche du Midi sachent dans quelle perspective se situe le Blog du Cochon Hallal et qu'ils sachent ce qu'ils sont en droit d'attendre d'un authentique journal : autre chose que des rumeurs de feuille de chou de troisième mi-temps.

***
Le-Blog-du-Cochon-Hallal.gif
Grâce à Sita, le Blog du Cochon Hallal se retrouve encore dans la presse belge
C'est à lire au Sitathon.

Wednesday, September 19, 2007

Grâce à vous, l'hebdomadaire belge Le Vif parle de nous.
C'est à lire au Sitathon.

Saturday, September 15, 2007

Le ramadan : communiqué depuis la Mosquée Rose-Goret du Cochon Hallal
Le Blog du Cochon Hallal fait boudinblan (le véritable ramadan).

Durant la journée, l'imam et le muezzin font ripaille du matin jusques au soir avec leurs amis, selon la tradition du Saint-Boudinblan, s'empiffrant de montagnes de cochonailles d'où jaillissent des sources de vin rouge et blanc.
Durant la nuit, ils récupèrent un peu et travaillent à mettre au point un blog bien hébergé et ils réfléchissent à la stratégie à adopter quand ils n'organisent pas des concours de caricatures de prophète.
Au petit matin, ils envoient parfois une petite lettre et un peu d'argent à leurs collègues des mosquées de France : vous aussi participez au ramdam et donnez pour la construction de mosquées !

Alors actuellement, il n'y a guère le temps pour de nouveaux articles. Mais patience, ramadan n'a qu'un temps.
La suite
http://grouik-grouik.blogspot.com/
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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 21:48
Victoire des Bleus face aux All Blacks en quart de finale de la coupe du monde

Le XV de France s'est qualifié pour les demi-finales de la Coupe du monde en battant la Nouvelle-Zélande 20 à 18.


vendredi 21 septembre 2007

De Chabal à Hitler

Le rugby, on en parle beaucoup en ce moment. Normal, c'est la coupe du monde. C'est comme le foot, avant 1998 ça n'existait pas. Bref...

Hier soir sur France 3, dans l'émission ce soir ou jamais présentée par Taddeï, il y avait un prof de sports invité. Ce mec déteste le rugby. Perso j'y connais pas grand-chose, et j'ai pas un amour débordant pour ce sport mais putain, il faisait peur le prof d'EPS.
...sport de barbares indigne d'une société civilisée...idéologie de la force brute rappelant les régimes totalitaires, comme par hasard en même temps Sarkozy fait passer des mesures inhumaines sur l'immigration...des boeufs qui se tapent sur un terrain pour une société de moutons crétinisés par la haine, une haine qui est promue par ces fous en short...
Un sport de barbares, de fascistes, un sport de droite. Magnifique n'est-ce pas ? Merveilleuse caricature de gauchiste franco-français effrayé par la part animale de l'homme, bobo impuissant et frustré à souhait, tapette à la con parlant sur un ton frénétique...Exactement le même genre de réactions auxquelles on a eu droit après la sortie de 300, rappelez-vous, le film où un peuple se fait envahir par des hordes de barbares, et ose se défendre.

"Film d'extrême droite, frôlant la doctrine nazie, un graphisme fasciste" qu'ils disaient, nos gentils "intellectuels" et autres critiques de mes deux.

Mais d'où leur vient cette haine pour la force brute, pour les instincts, les pulsions, pourquoi autant d'animosité pour l'animalité ? Ces gens haïssent notre espèce. Ils détestent les Hommes, les voulant médiocres et faibles, se perdant en abstractions indéfinies et autres branlettes intellectuelles en permanence, pour eux la violence, la dépense physique, les chocs, les affrontements...bouh que c'est mââââl...et de droite !

Mais quelle violence et quel extrêmisme pour des gens qui disent détester ces notions ! Leur peur, que dis-je leur hantise de l'Homme, de la virilité, c'est exactement le christianisme selon Nietzsche. Faire de l'animal "Homme" un animal domestique, un gentil toutou.

Le cerveau c'est de gauche, et les muscles de droite, voilà qui est intéressant !

Merci à tous ces grands moralistes, ces grands esprits, oui merci, car leur antifascisme devient tellement pathétique qu'il fatigue même les masses. La preuve, la popularité de Chabal, ahh...Chabal. Le Gaulois, la force brute au service d'une équipe, et en l'occurrence d'un pays. Le mec qui réhabilite la vigueur sans y amener la haine. L'homme qui balaye le putain de complexe occidental, les saloperies de démons de Mein Kampf privant le Blanc de la fierté d'être fort...Le joueur exemplaire, sportif incroyable et d'une humilité sans égale, un look de guerrier qui nous change du dégarni marseillais au coup de boule facile...une preuve vivante des bienfaits, et surtout du caractère profondément naturel, de la force et de la compétition.

Une brute qui attire directement la sympathie, et qui doit en faire chier plus d'un, que ce soit les pédales hurlant au troisième Reich en voyant 300, ou les connards accusant le groupe Rammstein de nazisme à cause d'une esthétique trop froide, trop brutale, à cause de pochettes de ce genre qui n'ont pas tardé à attirer les foudres des anti-aryens professionnels :


Bref, toutes ces "élites" nationales prônant la haine de la haine dans les contrées françaises, ce sont eux qui me font encore plus apprécier un bon coup de pied spartiate dans la gueule d'un Perse, un Chabal en pleine course avec un Namibien accroché à chaque jambe, ou encore un concert de Rammstein tout feu tout flamme...ces lavettes qui ne savent pas apprécier ni même tolérer une nature sauvage, un spectacle vivant, sans entendre les bottes qui marchent en rythme...

Paranos de la croix gammée, ils n'ont vraiment pas peur d'en dire des conneries...le pire étant que ces pisseux gauchistes comme ce prof de sports qui déteste l'activité physique vigoureuse (sic), puceaux de l'esprit, étaient le même genre de traîtres à baisser leurs frocs devant l'invasion allemande...beh oui rappelons-nous les "pacifistes" de gauche à l'époque, en 38, "plutôt Hitler que la guerre" qu'ils disaient, bah oui vous comprenez la guerre et la violence c'est pas bien, "je n'aurais pas de sang sur les mains", tu m'étonnes...

Qu'on est bien en France


jeudi 20 septembre 2007

"We are in France, we speak French."

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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 10:07

Che Guevara, «un bourreau fanatique»

Dans son livre, «La Face cachée du Che», Jacobo Machover, un exilé cubain, brise l’image héroïque et humaniste du révolutionnaire argentin. Interview…

Dans votre livre, vous détruisez le mythe de Che Guevera, décrit comme un «bourreau implacable», qui fume le cigare en regardant les exécutions. D’où vient son statut d’icône?
C’est une construction post-mortem. Deux types de personnes y ont contribué. Castro lui-même, qui en a fait un héros presque surhumain, un grand penseur et un humaniste, et les intellectuels du monde entier, en particulier français, qui le considèrent, comme l’a affirmé Sartre, comme «l’homme le plus complet de notre temps».

Il a été assassiné jeune. Cela y a-t-il aussi contribué?
Oui. Et c’était le moyen, pour Castro, de donner une image éternellement jeune à la révolution cubaine, alors que Castro vieillissait, et que la révolution elle-même devenait obsolète.

Comment expliquer l’engouement des intellectuels français pour le Che à l’époque?
C’était comme un souvenir des premières années de l’internationale communiste. Le Che incarnait l’internationaliste mort au combat, avec des réminiscences de la guerre d’Espagne. Les intellectuels français avaient besoin de croire à un demi-dieu, et le Che convenait tout à fait pour trois raisons. Parce qu’il a fait des études de médecine -sans être médecin -, parce qu’il avait une certaine culture, et parce qu’il parlait un peu français - très mal, mais cela donnait d’illusion qu’il était polyglotte. Le tout donnait l’image d’un humaniste prenant les armes malgré lui, ce qui est faux. Sa légende est une entreprise de mystification collective.

Cette image a-t-elle évolué aujourd’hui dans ces milieux?
Quand j’ai parlé du projet de mon livre, certains intellectuels m’ont dit «il ne fait pas casser tous nos rêves». Regis Debray, qui a frayé avec lui, est revenu sur ses positions et a décrit le Che comme un fanatique extrémiste. Mais Régine Deforges, par exemple, vient d’écrire un article dans l’Humanité où elle parle du «poète de la Cabana», la prison où il participait aux exécutions des anti-révolutionnaires… Dans le registre politique, Olivier Besancenot se réclame de lui.

Comment l’expliquez-vous?
J’hésite entre l’ignorance et la complicité. On a du mal à comprendre, surtout pour les familles des victimes. Mais je penche plutôt pour la complicité.

Que vous inspire le marketing autour de la figure du Che?
J’espère faire faire faillite à toutes les boîtes qui la reproduisent à la chaîne sur des posters, drapeaux, sacs, ou sur des maillot de bains, comme j’ai pu le voir dans un article du Sunday Times ce week-end.

Vous dites au début du livre que vous étiez vous-même un «admirateur de Che Guevara». Quand et comment en êtes-vous revenu?
Mon père travaillait avec lui comme interprète. Puis on a dû s’exiler en 1963, et nous n’avons pas pu revenir. De mon côté, je me suis documenté, puis j’ai profité d’une période d’ouverture de Cuba pour m’y rendre, à la fin des années 1970, et là j’ai tout de suite compris. La surveillance constante, la délation… Sur place, j’ai vu la panique sur le visage d’une amie quand je lui ai dit que, comme tous les étrangers, j’étais surveillé. Parler à un étranger est un délit, même si bien sûr ce n’est écrit nulle part, mais on peut toujours vous accuser d’intelligence avec l’ennemi. Ce voyage coïncidait avec la fuite massive des Cubains. 125.000 d’entre eux ont fui en Floride à ce moment-là. On est bien obligé de se poser des questions: Pourquoi autant de monde fuit-il le «paradis socialiste»? A mon retour, j’ai commencé à écrire.

Comment les Cubains le perçoivent-ils aujourd’hui?

Ils ont toujours eu de lui une image imposée. Les enfants sont élevés dans le culte du Che, dont l’image trône toujours à La Havane. Mais en même temps, les gens se souviennent de ce que le Che a fait, il y a la mémoire des exécutions, qui faisaient la Une des journaux, et des prisonniers. Il n’y a personne sur l’île qui n’ait été victime ou ne connaisse une victime du Che. Ces aspects sont occultés. Mais aujourd’hui, les langues se délient.

Vous dites que Castro a instrumentalisé Guevara, qui s’est révélé lui-même assez naïf…
Oui, il était naïf de croire qu’il pouvait travailler en dehors du contrôle absolu de Fidel et de son frère Raul. Le Che n’avait pas l’intelligence de Fidel, qui l’a utilisé comme instrument au service de sa politique extérieure, et s’en est débarrassé en temps voulu. Le Che se croyait plus utile vivant que mort, ce qui n’était pas l’avis de Castro. Che Guevara a fini par déranger tout le monde pour trois raisons. D’abord parce qu’il a revendiqué, en 1964, les exécutions à la tribune de l’ONU alors que Castro n’en parlait plus à ce moment-là. Ensuite parce qu’il a rencontré le chinois Mao sans l’accord de Fidel. Enfin parce qu’il a critiqué l’Union soviétique dans son discours d’Alger. C’était insupportable pour l’URSS et Castro, qui l’a alors envoyé au Congo pour se faire tuer. Finalement, il sera assassiné des années plus tard en Bolivie. Le régime cubain aurait pu le faire exfiltrer, mais Raul, qui ne l’aimait pas, a dit: «qu’il aille se faire foutre, l’Argentin». Personnellement, c’est dans sa mort, à Santa Clara, que je le trouve le plus humain, quand il cesse d’être un «héros», un fanatique imperméable à tout sentiment.

Qui seraient ses héritiers, aujourd’hui?
J’espère qu’il n’y en a pas! Sur le plan de «l’humanisme révolutionnaire» et des doctrines économiques, c’est le régime en place à Cuba. Si l’on prend en compte sa conception de la lutte armée, ce sont les mouvements fanatiques, comme les Farc en Colombie. Et si c’est sur le plan de la cruauté, ce sont les mouvements terroristes actuels.

Et sur l’image du «héros romantique»?
Je ne vois pas où est son romantisme. Il prononce le mot «amour» mais dit en même temps qu’il «doit prendre des décisions douloureuses». Drôle d’amour… Il revendique celui pour l’humanité, mais à ses yeux quiconque qui n’est pas capable de cet amour là doit être éliminé…

Ce type de déclarations ou d’écrits du Che sont-elles la source de l’immense «malentendu» que vous décrivez dans le livre?
La plupart des gens ne l’ont pas lu. Et puis il y a des phrases inventées, qu’il n’a jamais prononcées, mais qui donnent l’illusion d’un guérillero au grand coeur. Quand la démocratie sera rétablie à Cuba, je souhaite que le premier geste soit de décrocher son effigie et de débaptiser la «place de la révolution» pour redevenir la «place civique», son nom d’avant. Car pour nous, une bonne partie des Cubains, Che Guevara est le symbole et la réalité de l’oppression à Cuba. J’espère une démocratie qui ne soit ni romantique, ni héroïque. Juste une démocratie banale, mais qui permette de rétablir la vérité sur les victimes du régime castriste et sur le Che.

Comment pourrait-elle advenir?
Peut-être par un ras-le-bol de l’armée. Les révoltes populaires sont improbables, tout est si contrôlé… Il faut surtout une pression internationale, ne pas reconnaître la succession au sein de la tyrannie castriste, qui est une caricature de la révolution.

*ed. Buchet Chastel, 14 euros.

(Source: 20 minutes)


02.01.2007

Communisme et lassitude.

Par hasard, j’ai écouté ce jour la fin d’une émission de France Culture, « Du grain à moudre », souvent intéressante d’ailleurs, et consacrée –oh miracle- à JF Revel récemment disparu, à travers le livre hommage qu’ a écrit Pierre Boncenne (Pour JF Revel, Plon. 2006).

J’ai suivi avec plaisir la discussion entre Besançon, Sirinelli et Boncenne, malheureusement parasitée par les péroraisons de Julliard. Revel, présenté à tort par la clique gauchiste médiatico-intellectuelle comme anticommuniste primaire, était un érudit et un intellectuel de premier plan dont la constance de l’engagement antitotalitaire, dans la lignée de Raymond Aron, mérite le respect.

J’ai repensé à ce petit livre indispensable retraçant la correspondance entre Furet et Nolte (Fascisme et communisme, Plon. 1997) au sujet de la proximité idéologique des deux phénomènes totalitaires. Cette proximité, défendue par Revel dans nombre de ses ouvrages, mais aussi par Alain Besançon (Le malheur du siècle, Fayard) constitue toujours un tabou en France et explique sans doute en partie la haine tenace et l’ostracisme dont il fut l’objet, sa vie durant et même après sa mort.

Et c’est sans doute parce qu’il existe un négationnisme procommuniste beaucoup plus hypocrite, plus efficace et plus diffus que le négationnisme pronazi, sommaire et groupusculaire, mais dont le comité de vigilance citoyen anti fasciste nous rebat les oreilles à longueur de journée, la danger étant bien sur majeur.

L’organisation de la non repentance à l’égard du communisme aura été la principale activité politique de l’ultime décennie du siècle, comme l’organisation de sa non connaissance aura été celle des sept décennies antérieures.

Le succès périodique du négationnisme procommuniste donne à tout nouveau livre rétablissant certaines vérités, et en particulier esquissant le parallèle sacrilège entre communisme et nazisme, l’apparence de la découverte (Qu’on se rappelle le tollé de la gauche, y compris la gauche non communiste, après la sortie du « Livre noir du Communisme » et la sortie grotesque de Jospin à l’Assemblée...). Or on n’en finirait pas d’aligner les citations dés 1918 pour l’appréciation exacte du bolchevisme, et dés 1933 pour la comparaison entre les totalitarismes, ou figurent déjà des constats et des arguments sans appels, mais aussi sans grands résultats sur la reconnaissance des crimes communistes.

Dans son « Passé d’une illusion » (Robert Laffon, 1995), François Furet (ancien communiste lui même) consacre un long passage à l’historien Allemand Ernst Nolte, qui avait fait l’objet avant lui d’une condamnation sommaire en Allemagne et en Occident pour avoir théorisé cette comparaison interdite.

On se rappelle pourtant d’André Gide, écrivant dans son retentissant « Retour de l’URSS » : « Je doute qu’en aucun autre pays aujourd’hui, fut-ce l’Allemagne de Hitler, l’esprit sois moins libre, plus courbé, plus craintif, terrorisé qu ‘en URSS». Et le doyen respecté des historiens du fascisme, Renzo de Felice (plutôt de sensibilité socialiste d’ailleurs), déclarant en 1988 comparant Hitlérisme et communisme : « La vérité en conclusion est qu’il s’agit de phénomènes identiques ; Le totalitarisme caractérise et définit le Nazisme comme le communisme, sans aucune différence réelle ; peut-être l’ais-je dis avec brutalité, mais j’estime que le moment est venu de s’en tenir aux faits et de briser les mythes faux et inutiles. » (Actes du colloque « Le stalinisme dans la gauche Italienne », mars 1988)

Furet et Nolte évoquaient à la fin de leur correspondance la thèse de « l’inutilité du vrai », dont s’était déjà emparé Revel dans « La connaissance inutile » (Grasset, 1988). Alain Besançon dans son « Malheur du siècle », en s’interrogeant à son tour sur les raisons de « l’amnésie du communisme et de l’hypermnésie du nazisme », et s’il reconnaissait le caractère unique et incomparable de la Shoah, concluait que les différences entre les deux totalitarismes sont dans la nature des motivations et non dans le degré du mal.

Pour Revel, « Ce qui distingue le communisme du Nazisme, ce n’est pas le système du pouvoir, il est identique dans les deux cas. C’est que le premier est une utopie et non le second ; Lorsqu’ Hitler supprime la démocratie et crée des camps d’extermination, il réalise ses idées et tient ses promesses. Lorsque c’est Lénine qui le fait, il réalise le contraire de ses idées et trahit ses promesses. Mais il le nie au nom de l’avenir qu’il prétend radieux. L’utopie rend légitime la déconnexion entre les intentions et les actes » (Fin du siècle des ombres, Fayard)

C’est la le paradoxe de l’après communisme : pourquoi y a-t-il encore tant de « compagnons de route », alors qu’il n’y a plus de route ?

source : http://hoplite.hautetfort.com/archive/2007/01/02/communisme-et-lassitude.html

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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 04:34

Le film de la Quatrième Guerre mondiale  


Pour saluer la sortie DVD du meilleur film de 2007...

"300", c'est l'Amérique qui est en guerre. Elle le hurle. Et derrière elle, c'est tout l'Occident qui gronde.

L'Occident contre la barbarie


Frank Miller de nouveau sous les critiques

zack-snyder53.jpgLors de la sortie du film 300, de Zack Znyder (ici à droite sur la photo, aux côté de Frank Miller et Gérard Buttler), une partie de la presse dite « progressiste » s’était révoltée contre ce spectacle « belliqueux, raciste et inspiré d’une idéologie nauséabonde. » . L’Iran s’était ouvertement plaint du traitement des Perses. Et les bonnes âmes de cracher sur Frank Miller, créateur du comics et inspirateur du film.

Après quelques mois d’accalmie et un succès mondial (plus de 456 millions de dollars de recettes dont 13,9 en France), le temps des insultes est revenu avec la sortie du DVD.

Ainsi, le magazine Les années Laser, excellent quand il s’agit de traiter de l’actualité numérique du cinéma , ne trouve rien de moins que de faire un portrait très ambiguë de Frank Miller dont le titre est d’ailleurs « Frank Miller, un talent indiscutable, des idées qui le sont moins ».

Avant de parler de 300 , l’auteur parle de son travail sur Daredevil et Batman, mais il le réduit à la « violence et l’ambiance glauque » (qui seraient les penchants de l’artiste) des deux comics. Rien sur la façon dont Miller a radicalement transformé le paysage du comics US dans les années 80. La récente série Civil War de Marvel doit tout à Miller. Et on ne compte pas les séries influencées par Daredevil !!

Miller est désigné comme proche des néo-conservateurs américains (ce qui , pour le rédacteur de l’article, n’est rien moins qu’une insulte, ce dernier passant son temps à cracher sur Bush et à trouver, comme par hasard, des interviews de pseudos démocrates. J’y reviendrai). Puis il insiste bien sur ses idées politiques : partisan de la guerre d’Irak (que le rédacteur a estimé criminelle par le passé), adepte des armes à feu…. Autant de gros mots pour la plupart des journalistes français.

Le fin mot de l’article : Miller est un artiste dont le message est réactionnaire. Mais pas d’interview pour que ce dernier puisse se défendre. Comme à Moscou ou à Prague, lors des fameux procès politique, l’accusé n’a pas droit à la parole. Seule compte celle du juge.

Seul intérêt de l’article (franchement, je n’y ai strictement rien appris !!) , la citation suivante de Miller : « Il me semble évident que notre pays et tout le monde occidental sont en conflit avec un ennemi qui sait parfaitement ce qu’il veut et nous nous comportons comme un Empire qui s’effondre. Les cultures puissantes sont rarement conquises : elles s’effondrent de l’intérieur. ». Bien entendu, cette citation est là pour l’enfoncer. Là aussi, on a droit à un procédé quelque peu discutable : prendre une seule phrase et en faire une pierre angulaire.

Dans le même numéro , on a par contre droit à une interview de , créateur de la série Heroes. Et comme par hasard, ce dernier glisse que Bush s’est pris pour Superman en déclenchant des guerres absurdes et que ce dernier est renié par le monde entier. Quand le politiquement correct se fait article !! Et les pseudo-généralités élevées au rang de vérités révélés.

Le rédacteur de cet article est coutumier du fait : chaque fois qu’il interroge une star américaine, il trouve le moyen de lui faire cracher sur l’Amérique. Ainsi Martin Sheen qui estimait dans le numéro que Nixon, Regan , Bush père et fils , tous Républicains (comme par hasard ) était des criminels. Sheen  oublie juste que grâce à Carter, les Mollahs sont au pouvoir en Iran et que Clinton a laissé un million de Rwandais se faire massacrer à la machette et a quitté la Somalie comme un lâche, la laissant aux mains des seigneurs de la guerre.

Autre exemple, l’un des acteurs de Nik/Tup estime , toujours interviewé par le même journaliste dans Les années Laser, que la démocratie n’existe plus en Amérique depuis 2000 et qu’elle reprendra ses droits en 2008 . En clair, ce soit disant démocrate refuse le suffrage universel quand il ne sert pas son camp. Hitler ne disait pas mieux.

Et ce n’est que quelques exemples. A l’inverse, des gens comme Eastwood ou Gibson ne sont jamais interviewés. Ils ne sont pas dans la lignée éditoriale, sans doute.

Attendons nous à une nouvelle volée d’injures envers Frank Miller, attendons nous à voir une presse toujours aveugle, toujours aussi fanatiquement anti-Bush, raciste et prompt à tromper ses lecteurs.

Car ne nous y cachons pas , ce petit exemple montre à quel point nos idées sont détestées par des gens qui ne nous trouvent que des défauts et qui refusent que l’on pense différemment. Le fascisme qu’ils sont censés dénoncer n’est sans doute pas où il pense.

Femme Fatale

fatale.jpgLa Femme Fatale, de Raphaëlle Bacque et Ariane Chemin n’est pas un pamphlet anti-Royal comme celui de Jospin. Ce n’est pas non plus une compte-rendu minute par minute de la désastreuse campagne présidentielle de la Madone des sondages. C’est bien plus simplement une analyse féminine d’un parcours féminin, celui d’une femme politique qui a voulu, en 2005, prendre sa revanche sur son compagnon, sur les machos du PS, sur les hommes en général.

C’est aussi le récit d’une ambition qui ne s’est embarrassée d’aucun scrupule, une plongée dans une personnalité qui, si elle apparaît plus complexe que ce qui a pu transpirer à la télévision, n’en est pas moins roublarde, retorde revancharde et exclusif.

La Femme Fatale n’est pas un récit linéaire. Les deux auteurs reviennent souvent en arrière pour expliquer tel ou tel aspect de la campagne. Le futur s’écrit toujours grâce aux racines du passé. Pour ne donner qu’un exemple, si le point départ de l’aventure Royal prend, selon les auteurs, dans la blessure du couple de 2005, amplifiée par une série de sondages très favorables, le livre repart régulièrement en 1993, en 1997, en 2002, en 2004…. En fait, on s’aperçoit rapidement que Royal n’a peut-être pas préparé l’élection comme Sarkozy mais qu’elle a minutieusement préparé sa candidature, profitant du travail de sape de François Hollande qui espérait bien saisir les fruits des victoires de 2004 aux Régionales et aux Européennes.

Si la campagne proprement dite n’est que finalement moins présente qu'espéré (d'autres livres s'en sont chargés), et que les passages décrits sont connus (le voyage en Chine, les gaffes sur le Québec, le congrès de Villepinte, le discours raté du 22 avril…), les préparatifs de la pré campagne sont nettement plus disséqués. On voit donc une femme qui, petit à petit, s’impose non pas au PS mais parmi les seconds couteaux du PS, les Dray, les Montebourg et cie… Elle va détacher non pas l’appareil du parti, dévoué aux éléphants, mais tous les frustrés socialistes, ceux qui espèrent depuis des années et qui ne veulent pas jouer la carte Hollande ou DSK.

Magistralement orchestré, cette pré-campagne est l’occasion pour Royal d’appliquer les recettes marketing les plus audacieuses. Elle mise tout sur Internet, contourne le parti, fait adhérer, sur conseil de Lang (qui pensait ramasser la mise) des milliers de français à 20 euros, qui seront bien utiles lors des primaires. Alors que Sarkozy met l’UMP à son service, Royal entend utiliser le PS à  sa convenance mais ne veut surtout pas y être associé.

Le livre ne fait pas l’impasse sur les qualités de Royal, mais n’oublie pas ses défauts, sa tendance à la mythomanie(à propos de ses soi-disants discours écrit pour Mitterrand, Attali estime que dans un système anglo-saxon, ses mensonges auraient été vite montés en épingle), son refus du pardon et surtout son impitoyable talent de tueuse. Malheur à celui qui a déçu, à celui qui a refusé de marcher dans ses clous. Journalistes, politiques, publicitaires, entourages… si on ne fait pas comme elle le décide, elle jette, elle oublie, elle brutalise. Mais comme je l’ai dit, nous ne sommes pas ici dans un réquisitoire. Le livre a, à mon sens, le constat de l’honnêteté. Il s’appuie sur des témoignages précis, des exemples concerts. Un parmi d’autres : en 88, elle vient mendier à Mitterrand une circonscription. Le vieux monarque refuse dans un premier temps puis se ravive et demande à ce qu’on lui trouve un point de chute. Ce sera dans les Deux-Sèvres. Exit donc Jean-Paul JEAN, le candidat Ps qui a déjà dépensé 50 000 Frs dans cette élection. Royal a même le toupet de lui dire : « J’imagine que c’est dur pour toi mais maintenant il faut gagner ». Premier d’une longue série de personnes qui devront se mettre, coûte que coûte à son service.

Le livre met également en relief son goût immodéré pour les médias … tant qu’ils vont dans son sens. Elle passe régulièrement à la télé : Lahaie d’honneur, Sacré Soirée, Panique sur le Seize… Sa phrase préférée quand elle est ministre « Qu’est ce qui intéresse les médias ? » Contrairement à ce qu’elle a voulu  nous faire croire, elle travaille cette élection depuis des années, elle y pense depuis 1995 !! Elle étale sa vie privée, accouche quasiment en direct, se sert de son fils pour sa campagne et surtout utilise ces déboires conjugaux pour se forger une ambition.

Il est clair que le grand perdant de cette élection est Hollande. Il a vu s’envoler sa femme, ses enfants, son parti, son rêve de présidentielle… Il se retrouve dans le rôle du pauvre gars qui rentre un jour chez lui pour s’apercevoir que maman est parti avec la voiture et les mouflets. Il est clair qu’il  n’a rien vu venir, même quand les signaux s’amplifient. Il a voulu jouer la carte Jospin, reprendre la main... Rien n’n’. Il a perdu et largement perdu.

Mais Femme Fatale donne également les clés de l’échec final. Sitôt les primaires terminées, tout s’affole. L’improvisation règne, le PS ne suit pas, les éléphants déçus d’être écartés et furieux du mépris de Royal (Sarkozy notera qu’après les primaires, elle n’a pas daigné les appeler) freinent des quatre fers… Et Royal s’entête, croit qu’une campagne se gagne à coup de bons mots, de prières (toute socialiste qu’elle est, elle est très croyante), de mains passées dans le dos… Quant au QG de campagne, un quasi-bunker, on s’affole, elle refuse de voir la vérité. Quand Eric Besson conteste le chiffrage, on le pousse au départ. Rien n’est préparé, les interviews sont annulées au gré des caprices de la diva, les demandes de rendez vous non-honorés s’accumulent sur le bureau de la candidate… Lors de la préparation du débat, on se moque de Sarkozy qui avale fiche sur fiche. Le 2 mai, les Français découvriront une Royal qui ne maîtrise aucun dossier car elle ne prépare rien. Les projets de lois sont improvisés, elle tente les alliances les plus contr… Bref, l’élection imperdable l’a été car elle n’a rien fait pour la gagner.

Le livre décrit donc une femme qui a cru qu’une élection se gagnait uniquement sur un minois, sur quelques mots. Elle n’a pas compris que dans l’autre camp, Sarkozy se préparait depuis au moins 5 ans.

Des nombreux livres écrits sur cette défaite, celui-ci est sans doute le moins dur. Il n’en reste pas moins indispensable tant l’analyse y est fine.

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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 22:56
 L'éditorial de Claude Reichman du 19 Septembre 2007 :



La réaction de Claude Reichman au lendemain du discours social de Nicolas Sarkozy

Emission du 14  septembre 2007

La  France entre dans des eaux dangereuses : crise économique,
déficits publics et sociaux, insécurité. Il faut dès à présent préparer
la vraie rupture

avec Jean-Christophe Mounicq, journaliste, écrivain.

Cliquer ici


Emission du 20 septembre 2007

La France ne peut plus continuer à soigner le monde entier. C'est
aux médecins de diriger l'hôpital, non aux fonctionnaires. Le
combat pour l'abrogation du monopole de la sécurité sociale est
essentiel

avec  le Pr Christian Cabrol

Cliquer ici

Le fait du jour : 25 septembre 2007
Daniel Rémy :"J'attends à présent de Sarkozy des
actes forts."

Cliquer ici

Emission du 27 septembre 2007

Face à la crise qui vient, comment préserver votre patrimoine. La
rupture, c'eût été un budget 2008 en excédent, même léger. On
peut prévoir de grandes difficultés politiques

avec Olivier de Ducla, spécialiste financier

Cliquer ici

Emission du 4 octobre 2007

Poutine ne lâchera pas le pouvoir. Le fantôme de Staline hante
toujours la Russie. Les services secrets restent maîtres du jeu

avec Vladimir Fédorovski, auteur de "Le fantôme de Staline"
(Editions du Rocher).


Cliquer ici
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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 22:44

19.08.2007

Région lyonnaise : les deux nouvelles mosquées de l'été
A Givorss, le maire communiste Martial Passi a vendu un terrain municipal pour 22 euros le mètre carré. Lorsque le terrain fait 3000 mètres carrés, c’est un sacré coup de pouce. La première pierre de la mosquée a été posé début juillet et la construction démarrera en septembre.

Le progrès du 2 juillet 2007 rapporte que « si le coût final de la réalisation de la mosquée est évalué à 1,5 million d’euros, les responsables ne disposent pour l’instant qu’un peu plus de 500 000 euros. La mosquée qui sera implantée sur un terrain de 3000 m² aura 1200 m² de surface au sol. » lire l’article intégral

-  Concernant la mosquée de Villefontaine (Lyon), dont la première pierre a été posé en juin, le Dauphiné libéré rapporte, par la plume de Pierre Vallet (édition du 5 juin 2007) :
« Pour l'instant, sur les 600 000 € nécessaires, l'association Unicité en a récolté plus de la moitié. « Nous comptons sur les prochaines fêtes et en particulier celle du Ramadan en septembre pour compléter le financement, mais nous avons de quoi démarrer les travaux tout de suite. » Ce lieu de culte et de culture aura une surface d'environ 530 mètres carrés de plain-pied plus une mezzanine. « Ce sera la plus importante mosquée du département » rappelait Mohamed-Larbi Aroui « et nous pourrons accueillir près d'un millier de personnes lors des grandes fêtes annuelles. » Il est clair que la mosquée Dar Assalam aura un rayonnement qui dépassera de loin le cadre communal. » lire l'article intégral 

À Bruxelles, l'islamisation par les berceaux

À Bruxelles, sur les 10 prénoms les plus populaires attribués aux nouveaux nés, 7 sont arabes. Cette réalité bruxelloise, tranchant avec le reste de la Belgique, vient d’être rapportée par le journal La Dernière Heure. Cliquer pour lire l’article 


Une deuxième église attaquée à Marseille, silence assourdissant des médias.

                                                                                                                                                                Communiqué de l’AGRIF (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l'Identité Française et chrétienne)

  La délégation AGRIF de Provence-Alpes-Côte d’Azur vient d’apprendre qu’il y a trois semaines un incendie criminel a visé la chapelle Saint-Marc dans le 12e arrondissement de Marseille. Après vérification auprès des autorités paroissiales, il se confirme que la chapelle, située au cœur de la cité Bois Lemaître, a été entièrement détruite. L’intention criminelle étant avérée, le curé de la paroisse a déposé plainte contre X pour incendie volontaire. Déjà engagée dans une affaire similaire à Marseille, l’AGRIF a décidé de se porter de nouveau partie civile. 

  L’AGRIF s’insurge contre ce nouvel incendie d’un lieu de culte catholique dans la cité phocéenne et demande aux autorités policière et judiciaire de tout mettre en œuvre pour retrouver et condamner les coupables. Elle dénonce également le silence, pas seulement médiatique, qui entoure cet incendie. C’est une nouvelle étape dans les attaques contre les chrétiens : désormais, il semble qu’il ne faille plus en parler.

L’AGRIF reste vigilante.

Le délégué régional, Yann Baly

AGRIF – 70, boulevard Saint-Germain – 75005 PARIS – agrif@wanadoo.fr 


18.08.2007

Din Records : maison de disque islamique
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« L’histoire de Din records c’est l’histoire de Sals’a et proof, deux amis d’enfance du quartier Mont-Gaillard au Havre. Deux compères unis par la foi, unis par la musique et le goût pour l’écriture. En 1997 ils fondent leur groupe : Ness & Cité. » ( Saphirnews, janvier 2005)

Ce premier groupe a écrit des chansons aux titres qui laissent rêveurs : « ghetto moudjahidine» ou « Havre de guerre ».

En 2002, Din records devient une SARL et commence à produire une pléiade de rappeurs ayant un point commun : l’Islam. Le I de DIN est d’ailleurs en forme de minaret.

Voici quelques textes des groupes produits par Din Records :

Lire la suite 


15.08.2007

Mosquée de Marseille : les islamologues Urvoy et Crussol dénoncent la lâcheté de Gaudin

   A la suite de la décision de la mairie de Marseille de construire l’une des plus grandes mosquées de France (alors que la ville en compte déjà plus de 60), trois intellectuels français, spécialistes du monde arabe et de l’islam, ont envoyé le 03 aout la lettre suivante à Jean-Claude Gaudin, maire de la ville :



   Monsieur le Sénateur Maire,
  “C’est la dignité, le respect des valeurs de la République que de permettre à des gens de pratiquer leur culte”, dites-vous pour justifier l’autorisation de la grande Mosquée de Marseille.

   Vous n’êtes pas sans savoir, osons-nous le supposer, que la religion musulmane n’est pas seulement un culte, mais aussi une doctrine sociale et politique, et qu’en lui donnant un lieu de culte, vous donnez aussi une place forte, une citadelle à cette doctrine sociale et politique, dont l’institutionnalisation ne peut être qu’un premier pas pour les visées hégémoniques qui lui sont inhérentes.

   Que proposez-vous pour éviter le passage ambitionné de l’institution d’un culte à l’activité sociale et politique en vue de cette hégémonie ? Rien probablement.

   Vous n’êtes pas sans savoir que cette doctrine dénonce les libertés républicaines au nom de la loi musulmane, et que la liberté religieuse dont fait partie la liberté de culte que vous octroyez si généreusement, est proscrite et châtiée dans l’islam.

   Quel est le sort du musulman apostat, seul terme pour désigner celui qui se convertit à une autre religion ? C’est souvent la mort, en tout cas l’exclusion, vous le savez Monsieur Gaudin. Quelles garanties avez-vous prises en donnant de tels gages à des adversaires acharnés de la laïcité, des libertés fondamentales, de l’égalité entre les uns et les autres ? Aucune, probablement.

   Il faudrait accepter le culte au nom de nos valeurs, et refuser la doctrine sociale et politique, liée à ce culte, au nom de ces mêmes valeurs. Le faites-vous ? Non, Monsieur Gaudin. Monsieur le Sénateur-Maire, vous bradez nos valeurs, vous bradez notre histoire et nos combats.

Yolande de Crussol, Maître de conférences, Département d’Etudes Arabes de l’Université Lille 3 .
Marie-Thérèse Urvoy, Professeur d’Islamologie, Institut Catholique de Toulouse
.
Dominique Urvoy, Professeur des Universités, Département d’Etudes Arabes de l’Université Toulouse le Mirail
 


Politique volontariste d'islamisation en Algérie

    Le ministre algérien des Affaires religieuses et des Waqfs, M. Bouabdellah Ghoulamallah, vient de réaliser cet été  une tournée des nouvelles écoles coraniques et mosquées financées par le pays du FLN. Dans les villes de Hadjout, Tipasa, dans la localité de Menacer, les projets grandioses se multiplient...L’ islamisation en Algerie est sous tendue par une volonté politique affichée. Imaginons le tollé que provoquerait un comportement similaire en France pour la promotion du Christiannisme...

  Lire l’article de l’agence islamique internationale de presse. (organe de l'OCI)

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3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 22:51
Proche et Moyen Orient :
ce que les médias francophones
ne vous diront pas.

Michel Garroté, journaliste
  
300Leader-ismail-haniyeh-HAMAS-at-rally-cartoon.jpgLes médias reparlent, actuellement, des opérations militaires israéliennes – passées, présentes et futures – dans la bande palestinienne de Gaza. Les médias insistent, notamment, sur la forte densité démographique de cette bande minuscule. Et donc sur les risques, de pertes civiles, lors d’opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza (à noter que la densité démographique de Gaza est inférieure à celle de la région parisienne). Ce que les médias ne disent pas, en revanche, c’est qu’il y a des pertes civiles du côté israélien. Il y a des pertes civiles du côté israélien parce qu’une dizaine de Brigades terroristes palestiniennes, information confirmée par l’agence de presse palestinienne maannews sur  http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=25575, lancent continuellement, depuis la bande de Gaza, des roquettes Qassam sur Israël, information détaillé par la protection civile israélienne sur http://www.oref.org.il/315-en/PAKAR.aspx. En effet, outre les éléments armés du Hamas, la bande palestinienne de Gaza abrite ni plus ni moins que les Brigades An-Nasser Salah Addin, les Brigades Abu Ali Mustafa, les Brigades Fatah's Al-Aqsa Martyrs, les Brigades Al-Aqsa, les Brigades Islamic Jihad's Al-Quds, les Brigades National Resistance et les Brigades Qassam. Le tout sur un territoire à densité démographique légèrement inférieure à celle de la région parisienne. Neutraliser une dizaine de brigades terroristes sans pertes civiles, disiez-vous ?
  
  
La Fondation Simons et Angus Reid Strategies www.angusreidstrategies.com/ ont récemment publié un sondage sur l’opinion publique et l’armement nucléaire, sondage réalisé en Grande Bretagne, en France, en Italie, en Allemagne, aux USA et en Israël. Concernant Israël, plus de 70% des Israéliens justifient le recours à l’arme nucléaire en cas de guerre ou d’attaque stratégique contre Israël. Plus de 70% des Israéliens se sentent plus en sécurité avec l’arme nucléaire israélienne que sans l’arme nucléaire israélienne. Concernant l’acquisition d’armes nucléaires par des groupes terroristes, le pourcentage de personnes inquiètes à ce sujet est de 93% en Grande Bretagne, 91% en France, 96% en Italie, 92% en Allemagne, 91% aux USA et 91% en Israël, soit un pourcentage supérieur à 90% dans les six pays où l’enquête a été menée.
  
  
Peter Day, dans le Daily Telegraph du 27 septembre dernier, sur la base de document secrets déclassifiés, révèle que le roi de Jordanie Hussein était prêt à nommer Yasser Arafat Vice Premier ministre en 1974. L’information n’a rien de surprenant. Car si à l’époque Arafat avait constitué un gouvernement palestinien en exil en Jordanie, celle-ci serait très certainement devenue un Etat palestinien.
  
  
Une dépêche de l’agence de presse britannique Reuters datée du 28 septembre, cite, elle aussi, des archives, rendues publiques par le ministère britannique des affaires étrangères. Ces archives citées par Reuters confirment notamment que les hommes d’affaires palestiniens de Cisjordanie favorisaient dans les années 1970 l’unité entre la Cisjordanie et la famille royale de Jordanie avec laquelle ils entretenaient des liens étroits. A la même époque, Sami Joudeh, un influent Palestinien de Cisjordanie, déclara à M. Melhuish, un diplomate britannique, qu’il ne voyait aucun avenir pour une Cisjordanie palestinienne indépendante et qu’il favorisait soit une union, soit une solution confédérale avec la Jordanie. Intéressantes, ces révélations, surtout maintenant où l’on parle tellement d’un Etat palestinien en Judée-Samarie (Cisjordanie).
  
  
Aaron Lerner, sur IMRA, reprend, le 27 septembre, les étranges déclarations de la secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice à propos de la paix en Israël et en Cisjordanie, http://www.imra.org.il/story.php3?id=36200 , déclarations faites par Madame Rice le 23 septembre lors d’une conférence de presse au siège des Nations Unies à New York : « Si vous regardez les engagements de la phase une (du plan de paix), il est très dur d’imaginer l’établissement d’un Etat palestinien dans lequel les engagements de la phase une ne se sont pas réalisés (…) vous n’allez pas pouvoir établir un Etat palestinien si vous n’avez pas un engagement pour mettre fin à la terreur, à l’activité d’implantation (« settlement activity »). L’activité d’implantation (“settlement activity”) fait allusion aux communautés juives établies sur les territoires disputés de Judée-Samarie (Cisjordanie). Aaron Lerner note, avec une pointe d’humour, que Madame Rice met sur pied d’égalité des gens construisant une sukkah à Ramat Eshkol et un terroriste tentant de faire exploser une bombe à
Tel Aviv. 


usa_flagg__united_s_217261g-1.jpgLe 26 septembre, la sénatrice américaine Hillary Clinton, candidate démocrate aux présidentielles 2008, a fait des déclarations, au Dartmouth College, dans le New Hampshire, déclarations reprises par la TV MSNBC, comme on peut le vérifier sur
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1189411497691&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull .
Dans ces déclarations, Hillary Clinton a dit, à propos du récent raid israélien en Syrie : « ...nous savons q’avec l’aide de la Corée du Nord, une aide à la fois financière, technique et matérielle, les Syriens ont assemblé (…) un site nucléaire. Les Israéliens l’ont éliminé. Je soutiens fermement cela ». Le même 26 septembre, le Sénat américain a voté à une très large majorité en faveur d’une résolution qui presse l’administration Bush faire figurer les Gardiens de la Révolution iraniens, l’élite des forces armées iraniennes, sur la liste des organisations terroristes. Lors du débat au Dartmouth College, Hillary Clinton a expliqué qu’elle a voté en faveur de cette résolution contre l’Iran parce que cela donne aux USA l’option, dune part, d’imposer des sanctions à des chefs iraniens de premier plan ; et d’autre part, de montrer les dents dans cette affaire iranienne.
israel_tank_victory.jpgGAZA - Des opérations militaires israéliennes ont permis de liquider une dizaine de terroristes mercredi 26 septembre dans la bande de Gaza. Israël va certainement lancer d’autres opérations militaires dans la bande de Gaza en raison des tirs incessants de roquettes depuis cette bande vers son territoire. Mercredi 26 septembre des soldats et blindés israéliens ont pénétré Beït Hanoun, ville dans le nord de la bande de Gaza, où ils ont combattu des groupes terroristes armés, notamment les Comités de résistance populaire, le Hamas et l’Armée de l’Islam, tous les trois responsables de l’enlèvement conjoint du caporal israélien Gilad Shalit, le 25 juin 2006, en Israël. Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a en outre déclaré qu’Israël préparait une importante opération à venir pour mettre fin aux tirs de roquettes.
  
  
SYRIE - Il se confirme que l’opération effectuée le 6 septembre par l’armée israélienne en Syrie a touché une base militaire syrienne développée avec l’Iran et la Corée du Nord. Les autorités israéliennes observent toujours le silence sur cette opération. Les médias israéliens se contentent de reprendre les révélations des journaux étrangers. Trois ministres, Ehoud Olmert, Premier ministre, Ehoud Barak, ministre de la Défense et Tzipi Livni, ministre des Affaires étrangères ont coordonné l’opération du 6 septembre, avec l’ancien Premier ministre Benyamin Netanyahu et le Président Shimon Pérès. Netanyahu, chef du Likoud, a confirmé l’opération. La question reste posée de savoir si le matériel bombardé par Israël en Syrie était destiné à l’Iran et s’il s’agissait de missiles. L’opération a été menée par des bombardiers aux couleurs israéliennes de fabrication américaine, des F 15-L, à rayon d’action de 2’200 km.
  
Israël a-t-il organisé une répétition générale d’un raid contre des sites nucléaires iraniens ? Uzi Arad, ancien responsable du Mossad, a déclaré au Figaro : « Dans le passé, la Corée du Nord a apporté une aide technologique à la Syrie, dans le domaine des missiles (…) Nous savons aussi qu’il existe une coopération étroite entre la Corée du Nord et l’Iran dans le domaine nucléaire. L’arrêt du programme nucléaire nord-coréen est conditionné à une compensation financière. Ce n’est pas une surprise que la Corée du Nord tente de monnayer son savoir-faire dans le domaine nucléaire en Iran et en Syrie (…)  Israël n’a jamais toléré la prolifération chez ses voisins hostiles et n’a pas hésité à intervenir dans le passé, pour empêcher l’Égypte d’acquérir des missiles ou l’Irak d’accéder au nucléaire ».
  
  
LIBAN - Concernant le pays du cèdre, le quotidien koweïtien Al Seyassah révèle que le responsable des attentats contre la force multinationale au Liban en 1983, Imad Maghnieh, l’un des premiers responsables historiques du Hezbollah, est désormais chargé au Liban de prérogatives élargies attribuées par le Guide de la Révolution iranienne, l’ayatollah Ali Khamenaï. Motif : Maghnieh a conduit avec succès les opérations militaires du Hezbollah durant la guerre de l’été 2006. Selon le quotidien koweïtien, « Maghnieh, aidé de plusieurs experts iraniens, a pris le contrôle de l’appareil militaire du Hezbollah au Liban, laissant à Hassan Nasrallah et à ses adjoints le volet politique, économique et social au sein du parti ».
  
Le journal koweïtien cite un ouléma chiite selon lequel « le dispositif militaire que Maghnieh met en place, notamment dans la plaine libanaise de la Bekaa, vise à protéger la Syrie en cas de conflit avec Israël et les Etats-Unis. De nouvelles armes, notamment des missiles sol-air et des missiles de longue portée, ont été installées dans la région de Baalbek et de Hermel, au nord de la Bekaa, ainsi que dans le sud de la plaine. Parallèlement, les missiles de courte portée ont été redéployés vers l’intérieur du Liban, dans le cadre du bras de fer engagé entre l’opposition (pro-syrienne et pro-iranienne) et la majorité (indépendante) ». Al Seyassah ajoute que « des combattants du Hezbollah ont rassuré la population du Sud Liban (…) affirmant que le prochain conflit devrait les épargner, car il se déroulera dans la Bekaa et à Beyrouth, contre les Israéliens, les Américains et leurs protégés de la majorité (libanaise indépendante) ».
  
  
TERRORISME - Dans Metula News Agency, le professeur de science politique Guy Millière, a écrit, le 20 septembre dernier, un article moralement correct et politiquement incorrect : « On célébrait, voici peu, le sixième anniversaire du 11 septembre 2001. A cette occasion, les télévisions et la presse françaises n’ont guère parlé de l’islam radical et du terrorisme islamique (…) Le rapport du général Petraeus et de l’ambassadeur Crocker sur la guerre en Irak a été escamoté (…) Ne peut-on plus trouver un seul analyste français, susceptible d’être entendu, pour rappeler que les agressions du 11 septembre ont été le point culminant d’une vague d’attentats islamistes, qui avaient commencé précédemment, et qui se sont poursuivis ultérieurement ? (…)
  
La réalité peut se trouver décrite de maintes façons différentes. Nous sommes, incontestablement, dans une guerre, et cette guerre est planétaire, ce doit être dit et redit (…) L’Afghanistan est l’un des champs de bataille de cette guerre, l’Irak aussi. Mais le champ de bataille global inclut, en réalité, tout le Proche-Orient et une bonne part du reste du monde (…) La réalité est que la guerre en cours a commencé bien avant le onze septembre 2001, et qu’elle est loin d’être achevée. L’Afghanistan n’est pas stable, les taliban continuent à prendre des otages et à assassiner, mais ils n’ont plus le contrôle du pays et en sont réduits au statut de nuisances. Les dirigeants d’Al Qaïda parviennent à survivre, repliés dans quelques enclaves des zones tribales sur la frontière afghano-pakistanaise, mais ils ne disposent plus de bases arrières et de camps d’entraînement (…) La situation en Irak, comme l’ont expliqué Petraeus et Crocker, s’améliore, ce qui n’est pas une bonne nouvelle pour al Qaïda, non plus que pour les fanatiques qui dirigent l’Iran, pour la Syrie, le Hezbollah et le Hamas (…)
  
Pour le malheur de l’Europe, cette maladie (le défaitisme) s’est installée dans les têtes de la majeure partie de ceux qui écrivent, parlent dans les médias et émettent des commentaires. Les populations, sous informées ou désinformées, subissent leur vice, et peuvent en venir à adopter des réflexes très malsains. Antiaméricanisme et antisémitisme, pusillanimité et myopies… ».
  
  
CONCLUSIONAvant tout, merci à Guy Millière. Après la Troisième guerre mondiale (dite ‘Guerre froide’, 1945-1992, plus de 100 millions de morts), nous sommes donc entrés, depuis le milieu des années 1990, dans la Quatrième guerre mondiale. Sa particularité est que le camp terroriste frappe partout où il veut mais que globalement, il tue plus de civils musulmans que de soldats américains, occidentaux et israéliens réunis. C’est la première fois dans l’histoire contemporaine que l’ennemi, par voie de kamikazes et de voitures piégées, tue plus de civils dans son propre camp que de soldats dans le camp adverse.
  
En revanche, ce n’est pas la première fois que les journalistes et intellectuels occidentaux prennent la défense de l’ennemi. En effet, les journalistes et intellectuels occidentaux avaient déjà fait dans le passé avec le communisme ce qu’ils font aujourd’hui avec l’islamisme. Ils ont légitimé dans le passé le communisme en alléguant que les anticommunistes étaient des gens dangereux. Ils légitiment aujourd’hui l’islamisme en alléguant que les anti-islamistes sont des gens dangereux. Les Américains sont dangereux. Les Israéliens sont dangereux. Les Juifs qui soutiennent Israël sont dangereux. Les chrétiens européens qui aiment les Américains, qui aiment les Israéliens et qui aiment les Juifs sont dangereux. L’Eglise catholique, aussi, est dangereuse.
  
Bref, les islamistes, eux, ne sont pas dangereux. Les islamistes sont le résultat de l’impérialisme américain, de l’expansionnisme israélien et du prosélytisme chrétien. Que les Américains restent chez eux ; que les Israéliens retournent dans le pays d’origine de leurs grands-parents ; que les juifs et les chrétiens acceptent de devenir crypto-musulmans ; que les Palestiniens règnent sur la terre d’Israël ; et une lumineuse paix mahométane baignera éternellement la planète entière.
  
Au fait, j’y pense, si les juifs et les chrétiens anticommunistes, anti-islamiques et pro-israéliens nous étions si dangereux que cela, il y a belle lurette que nous aurions balancé, bande de nases, des cocktails molotov dans les locaux d’Euronews (qui cet été a diffusé et rediffusé des spots publicitaires turcs et iraniens), au lieu de nous battre, le cul sur une chaise, jour après jour, par écrit, dans des sites et des blogues. Quatrième guerre mondiale, 1992-2992, 200 millions de morts, un holocauste nucléaire. Steven Spielberg, fais quelque chose bordel !

Présidentielles au Liban :
bazar terroriste
  
Michel Garroté, journaliste
  
nasrallah_khamenei_big.jpgPourquoi l’élection d’un nouveau président par les députés libanais dépendrait-elle d’un quelconque quorum ? Est-il nécessaire que l’on maintienne un quorum lorsque l’élection, faussée par les assassinats politiques, n’est plus démocratique ? A cet égard, la majorité indépendante et anti-syrienne est-elle tenue de respecter toutes et n’importe quelles règles démocratiques ?
  
La Syrie a perpétré des meurtres et l’opposition pro-syrienne et pro-iranienne, menée par le Hezbollah, les fait fructifier. On songe maintenant à l’élection d’un président de « compromis ». La Syrie a perpétré des attentats, depuis octobre 2004, contre des personnalités indépendantes et anti-syriennes dans des régions et des quartiers indépendants et anti-syriens. La Syrie est à l’origine de tous ces attentats. Pourquoi l’État libanais n’a-t-il pas réussi à démanteler les réseaux libanais qui exécutent ces opérations décidées en Syrie ?
  
Un agent pro-israélien au Liban a été capturé. A la suite d’une opération à Saïda (l’arrestation des frères Majzoub), les Services de Renseignements libanais et l’armée libanaise ont démantelé un petit réseau israélien, le « réseau Rafeh ». A l’origine des échecs dans le démantèlement de réseaux téléguidés par la Syrie, il y a le fait que le président libanais pro-syrien Émile Lahoud bloque les procédures judiciaires mises au point par le Conseil supérieur de la magistrature.
  
A l’origine de ces échecs, il y a aussi le fait que les services de sécurité libanais n’ont toujours pas classé les services de renseignements syriens dans la catégorie des services ennemis, de sorte qu’ils ne les poursuivent pas, contrairement aux rarissimes et peu actifs réseaux israéliens.
  
Alors comment protéger les députés libanais indépendants et anti-syriens ? La majorité libanaise indépendante et anti-syrienne a tenté des changements au sein des services de sécurité, mais elle s’est heurtée au président libanais pro-syrien Emile Lahoud. D’où l’importance de l’élection présidentielle en cours. En l’absence d’un président indépendant, le Liban restera l’otage de réseaux syriens et la cible d’assassinats.
  
La stratégie de l’opposition libanaise pro-syrienne et pro-iranienne menée par le Hezbollah consiste à discuter de la présidentielle, mais la discussion n’est permise que si la majorité indépendante et anti-syrienne reconnaît le quorum des deux tiers, alors que si nécessaire, le quorum simple suffit.
  
Le président souhaité par l’opposition pro-syrienne est à l’image d’Émile Lahoud. Un président sous contrôle syrien. Voilà le « choix » de l’opposition libanaise pro-syrienne et pro-iranienne menée par le Hezbollah : un président acceptable pour la Syrie, pour l’Iran, et donc à l’image d’Émile Lahoud ou pas de président du tout. A ce stade, le jeu est-il encore démocratique ?
  
Le président chiite du parlement Nabih Berry fut particulièrement tordu mardi 25 septembre car il leva la séance parlementaire, sous prétexte que le quorum « requis » n’a pas été atteint. Or Berry ne peut pas décider seul des questions de quorum. Berry aurait dû se rendre dans l’hémicycle pour permettre au parlement de se prononcer sur la question. Berry aurait dû convaincre tous les députés de siéger dans l’hémicycle, alors que les députés de l’opposition libanaise pro-syrienne et pro-iranienne menée par le Hezbollah se trouvaient dans les autres salles du Parlement. Quelle farce !
  
Il serait grotesque et bouffon que ce qui c’est passé à la séance parlementaire du 25 septembre passé se reproduise lors de la prochaine séance parlementaire, prévue le 23 octobre prochain. Si Berry est sérieux (à ce jour il ne l’est pas), il devra assister aux côtés des députés de son bloc à la séance parlementaire du 23 octobre. D’ici là, des attentats peuvent encore viser les députés libanais indépendants et anti-syriens. Les informations lâchées au compte-gouttes par les forces de l’ordre vont hélas dans ce sens.
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3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 22:46
Attaque de l’Iran : le compte à rebours
iran
usaf.jpgDéclarations de Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner parlant de la guerre comme d’un risque concret qu’il faut éviter autant que faire se peut.

Propos américains disant que toutes les options sont sur la table. « Inquiétudes » russes et chinoises énoncées à mots couverts. Propos de dirigeants iraniens alternant l’hypocrite et le répugnant. L’épicentre de la guerre en cours n’est pas en Irak, mais dans le pays voisin. Et la situation qui règne à Téhéran ne pourra plus durer très longtemps.

Ceux qui prônent l’apaisement et la continuation de leurs petites transactions commerciales ne voient pas que, cette fois, ils ne vendent pas la corde avec laquelle on pourrait les pendre, comme au temps de l’Union Soviétique, mais le couteau qui pourrait les égorger ou les moyens nucléaires qui pourraient les désintégrer.

Ceux qui parlent de « puissance iranienne » ne voient pas la réalité de ce pays. Ceux qui disent qu’il fallait renverser les mollahs et pas Saddam ne comprennent décidément rien à la situation de la région. Dans la longue guerre en cours, casser le régime taliban, c’était briser un maillon faible d’une chaîne qui va du Liban jusqu’au Pakistan. Renverser Saddam, c’était rompre un autre maillon faible. Les groupes terroristes islamistes, plutôt que de frapper l’Occident, se sont donné comme priorité de chasser les Occidentaux d’Afghanistan et d’Irak, et de tout faire pour que ces pays ne connaissent pas la stabilité. L’Iran, désormais le principal soutien de ces groupes, s’est lancé dans une fuite en avant, consacrant des sommes toujours plus importantes à cette activité tout en dévoilant ses plans et accélérant les pires de ses programmes. Nous approchons du point d’ébullition.

L’Iran est un pays en crise très profonde où le régime ne tient que par la répression : la corruption est partout, la population est lasse et vit dans la pénurie, l’économie est dans un délitement que la hausse du cours du pétrole ne masque ou ne compense pas. À l’extérieur, aussi bien al Qaida en Irak que les sanguinaires milices de Moqtada al Sadr à Bagdad subissent revers sur revers. La Syrie, seul allié de Téhéran, est très isolée dans le monde arabe. Les régimes sunnites sont désormais davantage imprégnés de la crainte d’une nucléarisation de l’Iran que de la haine d’Israël.

Options disponibles :

1. Un accroissement drastique des sanctions internationales débouchant sur un soulèvement et un changement de régime (ou, au minimum, un changement dans le régime), mais je n’y crois guère.

2. Une opération militaire qui consisterait en des bombardements massifs des installations nucléaires et de l’appareil répressif du régime, et je pense que c’est ce qui finira par se faire. Je ne pense pas que cela débouchera sur un blocage du détroit d’Ormuz, car la marine américaine est très présente dans le Golfe.

Israël devra faire preuve d’une extrême vigilance, mais n’aura pas davantage à craindre car, cette fois, les intérêts d’Israël et des régimes sunnites convergeront. Bachar el Assad, le Hezbollah et le Hamas seront peut-être activés, puisque c’est de la survie du régime de Téhéran que dépend leur propre survie, et Israël aura alors à faire ce qui doit l’être. L’abcès proche-oriental pourra, alors, commencer à dégonfler sans, bien sûr, que la guerre en cours soit achevée. L’Europe et les États-Unis devront aussi faire preuve d’une vigilance absolue, car Téhéran reste le type même de l’État voyou qui ne recule devant rien.

La Russie et la Chine, au-delà des mots, ne pourront faire grand-chose. L’extrême gauche et l’extrême droite trépigneront, c’est leur habitude. Je ne vois, je dois le dire, pas d’autre issue, car une prolifération nucléaire dans tout le Proche-Orient et un renforcement décisif des forces du néo-totalitarisme ne me semble pas une issue, mais une impasse. La guerre en cours continue. Elle sera longue encore. Bush l’a dit dès 2001. Sarkozy et Kouchner, à la différence de leurs piètres prédécesseurs, savent ce qui est en jeu. Ils jouent un rôle décisif dans une Europe chancelante et, parce que c’est là l’essentiel en temps de guerre, je m’abstiendrai, oui, de toute critique à leur égard. Je les remercierai au contraire d’avoir fait sortir la France du rang des collabos. La guerre est en cours, ce doit être dit. Le compte à rebours concernant l’épicentre de la guerre est enclenché.



Guy Millière vs Michael Moore

Par Guy Millière, www.les4verites.com

J’ai vu « Sicko » au matin de sa sortie, dans une salle de Santa Monica (Californie). Nous étions une dizaine au début de la projection. Trois personnes sont sorties avant la fin. Je suis resté jusqu’au bout. J’avais une excuse : je finissais un livre consacré à Michaël Moore, qui sortira en janvier aux éditions du Rocher.

Je venais de revoir l’intégralité de la production de ce personnage, émissions de télévision comprises. Je m’attendais à ce que, lors de sa sortie en France, Sicko soit encensé. Ce ne fut pas le cas. J’espère que c’est le signe d’une fin de trajectoire. Les imposteurs, en général, finissent mal, et Michaël Moore est la quintessence de l’imposteur. Il prétend faire des documentaires alors qu’il fait de la propagande. Il clame défendre des valeurs de liberté, alors qu’il se met au service de discours totalitaires. Il se fait passer pour un défenseur intrépide de la vérité, alors que son travail est une entreprise d’intoxication mentale. Certains voient en lui un humoriste : je n’accorde pas ce statut à quelqu’un qui pratique la trahison et le mensonge.

Moore a commencé sa carrière en extorquant de l’argent à un magazine de gauche respectable qui avait commis l’immense erreur de l’embaucher. Il l’a continuée en décrivant les gens de Flint, sa ville d’adoption, comme des crétins mal dégrossis, et en faisant croire qu’il n’avait jamais rencontré le directeur de la General Motors. Il l’a poursuivie en exploitant de manière abjecte la tragédie du lycée de Columbine et en faisant passer les Américains pour un ramassis d’abrutis excités par la violence et les armes à feu. Il a connu son apothéose grâce au très cloacal Fahrenheit 9/11, dans lequel j’ai relevé une moyenne d’un mensonge par minute.

Il lui était difficile, ensuite, de faire pire, et c’est là qu’il déçoit ses fans. A-t-il cédé à la tentation de se faire plus consensuel ? S’est-il dit qu’à force d’inciter la planète entière à pratique une xénophobie antiaméricaine (qui, exercée vis-à-vis d’un autre peuple lui aurait valu de se faire traiter de raciste), il risquait d’en subir les conséquences ? A-t-il songé qu’après la chute de Saddam Hussein et de son régime, qu’il présentait comme idyllique, il ne trouverait plus un dictateur et un totalitarisme assez immondes pour qu’il puisse les adorer ? Après avoir très largement contribué à la diabolisation de George Walker Bush, a-t-il considéré qu’il avait accompli l’essentiel de sa « mission » ? Je n’ai pas de réponses à ces questions.

Je dirai juste que Sicko est en retrait. Moore y présente le système de santé américain avec sa malhonnêteté habituelle, mais il se contente paresseusement d’alimenter les stéréotypes et les idées reçues. Il montre des gens tristes, un homme qui a perdu une phalange, des femmes en larmes, mais il n’a pas de cadavre ou de carnage à placer en gros plan, et pas de docteur fou à dépeindre en train de comploter au fond de son hôpital.
Quelques Américains d’extrême gauche se sont dit, après avoir vu le film, que le système de soins français est extraordinaire, mais même les Américains d’extrême gauche savent que le système canadien est très défectueux et produit pénurie et listes d’attente interminables.

Les Canadiens quant à eux, à l’exception d’une poignée de dogmatiques, savent quel est l’état réel de leur système. Les Français sont bien placés pour connaître les déficits croissants de la Sécurité Sociale et le nombre record de maladies nosocomiales en France.

Sicko serait très oubliable, en fait, et pourrait être traité par le mépris si n’y figuraient pas deux éléments profondément nauséabonds.

D’une part, les sauveteurs tombés malades après le 11 septembre voient leurs ennuis de santé pris en charge : que Moore les présente comme abandonnés est scandaleux, et qu’il abuse de leur faiblesse et les manipule est plus scandaleux encore. D’autre part, présenter Cuba comme Moore le fait constitue une immense insulte envers les souffrances du peuple cubain. Pendant que Moore tournait en se mettant au service de son ami Fidel, des gens mouraient dans des cachots crasseux ou dans les vrais hôpitaux cubains où les conditions sont pires que dans le dispensaire le plus délabré d’un pays parvenu au bout de la décrépitude. Ces séquences-là sont honteuses mais logiques, venant d’un homme qui, s’il connaissait la honte, se cracherait sans cesse au visage dès qu’il se verrait dans un miroir.

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3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 22:38

Par Mark Steyn traduction de Hipemc pour le blog drzz


Cette année j’ai passé l’anniversaire du 11 septembre en voiture
à traverser le Massachusetts. Ce n’était pas exactement prévu comme ça mais c’est ainsi que les choses se sont mises en place. Et donc, en route vers Boston, j’ai capté Bay State radio et entendu son colosse Howie Carr lire des parties du discours officiel de Patrick Deval pour la cérémonie commémorant le 11 septembre. Patrick Deval, c’est apparemment le gouverneur du Massachusetts. 9/11, a t-il clamé, "était une attaque cruelle, méchante et désagréable contre les U.S.A".
"Méchant et désagréable"? On dirait un serveur de resto super sensible se plaignant de ce que John Kerry renvoie encore une fois le coulis d’aubergine. Mais à l’évidence c’est ce qui passe pour un discours rude ces jours-ci au Massachusetts. Bon, Patrick le gouverneur ne voulait pas quitter la foule avec toute cette rhétorique de cow-boy macho résonnant dans ses oreilles, et il en est venu à son morceau de bravoure : 9/11, continua t-il, "était aussi un échec pour les êtres humains à se comprendre, à apprendre à s’aimer."

Je suis parti dans un tel rire que j’ai perdu le contrôle de mon véhicule
et le bonhomme sur la voie d’à côté a dû faire un écart plutôt radical. Il m'a alors fait le symbole universel de compréhension entre les hommes. C’est certain j’ai pigé, pour autant je ne suis pas sûr de pouvoir apprendre à l’aimer. Peu importe, j’ai roulé jusque Boston et médité sur les remarques du gouverneur. Après tout il les a faites devant un parterre de familles du 11 septembre: Il y a six ans, deux des quatre avions décollèrent de Logan Airport, et du coup les citoyens du Massachusetts se placent au premier rang du nombre des victimes. Si des membres des familles présentes ce mardi se sentirent offensées ou pas, aucun n’a crié “honteux!” ou n’a quitté la cérémonie. Pour leurs éminences politiques les Américains ont généralement du respect, aussi peu mérité soit-il.
Nous devrions nous méfier de quiconque cherche à expliquer le 11 septembre en utilisant les termes “l’un l’autre”
: Ils posent une équivalence aberrante entre le criminel et la victime, et l’"échec à se comprendre" découle de la culpabilité des deux parties. Les tueurs du 11 septembre furent très bien traités aux USA: Ils ont été introduits dans le pays sur le programme de visa express que le département d’Etat considérait comme apprprié pour les jeunes Saoudiens. Ils furent cordialement traités partout où ils allèrent. Les danseuses érotiques dans les clubs qu’ils fréquentaient les semaines précédant le grand jour leur ont donné du bon temps, ou suffisamment du moins, vu quels sales radins ils étaient sur les pourboires. Le 11 septembre ne s’est pas produit parce que nous avons manqué d’amour pour Mohammed Atta.

Malheureusement les années 70 et leur inclination à trouver dans le vent d’aimer le multiculturel sont en général plus dures à déloger
. Si vous me pardonnez de tels jugements critiques, il ne s’agit pas d’«eux», il s’agit de «nous». La survie à long terme de toute société dépend de sa proportion de citoyens qui pensent comme Patrick le gouverneur. L’Islamisme est un ennemi opportuniste mais vous ne pouvez pas le blâmer de voir l’opportunité: en un sens ils nous comprennent bien mieux que le gouverneur ne les comprend. L’autre jour vous vous rappelez peut-être, quelques garçons facétieux ont été arrêtés en Allemagne. Un autre complot terroriste. Aurait tué plus de gens que Madrid et Londres réunis mais étouffé dans l’œuf. Du coup c’est juste un autre bâillement d’ennui: Rien à cirer. Qui étaient les terroristes? Mohammed? Muhammad? Mahmoud? Non. C’était "Fritz" et "Daniel". "Fritz", hein? C’est plutôt inhabituel comme façon de prononcer Mohammed.images-copie-1.jpg

 

Effectivement. Fritz Gelowicz c’est aussi allemand que les lederhosen, ces culottes en cuir. Il est d’Ulm, lieu de naissance d’Einstein, sur le beau Danube bleu, qui, la dernière fois que j’étais à Ulm, était en réalité d’une nuance vert foncé. Et, dans une blague excellente sur les illusions occidentales, Fritz s’était converti à l’Islam en fréquentant la maison multiculturelle. En fait ça s’est avéré monoculturel – un centre islamique dirigé par un imam jihadiste. Au moins trois des anciens élèves – y compris un autre converti d’origine allemande – ont été tués en combattant les Russes en Tchéchénie. Fritz espérait tuer des Américains. Mais c’est le point positif d’un monde multiculturel: il y a tant de différentes et fascinantes cultures, et la plupart d'entre elles ont belle allure lorsqu’elles sont réduites à des décombres éparpillées avec des bouts de corps. Fritz et un pote, Atilla Selek, avaient précédemment été arrêtés en 2004 avec une voiture pleine de propagande pro-Osama louant les attaques du 9/11. Ca ressemble à un pilote pour une sitcom farfelue sur le jihad: Atilla et le Hun.

Fritz Gelowicz.
Richard Reid. Jack Roche, l’ouvrier australien. Les jihadistes de Toronto complotant pour décapiter le Premier Ministre canadien. Le fils de l’officiel du parti conservateur britannique. Partout dans le monde il y a de jeunes hommes élevés dans la"Multi-Kultur Haus" de l’Ouest qui décident que leur plus haute ambition est de se convertir à l’Islam, devenir un jihadiste et se faire sauter.

Pourquoi les imams radicaux cherchent-ils à convertir les jeunes
Canadiens, Britanniques et même des Américains et Américaines dans leur adolescence et la vingtaine? Parce qu’ils comprennent que lorsque vous élevez une génération dans le grand vacillement du relativisme culturel de Patrick Deval – rien n’est un poil mieux ou un poil pire qu’autre chose; si des gens sont méchants et désagréables à notre endroit c’est seulement parce qu’on ne leur a pas suffisamment chanté les chansons de Barney le dinosaure[chez nous peut-être Dora? ndt]– dans un tel monde un certain pourcentage de la jeunesse aura un gros trou béant là où elle devrait avoir le sens de son identité. Et dans ce trou vous pouvez verser quelque chose de féroce, primaire et implacable.

images-copie-5.jpgIl y a quelque temps j’ai eu l’honneur d’une entrevue avec le Président. Au cours de celle-ci quelqu’un a soulevé la question de l’impopularité de la guerre. Le Président a répliqué avec un haussement d’épaules et en disant que 25% de la population est toujours contre la guerre — quelle qu’elle soit. En d’autres mots, rien ne vaut la peine de se battre. Après-coup j’ai plaisanté qu’une part de ces 25% pourrait changer d’état d’esprit si des troupes d’assaut canadiennes(la nationalité de l'auteur) franchissaient le 49ème parallèle ou que des navires de guerre des Bahamas mettaient les côtes de Floride en feu. Mais peut-être pas. Les forces aériennes adéquates d’Al-Qaeda ont laissé un énorme cratère de corps originaires du Massachusetts au milieu de Manhattan, et Patrick le gouverneur va chercher l’amour au mauvais endroit.
Dans toute société, combien de personnes à penser comme Patrick Deval?
C’est le compte à faire si l’on veut évaluer ses chances de survie à long terme.

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