L’attribution du prix Nobel de la paix à Al Gore et au GIEC est un pas supplémentaire dans l’installation durable du totalitarisme climatique. Car il n’est pas de jour où l’on ne nous abreuve dans les médias d’articles ou d’images sur le réchauffement climatique, dont l’homme serait responsable via ses émissions de CO2. Quel rapport avec la paix ? Aucun. Mais cela n’a évidemment aucune importance. La seule chose importante est, grâce au pseudo prestige de ce prix, de renforcer la thèse que c’est un dogme irréfutable.
De toute façon le prix Nobel n’a que rarement été attribué à de vrais femmes ou hommes de paix. Mais, jusqu’à aujourd’hui, il y avait toujours, même s’il était hautement contestable, un rapport, même lointain, avec la paix. Deux exemples, emblématiques dans leur genre, me viennent à l’esprit. Lire la suite »